Le Co-Voiturage Ch. 01

Informations sur Récit
Premier chapitre d'un long voyage.
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 12/14/2021
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C'était la première fois que je me servais d'un service internet de co-voiturage mais c'était le moyen le moins coûteux que j'avais trouvé pour aller passer quelques jours chez des amis.

La voiture était une grosse berline. La conductrice, une femme un peu boulotte d'une cinquantaine d'année vint me saluer.

« Bonjour, c'est vous Pascal? »

« Et vous êtes Hélène! »

Son regard s'éclaira d'un sourire et elle me serra la main.

Elle désigna du menton le sac à dos que j'emportai

« Vous n'avez que ça comme bagage »

« Oui »

« Tant mieux parce que le coffre est déjà plein. Le plus simple, c'est que vous le mettiez derrière »

Je mis donc mon sac sur le siège arrière et montais dans la voiture, buttant sur une paire de ballerines usagées.

Sitôt monté, elle me demanda de les lui passer et, retirant ses chaussures à talons, les enfila et posa les chaussures qu'elle venait de quitter par terre devant moi avant de démarrer.

Nous étions en fin de journée et le ventilateur m'amenait dans le nez l'odeur fauve de ses chaussures.

Bien que je ne l'apprécie pas beaucoup, cela eut sur moi un effet étrange et je sentis mon sexe raidir dans mon pantalon.

C'était inconfortable et je me trémoussai dans le siège, passant subrepticement la main sur ma braguette, pour remettre ma verge pour trouver une position plus commode.

Je me connaissais, maintenant que j'avais commencé à bander, je ne m'arrêterai pas et, plus je me disais qu'il fallait que je me calme, plus je bandais.

J'observais discrètement ma conductrice. C'était une brunette au visage sympathique, de grands yeux marron, un nez mutin et des lèvres naturellement rose. Son corsage cachait mal une poitrine avantageuse. Ses cuisses étaient larges et ses jambes pleines. L'ensemble me plaisait et elle était plutôt séduisante. Il faut dire que j'étais plus attiré par les femmes mures que par les jeunettes que je croisais dans les couloirs de l'Université.

Toujours est-il que je bandais maintenant comme un taureau et que, à ma grande honte, la forme de mon sexe était clairement visible dans mon pantalon.

Nous roulions depuis une bonne demi-heure quand elle saisit une bouteille d'eau et me la tendit.

« Vous pouvez me l'ouvrir s'il vous plaît »

J'enlevais le bouchon et lui passais la bouteille, elle commença à boire, mais il y eut un cahot sur la route et la bouteille, lui échappant des mains, me tomba sur les genoux, me trempant avant que je ne pus la redresser.

« Je suis désolée, je vais m'arrêter pour que vous puissiez vous sécher »

Disant cela, son regard tomba sur mon entrejambe où l'humidité accroissait encore la forme de mon sexe turgescent. Elle dut s'en rendre compte mais ne dit rien.

Peu de temps après, elle entrait sur une aire de repos et garait la voiture.

Elle descendit rapidement, moi très inquiet par le fait de me lever avec cette colossale érection, j'attendis un peu, mais finis par sortir aussi.

Elle avait fait le tour de la voiture et vint vers moi, et c'est alors que tout bascula. Me fixant dans les yeux, elle me saisit le sexe avec autorité.

« Qu'est-ce qui te fait bander? »

Le passage du vouvoiement au tutoiement ne me laissa pas indifférent, mais surtout sa main sur mon sexe me sidérait .

Je n'osais pas lui répondre et me tus, stupéfait par ce qui m'arrivait.

Elle me masturbait lentement à travers mon pantalon. Je ne savais plus où me mettre.

Elle s'écarta brutalement.

« Baisse ton pantalon »

Je la regardais, rouge de honte.

« Quoi? »

« Baisse ton pantalon!»

Alors, je défis ma braguette et baissais pantalon et slip. Mon sexe érigé sauta contre mon ventre

Elle le prit à la main et recommença à me masturber

Je me laissais faire, rouge pivoine.

Si elle continuait comme ça, je n'allais pas tarder à jouir. Elle dut s'en rendre compte et me lâcha brusquement.

« Bon, aller, on remonte en voiture »

Je commençais à remonter mon pantalon quand elle m'arrêta.

