Le Co-Voiturage Ch. 02

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À partir de ce moment, ça devint presque une coutume et chaque fois que je passais, elles me tâtaient tout en continuant leur discussion.

Ces manipulations accroissaient encore l'excitation que provoquait la culotte et je résistais, mais sentais le plaisir monter.

Finalement, le dessert terminé, elles passèrent au salon pour que je leur serve le café.

Il était temps que je souffle un peu, j'étais au bord de l'explosion.

Mais les pas que je fis pour leur apporter le café furent de trop et, posant précipitamment le plateau sur la table, j'éjaculais giclée après giclée dans ma culotte.

Je les regardais consterné. Elles souriaient. Le sperme transperçant la dentelle coulait sur le devant.

Ce fut Sarah qui rompit le silence

« Tu as joui? »

Je la regardais, des larmes dans les yeux.

« Oui Madame »

Madame Leroy fut plus directive.

« Retire ta culotte et suce-la »

Sans trop réfléchir, je retirais ma culotte et la mis dans ma bouche, goûtant mon sperme avec répugnance.

Sarah claquait des mains en riant.

« C'est pas vrai, tu l'as bien éduqué »

Madame Leroy eut une réflexion qui me fit froid dans le dos

« Il consomme toujours ce qu'il produit. Bon, servons-nous, le café va refroidir »

Je restais là, devant elles, tétanisé, la culotte dans la bouche.

En dégustant leur tasse, elles me regardaient en souriant.

Je finis par réagir et courus me réfugier dans la cuisine.

J'étais prostré, j'avais craché la culotte depuis longtemps et m'étais rincé la bouche, essayant de laver le goût âcre et le contact du sperme.

Mais j'avais l'impression que cela ne me quittait pas.

J'avais des nausées et me concentrais pour y résister.

J'entendis comme dans un rêve la porte d'entrée claquer et Madame Leroy arriva dans la cuisine.

« Alors comme ça, tu m'humilies devant ma copine »

Accroupis dans mon coin, je la regardais. Elle semblait en colère, mais je savais qu'elle l'avait fait exprès et qu'elle avait tout organisé.

Je ne connaissais pas Sarah, mais elle n'avait pas paru surprise de me voir nu et encagé et je me doutais qu'elles étaient complices.

« Il va encore falloir que je te punisse, tu vas apprendre à te retenir mon petit, nous verrons ça demain, ce soir, il est trop tard »

Je m'imaginais avec horreur passer encore une journée attaché à mon lit. Je la suivis jusqu'à sa chambre où elle me remit ma cage.

Je passais la soirée dans mon lit à ruminer les événements de la journée, et à me demander ce que serait demain. Et je finis pas m'endormir.

Le lendemain, elle pénétra tôt dans ma chambre alors que je venais de me réveiller. Elle avait des cordes dans les mains et je savais ce que ça voulait dire. Elle ne tarda pas à m'attacher à nouveau et je pensais y passer toute la journée, lorsqu'elle ajouta :

« Il paraît que l'anulingus est un vrai régal. »

Je me sentis blanchir à cette perspective. Jamais, je n'avais imaginé une chose pareil et, pour tout dire, ça me repoussait carrément.

« Non, s'il vous plaît, Madame, ne faites pas ça »

Elle me fixa avec un sourire mauvais et, sans plus discuter, monta sur le lit et s'assit sur mon visage.

J'avais le nez introduit dans sa raie des fesses. À l'évidence, Madame Leroy ne s'était pas encore douchée et un parfum lourd, aigre, vaguement ammoniacal, me vint aux narines. Surmontant ma répugnance, je commençais à lécher le bas de sa vulve, mais elle bascula, amenant ma langue près de son trou du cul.

« Lèche »

Elle avait passé une main sur son sexe et commençait à se masturber sans complexe. J'étais complètement écœuré mais sortis ma langue sur la chair plissée de son anus. Le goût salé et amer me saisit et je récoltais avec dégoût de fines particules coincées dans les replis.

Cela dura un moment, j'étais perdu dans un monde repoussant d'odeur et de goût dont je préférais ne pas connaître la provenance. À son essoufflement, je sus qu'elle approchait de l'orgasme, et c'est d'une voix rauque qu'elle ajouta.

