Le Co-Voiturage Ch. 02

Informations sur Récit
De nouveaux episodes et finalement, un départ.
6.7k mots
4.39
3.4k
0

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 12/14/2021
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
omrouge
omrouge
31 Admirateurs

Nous déjeunâmes avec Madame Leroy comme deux vieux amis. Elle était gaie et moi aussi. La décision était prise et nous étions soulagés. Nous avions désormais accepté nos rôles, elle comme Maîtresse, moi comme esclave.

Après le déjeuner, je mettais la vaisselle sale au lave-vaisselle quand elle vint me voir.

« Pascal, je sors cet après-midi, tu peux passer l'aspirateur? »

« Oui Maîtresse »

« Appelle-moi Madame, ça ira »

Curieusement, je ressentis comme une désillusion. 'Maîtresse', c'était une allusion à peine voilée aux rôles qu'on tenait, 'Madame', c'était beaucoup plus impersonnel, comme si j'étais devenu un larbin.

Je passais l'après-midi à passer l'aspirateur. La maison était grande et pleine de recoins, ça ne se voyait pas mais l'aspirateur était sans pitié et avalait la poussière accumulée. Je passais un bon moment à déplacer les meubles pour pouvoir le passer correctement.

Vers 18 h, j'avais fini. À cette saison de l'année, il faisait encore grand jour et je sortis visiter le parc.

Il était immense.

De grands arbres centenaires, jouxtaient une large plate-forme herbeuse sur le perron.

Des vers de Baudelaire me revinrent en mémoire :

"Là, tout n'est qu'ordre et beauté,

Luxe, calme et volupté."

C'est ce que m'inspirait cette maison.

Le maigre soleil du soir chauffait ma peau, les arbres exhalaient une senteur résineuse et je me sentais bien.

Je rentrai quand le soir tombait.

Elle n'était toujours pas là.

Je me rendis compte qu'elle me manquait.

Elle arriva tard et je sus, à la voir, qu'elle était un peu grise.

« Tu as passé l'aspirateur? »

« Oui Madame »

Elle s'installa dans la banquette et me fixa d'un œil égrillard.

« Viens retirer mes chaussures. »

Je me mis à genoux et défis ses bottines à lacets.

Je n'étais pas habitué à ce délaçage et ça me prit du temps.

Sitôt libéré, elle posa son pied sur mon visage.

La coutumière puanteur fauve et aigre m'envahit et, malgré mon déplaisir, je me sentis bander.

C'était plus fort que moi. Je n'aimais pas cette odeur, mais le résultat était toujours le même.

Contraint par ma cage, ma bandaison me faisait souffrir et je ne pus retenir un gémissement.

Ça la fit rire.

« Tu aimes quand ça pue? »

Je ne répondis pas.

Elle retira son pied.

« Bon, retire l'autre »

Le même cinéma se reproduisit sur l'autre pied. Je bandais maintenant clairement et la douleur était vive.

Instinctivement, je portais le regard sur mon sexe meurtri. Les chairs gonflées qui essayaient de se frayer un chemin à travers le grillage, le gland écrasé par la capsule du bout. Je compris mieux la douleur que je ressentais.

Elle écarta les cuisses. Elle n'avait pas de culotte et je contemplais avec effarement sa vulve gonflée.

« Suce-moi »

Je ne fis pas prier et passais la langue sur les lèvres de son sexe. Elle sentait déjà fort et son odeur m'envahit.

Je léchais méticuleusement, elle commençait à onduler doucement en me tenant par les cheveux. J'entrais la langue, elle se laissait faire en émettant de petits gémissements.

J'étais perdu dans un monde d'odeurs et de goûts et sentais son plaisir monter

Elle ne fut pas longue à me diriger vers son clitoris et il ne me fallut que quelques coups de langue pour qu'elle se raidisse en poussant un cri et en m'écrasant contre elle.

J'étais à genoux, la bouche engluée et une douleur intolérable dans la verge.

Au bout de quelques instants, elle se reprit et me regarda. J'avais le visage enduit de mouille et des larmes plein les yeux tellement j'avais mal.

« Ouais, c'était pas mal, mais tu feras mieux. »

Elle se releva et partit se coucher.

Je me relevai à mon tour et montais m'allonger dans mon lit. Je sentais son odeur sur moi. Il fallut longtemps pour que la douleur passe et que je finisse par m'endormir.