« Non, reste comme ça, tu es très bien, et puis, ton pantalon est mouillé »

Je remontais donc en voiture, le pantalon sur les chevilles et le sexe toujours raide.

Nous repartîmes dans cet équipage. J'étais gêné, chaque fois qu'on doublait une voiture, qu'elle puisse me voir. C'était pire pour les camions dont la cellule surélevée surplombait la voiture.

De temps en temps, elle me masturbait en silence tout en gardant les yeux sur la route. Cela faisait presque une heure maintenant que je bandais et ce n'était pas près de s'arrêter

« Masturbe-toi et garde-toi en érection, mais attention, ne jouis pas! »

Je pris mon sexe à la main et fis des mouvements de va-et-vient, lentement, très lentement, juste pour conserver mon érection mais sentant le plaisir monter à chaque geste un peu brusque.

« Je t'amène chez moi pour ce week-end »

« Je ne sais pas, il faut que j'appelle mes amis »

Je passais un coup de téléphone et compris, à mi-mots, que non seulement ça ne les dérangeait pas, mais même que c'était mieux comme ça.

Mais avais-je envie de passer un week-end avec cette femme?

Finalement, je lui répondis :

« C'est d'accord »

Nous arrivâmes chez elle sur le coup des 23 h. Malgré mes tentatives, j'avais fini par avoir le choix: arrêter de me masturber ou jouir. Je m'en étais ouvert à la conductrice :

« Je n'en peux plus Madame, si je continue, je vais jouir »

« Bon, arrête et remet ton pantalon »

J'avais terriblement envie de jouir mais j'obéis. Le simple contact du slip sur ma verge faillit suffire à me faire partir mais finalement, je réussis à remonter mon pantalon humide.

Et je débandais doucement.

J'avais bandé pendant presque trois heures et avais une douleur diffuse dans la verge.

Le déchargement des bagages pris un bon quart-d'heure. Elle avait des tonnes de bagages, sacs et valises. Mon sac à dos paraissait bien timide dans ce fatras.

Elle avait remis ses escarpins et jeté négligemment ses ballerines usagées sur le sol de la voiture.

Je ne sais pas pourquoi, mais ce simple geste m'excita à nouveau.

Elle habitait une grande maison bourgeoise arborée dans laquelle je pénétrais, un peu intimidé par la taille des lieux. Il y avait un vaste rez-de-chaussé, et les chambres, à l'étage.

Elle me montra ma chambre, une petite chambre munie d'un vaste lit en fer forgé et d'une armoire de style.

Je posais mon sac, me déshabillais et m'écroulais sur le lit.

________________________________________________

La lumière de la fenêtre me réveilla le matin. Je me demandais un instant où j'étais avant que les événements de la veille me revinssent à l'esprit. Il était 6 h. J'hésitai un moment et, me levant en silence, passais à la salle de bain.

Quand je revins, elle était là, en robe de chambre et me dis en baillant.

« Bonjour, qu'est-ce que tu fais habillé? »

« Euh, je ne sais pas »

« Retire ton pyjama, tu resteras nu ce week-end à moins que je ne te dise le contraire »

Un peu interloqué, mais excité par l'autorité qu'elle montrait, je retirai mes vêtements. J'étais assez gêné d'être nu devant elle.

Elle m'observait négligemment, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde.

Nous prîmes le petit-déjeuner en discutant de choses et d'autres. Je ne la connaissais pas, à vrai dire. Ce matin, pas maquillée et en robe de chambre, elle accusait son âge mais ça ne me déplaisait pas.

Soudain, elle changea de sujet :

« Tu ne m'as toujours pas dit ce qui t'avait fait bander »

J'étais très embêté. Je ne pouvais quand même pas lui dire que c'était l'odeur de ses chaussures.

« Euh...je ne sais pas, c'est venu comme ça »

« Ça t'arrive souvent? »

« Quoi? »

« De bander comme ça, sans raison »

« Non »

« Alors, il y a bien eu une raison »

Je me sentais coincé et, pris d'une subite pulsion, lui lâchais la vérité

« C'est à cause de vos chaussures »

Elle me fixa éberluée.

« De mes chaussures? »

« Oui...de leur odeur »

Je me sentais très gêné de lui dire ça

« Leur odeur? Dis tout de suite que je pue des pieds »

« Non, c'est pas ça, disons que ça me fait bander »

« Alors ça si je m'attendais. J'ai à faire à un petit fétichiste »

Très mal à l'aise et regrettant mon aveu, je changeai de conversation.

