Le Co-Voiturage Ch. 03

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Le retour...
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 12/14/2021
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Le retour à la vie normale fut plus compliqué que je ne m'y serais attendu. J'avais toujours été plus attiré par les femmes mûres que par les jeunes filles, mais c'était encore plus vrai maintenant. Il est certain que ça ne favorisait pas les rapprochements et que je restais désespérément seul, et puceau.

Ce n'était pas grave, et, en croisant certaines quinquagénaires aguichantes, je repensais à Madame Leroy.

Je repris mon rythme habituel de masturbation, tous les deux ou trois jours. Plus ça allait, plus je m'excitais en lisant des histoires ou en regardant des vidéos tournant autour de la domination féminine, et d'hommes esclaves qui les servaient en tout.

Madame Leroy me manquait. Ce n'était pas seulement la dominatrice autoritaire qui peuplait mes rêves, c'était elle, sa personnalité, son image. J'étais tombé amoureux d'elle en une semaine. C'était délirant, mais indéniable. Je regrettais amèrement mon départ, mais je n'avais pas supporté de l'entendre faire l'amour avec un autre. Il était évident qu'elle ne vivait pas seule et moi, qui étais-je pour la juger.

Je n'étais que son esclave uniquement là pour la servir.

Un mois passa avant que je me décide à la rappeler.

" Allô "

Le simple son de sa voix me provoqua un frisson dans le dos.

" Allô, Madame Leroy, c'est Pascal "

" Pascal?...Je t'avais dit que tout était fini "

" Oui, je sais, mais je voudrais que vous me repreniez "

" Je me moque de ce que tu veux "

" S'il vous plaît, Maîtresse "

Elle hésita un moment avant de répondre.

" Bon, viens chez moi dans une semaine à 20 h, tu attendras nu devant la grille "

Mon cœur explosa de joie.

" Oui, oui, tout ce que vous voudrez "

" Pascal, tu as une copine? "

" Non Madame "

" Tu te branles? "

" Oui "

" Tu arrêtes immédiatement, et tu te rases, je veux dire en bas "

" Bien Madame "

Elle raccrocha. J'étais sur un petit nuage. J'allais la revoir.

Je crois que jamais, une semaine ne m'avait paru plus longue que celle-ci.

Le vendredi soir, comme convenu, j'étais devant sa porte. Je regardais à droite et à gauche s'il n'y avait personne dans la rue, me déshabillais rapidement et sonnais à la grille. Il n'y eut aucune réaction. Je commençais à m'inquiéter, épiant la rue pour détecter un éventuel passant. Au bout de quelques minutes, je sonnais à nouveau. La porte s'ouvrit et Madame Leroy vint m'accueillir, l'air fermé.

« Donne-moi tes vêtements »

Je lui tendis le ballot que j'avais fait, à la va-vite.

Elle ne dit pas un mot et se dirigea vers la maison, je la suivis en silence, ne pouvant m'empêcher de mater son derrière qui gigotait dans sa jupe au rythme de ses pas.

J'étais nu, chez elle et j'avais la sensation de me retrouver chez moi.

Elle s'installa confortablement dans la banquette du salon.

« Mets-toi à genoux et retire mes chaussures »

Elle portait des bottines et j'eus du mal à le retirer. Elle savait ce qu'elle faisait et me regardait faire avec un léger sourire sur les lèvres.

Sitôt que son pied fut libre, elle plaqua sur mon visage son bas humide de sueur. Je respirais ce parfum fauve que je détestais mais qui me faisait bander systématiquement. Cette fois ne fit pas exception à la règle et je sentis mon sexe raidir contre mon ventre.

Voyant mon érection, elle éclata de rire.

« Ça te fait toujours bander, pourtant, j'ai beaucoup marché aujourd'hui et ça doit puer »

Chaque respiration m'amenait davantage de cette odeur délétère et aphrodisiaque, et je bandais comme un fou.

Elle retira son pied. J'étais, à nouveau, perdu dans une sorte de transe.

C'était incroyable, j'étais chez elle depuis moins d'un quart d'heure et le sortilège reprenait déjà.

« Lève-toi et mets tes mains dans ton dos »

J'obéis avec un frisson. Ainsi, j'étais redevenu son esclave et ça me plaisait. Elle était belle, en chemisier et jupe, légèrement maquillée comme à son habitude.