_______________________________________________________

Comme la veille, je fus réveillé tôt par un certain inconfort dans la verge. Elle ne m'avait rien dit mais, après m'être douché, je descendis préparer son petit déjeuner et lui montais. Je toquai plusieurs fois à sa porte, mais elle ne répondit pas et, en désespoir de cause, je redescendis avec mon plateau.

Je ne savais pas trop quoi faire, il était tôt et j'étais désœuvré. Alors, je fis ce qui ne faisait pas de bruit, j'époussetai les livres de la bibliothèque.

« Qu'est-ce que tu fais? »

Je me retournai, elle était derrière moi en robe de chambre

« Je nettoie les livres Madame »

« Et mon déjeuner, où est il? »

Je descendis précipitamment de mon escabeau.

« Il doit être froid, je vais vous en préparer un autre »

Elle me regarda faire en silence et ajouta:

« Il va falloir que je te punisse »

Je ne savais pas ce qu'elle voulait dire, mais j'en eus un frisson dans le dos. Je n'étais pas du tout intéressé par la souffrance physique.

Je me précipitai dans la cuisine et lui refis un petit-déjeuner.

Elle m'avait suivi et s'était assise calmement à table.

Je le lui servis et elle m'indiqua ses pieds. Comprenant ce qu'elle voulait, je passais sous la table et embrassais ses mules.

La fourrure me rentrait dans le nez, mais j'embrassais ses pieds.

Elle ne tarda pas à écarter sa robe de chambre et à me montrer sa chatte du doigt. Je commençais à la lécher. Elle sentait fort ce matin mais ce n'était pas pour me déplaire.

Elle me tapota sur la tête :

« Doucement, je ne veux pas jouir...pas encore »

Je la léchais lentement tandis qu'elle mangeait. Comme chaque fois, j'étais perdu dans un monde d'odeurs et pratiquement en transe, ressentant de plus l'humiliation de faire ça alors qu'elle se désintéressait totalement de moi.

Quand elle eut fini, elle recula son siège pour se lever et rabattit sa robe de chambre dans le même geste. Je restais à genoux, le visage trempé de mouille. Je sortis de sous la table et me relevais à mon tour, mais elle était déjà partie.

Je rangeais la cuisine et étais en train de remonter dans ma chambre quand elle me croisa.

« Où vas-tu? »

« Dans ma chambre »

« Non, suis-moi »

Je la suivis dans sa chambre sans savoir où elle voulait en venir. La chambre était en désordre et le lit encore défait.

« Range le lit et change les draps, tu trouveras des draps neufs dans la penderie »

Elle farfouilla dans sa commode tandis que moi, je faisais le lit.

Je finissais quand elle vint vers moi, des cordes à la main.

« Va dans ta chambre et allonge-toi »

Elle me suivit et m'attacha poignets et chevilles aux montants, puis, une fois que je fus immobilisé, ôta ma cage. Je me mis instinctivement à bander. C'était bizarre, la cage était grillagée et mon sexe était constamment à l'air, et pourtant, il suffisait qu'on me libère pour que j'entre en érection.

Elle quitta la pièce et revint avec une boule de tissu qu'elle me mit dans la bouche avant de la fermer avec un large ruban adhésif. Rapidement, je m'aperçus que la boule de tissu que j'avais dans la bouche était une culotte sale dont les sécrétions, délayées par ma salive, me coulaient lentement dans la gorge.

Elle sortit et j'entendis, peu de temps après, la porte d'entrée.

Le temps passait lentement. Je m'étais débattu dans mes liens mais n'avais fait que les resserrer et je finis par m'assoupir.

Je fus réveillé par l'ouverture de la porte d'entrée. J'entendis Madame Leroy bouger dans la maison un moment avant qu'elle vienne dans la chambre, un verre de vin à la main. Elle s'adossa sur le chambranle de la porte en me regardant. Puis elle repartit à mon grand désespoir. Mais elle ne tarda pas à revenir avec une gélule et un verre d'eau. Elle arracha le ruban adhésif et je crachais la culotte pleine de salive. Elle en profita pour me glisser la gélule dans la gorge et la faire passer avec le verre d'eau.

« Qu'est-ce que c'est »

« Ne t'inquiète pas, ce n'est pas dangereux »

Elle repartit et je restais là, immobilisé sur le lit.

