Le Congrès - Partie 02

BÊTA PUBLIQUE

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-Oui Monsieur! J'ai compris! Répondis-je alors que derrière moi, j'entends les voix des femmes, mes consœurs qui rigolent, boivent ignorant ce qui se passe à quelques mètres d'elles.

Si elles savaient. Choquée, hébétée par ce que je viens de voir, je n'ai pas bougé gardant mes cuisses écartées.

Léa filme ma réponse avec son portable et me demande.

-Vous savez à qui vous appartenez?

Humiliée, les larmes aux yeux, je lui réponds : oui je sais à qui j'appartiens.

-Votre nom, votre prénom et dites que vous appartenez à votre maitre.

-Je m'appelle Bénédicte Duval, et j'appartiens à mon maitre.

-Qu'a-t-il le droit de faire de vous et sur vous?

-Il a le droit de faire tout ce qu'il veut, finis-je de dire complétement abattue.

-Voilà une bonne réponse!

Je le vois rigoler vicieusement tandis que Léa inscrit sur mon ventre au marqueur noir "SOUMISE".

Je me sens maintenant définitivement perdue, anéantie. Je ne peux plus revenir en arrière. Je ne peux pas leur échapper sous peine d'être dénoncée à mon mari et de subir son opprobre.

J'espère être libérée à la fin de ce séminaire si je suis obéissante.

Je ne me sens plus une personne digne de ce noMonsieur Je ne suis plus qu'un jouet offert à leur jouissance. Je suis obligée d'obéir sans réfléchir pour ne pas devenir totalement folle. Mon esprit est en flottement. Je leur laisse mon corps désormais conditionné pour être en perpétuelle excitation sous la menace et la douleur.

Il sort alors de sa poche un œuf vibrant qu'il enfonce dans ma chatte mouillée maintenant. Aussitôt l'œuf est gobé par ma fente et je le vois presser le bouton d'une télécommande ce qui déclenche les vibrations de l'objet qui est en moi.

-Tu vas aller en réunion ainsi équipée... et je guiderai, ou bien Léa, l'œuf à distance bien sûr!

Et pour me prouver ses dire, il enclenche la vitesse supérieure. Je pousse un gémissement tandis que Léa ne cesse de me prendre en photos se délectant avec son complice de ma déchéance.

-Tu as déjà joui en silence? Tu sais que tu vas devoir te contrôler pendant ces deux heures qui vont te paraitre interminables.

-Non je n'ai jamais joui en silence. Je suis affolée en sentant de nouveau les vibrations en moi. Je respire profondément avec l'envie irrépressible de serrer mes cuisses.

-La grosse vache va avoir du mal à se retenir, dit Léa de manière humiliante.

-...et pourtant il le faudra bien, dit mon tourmenteur tout en baissant la vitesse au minimuMonsieur

-Elle sera prête à tout pour jouir après ce petit entrainement. Ajoute-t-il en prenant mes seins dans ses mains et en les vrillant.

Alors que je lui réponds "Oui Maitre", il arrête l'œuf ce qui me permet de reprendre un peu contenance, il m'annonce la reprise du séminaire et me laisse en plan en se fondant au milieu des gens. Je me réajuste comme je peux et me dirige vers la salle. Alors que je suis au milieu des collègues, j'entends Léa me murmurer, la prochaine réunion va longue avec ça dans la chatte. Je ne peux ignorer l'œuf en moi surtout quand je ressens à nouveau les vibrations.

Tentant de masquer mon trouble le plus possible, je reprends ma place.

Quelques minutes plus tard, je l'aperçois venir s'installer au bout de la rangée ou je suis assise. Elle me fixe en jouant avec la télécommande. Régulièrement, les vibrations montent et descendent. Elle me regarde, ajustant la vitesse à mes réactions. Je me pince les lèvres pour me retenir de gémir en serrant mes cuisses. Je dois devenir rouge car ma voisine me demande si tout bien.