Je me relevais, le sexe raide devant mon ventre rasé de près.

« Tu t'es masturbé dernièrement? »

« Non Madame »

Elle écarta les cuisses. J'étais hypnotisé par la vision de son sexe gonflant la dentelle de sa culotte à quelques centimètres de ma figure.

« Tu ne bouges pas »

Elle passa sa main dans sa culotte et commença à se masturber. Je retrouvais l'odeur musquée qui m'avait tant manqué. Je crevais d'envie de me noyer dans cette touffe de poil, de m'abreuver sur ses lèvres, mais je devais regarder tandis que sa main s'agitait de plus en plus frénétiquement sur son clitoris. Elle commençait à geindre doucement tout en me regardant dans les yeux. Je vis les taches rouges apparaître sur ses joues, son souffle se faisait haletant. Une tache d'humidité s'élargissait sur l'entrejambe de coton. Je bandais tellement que j'en avais presque mal.

Elle se raidit brusquement, poussant un râle de jouissance et immobilisant sa main contre sa chatte. Elle avait fermé les yeux et savourait son orgasme.

Revenue à elle, elle se rajusta dans la banquette où elle s'était affalée.

Resserrant les cuisses, elle lissa sa jupe sur ses genoux.

Son regard tomba sur mon sexe en pleine érection d'où s'écoulait un long filament transparent.

« Tu mouilles »

Je ne répondis pas à cette évidence, la mine rougie que je devais montrer l'excitation que je ressentais.

« Je ne pourrais pas remettre ta cage dans cet état...va te passer sous l'eau froide »

Je passais dans la salle de bain et allumais la douche. Le jet d'eau froide sur mon sexe tendu fut assez désagréable, mais ça eut l'effet attendu et je perdis mon érection.

Je revins dans le salon le sexe mou. Elle ne perdit pas de temps et remit aussitôt ma cage.

Si l'eau froide avait ramené mon sexe à la raison, cela n'avait pas fait baisser mon excitation et je regardais Madame Leroy, ses joues rouges et ses yeux brillants avec émerveillement.

« Suis-moi »

Elle me conduisit dans le fond du jardin. Il y avait une grosse cage, qui devait servir pour son chien, haute d'environ 1 m sur 2 m de long.

« Rentre la-dedans »

Je me glissais à l'intérieur et elle ferma la porte.

« Bonne nuit »

Elle rentra dans la maison en me laissant là, allongé sur le dos.

Le soir était tombé et bientôt la nuit vint. J'étais très mal à l'aise, mais je voyais les étoiles et cela me rassérénait. J'avais l'impression que c'était mon seul lien avec le monde. Malgré l'inconfort, je finis par m'endormir.

Je fus réveillé par le froid. Il faisait encore nuit mais le ciel commençait à pâlir.

Je ne grelottais pas, mais disons que le froid était pénible. Et puis, j'étais ankylosé par mon immobilité forcée.

Plus le temps passait, et plus c'était pénible. Le jour se levait et la température remontait, mais j'étais de plus en plus ankylosé et j'essayais de me tourner pour trouver une position plus confortable.

Le jour était maintenant bien levé et le soleil apparaissait à travers les arbres. Je n'avais plus froid, et commençait même à avoir chaud.

Mais le temps était long, et je m'ennuyais dans ma cage.

Le soleil était haut dans le ciel quand Madame Leroy vint me chercher. Elle était habillée et apprêtée comme pour sortir.

« Alors Pascal, bien dormi? »

Je la regardais en silence, comprenant qu'elle se moquait.

Elle ouvrit la cage, je sortis avec difficulté et la suivis dans la maison.

« Tu as une demi-heure pour te laver, et tu viens me rejoindre dans le salon »

Je revins frais et dispos. Je m'étais rasé avec un de ses rasoirs féminin et la peau me tirait un peu.

« Je sors, toi, tu fais le ménage dans la maison »

Je me sentais fatigué mais heureux. J'avais retrouvé Madame Leroy et cela seul comptait.

Je m'appliquais à nettoyer la maison. En un mois, la poussière s'était accumulée partout et j'étais encore en train de laver quand elle revint.

« Tu as mangé? »

« Non Madame »

Je me rendis compte, à cet instant, que j'avais faim.