« Rentre ta langue »

Dépassé par les événements et commençant à éprouver des difficultés à respirer, je pointais la langue sur son anus. Le sphincter résista pendant quelques instants, puis s'ouvrit brusquement, me laissant pénétrer à l'intérieur. J'eus un frisson dans le dos en goûtant l'amertume plus forte dans ce canal onctueux. J'avais de plus en plus de mal à respirer et me sentais nauséeux, mais continuais néanmoins à faire aller et venir ma langue dans cet étroit conduit. Il s'ouvrait davantage au fur et à mesure et, ma salive aidant, je pénétrais toujours plus loin.

Elle jouit avec un grand cri, se raidissant brutalement et me chassant de ma pénétration profonde. J'étais au bord de l'asphyxie et dégoûté par le goût amer que j'avais dans la bouche.

Revenu à elle, elle descendit du lit et sortit.

J'entendis bientôt le bruit de la douche.

J'avais toujours ce goût horrible dans la bouche et me sentais nauséeux. C'était révoltant et pourtant, je sentais, à la douleur vive dans ma cage, que je n'avais pas cessé de bander durant toute cette séance.

Quand elle fut propre et habillée, elle vint remettre ma cage et me détacher.

Je me levais en titubant et descendis préparer le petit-déjeuner et en profitais pour me rincer la bouche.

Nous déjeunâmes ensemble et je retrouvais une agréable convive.

Une étrange complicité s'était instaurée entre nous. Je connaissais tout de son corps, elle savait tout de moi.

Elle passa encore la matinée sur son ordinateur et, après avoir fait mon petit ménage, je passais le mien, sous la table, à lui lécher les pieds.

Un moment, elle se laissa faire. Je les rendis ses bottines propres et luisantes de salive, puis, basculant sur le talon, elle me présenta la semelle.

C'était révoltant, je ne savais pas dans quoi elle avait marché, pourtant, je passais la langue sur le cuir rêche. Cela avait un goût de poussière et de terre. Je léchais silencieusement sa semelle et son talon, tâchant d'y enlever un maximum d'immondices, avec un frisson dans le dos.

Évidemment, quand j'eus fini avec une semelle, elle me présenta l'autre et je recommençais mon manège.

« Tu as déjà été avec un garçon? »

Ça remarque tombait comme un cheveu sur la soupe et je la regardais horrifié.

« Non, je n'ai rien contre les homosexuels, mais je ne suis pas du tout attiré par les hommes »

Elle accueillit ma remarque avec un sourire énigmatique.

J'étais à quatre pattes entre ces jambes et ne pouvais m'empêcher de regarder ses cuisses, apercevant par moments la lisière de ses bas

Elle se leva brutalement et partit dans sa chambre. Je sortis de sous la table un peu halluciné.

Nous passâmes un après-midi tranquille, à lire ou à regarder la télé.

Vers 19 h, Madame Leroy me fit prendre un cachet. Je lui demandais ce que c'était ,mais elle se montra évasive.

Très vite, les choses m'apparurent comme dans un rêve. J'avais perdu toute vision périphérique et étais obligé de me concentrer pour distinguer les choses que je voyais floues.

Peu après, on sonna à la porte.

« Va-ouvrir »

Je ne voulais pas y aller nu, mais quelque chose en moi m'interdit de discuter cet ordre absurde.

J'ouvris la porte à une inconnue qui ne fit pas de formalités et passa devant moi comme si je n'existais pas.

Elle fit la bise à Madame Leroy et j'en conclus qu'elles se connaissaient depuis longtemps

Puis, elle posa sa sacoche sur la table

« C'est lui le sujet? »

« Oui »

« Approche-toi »

Elle sortit une seringue dont elle mit l'aiguille aseptisée dans un flacon et l'emplit d'un produit incolore.

Ses gestes étaient calmes et méticuleux. Sans doute une professionnelle, infirmière ou médecin.

« Ça va piquer un peu »

Elle me piqua le côté de la gorge. Je sentis à peine la piqûre, mais le liquide qu'elle m'injecta me fit froid dans la gorge

Elle retira posément l'aiguille qu'elle jeta, puis rangea la seringue.