Après quelque temps, je compris à quoi servait la gélule. Mon sexe se remit à bander sans raison et je le sentis se dresser sur mon ventre.

Elle revint avec un collier et une chaîne.

« C'était le collier de mon chien »

Elle me serra le collier autour du cou. C'était un peu juste, mais je pouvais respirer. Puis elle y accrocha la chaîne, me détacha et me fit descendre du lit.

« Tu marches à quatre pattes et tu ne dis pas un mot »

Je me sentais ridicule, à quatre pattes et le sexe raide sous moi, comme un chien en rut.

Elle me tirait par la chaîne et me fit descendre l'escalier. C'était difficile, mais j'y parvins. L'avantage, c'est que dans ma position, je voyais ses fesses bouger dans sa jupe en gros plan et c'était un spectacle qui m'excitait.

Elle me fit descendre dans la cuisine où elle attacha ma laisse au pied de la table, puis elle se prépara à manger. L'odeur de la cuisine me rappela que j'avais faim. Elle ne mit qu'une seule table et se contenta de poser par terre une écuelle pleine de pâtée et un bol d'eau. Je compris que c'était pour moi et regardait la pâtée avec un mélange de dégoût et d'appétit. Tandis qu'elle mangeait tranquillement à table, je m'approchais de l'écuelle. Ça sentait assez fort mais ça ne me ralentit pas et je commençais à laper. Ce n'était pas si mauvais que ça. C'était froid, bien sûr, mais plus mangeable que l'odeur ne le laissait paraître. Plus je mangeais, plus je me rendais compte que j'avais faim. Le plus compliqué était d'aller au fond de l'écuelle. Je n'avais pas la même langue qu'un chien et dû laisser pas mal de pâtée au fond. Pareil pour l'eau où je passais pas mal de temps à laper le bol.

Plus que tout, c'était l'humiliation qui me transperçait. J'étais là, à laper de la nourriture pour chien pendant qu'elle mangeait tranquillement à table.

Finalement, je fus rassasié. J'avais mal au cœur, mais je pense que c'est plus à l'idée d'avoir mangé de la nourriture pour chien que le goût que j'avais dans la bouche. Je tentais de bouger mais la laisse attachée me ramena à la réalité.

Elle se leva, me détacha et passa au salon en me tirant par ma laisse. Conformément à ses ordres, je la suivais à quatre pattes sans rien dire.

J'étais toujours en pleine érection et, en me penchant, je voyais mon sexe balancer obscènement sous mon ventre.

À nouveau, le spectacle de son fessier me captivait. Elle devait le savoir parce qu'elle marchait en se déhanchant plus que normalement. Elle se servit un apéritif, s'assit dans la banquette et écarta les cuisses et me tirant entre elles.

« Viens sentir ta Maîtresse »

Je passai la tête sous sa jupe et respirai sa culotte. L'odeur de son sexe me monta aux narines. Je ne pus m'empêcher de sortir la langue et de lécher la dentelle. Elle me tira à nouveau et tendit la jambe

« Tu sais ce que font les chiens en rut, ils se frottent sur la jambe de leur Maîtresse »

J'agrippais sa jambe et frottais mon sexe contre son bas. C'était rêche, humiliant, mais j'avais trop envie de jouir. Elle ne bougeait pas me laissant le soin de me masturber contre elle tout en sirotant son verre.

Je me frottais de plus en plus vite, j'avais mal au rein, mais je sentais le plaisir monter. J'avais conscience d'être ridicule mais c'était presque secondaire.

Cela dura un moment. Le plaisir montait, puis repartait comme une ombre. Mon sexe était irrité par le frottement contre le bas et je continuais avec espoir. De temps en temps, elle changeait de jambe et je reprenais ma masturbation sur la nouvelle jambe qu'elle me tendait.

J'allais jouir quand elle se leva pour se servir un autre apéritif, et je repris ma masturbation sur la jambe qu'elle me tendait.

Et puis, je sus que j'allais atteindre le point de non-retour, ça me prenait tout le corps. J'étais fatigué et avais de plus en plus mal dans le membre, mais rien n'y fit et je me sentis exploser en éjaculant enfin sur sa jambe.

La convulsion semblait ne pas s'arrêter et mon sperme jaillissait, giclée après giclée sur son bas.