« On va commander des pizzas...ou mieux, des pâtes »

Le vendeur vint quelques instants plus tard. Durant tout ce temps, j'étais à genoux en train de lécher les chaussures de Madame Leroy.

Elle partit vers la porte réceptionner les pâtes tandis que je sortais de sous la table.

Elle revint avec les cartons quand je me relevai.

« Qu'est-ce que tu fais? »

Je la regardais sans rien dire.

« Repasse sous la table et retire mes chaussures »

J'obéis sans discuter et retirais ses chaussures à talons. L'odeur de ses pieds me saisit et je me sentis bander dans ma cage.

« Retire mes chaussettes »

Je retirai les chaussettes de nylon qu'elle portait. Elle était pieds nus devant moi et je ne comprenais pas bien où elle voulait en venir. Je compris rapidement quand elle posa un saladier plein de pâtes devant moi et, plongeant un pied dedans, me le tendit plein de sauce et de pâtes coincées entre ses orteils.

Je me penchais et léchais ce plat improvisé, goûtant ce repas assaisonné par la saveur salée de sa sueur.

Le reste du repas se passa comme ça, elle replongeait périodiquement son pied dans le saladier et me le tendait comme un trophée. J'étais barbouillé, mais je récupérais les pâtes entre ses orteils, léchant la sauce qui s'écoulait tout au long de la plante du pied avec une sorte de ferveur maladive.

Finalement, elle cessa son manège et se relevant, m'observa.

« Va te laver, tu es plein de sauce »

Je passais me débarbouiller à la salle de bain et revins dans le salon.

Elle tenait sa chaussette à la main, l'observant comme si c'était un animal étrange. Elle le porta à son nez et eu un geste de recul en fronçant le nez.

« Ça pue, ça devrait te plaire, ouvre la bouche »

Elle me colla sa chaussette dans la bouche. C'était salé et l'odeur forte me montait dans le nez.

Plus que le goût ou l'odeur, c'était l'idée d'avoir sa chaussette sale dans la bouche qui me choquait, et, inexplicablement, me faisait bander.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas sentis cet inconfort dans la verge.

Elle me passa le collier autour du cou, et la laisse et me reconduisit dans la cage du jardin.

Je rentrais dans la cage, mais, me souvenant de la nuit précédente, j'eus une requête.

« Madame, je peux avoir une couverture? »

« Un chien n'a pas de couverture »

« Oui, mais lui a des poils »

« Tu n'avais qu'à pas tenter de fuir, et je te préviens que tu n'es pas près de jouir à nouveau »

Je me remémorais l'image de ce type qui n'avait pas jouis pendant longtemps et eut un frisson.

Elle attacha ma laisse à la cage et quitta le jardin. Cela ne changeait pas grand-chose. Le collier qui me serrait la gorge me gênait plus que la laisse.

La nuit se passa comme la nuit précédente si ce n'est que je m'endormis plus vite.

Le jour était levé depuis longtemps quand on sonna à la grille d'entrée.

Madame Leroy ouvrit à une femme que je ne connaissais pas. C'était une grande brune. Elle ne vit pas ma cage et rentra avec Madame Leroy dans la maison. Il s'écoula plusieurs heures avant qu'elles ne ressortent et que Madame Leroy la reconduise à la porte en lui faisant la bise.

Le soleil, haut dans le ciel, donnait droit sur moi et j'avais chaud. Ma sueur attirait quelques insectes qui me picoraient. Je les chassais comme je pouvais.

Le plus difficile, c'est que j'avais envie de pisser. Plusieurs fois, je crus que j'allais me pisser dessus, mais je réussis à me retenir

Elle finit par venir me libérer et, saisissant ma laisse, me ramena vers la maison. Sa lenteur m'exaspérait et je n'avais qu'une envie, aller me soulager.

Elle s'arrêta, et se tourna vers moi.

« Tu as l'air embêté »

« J'ai envie de pisser Madame »

Elle eut un sourire.

« Tu sais comment les chiens pissent, en levant la patte contre un arbre. Mets-toi à quatre pattes en viens »

Elle me conduisit près d'un arbre et s'arrêta.

« Vas-y, lève la patte et pisse »

Humilié au-delà du possible, je levais la jambe contre l'arbre. Pendant un moment, il ne se passa rien. J'étais trop gêné pour pouvoir faire quoique ce soit. Et puis l'envie fut la plus forte et l'urine sortie de ma cage, d'abord en mince filet, puis en un jet puissant. C'était paradoxal, d'un côté, c'était terriblement dégradant, de l'autre, c'était bon de pouvoir enfin se soulager.

