Le Club - Partie 12

BÊTA PUBLIQUE

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================CHAPITRE 06================

Loin du calvaire vécu par Amandine Blenon, Bella Cathy dormait paisiblement quand elle fut tirée de son sommeil par la sonnerie du téléphone de sa chambre. Habituée aux réveils brutaux, la colonel bondit sur le combiné et décrocha en s'attendant à tomber sur le standard de l'hôtel. A sa grande surprise, elle n'eut d'abord que des grésillements. Elle raccrocha et regarda sa montre pour constater qu'il était 2h du matin. Elle se recoucha sans se soucier plus que ça du phénomène. Une demi -- heure plus tard, le téléphone sonna à nouveau et elle décrocha, enragée, pour entendre encore des grésillements, sauf que quand elle voulut raccrocher une voix d'enfant à peine audible arriva jusqu'à elle.

- Maman, dit l'enfant. Maman, pourquoi?

La voix se tut alors et la communication s'interrompit laissant Bella sous le choc.

Le lendemain, elle fit un détour par l'accueil et expliqua la situation.

- C'est étrange madame, lui répondit un jeune homme. Je ne trouve aucune trace d'un coup de fil passé à votre chambre cette nuit. Il est impossible que vous ayez reçu un tel appel sans qu'il apparaisse sur notre listing.

- Je sais que je l'ai reçu, lui rétorqua Bella qui ne supportait pas la suffisance de ce freluquet qui n'aurait pas tenu deux jours dans son unité.

- Je vais mener mon enquête, la rassura -- t --il mais elle savait très bien qu'il n'en ferait rien.

Elle avait de toute manière d'autres chats à fouetter que de s'occuper des blagues ridicules d'adolescents attardés. Elle repartit pour la base militaire.

================CHAPITRE 07================

Le soir même Bella était de retour à l'Excelsior à minuit passé. Elle était épuisée par sa journée et avait oublié les désagréments de la nuit précédente. Elle se doucha rapidement et se coucha sans demander son reste. Elle ne dormit pas une heure.

De nouveau, le téléphone sonna et de nouveau, elle eut droit aux mêmes grésillements. Elle raccrocha sans attendre la moindre parole sauf que quand elle posa le combiné, elle se rendit compte qu'elle n'était pas seule dans la chambre. A quelques pas d'elle se tenait un enfant. Il devait avoir dans une dizaine d'années et sa peau était métissée. Il la fixait de son regard bleu comme le sien. Il ouvrit la bouche.

- Maman! dit -- il. Je suis mort! Et c'est ta faute!

Bella resta interdite devant cette apparition. Elle voulut s'en approcher mais en un instant elle avait disparue et elle se persuada qu'elle avait rêvé.

Sauf que le rêve se répéta chaque nuit pendant presque une semaine perturbant tellement le sommeil de Bella qu'il commença à tourmenter aussi sa conscience. Des souvenirs vieux de 10 ans remontèrent à la surface, la ramenant à l'une des époques les plus pénibles de son existence. Elle en vint même à se demander si sa santé mentale n'était pas en péril.

Ses nuits d'insomnie rejaillissaient bien entendu sur son travail. Elle était moins rigoureuse et moins efficace. Iorta lui en fit la remarque. Elle ne se gêna pas pour le remettre à sa place mais elle devait reconnaître qu'il avait raison. Elle ne pouvait pas continuer comme ça et envisagea de consulter un psy militaire. Ce fut à ce moment qu'elle trouva le miniprojecteur.

Il était dissimulé sous le lit et Bella ne la trouva que par chance quand, défectueux, il émit une image en pleine journée. Elle fut choquée de découvrir une telle technologie de pointe. Commandé à distance, il était capable de projeter dans la chambre des images en 3D d'une qualité telle que l'on pouvait se laisser berner et croire à la présence d'une personne.

- Surtout dans la pénombre de la nuit et si on est épuisé par plusieurs mauvaises nuits, comprit -- elle.

Elle réalisa que quelqu'un cherchait à la manipuler mais cette découverte entraîna une foule de nouvelles questions et elle devait trouver les réponses. C'est pour cela qu'elle replaça le miniprojecteur à sa place et décida de laisser le petit jeu continuer.

La nuit même, le spectacle sordide reprit. Elle avait été incapable de dormir en l'attendant et bien qu'elle savait désormais ne pas être folle, la vision de cet enfant continuait de la troubler bien plus qu'elle ne l'aurait voulu. Mais heureusement, elle savait qu'elle allait y mettre fin.

Dès le lendemain, elle obtint des techniciens militaires le matériel nécessaire pour identifier celui qui commandait le mécanisme de déclenchement. Elle bénéficiait elle aussi d'une technologie de qualité et elle allait en profiter pour piéger ceux qui voulaient la torturer et elle comptait bien leur faire payer ce sale jeu.