« Dis-moi quelque chose »

J'essayais de parler mais aucun son ne sortit de ma gorge

Je la regardais sidéré.

Elle se tourna vers Madame Leroy.

« Il en a pour trois ou quatre heures »

Celle-ci sourit :

« Ça suffira »

La nouvelle venue partit aussi rapidement qu'elle était entrée.

J'étais toujours prisonnier de mon rêve éveillé et, à présent, je ne pouvais plus parler.

Madame Leroy monta dans sa chambre et revint en me jetant un manteau.

« Tiens, met-ça »

C'était un manteau de femme qui m'arrivait à mi-cuisses et était boutonné à l'envers. J'eus un peu de mal à le fermer.

Madame Leroy me conduisit vers sa voiture. Je me souvenais, en montant, qu'il y a une semaine, je n'étais juste qu'un passager normal.

Aujourd'hui, j'étais nu et encagé sous ce manteau.

Madame Leroy nous conduisit vers une maison de banlieue, et se gara dans une allée gravillonnée. J'entendais le crissement des pneus sur l'allée.

Les gravillons furent durs, sous mes pieds nus et je fus heureux de la suivre dans une voie dallée.

Elle sonna à la porte, une grande brune nous ouvrit. Comme toutes les copines de Madame Leroy, elle pouvait avoir une cinquantaine d'année.

Elle fit la bise à Madame Leroy.

« Bonjour Hélène »

« Bonjour Marie »

« Entrez »

Elle s'effaça pour nous laisser passer.

« C'est au sous-sol que ça se passe »

Madame Leroy se tourna vers moi.

« Retire ton manteau »

J'obéis de manière automatique dévoilant ainsi ma nudité encagée à cette inconnue. Elle me regarda de la tête aux pieds, puis fit demi tour, Madame Leroy la suivit et je fermais le cortège. Nous descendîmes un escalier assez raide pour arriver dans une cave brillamment éclairée. Un homme nu était attaché sur une croix de saint André, une cagoule sur la tête.

Les deux femmes s'écartèrent pour murmurer :

« Ça fait combien de temps qu'il n'a pas joui? »

« Je ne sais pas vraiment, au moins trois mois »

Je blanchis en entendant ça, il était hors de question que je ne jouisse pas pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

La femme revint au milieu de la cave et s'adressa à l'homme à voix haute.

« Esclave, aujourd'hui, c'est ton jour de chance, et tu vas jouir. »

L'homme répondit par un grognement sourd qui me fit penser qu'il avait un bâillon sous son masque.

Madame Leroy s'approcha et me souffla à l'oreille.

« Va le sucer »

J'étais sidéré et révulsé par cet ordre, mais, malgré mon profond dégoût, je ne pus y résister. Je me mis à genoux devant l'homme et portais son pénis dans ma bouche. Il était rasé, comme moi, et avait plutôt une odeur de savon.

Son sexe mou me faisait un drôle d'effet, ce n'était pas aussi répugnant que je m'y serais attendu et c'était plus l'idée de sucer un autre homme qui me révoltait.

La femme en rajoutait derrière moi.

« Tu aimes quand je te suce? »

L'homme répondit par un nouveau grognement enthousiaste

Peu à peu, son sexe prenait de l'ampleur et devenait plus rigide dans ma bouche. C'était totalement répugnant, ais je ne pouvais résister à l'ordre qui m'avait été donné. C'était comme si, malgré ma répulsion, je devais aller au bout. J'avais toujours la même sensation de rêve, un rêve qui se transformait en cauchemar.

Bientôt, il fut en pleine érection et, ne pouvant le prendre en entier dans ma bouche, je pris la base de son sexe dans la main.

Madame Leroy me pris par les cheveux et m'appliquait rythmiquement sur la bite tendue, me l'enfonçant dans la gorge et me donnant des hauts-le-cœur.

Un liquide visqueux et un peu salé commençait à me venir dans la bouche et l'homme eut un gémissement étouffé.

Elle continuait à me faire aller et venir sur ce sexe raide et je savais que l'inévitable n'était pas loin.

Il jouit avec un grand cri assourdit par le bâillon. Madame Leroy me maintenait fermement et j'avalais le sperme chaud, giclée après giclée.