-Oui! Oui! J'ai juste quelques bouffées de chaleur.

Je tourne la tête vers Léa et je réussis à lire sur ses lèvres : "Je te fais jouir quand je veux. Salope!"

Pendant les deux heures que dure le séminaire, elle joue avec la télécommande m'amenant régulièrement à la limite de la jouissance me forçant à me maitriser. Lorsque la réunion se termine quand je sors de la salle, elle me glisse un papier dans la main.

"Monte dans ta chambre et suis les instructions.".

Je me retourne mais elle a disparue. Je me dirige vers ma chambre comme un zombie appréciant le fait de ne plus sentir l'œuf vibrer. Je suis complètement liquéfiée comme une chienne en chaleur.

Je découvre un carton sur mon lit.

"Laisse ta porte de chambre entrouverte, déshabille-toi, mets-toi à quatre pattes sur ton lit et couvre tes yeux avec le cache."

Sachant que je ne peux pas me permettre de désobéir, je m'installe sur le lit, les yeux recouverts par ce masque. Le temps me semble long mais j'entends la porte s'ouvrir et des pas. Puis des mains qui me frôlent, me caressent, flattent ma croupe, soupèsent mes seins qui pendent lourdement sous moi. Mon cul est peloté puis les mains écartent mes lèvres intimes et je les sens retirer l'œuf. Je pousse un soupir de soulagement et de frustration mêlée. Je suis un peu affolée car même si je pense qu'il s'agit de Monsieur Moreau, rien n'est moins sûr.

Un doigt, puis un autre violent mon intimité suivi par la caresse d'un sexe sur ma peau. Les doigts se retirent et prise en étau aux hanches par des mains puissantes je sens la queue entrer en moi. L'inconnu me pilonne la chatte violement me faisant gémir. Je suis tellement excitée après ce que l'œuf m'a fait endurer que je ne me retiens plus. Je jouis intensément.

Je m'entends dire.

-Oh oui!!! Baisez-moi! Prenez-moi comme une grosse chienne! Baisez-moi à fond! Encore! Le conditionnement opère. La brutalité m'excite. J'ai besoin d'être soulagée.

Je sens l'homme se vider en moi sans préservatifs. Je n'ai pas le choix de toute façon. Il finit de gicler au fond de moi en se collant à mes fesses et tout aussi silencieusement qu'il est arrivé, il repart. La voix du Maître se fait entendre.

-Ote le bandeau et va te laver!

Je prends quelques secondes pour me remettre et me dirige vers la salle de bain en sentant ce sperme anonyme couler entre mes cuisses. Je vois plusieurs caméras dans la chambre ainsi que la salle d'eau ou je prends ma douche et dans les toilettes. Je n'ai plus aucune intimité. Je n'ai plus aucune dignité.

-Nettoie bien ta chatte, elle va encore servir, me dit la voix.

Humiliée, je me lave consciencieusement avec une poire pour bien éliminer toute trace de semence.

Lorsque je ressors nue de la douche, la voix se fait à nouveau entendre.

-Reprends la pose sur le lit avec le bandeau.

Docilement, je me réinstalle sur le lit. Les minutes passent, pas un bruit pas un mouvement.

-Comment est ta chatte?

-Elle est trempée, prête à recevoir une bite.

Je réalise alors que c'est moi qui vient de répondre. Dans un sursaut de conscience je me demande : "Que m'arrive-t-il? Comment en suis-je arrivée là? Pourquoi ne suis-je pas en train de fuir cette chambre et d'aller tout raconter à la police?"

-C'est bien! Retire le bandeau, lèves-toi et va prendre dans l'armoire ta tenue pour la soirée.