Quand ce fut fini, je tentais de me relever, mais elle m'arrêta.

« Non, reste à quatre pattes et suis-moi »

Je la suivis donc comme un chien qu'on traîne en laisse. J'étais dans un état second mais ça ne m'empêchait pas d'observer son cul qui bougeait à quelques centimètres de moi et je sentis que le mélange de ce spectacle et de l'humiliation que je ressentais provoquait un brutal inconfort dans le pénis.

J'avais la jambe humide d'urine. Peu habitué à cette méthode délirante et contraint par la cage, je m'étais pissé dessus.

Sitôt rentré, elle me donna, comme la veille, une demi-heure pour me laver. J'avais beau passer du temps sous la douche, je me sentais sale. Les insectes avaient laissé de petits boutons rouge sur ma peau. J'avais très peu dormi depuis 48 h et la fatigue commençait à se faire sentir, me laissant continuellement dans une sorte de rêve éveillé.

Je revins dans le salon pour trouver Madame Leroy au téléphone.

En attendant, j'écoutais distraitement la conversation

" Oui "

" Non, pas encore, je ne sais pas si je pourrai "

" Oui, tu m'as dit, mais c'est dégueulasse "

" C'est pas pareil "

" Oui, ça m'a plu "

" Oui "

" Je ne vois pas le plaisir que je peux y prendre "

" Oui, mais enfin là, quand même "

" Ok, bon, je le laisse, bisous "

Elle raccrocha et me fixa.

« Ça y est, tu es propre? »

« Oui Madame »

« J'ai un rendez-vous, toi, tu fais le ménage »

Décidément, les jours se suivaient et se ressemblaient. C'était étonnant comme la poussière s'était accumulée et je passais à bon moment à nettoyer.

Je finis par les pièces d'eau, cuisine, salles de bain et toilettes.

J'étais à genoux en train de nettoyer la cuvette quand elle entra en catastrophe dans les toilettes, baissa sa culotte et s'assit sur le trône.

« Ouf, il était moins une, un peu plus, je pissais dans ma culotte »

J'entendis le chuintement de l'urine et le son cristallin quand elle tombait dans l'eau. Je me relevais, mais elle réagit.

« Non, reste-là, j'en ai pour une minute »

Je la regardais pisser à quelques centimètres de moi, complètement tétanisé.

Elle me regardait en souriant.

Quand elle eut fini, elle se cambra sur le siège.

« Lèche-moi »

Je la regardais sans bien comprendre, cependant, j'obtempérai et passais la langue en hésitant sur les lèvres de son sexe et dans ses poils pour y récolter les dernières gouttes. Le goût était salé, un peu aigre.

C'était fou, j'étais en train de lui servir de papier-toilette et ça me faisait bander.

Elle me regardait faire d'un œil ambigu.

« Lève-toi »

Je me relevais devant elle. Son regard tomba sur mon sexe.

« Tu bandes? »

« Oui Madame »

Elle ne dit rien, tira la chasse d'eau, remonta sa culotte et sortit.

Je restais là, éberlué, avec ce goût dans la bouche.

Je finis mon ménage et la rejoins au salon. Elle me regardait étrangement, perdue dans ses pensées.

« J'ai fini le ménage Madame »

Elle sembla sortir d'un rêve.

« C'est bien, prépare-moi un apéritif »

Je lui apportais son Martini-Gin habituel. Elle avait mis un CD et écoutait Eric Clapton en live.

Elle écarta les cuisses tout en sirotant son verre.

« Suce-moi »

Je me précipitais à genoux sur sa culotte, elle m'arrêta en me tenant par les cheveux.

« Non, non, pas comme ça, tu as oublié? lèches moi les cuisses d'abord »

Elle me guida vers le haut de ses cuisses sur lequel je passais la langue. J'étais noyé dans l'odeur musquée de son sexe à quelques centimètres de moi. J'entendais Clapton à travers le tissu de sa jupe. Elle avait lâché ma tête et se laissait faire.

« C'est bien, continue »

Elle souleva le devant de sa jupe et, passant la main dans sa culotte, commença à se caresser.