« Et vous, c'est souvent que vous amenez des passagers chez vous? »

« C'est la première fois »

« Pourquoi je dois rester nu »

« Parce que je veux voir quand tu bandes...et puis ça me plaît de te savoir nu alors que moi, je suis habillée »

« Vous êtes dominatrice? »

Elle me fixa d'un drôle d'air.

« C'est vrai que j'aime bien dominer »

Elle ajouta, comme pour se disculper

« Mais enfin, je ne suis pas dans les fouets, les chaînes, tout ça »

Je sentis que j'avais touché un point sensible et insistais

« Non, mais enfin, vous faites venir un passager chez vous et lui ordonnez de rester tout nu »

Elle me regarda et ajouta, après un instant de silence.

« Oui, disons que ce week-end, j'ai envie de jouer les dominatrices. »

Me plantant là, elle monta se doucher.

Un peu désœuvré, je rangeai comme je le pouvais la table du petit déjeuner, puis visitai la maison. Elle était vaste et bien meublée. Des tableaux étaient accrochés aux murs et je passais un moment à les contempler. Il y avait de tout, des paysages, des marines, des tableaux intimistes. Tout respirait une richesse qui m'impressionnait.

Elle revint vêtue, comme la veille, d'une jupe et d'un corsage. Je ne pouvais détacher mon regard de ses formes voluptueuses et ça la fit sourire.

« Ne me regarde pas comme ça, on dirait un enfant devant une bonbonnière »

Je détournais le regard, un peu gêné.

« Viens voir, j'ai un travail pour toi »

Elle me conduisit dans un grand cagibi où un carton contenait une armoire en kit.

« Voilà, si tu peux monter ça? Les outils sont là »

Presque heureux d'avoir quelque chose à faire, je déballais le carton et montais l'armoire.

C'était du bois de bonne qualité. Elle était divisée en deux, d'un côté, une large penderie, de l'autre, des étagères et, tout en bas, un rangement pour les chaussures.

Elle revint comme je venais de finir.

« C'est bien comme ça! »

Elle passa la demi-heure suivante à déplacer ses affaires pour les mettre dans l'armoire. Je l'aidais comme je le pouvais. Nous finîmes par les chaussures. Il y en avait une dizaine de paires.

Tandis qu'elle me les passait, je les rangeais dans l'armoire. La dernière paire, des escarpins usagés, ne tenait pas et je me retournais vers elle.

« C'est plein, celles-ci ne rentrent pas »

« C'est pas grave »

Elle les reprit, les considéra un instant avec un sourire machiavélique et me les tendit.

« Sens les! »

« Quoi? »

« Sens mes chaussures! »

« C'était dégoûtant, mais j'obéis et pris un escarpin, le regardant hagard. »

Il était avachi et la forme des orteils en marquait légèrement le bout. Le cuir beige de l'intérieur était maculé de traces noirâtres.

Je le portais à mon nez. L'odeur fauve me saisit immédiatement, un peu mâtinée par une vague odeur de cuir, et inexplicablement, je me sentis bander.

Ça la fit éclater de rire.

« Décidément, tu aimes l'odeur de mes pieds »

Ce n'était absolument pas ça, mais je ne discutais pas, et puis mon érection semblait être là pour le prouver .

Elle reprit sa paire de chaussures et partit les remettre dans son placard et je restais là, comme un con, à genoux et le sexe raide.

Je me relevais hébété et en pleine érection.

Je ne comprenais pas ce qui se passait, d'un côté, j'avais horreur de cette puanteur, de l'autre ça me faisait systématiquement bander.

Je passais dans le salon, encore hésitant sur la conduite à tenir.

Elle revint en souriant.

« Tu bandes encore? »

« Oui »

« Appelle-moi Madame! »

« Oui Madame »

« Tu as envie de jouir? »

« Oui Madame »

« Moi aussi »

En disant cela, elle retira sa culotte et s'installa dans un fauteuil, cuisses écartées.

Elle me vit stupéfait devant ce sexe de femme que je contemplais pour la première fois. Les lèvres roses et gonflées de sa vulve, entrouvertes par sa position et qui émergeaient d'une forêt de poils noirs.