Comme un automate, j'ouvre l'armoire et découvre la robe qui m'attend. Avec horreur, je réalise que si je la porte sans sous-vêtements ma poitrine ne sera pas cachée du fait d'une fine dentelle noire et que le bas de la robe est fendue tellement haut devant, derrière et sur les côtés que je vais exhiber mes cuisses, mes fesses et mon sexe à la vue de tous. J'enfile la robe et les mules à talons vertigineux qui sont posées dans le bas de l'armoire. La robe me boudine et comme je le pressentais, elle ne cache pas grand-chose.

-Marche de long en large devant le miroir!

Je m'exécute et l'effet est encore plus terrible que je ne l'imaginais. Si je ne reste pas immobile et droite, mes fesses ou mon sexe apparaît entre les pans de tissu. De plus dans le dos, le dos-nu descend jusqu'à ma raie des fesses comme dans ce film des années 1970 avec Mireille Darc et Pierre Richard.

-Ecarte bien tes cuisses et montre ta chatte luisante face à la caméra!

Je m'exhibe encore devant l'objectif, honteuse et excitée. "Comment arrive-t-il à me rendre dans cette état?"

-Très bien! Maintenant direction la salle de réception, tu as trois minutes pour y arriver.

Dans le couloir qui me mène à l'ascenseur, je croise un couple de personnes âgées, ils ne peuvent pas rater la pilosité de mon pubis et ils me jettent un regard méprisant. En voyant leur réaction, je me doute que je ne vais pas passer inaperçue dans la salle Toutes mes collègues me verront ainsi, tous les participants, comment vais-je pouvoir justifier cette tenue? Malgré ma honte et ma peur je ne peux pas reculer.

En me voyant arriver, ma voisine de salle pendant le séminaire me regarde avec les yeux écarquillés.

- C'est la robe que le directeur m'a trouvée pour le cocktail... Avec ma taille il n'y avait pas beaucoup de choix... Lui dis-je en tremblant. A moitié convaincue par mon explication, elle s'éloigne de moi pour se diriger vers le buffet.

Je vois alors Monsieur Moreau s'approcher de moi.

-Interdiction de boire de l'alcool. Tu dois supporter cette humiliation publique sans t'enivrer.

Je hoche la tête sans rien dire, entendant autour de moi les quolibets et autres moqueries des personnes présentes. Je bois seule dans mon coin quand Léa arrive derrière moi et me dit d'une voix assez forte : "Alors ça fait quel effet de se faire sauter par un inconnu comme une SALOPE?", en insistant bien sur le dernier mot.

Je sais ce que je dois répondre. Je baisse la tête et murmure : "ça fait du bien!"

-J'ai pas entendu! Et elle répète. Qu'as-tu ressenti à te faire sauter comme une salope?

Je vois quelques regards se tourner vers nous.

-Ça fait du bien, J'ai aimé me faire sauter comme une salope.

Elle me regarde souriante, fière de ma soumission, puis elle fait tomber une serviette à ses pieds.

- Ramasse! M'ordonne-t-elle. Et ne plie pas les genoux!

Je me penche pour la ramasser ce qui a bien évidement pour effet de faire s'écarte les pans de la robe et de dévoiler mes grosses fesses nues à tout le monde. Aussitôt, j'entends derrière moi : "Quel gros cul! C'est indécent!"

Je me relève au bord des larmes en tendant la serviette à Léa qui la prend et en me fixant, elle la jette à la poubelle puis s'en va l'air triomphant.

Je reste immobile toujours sous les regards... Qui finissent par passer à autre chose mais j'ai hâte de pouvoir retourner à ma chambre.

Monsieur Moreau me regarde de loin en parlant avec des gens. Il doit voir ma gêne et le dédain des autres envers moi. Il s'approche enfin, me fixe. Mon humiliation semble le ravir.

La nuit n'est pas fini Bénédicte! Avance vers le pilier au fond de de la salle, je t'y rejoins!

Je sais qu'il me suit du regard alors que je traverse la foule, dévoilant ma croupe à ceux qui sont dans mon dos et ma chatte à ceux vers qui j'avance. "Salope! Grosse Pute! Chienne!" sont des mots qui me parviennent tandis que je marche. J'arrive enfin derrière ce pilier cachée des regards.