Assez vite, l'odeur, déjà prégnante, se fit plus forte tandis que je continuais à lécher la peau tendre de ses aines, le nez dans sa culotte où je voyais sa main s'activer.

Tout à coups, elle se leva, retira sa jupe et sa culotte, et partit dans sa chambre d'où elle revint, un godemiché à la main.

C'était un gode très réaliste. Couleur chair, long d'une vingtaine de centimètres avec un gland bulbeux. Il y avait même une veine moulée dans le silicone qui reproduisait à la perfection un sexe d'homme en érection.

Elle se réinstalla dans la banquette et me le tendit

« Tiens, mets-moi ça, tu sais t'en servir? »

« Je n'ai jamais fait ça, mais je vais me débrouiller »

Elle n'en dit pas plus et repris sa masturbation, trois doigts s'agitant sur son clitoris.

Très intimidé, je présentais le phallus artificiel à l'entrée de son vagin et poussais doucement. Je vis avec une sorte de stupéfaction les lèvres de son sexe s'ouvrir et le laisser pénétrer.

« Vas-y, je ne suis pas en sucre »

Alors, je fis aller et venir le gode en elle, de plus en plus profondément, le ressortant luisant de mouille.

J'avais tellement mal dans la queue que j'en avais des larmes aux yeux.

Elle avait fermé les yeux et son souffle accélérait, tandis que son geste se précipitait dans sa culotte.

Je faisais aller et venir le sexe dans son vagin, respirant avec une sorte d'hypnose le parfum animal qui en émanait.

Soudain, elle se raidit en poussant une longue plainte. Elle appuyait sa main sur son sexe mais ne la bougeait plus. L'imitant, je maintenais le gode en elle et ne le bougeais plus.

Au bout de quelques secondes, elle se détendit et rouvrit les yeux. Elle avait les yeux brillants et les traditionnelles tâches sur les joues qu'elle avait toujours quand elle avait joui.

Je ressortais doucement le gode et le tenais à la main.

Elle eut un sourire.

« Lèche »

Je regardais le membre en silicone. Il était brillant et maculé de traînées blanchâtres. À la base, les sécrétions sèches avaient capturé quelques poils.

Je le portais à ma bouche avec une sorte de dévotion.

« Non, pas comme ça, fait lui une pipe »

J'obéis sans réfléchir, enfonçant dans ma bouche le phallus visqueux, me rappelant vaguement cet homme qu'elle m'avait fait sucer.

Mais le goût était très différent, plus onctueux, un peu métallique, et surtout, la honte n'était pas là et je suçais ce membre avec ardeur.

Je finis par passer la langue à la base, délayant peu à peu les mucosités séchées, absorbant les poils qui y étaient englués.

Quand je rendis le gode à Madame Leroy, il était propre, plein de salive, mais propre.

J'avais le nez emplit de l'odeur de son sexe, la bouche de son goût. J'avais mal, mais je me sentais vivant.

Elle regardait le gode avec attention.

« Va le nettoyer et rejoins-moi »

J'allais à la salle de bains, passer le gode sous l'eau. Quand je revins au salon, elle s'était resservie. Je lui tendis le gode propre.

« Voilà, Madame, je l'ai nettoyé »

Elle le prit et le posa.

« Bien, assieds-toi »

Je m'assis sur la banquette à côté d'elle, bêtement intimidé par ce contact.

« Je suis en colère contre toi »

« Pourquoi Madame »

« Parce que tu as crus que tu pourrais te passer de moi »

« C'est pas tout à fait ça Madame »

Elle me fixa.

« Ah oui, c'est quoi? »

« Je n'ai pas supporté de vous voir avec un autre »

« De quoi tu te mêles, j'ai un amant, et alors »

Je baissais la tête devant cette évidence.

« Oui, excusez-moi »

« Pour qui tu te prends, tu es un esclave, rien d'autre, c'est toi qui m'as appris ça »

« Oui, je suis désolé »

Elle posa sa main sur la mienne.

« C'est pas ce que tu veux? »

Je la fixais dans les yeux.

« Si Madame »

« Alors, agenouille-toi et baise-moi les pieds »

Je me jetais à genoux et léchais ses chaussures.

Par ce geste, je scellais mon sort, et j'en étais heureux.

Elle me tira par la laisse jusqu'à la cage où elle m'enferma pour la nuit.

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