Curieusement, et malgré l'incommodité de la situation, je crois que je n'avais jamais joui aussi fort.

Quand je rouvris les yeux, le bas était maculé de traînée de sperme. Elle gardait la jambe dressée, comme pour l'exposer, et me regardait en souriant.

« Lèche »

C'était absolument révoltant et je n'avais aucune envie de lécher mon propre sperme sur son bas. Pourtant, je m'agenouillai et léchai.

C'était âcre, gluant, dégoûtant. Ça me tapissait le palais d'une manière bien plus dense que sa mouille, et nettement moins agréable.

J'avais des hauts-le-cœur en ingérant ce magma gluant, mais j'avalais tout jusqu'à laisser uniquement ma salive sur son bas.

Le résultat était contrasté, j'étais satisfait d'avoir joui comme je l'avais fait, mais l'humiliation ressentie était sans bornes.

Le plus incroyable, c'est que je venais de jouir, mais que je bandais encore et que mon excitation était à peine tombée.

Mon pénis, rougis par le frottement, ressemblait davantage maintenant à l'idée qu'on se fait d'une bite de chien.

« Bon allez, on va se coucher »

Elle me guida vers sa chambre. Ce fut encore plus compliqué de monter l'escalier à quatre pattes que ça n'avait été de le descendre.

« Tu te couches sur le tapis »

Je m'allongeais sur la descente de lit, comme un chien et elle attacha ma laisse au pied du lit. Puis, elle retira sa robe. Je la voyais se déshabiller avec fascination et je bandais davantage, si cela avait été possible. Bientôt, j'admirais son corps nu, toujours subjugué par sa poitrine lourde. Elle passa une chemise de nuit qui mettait plus en valeur ses formes qu'elle ne les cachait, se coucha et éteint la lumière.

Je fus long à m'endormir, la moquette était inconfortable et la laisse, qui me tenait au lit, trop courte. J'entendais le souffle calme de Madame Leroy dans son lit et je repensais à cette journée. C'était, sans doute, ça sa punition, me laisser attaché toute une journée et me traiter comme un chien en rentrant. N'empêche que j'avais joui et que, même si ça avait été loin de me satisfaire, ça avait fait décroître un peu la tension sexuelle qui m'habitait. Pourtant, la vision du corps nu de Madame Leroy avait suffit à réveiller mes sens.

Je finis, quand même, par m'endormir.

Je fus réveillé dans la nuit par le coup de pied de Madame Leroy qui avait oublié que j'étais là et qui allait pisser comme un zombie. Elle n'avait pas fermé la porte et j'entendis, dans un demi-sommeil, le clapotis de l'urine tombant dans l'eau de la vasque. C'est étrange mais cela eut tendance à m'exciter. Elle tira la chasse, vint se recoucher et nous ne tardâmes pas à nous rendormir tous les deux. Je dis que je dormais, ce n'est pas exact, en fait je somnolais, me réveillant souvent quand la laisse tirait ou quand je me retournais.

_______________________________________________________

Quand elle s'étira dans son lit, et se leva, la première chose qu'elle fit fut de retourner aux toilettes, puis elle vint me libérer. Elle s'accroupit pour retirer ma chaîne et je regardai son sexe exposé par sa position. Je l'avais sucée à de multiples reprises et avait vu cette chatte de près, mais ça me faisait toujours quelque chose.

À peine libéré, elle me remit ma cage et m'envoya préparer son petit-déjeuner. Encore fatigué par cette nuit éprouvante, j'avais à peine fini quand elle arriva en robe de chambre. Refroidis par la journée d'hier, je n'avais mis qu'un seul bol.

« Tu as déjà déjeuné? »

« Non Madame »

« Alors, mets-toi un bol »

Je me mis un bol et nous discutâmes ensemble comme si rien ne s'était passé. Madame Leroy possédait une culture impressionnante et je me sentais bien en sa présence. Je la regardais et l'imaginais nue. Ses seins tendaient la robe de chambre et je revoyais sa poitrine généreuse et fière. C'était stupide, nous parlions littérature et je pensais à son corps comme à celui d'une Déesse.

Madame Leroy était devenue ma Maîtresse et je ne pouvais pas l'imaginer autrement, malgré notre conversation amicale.