Il me rejoint et me conduit dans les cuisines vides.

-En position de soumise!

Aussitôt je prends la pose, debout cuisses écartées, main derrière la tête, ce qui dévoile mon intimité à ses regards. Il prend son temps pour passer de mon visage, à ma poitrine puis à ma chatte. Sans un mot, il frappe dans ses mains et aussitôt une quinzaine d'hommes m'entourent. Il s'agit du personnel de cuisine et de son chef. Ils font face à leur directeur mais ils ne se gênent pas non plus pour reluquer mes formes.

-Je vous présente ma nouvelle pute. Je vous avais dit que vous auriez une récompense! La voilà! Cette pute doit apprendre à se servir de sa bouche, donc elle vous fera TOUS jouir dans sa bouche.

Je les entends exulter de joie, certains commencent même à bander dans leur pantalon.

-Ote ta robe... Je pense que nos amis ont envie de voir ton corps de grosse vache! A genoux salope! Mains sur la tête et tu devras faire jouir ces messieurs juste avec ta bouche!

-Prépare-toi robert! C'est toi qui va avoir l'honneur de commencer puisque tu es le chef!

Je me déshabille mécanique ment et m'agenouille les mains sur la tête. "Putain quelles mamelles elle a cette salope! Dommage qu'on ait droit qu'à sa bouche, je l'aurais bien enculée cette pute."

Penchée sur moi, Monsieur Moreau me murmure, j'exige que ces messieurs soient satisfaits, sinon j'envoie tes petits films à ta famille...

Ne soutenant pas cette menace, je commence à sucer le chef. Il n'a pas baisé depuis un moment et il gicle rapidement dans ma bouche. Le deuxième, plus jeune bande déjà et prend sa place aussitôt que son chef à libérer mes lèvres.

-Tu as déjà vu des films pornos? lui dit-il? Alors vas-y baise lui la bouche comme tu le vois dans les films. Elle est faite pour ça! La salope! Jouissez lui tous dans la bouche à cette pute, c'est son repas de ce soir.

Les autres sortent leur bite de leur pantalon et commencent à se branler devant le spectacle que je leur offre. Je vois toutes ces queues tendues et sorties devant moi. Je sais que je devrais tous les sucer pour les faire jouir. Le jeune me pilonne la bouche sans ménagement puis il gicle plaqué contre mon visage. Il se déverse au fonde de ma gorge, aussitôt remplacé par un troisième.

Il m'attrape par les cheveux et force ma gorge, je manque de vomir, je bave... Ça les excite. Je gémis, je pleure, les sexes forcent ma gorge une par une.

- Putain on peut presque lui faire des gorges profondes à cette truie! s'exclame un jeune. Elle va morfler, répond un autre.

Celui qui baise ma bouche tire mes cheveux et me donne de grand coups de bite puis il s'enfonce entièrement dans ma gorge, il m'empêche de respirer.

-Regarde-moi! Salope!

Il me voit suffoquer, il éclate de rire et il se retire pour me laisser respirer. Puis il me baise à nouveau la bouche. Il finir par jouir dans ma gorge et un autre lui succède. A la moitié, je suis dégoûtée, le visage et les seins couverts de bave et de sperme. Je les entends faire des paris pour savoir lequel va réussir à me faire vomir.

Un plus vieux ne me baise pas comme les jeunes. Il dit aux autres : "Moi je veux la faire durer cette pipe! La salope va me faire jouir avec sa langue!" Il place son membre devant ma bouche pour me forcer à le lécher avec ma langue. Les autres ricanent en me voyant lui sucer le bout.