La nuit suivante quand le miniprojecteur se déclencha, elle repéra le signal de la télécommande et s'empressa de le suivre. Elle réussit à conserver sa piste même quand il s'éteignit et elle la conduisit vers une chambre luxueuse se trouvant au même étage que la sienne. Elle rangea son pisteur pour sortir son arme et enfonça la porte.

La scène qu'elle trouva dans la chambre la décontenança. Un homme, de moins de 30 ans était assis sur un fauteuil de velours faisant face à la porte d'entrée, les coudes posés sur les accoudoirs. Il la fixait de son regard bleu et serein. Elle ne se laissa pas démonter et braqua son arme sur lui.

- Qui êtes -- vous? Que me voulez -- vous?

- Je m'appelle Guillaume Uron, répondit le jeune homme. Je suis le propriétaire de cet hôtel. Quant à ce que je vous veux, c'est assez complexe.

- Ne vous moquez pas de moi. Je vous ai piégé alors maintenant avouez!

A la grande surprise de Bella, Uron éclata de rire.

- Vous pensez vraiment que vous m'avez trouvé par votre seule volonté? demanda -- t -- il après avoir cessé de rire. Vous vous trompez, c'est mon seul désir qui fait que vous êtes ici sinon vous seriez encore à courir après le fantôme de votre fils.

Bella enclencha son arme pour ouvrir le feu sur cet homme qu'elle ne connaissait même pas. Elle hésitait cependant car une voix au fond d'elle lui criait qu'il y avait quelqu'un derrière lui et qu'elle devait connaître son identité. Le pire était qu'Uron ne semblait pas impressionné le moins du monde par le danger mortel qu'elle faisait peser sur lui.

- Avant de mettre fin à mon existence vous devriez songer aux conséquences, la menaça -- t -- il. Après tout, vous savez que je sais.

- Je ne vois pas ce que vous voulez dire.

- Menteuse! Mais je veux bien jouer votre jeu et vous rafraichir la mémoire. Il s'appelait Eugène.

- Pardon? fit Bella étonnée de laisser cet homme parler autant.

- Eugène était le nom de baptême de l'enfant que vous avez eu voici dix ans et que vous avez abandonné sitôt né. Le pauvre enfant n'a pas survécu plus de 6 mois si vous voulez le savoir.

- Balivernes!

- Ah bon? Alors l'extrait de naissance et le document d'abandon signé de votre main que j'ai en ma possession sont des faux. Je me suis fait arnaquer, c'est bien dommage. Aussi dommage que l'identité du père de cet enfant, Marcel Diop. Vous l'avez rencontré quand vous avez été mutée dans l'unité chargée de la protection du consul du Congo. Il était lui -- même officiellement le secrétaire de ce consul. Le Congo, un pays que vous connaissez bien puisque quelques années plus tard, vous y avez été détachée. A ce que je sais vous n'y avez pas que de bons souvenirs d'ailleurs. Je crois que vous avez été mise en cause dans une étrange opération qui a coûté la vie à une demi -- douzaine de vos hommes. Je crois que la mission consistait à mettre hors d'état de nuire le leader d'un mouvement de guérilla qui menaçait les activités d'entreprises de notre cher pays. Comment s'appelait cet homme déjà? Je sais, Marcel Diop. Comme le monde est petit.

Uron énumérait les faits de son passé avec un calme effrayant. Ne se rendait -- il pas compte qu'à tout moment elle pouvait décider de le tuer juste pour le faire taire?

- Je sais que vous avez été blanchie des accusations portée contre vous mais personne n'était au courant de votre passé avec Diop. Sous cette nouvelle lumière, certaines de vos décisions pourraient être réexaminées. Vous appartenez à une grande famille. Votre père est un héros multi-médaillé mais vous avez aussi deux frères eux aussi officiers. Une telle affaire ne manquerait pas de rejaillir sur eux.

Bella avait du mal à réfléchir. La lassitude la gagnait mais elle comprenait qu'elle ne pouvait pas permettre à cet homme de salir l'honneur de sa famille. A ce moment, elle comprit qu'elle n'avait qu'une seule échappatoire, éliminer cette menace. Elle ouvrit le feu.

La balle de son arme transperça le velours du siège où se trouvait Uron ratant ce dernier. Il avait parfaitement anticipé le moment où elle appuierait sur la gâchette et plongé en avant. Aussi improbable que cela puisse apparaître pour un homme d'affaire même de son âge, il roula sur lui-même et combla la distance qui les séparait. Bella n'eut pas le temps de tourner son arme vers sa nouvelle position qu'il était déjà sur elle. Il la désarma avec une efficacité qui la prit au dépourvu. Elle tenta de le frapper mais il para bien mieux que n'en était capable aucun de ses hommes. Il avança encore d'un demi-pas et la frappa. Elle encaissa le coup mais il répéta l'opération. Il était rapide et savait toucher les points qui procuraient le plus de douleur. L'affrontement ne dura pas plus de deux minutes alors que jamais personne n'avait réussi à la vaincre dans un combat de corps à corps auparavant. Elle dut poser un genou à terre pour reprendre son souffle et Uron en profita pour l'immobiliser en lui en emprisonnant le bras droit. Il l'étira au maximum.