Si on m'avait dit ça il y a huit jours, j'aurais ri.

Mais, à présent que le déjeuner était fini, j'avais envie de me jeter à ses pieds.

Elle monta se laver et moi, je rangeais la cuisine.

Je passais l'aspirateur mais la maison était déjà propre et je n'avais pas grand-chose à faire. Je ne l'entendis pas venir.

Elle passa derrière moi et mis les mains sur mes yeux. J'arrêtais l'aspirateur et la regardais. Elle était très classe, en tailleur, bas et chaussures à talon.

« Vous sortez? »

« Oui, je sors, tu as de quoi manger dans le réfrigérateur. »

Je passais la journée à lire, regarder la télé, faire de mot croisé, tuer le temps quoi. Le frigo était plein et je trouvais sans peine de quoi manger à midi. Le soir tombait quand j'entendis la clé. Je me levais pour l'accueillir mais, quand elle rentra, elle n'était pas seule.

Elle était accompagnée d'une grande blonde bien en chair.

J'étais très gêné de ma nudité devant cette étrangère et j'en voulus à Madame Leroy de me mettre dans cette situation, d'autant plus que la nouvelle venue ne fit rien pour arranger les chose en me détaillant de la tête aux pieds.

Madame Leroy fit les présentations :

« Sarah, Pascal, Pascal, Sarah »

« Bonjour Pascal »

« Bonjour Madame »

« Non, ce n'est pas comme ça qu'on dit bonjour à une dame »

Madame Leroy tendait le doigt vers les pieds de Sarah et, comprenant son ordre, je me mis à genoux et embrassais les chaussures de la nouvelle venue, avec un extrême sentiment d'humiliation

« Sarah, installe-toi, nous revenons »

Madame Leroy me conduisit dans sa chambre où elle enleva ma cage et me tendit une petite culotte en dentelle mauve.

« Enfile ça »

Comme d'habitude quand elle me libérait, j'étais dans une relative érection, et la culotte étant étroite, j'eus du mal à la mettre. Je n'avais jamais été versé dans le travestisme et l'idée de m'habiller en femme ne me tentait pas du tout, mais j'obéis à son ordre. Mon érection qui tendait la culotte semblait totalement hors de propos, d'autant plus que Madame Leroy me masturba un instant à travers la dentelle en me fixant dans les yeux.

« Tu vas faire le service »

Nous redescendîmes voir Sarah. Nu et avec ma cage, je me sentais déjà ridicule, mais bandant et en culotte, c'était pire. D'autant plus que j'avais senti le piège dès les premiers pas, la dentelle qui frottait contre mon sexe faisait comme une lente masturbation qui maintenait mon érection. Elle avait laissé la menotte derrière mes testicules et ça me faisait comme un cock-ring qui laissait mon membre tendu.

Ainsi, c'est en pleine érection et rouge de honte que je me montrais à Sarah

« Tu lui as retiré sa cage? »

« Oui, je le trouve plus mignon comme ça, Pascal, sers-nous l'apéritif »

Après avoir demandé ce qu'elles voulaient, je servis leurs verres, heureux d'avoir quelque chose à faire et à échapper ainsi à leurs regards inquisiteurs.

On sonna à l'entrée. Madame Leroy se leva et alla à la porte. Elle discuta un moment puis la porte se ferma et elle appela.

« Pascal, ils viennent de livrer le repas, viens le chercher et prépare-le dans la cuisine »

Je me précipitais. Un gros carton isotherme était posé par terre. Je le pris et l'amenai dans la cuisine. Elles ne s'étaient rien refusé et ça me paraissait être des plats de grande cuisine. Un livret d'accompagnement indiquait comment les préparer et je m'attelais à la tache.

Je profitais des temps d'attente pour dresser la table.

Elles m'appelèrent et je leur resservis un verre. Je n'avais pas débandé et, vu le frottement à chaque pas, n'était pas près de le faire.

Le repas se passa sans anicroche, je servais les plats, les uns après les autres, et servais le vin. Ces dames buvaient beaucoup et les verres se vidaient à un rythme soutenu. La conversation se fit plus animée, plus bruyante.

Sarah eut un geste déplacé quand je passais près d'elle en tâtant mon érection à travers ma culotte. Madame Leroy le vit et eu un sourire.

omrouge
omrouge
31 Admirateurs
12