Il me demande de jouer avec son gland, cela dure. J'en ai même mal à la langue. Il gicle enfin sur mon visage. Tous les jeunes ont sorti leur portable pour prendre des photos ou me filmer pendant que les autres profitent de moi. Après que le vieux ait recouvert mon visage de son foutre, Monsieur Moreau me tire les cheveux et les invite tous à me prendre en photo en gros plan. Je suis complètement piégée, je suis certaine que la photo va être diffusée. Entre mes collègues qui m'ont vue presque nue et mon mari qui va découvrir ces photos, je ne sais ce que je vais devenir.

Le pari entre recommence. Il ne reste plus que les trois plus grosses bites.

- Allez-y les mecs! Faites-la vomir en lui baisant la bouche. J'offre son cul à celui qui y parvient!

Aussitôt, Le premier me force la bouche sans retenue mais trop excité, il gicle trop tôt. Je tente de reprendre mon souffle quand le suivant me prend sans attendre. Et à ce moment, je ne peux plus me retenir et je vomis. Pendant que je suçais le précédent, je sentais les doigts du directeur entre mes cuisses, il tâte ma fente pour juger de son état d'excitation. Je relève la tête et je découvre celui qui va m'enculer.

-A quatre pattes sur le plan de travail!

Complètement perdu, je prends la pose demandée, nue, offerte les mamelles pendantes sous moi. L'homme vient se mettre derrière moi, je sens ses mains sur mes hanches tandis que le dernier demande à être sucer aussi.

-Vous allez embrocher cette grosse vache par les deux côtés. Vas-y! Enfonce-toi dans sa bouche et tiens la bien pendant que ton pote va l'enculer!

Les autres regardent et les encourage.

-Allez-y! défoncez-la cette pute! Baisez-la!

Aussitôt ils s'y collent, la queue dans ma bouche m'empêche de crier quand celui qui est derrière moi m'encule rudement. Ils s'excitent mutuellement pour savoir celui qui va tenir le plus longtemps. Au final, celui qui est dans mon cul jouit le premier en grognant.

Il gicle au fond de mon cul en restant planté contre mes grosses fesses. Puis il sort et il invite les autres à voir son sperme sortir de mon cul.

-Regardez tout ce que je lui ai mis à cette truie!" Je ne les vois pas mais je sais que les autres regardent mon trou dilaté et dégoulinant. J'entends les crépitements des téléphones. Je suis complètement choquée. Je suis en train de craquer psychologiquement. Je suis sur le point d'être brisée totalement.

Le dernier finit par jouir dans ma bouche triomphalement. Je reste inerte sur la table. "Comment vais-je pouvoir retrouver une vie normale après cela?"

Monsieur Moreau me regarde nue sur la table, couverte de sperme, de bave, de vomi. Il me tire par les cheveux pour me forcer à relever la tête.

-Regarde ces messieurs et dis-leur le numéro de ta chambre!

-C'est la chambre 432, dis-je, blême affolée car je sais que ma chambre ne ferme plus à clé.

Les mecs se regardent, ne sachant que penser. Le directeur m'aide à me lever, mon gros ventre et mes mamelles pendouillent lamentablement devant eux. Souillée par les hommes, je me baisse pour ramasser la robe mais il me dit de la laisser en cadeau aux cuistots. Le cocktail est fini. Il n'y a plus personne. Je sors nue pour rejoindre ma chambre en passant par les escaliers de services quand j'entends : "La chambre n'est pas fermée à clé." Ces mots achèvent de me déstabiliser, c'est en larmes comme un automate que je monte.

Jamais, je ne me suis sentie autant utilisée, je suis en train de devenir un objet sexuel. Je remonte les quatre étages dans un état de semi conscience. Heureusement que ma chambre se trouve à côté de l'escalier de service, je peux y entrer sans avoir à traverser le couloir nue et souillée.

Je vais pouvoir me reposer et reprendre mes esprits.

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Anonymous
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3 Commentaires
AngeM30AngeM30il y a environ 1 an

Là ça va trop loin dans la déchéance !

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
J'adore, Verdu

Merci beaucoup Verdu pour ce texte.

La suite, la suite

...

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Très bon chapitre.

Rudy

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