C'était abominable, le goût âcre, le contact gluant. J'avais des larmes aux yeux alors qu'il n'en finissait pas de se vider dans ma bouche.

Elle me maintenait la tête et j'avalais tout avec une nausée grandissante.

Il arrêta finalement. Elle me lâcha. Je luttais pour ne pas vomir

Ce fut la femme qui rompit le silence.

Elle se pencha sur l'homme en détumescence et lui mit, avec difficulté, une cage semblable à la mienne.

« Bon, je te remets en cage, chéri »

Je compris, à cet instant, que cet homme était son mari. J'avais le goût de son sperme dans la bouche et il ne saurait jamais que c'est moi qui l'avais sucé.

Madame Leroy me ramena à la maison. J'étais toujours dans une sorte de brouillard et obéissais mécaniquement au moindre de ses ordres. Avec ce goût de sperme qui me donnait envie de vomir.

Je me couchais après m'être lavé, et relavé la bouche. Petit à petit, ma voix revint, mais j'étais toujours comme dans un rêve quand je m'endormis.

Tout me revint en mémoire quand je me réveillais. Non seulement j'avais honte, mais j'étais dégoûté par ce que j'avais fait. Des flashs me revenaient, je me revoyais à genoux devant ce type, ses jets épais dans ma bouche quand il avait joui. J'avais la sensation d'avoir encore son odeur sur moi. Je me levais un peu chancelant. La maison dormait encore. Je passais sous la douche, savourant l'eau chaude comme si elle allait pouvoir me laver la mémoire et que j'allais oublier la scène de la veille.

Je comprenais que Madame Leroy m'avait drogué et que je n'avais pas le choix d'obéir, mais ça ne me rassérénait pas.

Je descendis perturbé pour préparer le petit-déjeuner. Il était tôt et j'avais du temps, je préparais donc son déjeuner préféré : des œufs Bénédicte. La sauce hollandaise nécessitait un peu d'attention et je n'entendis pas Madame Leroy entrer.

« Ben alors, esclave, tu ne me dis plus bonjour? »

« Je suis désolé Madame, je ne peux pas laisser la sauce »

Elle s'approcha et me pinça les fesses.

« Tu ne perds rien pour attendre »

Je me doutais que j'allais encore passer le déjeuner à ses pieds mais cela n'avait pas d'importance et je m'appliquais à la servir au mieux.

Je la servis, j'étais fier de ma sauce et de mes œufs. Le résultat me semblait appétissant. Moi-même, ayant fait la cuisine et m'y étant concentré, je n'avais plus très faim. J'avais mis une demi tomate cerise sur le dessus pour décorer, elle me la tendit comme un trophée.

Sitôt habillée elle quitta la maison et je me retrouvais seul et désœuvré. Je repensais à la soirée de la veille. La femme avait dit que son mari n'avait pas jouis depuis un mois. Ça me semblait impossible. Et si ça passait dans la tête de Madame Leroy. Je regardais mon pénis dans sa cage avec une sorte de terreur. Depuis que j'étais adolescent, je me masturbais tous les deux ou trois jours et il me paraissait invraisemblable de ne pas jouir pendant une telle période.

Elle rentra un peu avant 19 h. Elle était un peu éméchée et monta dans sa chambre sans me dire un mot.

Bientôt, elle m'y appela. Je montais pour la voir devant sa table de maquillage en petite tenue. La voir ainsi dénudée créa immédiatement une tension dans ma cage. C'était plus fort que moi et le simple fait de voir ses formes en culotte et soutien-gorge suffisait à me faire bander.

Occupée par son maquillage, elle ne se tourna pas pour me lancer :

« Prends les affaires sur le lit et habille-toi, tu feras le service ce soir, et je te pris de garder ta langue »

Je regardais le lit. Il y avait une livrée de domestique. J'enfilais les vêtements sans lâcher Madame Leroy des yeux. Après s'être légèrement maquillée, elle enfilait une robe décolletée qui mettait davantage ses formes en évidence qu'elle les cachait.

J'étais maintenant habillée. Pratiquement nu depuis une semaine, ce simple fait me rendait un peu de dignité.

Les habits m'allaient bien, un peu juste mais à peu près à ma taille.

Les mots de Madame Leroy me revinrent en mémoire.

