Le Club - Partie 24

BÊTA PUBLIQUE

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Deux jeunes filles, à peine plus vieilles qu'elle, étaient agenouillées dans le salon de part et d'autre d'un sofa, une chaîne pendait à leur cou, les reliant au sol et les contraignant à conserver cette position genoux pliés qui devait être affreusement inconfortable. Quand elles entendirent le bruit de leurs pas dans le hall d'entrée, elles levèrent la tête vers eux et Gwendoline constata, compte tenu de leur ressemblance, qu'il devait s'agir de deux sœurs. La juge lui lâcha la main.

-Reste bien sage! Lui ordonna-t-il.

Il la laissa plantée au milieu du salon pour se diriger vers les deux jeunes filles qui parurent heureuses de le voir. Gwendoline compara leur réaction à celle d'un petit animal enfermé qui fêtait son maître non pas parce qu'il était content de le voir mais parce que son arrivée signifiait qu'il allait le libérer de sa cage et elle se demanda alors depuis combien de temps elles avaient été enchaînée de la sorte.

Le juge s'assit entre elle et sortit une petite clé et les deux jeunes filles vinrent se frotter contre lui en tendant leur cou dans l'espoir visible qu'il les libère de leurs liens ; ce qu'il fit. Cette libération provoqua alors une véritable ruée : les deux filles bondirent littéralement sur Gwendoline qui n'eut ni le temps ni les réflexes pour réagir à une telles attaque aussi subite qu'imprévisible. En un instant, les deux jeunes femmes étaient sur elle et la plaquait à terre. Elle tenta bien de se débattre mais elles étaient plus fortes et lui retirèrent sa veste avant de déchirer sa robe. Gwendoline se retrouva alors en petite culotte sur le sol de ce salon avec ces deux harpies déchaînées qui la maintenaient fermement. Puis l'une d'entre elle, celle qui paraissait un peu plus vieille, tenta de l'embrasser. Elle réussit à détourner le visage au dernier moment mais elle sentit qu'au même moment la seconde commençait à lui téter les seins. Elle voulut se battre pour échapper à ces caresses contre-nature mais sa position ne lui offrait aucune possibilité de résistance. La plus âgée réussit à la surprendre et plongea sa langue dans sa bouche à la recherche de la sienne. La bouche de la plus jeune se baladait sur tout son corps et elle sentait la chaleur de ses baisers qui la réchauffait bien plus qu'elle ne l'aurait voulu. Ces étreintes horribles durèrent un temps fou puis elle entendit un claquement de mains et elle fut soulevée du sol puis posé sur un sofa. La plus jeune lui retira alors sa petite culotte et elle tenta de serrer les jambes pour protéger son intimité mais des bras puissants l'obligèrent à écarter les cuisses. Elle releva la tête pour voir le visage du juge qui se penchait sur son antre intime avec un sourire pervers. Il passa une main sur sa petite touffe.

-Un peu trop velu à mon goût, estima-t-il. Nous corrigerons ça plus tard.

Puis il plongea la tête entre ses jambes et elle sentit sa langue qui cherchait à réveiller son clitoris endormi. Elle n'avait plus jamais été touchée par un homme depuis que ce monstre de Veron l'avait profanée et jamais personne n'avait cherché à lui donner du plaisir de cette façon. Elle sentit alors monter en elle, une chaleur totalement inédite qui la révulsait. En même temps, les deux jeunes femmes blondes se relancèrent dans leurs ébats et son corps fut alors soumis aux assauts de trois bouches enflammées. Elle tentait de s'échapper mais n'avait pas la force de le faire puis soudainement elle sentit une vague intense envahir son bas ventre à tel point qu'elle se plia en deux.

Le juge se redressa, l'air satisfait.

-Tu vois que tu aimes, déclara-t-il.

Elle voulut protester mais ce fut au tour de la plus jeune des filles d'envahir sa bouche avec sa langue. En même temps, elle sentit le poids du corps du juge qui glissait sur le sien : il se plaçait correctement pour la pénétrer. Son travail préliminaire avait lubrifié sa fente vaginale et quand il enfonça son pénis celui-ci entra sans difficulté dans un orifice qui n'était plus vierge depuis bien longtemps. Gwendoline hurla alors et le juge commença à la pistonner avec force. Elle sentait ce membre en elle et les langues des deux jeunes femmes qui ne cessaient de la caresser dans les endroits les plus improbables. Le juge mêla sa bouche à ce petit jeu en la forçant à l'embrasser. Il était encore plus agile que ses petites esclaves et réussit à piéger sa langue pour lui voler le plus humiliant des french-kiss qu'elle n'ait jamais eu à subir. Puis finalement, elle sentit une chaleur différente déferler dans son ventre et d'horribles souvenirs remontèrent à sa mémoire.

-ARRÊTEZ!!! Hurla-t-elle en comprenant qu'il venait d'éjaculer en elle. JE NE PRENDS PAS LA PILULE!!! ARRÊTEZ, VOUS ALLEZ ME METTRE ENCEINTE!!!

-Je sais, répondit le juge en la fixant bien dans les yeux. C'est même pour ça que tu es là.

Elle se figea alors et le dévisagea un seconde avant de se mettre à hurler.

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