Elle s'énerva devant mon saisissement.

« À genoux et suce! »

Sans rien dire, je me mis à genoux et approchais. L'odeur m'emplit, une odeur animale, musquée, charnelle.

Je passais maladroitement ma langue sur ces lèvres offertes.

Elle m'arrêta et me saisit par les cheveux

« Non, pas comme ça, commence par les cuisses, doucement »

Elle me dirigea autoritairement vers son aine. Je passais la langue sur cette chair tendre pendant un moment. Elle me dirigeait fermement d'une aine à l'autre.

L'odeur se faisait plus forte. Les lèvres de son sexe, à quelques millimètres, s'épanouissaient en s'écartant un peu plus, laissant entrevoir l'ouverture sombre de son vagin. Une goutte liquoreuse blanchâtre perlait au bas de sa vulve.

Elle ne fut pas longue à me diriger vers sa chatte. Je léchais ses lèvres en absorbant une mouille visqueuse et fade, qui me tapissait le palais. Elle me faisait aller et venir de haut en bas.

J'étais en transe, c'était la première fois que je léchais une femme, que je respirais ses odeurs, que je sentais ses goûts.

Elle me guidait d'une main ferme mais c'est d'une voix rauque qu'elle donna son nouvel ordre.

« Rentre ta langue »

Pointant la langue, je l'introduisis dans son vagin, y récoltant encore davantage d'une cyprine grasse qui m'engluait la bouche.

J'alternais le léchage de ses lèvres, et la pénétration de son vagin, allant toujours plus loin en elle.

Plus cela allait, plus elle me serrait contre elle, en ondulant doucement du bassin et en poussant des petits gémissements étouffés

Elle eut un frisson quand elle me guida plus haut et que je posais la langue sur le bouton ferme de son clitoris.

À partir de là, c'est sur cet organe sensible qu'elle me dirigeait sur lequel je m'acharnais.

Ses gémissements se faisaient plus fort. J'étais perdu dans ce maelström d'odeur et de goût.

Elle se mit à se frotter frénétiquement contre moi, ne s'occupant plus guère de mon léchage et se servant de mon visage pour se donner du plaisir.

Je me laissais faire docilement, le visage enduit de cyprine. Elle ne tarda pas à se raidir en poussant un grand soupir, m'écrasant contre elle comme si elle voulait me faire pénétrer. Cela dura quelques secondes qui me semblèrent une éternité avant qu'elle se détende brusquement et me lâche les cheveux.

Je retombais assis sur mes pieds, reprenant mon souffle, le visage inondé d'une mouille visqueuse qui me bouchait les narines et me collait les yeux. Je me sentais imprégné de l'odeur de son sexe que je sentais à chaque respiration.

Elle était affalée dans le fauteuil, les yeux fermés, le souffle court, en sueur et avec des taches rouges sur les joues.

Revenant à elle, elle ouvrit les yeux, se réinstalla plus convenablement dans son fauteuil et me regarda.

« Tu coules »

Je regardais mon sexe tendu au bout duquel s'étirait un fin filament transparent. J'étais au bord de l'éjaculation.

« Oui Madame »

« Calme-toi, tu ne jouiras pas aujourd'hui. Relève-toi »

Je me levais comme dans un rêve, le sexe tendu à l'extrême. Je crois qu'il aurait suffit qu'on me touche à ce moment pour que j'explose. J'envisageais un instant de porter la main sur mon membre pour éjaculer enfin et évacuer toute cette tension mais ne le fis pas.

Elle lissa sa jupe sur ses genoux, se leva et ré-enfila sa culotte.

J'éprouvais une certaine fierté de l'avoir fait jouir.

C'était ma première femme et je la connaissais à peine. Je savais juste ce qui était écrit sur le site de voyage: Hélène Leroy. Jamais, je n'aurais imaginé en cliquant sur le lien que ça aurait pu m'amener là.

« Bon, suis-moi »

Elle me mena dans la cave par un escalier en bois. Bien que la cave soit sur-chauffée, le sol parut froid sous mes pieds nus.

La cave était encombrée de tout un bric-à-brac à travers lequel nous eûmes presque du mal à nous faufiler.

« Tu as vu, c'est mis n'importe comment, range un peu tout ça »

Sans un mot de gratitude, elle remonta et je restais seul avec ce bordel.