" Tenir ma langue "

Que voulait-elle dire?

Nous descendîmes ensemble dans le salon. Je n'avais jamais trouvé Madame Leroy si belle.

Peu de temps après, on sonna à la porte. Elle se précipita pour ouvrir et je me levai, bêtement.

Après un instant, elle amena un homme. Il était grand, mince, les cheveux poivre et sel avec une certaine classe dans ses gestes.

« Jean, je te présente Pascal »

Il eut un hochement de tête, et moi, je jouai le jeu.

« Bonjour Monsieur »

« Sers-nous l'apéritif »

Ayant pris leurs commandes, j'amenais les verres. Jean avait une main sur la cuisse de Madame Leroy et celle-ci se laissait faire. Je compris à cet instant la relation entre les deux amants et j'en ressentis un coup au cœur.

Le dîner fut un enfer.

Elle et lui se tenaient la main et avaient les yeux dans les yeux. Je fis le service en silence. Je m'aperçus que j'étais tombé amoureux de Madame Leroy, un amour étrange fait de peine et de dévotion. Mais imaginer qu'un homme puisse profiter de son corps m'était insupportable.

Après manger, ils montèrent dans la chambre. Je rangeais la cuisine et montait me coucher. Ma chambre était à côté de la sienne et je les entendis faire l'amour. Le couinement rythmique du sommier, les gémissements de madame.

Ils n'avaient pas fermé leur porte et la mienne étant entre-ouverte, j'entendais tout.

Au début, ça me fit un mal énorme, mais peu à peu, en entendant les gémissements de plaisir de Madame Leroy, je me mis à être presque heureux pour elle.

De temps à autres, ils se taisaient et le lit grinçait. Je supposais qu'ils changeaient de position. Et ça recommençait. Elle dut avoir deux ou trois orgasmes à entendre les cris étouffés qu'elle poussait Finalement, l'homme eut un grognement rauque en se vidant en elle. Et le silence revint.

J'avais mal à la verge et fus long à m'endormir.

Je me réveillais doucement. Ma décision était prise. Je devais quitter cette maison, et Madame Leroy. C'était un cruel dilemme, mais il fallait que je reprenne le cours de ma vie, et que j'essaie de l'oublier.

Je descendis préparer le petit-déjeuner, elle vint peu après. Jean était parti.

« Bonjour Pascal, tu as bien dormi? »

« Oui, pas trop mal »

Nous déjeunâmes en silence. La voir ainsi dans sa robe de chambre faisait vaciller ma volonté, mais je m'y tins.

« Madame, il faut que je vous dise quelque chose »

« Oui? »

« Je vais partir »

Elle me regarda fixement

« Tu veux t'en aller? »

« Oui »

« C'est à cause de ce qui s'est passé hier? »

« Pas seulement »

Elle baissa la tête avant de répondre.

« Bon, je te regretterai, tu as ouvert des portes que je ne connaissais pas »

Je sentis des larmes me monter aux yeux mais ma volonté était ferme.

« Je suis désolé, mais vous comprenez? »

Elle me fixa à nouveau

« Non, je ne comprends pas »

« Vous pouvez enlever ma cage »

« Oui, oui, bien sûr »

Elle monta dans sa chambre, revint avec la clé et ôta ma cage

« Voila, tu es libre »

Je sentais qu'elle le regrettait autant que moi.

« Tu sais la situation, si tu franchis cette porte, c'est pour ne jamais revenir »

J'hésitais, mais ma décision était prise. Je m'habillais et partis, la mort dans l'âme.

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Anonymous
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3 Commentaires
Forlab16Forlab16il y a 12 mois

Au moins il a appris quelque chose sur sa nature !

Elle y est juste aller un peu fort pour un puceau et débutant à la fois

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Ces quelques jours passé chez Mme Leroy lui auront permis de découvrir qu'il était un soumis dans l'âme. Peut-être qu'elle y a été un peu trop fort, mais elle "apprenait" son rôle de Domina en même temps que lui son rôle d'esclave. Elle n'a pas su le rassurer suffisamment pour qu'il n'ai pas cette envie de fuir qui c'est imposé à lui

OlivX

AurailiensAurailiensil y a plus de 2 ans

Merci pour cette belle histoire

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