Je passais les heures suivantes à déplacer des objets de droite à gauche. Il y avait de tout, des valises, des tableaux sous bâches, un vélo, des meubles, enfin de tout. Je sentais la mouille sécher sur mes joues et je commençais à avoir faim mais n'osais pas appeler.

Finalement, ça me sembla bien. Tout était bien rangé contre les murs et un espace avait été aménagé au milieu.

Par curiosité, j'avais jeté un œil sur les tableaux. Il y avait des nus, et, sur certains, on reconnaissait Madame Leroy jeune, parfois alanguie, parfois dans des poses plus érotiques.

Ayant fini mon travail, je remontais pour en parler avec la Maîtresse de maison. Elle était au téléphone et me fit signe d'avancer. Quand je fus à côté d'elle, elle me prit la bitte à la main. J'étais là, stupide tandis qu'elle discutait avec une copine. Le plus gênant, c'est que la chaleur de sa main produisait de l'effet et que je me sentais durcir entre ses doigts. Bientôt, c'est un sexe en érection qu'elle manipulait tout en discutant.

Elle ne me masturbait pas vraiment, se contentant de me tenir en gesticulant au téléphone.

Finalement, elle raccrocha et regarda mon sexe bandé dans sa main avec une sorte d'étonnement.

« J'ai fini de ranger la cave Madame »

« Bien, bien »

« Je peux vous poser une question? »

« Oui, bien sûr »

« J'ai vu les tableaux...c'est vous sur certains d'entre eux? »

« Oui, mon mari était peintre et j'étais son modèle »

« Pourquoi les avez-vous mis à la cave? »

« Parce que je n'ai pas envie que tout le monde me voie nue, même si ce sont des œuvres d'art. »

Elle changea de sujet :

« C'est étonnant comme tu bandes vite »

Je regardais mon sexe avec étonnement. Sa main chaude allait et venait doucement et je sentais le plaisir monter dans mon membre.

Elle s'en rendit compte et sourit

« Déjà? »

Je me sentais humilié en regardant sa main qui montait et descendait sur mon membre, trop lentement à mon goût. J'étais excité comme jamais.

Elle ajouta en me fixant.

« Je te l'ai déjà dit, tu ne jouiras pas aujourd'hui! »

Je la regardais d'un air de défi.

« Et si je me masturbais? »

« Si tu fais ça, tu sors de chez moi et tu n'y mets jamais plus les pieds »

Je me rendis immédiatement compte que j'avais plus à perdre qu'à gagner et elle le savait bien. Je baissais la tête en signe de reddition.

« Je vous promets de ne pas me toucher sans votre accord »

« J'aime mieux ça, mais je t'ai dit de m'appeler Madame! »

« Je vous promets de ne pas me toucher, Madame »

« Bon, tu as faim? »

« Oui Madame »

« Tu as un sandwich et de l'eau dans la cuisine, quand tu as fini de manger, tu reviens »

Quand je revins, elle pianotait sur son ordinateur.

En m'entendant arriver, elle se tourna vers moi.

« Tu te mets à genoux ici, mains sur la tête, et tu m'attends »

J'obéis docilement et attendis qu'elle finisse.

Éberlué, je la vis passer la main dans sa culotte et se masturber impudemment. Je ne sais pas ce qu'elle lisait mais visiblement, ça ne la laissait pas indifférente.

En la voyant faire, je sentis, à nouveau, mon sexe gonfler.

Petit à petit, son souffle se fit plus court et son mouvement plus frénétique.

Je bandais maintenant complètement, le sexe raidi contre mon ventre.

Au bout d'un moment, elle ferma les yeux, poussa un soupir et se raidit dans son siège.

Je regardais son orgasme avec un mélange d'envie et d'excitation.

Elle revint à elle, rouvrit les yeux et me contempla. Elle avait les joues rouges et les yeux brillants.

J'étais toujours à genoux, les mains sur la tête, avec le membre dressé.

« Approche »

Je me déhanchais pour approcher d'elle à genoux. Elle me passa les doigts sous le nez et je retrouvais le parfum musqué de son sexe. Elle ne tarda pas à me les mettre dans la bouche. Ils étaient gluants et je les suçais avec une sorte de dévotion pour les nettoyer de la mouille qui les recouvrait.

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