- Tu croyais sans doute être une experte en combat, lui lança -- t --il à peine essoufflé. J'ai passé trois dans les unités spéciales russes, à côté d'eux tes commandos sont de gentilles petites poupées de porcelaines. Ils m'ont appris pas mal de choses dans l'art du combat et aussi dans celui de faire très mal.

Comme pour illustrer ses dires, il lui brisa l'auriculaire d'un seule geste. La douleur lui vrilla le bras avant de diffuser dans tous son corps. Elle résista à l'envie de hurler.

- Voilà ce qui va se passer à l'avenir, reprit -- il. Pour commencer tu vas déposer une demande de congé maladie et je sais qu'elle sera acceptée. Ainsi tu resteras quelques jours ici afin que nous fassions plus ample connaissance. Ensuite, une fois que tu auras repris ton activité, tu acquerras un appartement en ville comme ton grade t'y autorise afin que je puisse te visiter quand bon me sembleras.

- Vous êtes fous...

Comme réponse à son refus, il lui brisa l'annulaire. Une nouvelle de douleur envahit son corps et cette fois elle hurla. Elle tenta de se dégager mais il raffermit sa prise et elle fut incapable du moindre mouvement.

- Tu m'appartiens désormais, si tu me déçois, tu seras punie sans pitié.

Et avant qu'elle n'ait pu rien dire de plus, ce fut au tour de son majeur d'être cassé en plusieurs parties. Elle cria encore et ne comprit pas que personne ne réagit à autant de vacarme. Elle réalisa alors que la porte qu'elle avait défoncée s'était refermée derrière elle et saisit que les murs devaient être insonorisés. Elle était bel et bien tombée dans un piège.

- Bien sûr tu pourrais quand même décider de t'opposer à moi ou même choisir la voie que vous les militaires empruntez quand vous pensez que tout est perdu : le suicide. Dans ces deux cas, je révèle tout ce que je sais, trainant ainsi le nom des Cathy dans la boue. Je ne pense pas que ton honorable famille se remette jamais d'un tel scandale. Alors qu'en dis -- tu?

Epuisée autant par ce qu'elle avait vécu les jours auparavant que par la douleur qui ravageait son corps, Bella avait parfaitement compris l'épée de Damoclès qui pesait désormais sur sa tête et celles de tous les membres de sa famille. Elle risquait une condamnation pour haute trahison et dans un milieu comme le sien, cela voulait dire que ses frères traîneraient ce fardeau durant toutes leurs carrières. Elle baissa la tête.

- C'est parfait, triompha Uron comprenant sa reddition. Demain, j'enverrais quelqu'un pour t'expliquer les détails de ta nouvelle vie.

Puis sans ajouter un mot, il lui brisa les deux derniers doigts de sa main droite. Elle hurla de nouveau. Dans ce cri se mêlait la douleur à la surprise : elle avait accepté ses conditions, il n'avait donc aucune raison de la faire souffrir encore.

- Juste pour soigner les apparences, dit -- il. Il te faut justifier d'une incapacité physique pour ton arrêt maladie.

Mais elle savait que c'était là une excuse bien faiblarde. Il l'avait fait uniquement par pur plaisir sadique.

================CHAPITRE 08================

Bella se tenait assise sur son lit, la main droite prise dans une attelle afin de retenir ses doigts brisée. Le médecin lui avait affirmé qu'elle ne garderait pas de séquelle de sa blessure mais elle en doutait tant la douleur qu'elle ressentait restait vive. Elle avait fait constater son incapacité à l'un des médecins militaires de la base qui lui avait immédiatement octroyé un arrêt maladie d'un mois. Elle était passée par son bureau pour s'assurer que son unité soit bien gérée durant son absence puis, comme on partait à l'échafaud, elle était rentrée à l'Excelsior. Uron avait fixé les règles de son asservissement et bien précisé qu'il ne tolérerait pas qu'elle y déroge une seule fois. Elle aurait voulu tuer ce monstre ou seulement lui désobéir mais elle savait quand dans les deux cas, elle ne pourrait pas empêcher la boue soulevée par cette affaire d'éclabousser le reste de sa famille. Elle n'avait pas d'autre choix que d'obéir... jusqu'à ce qu'elle trouve une autre solution. Une fois réintégrée dans son unité, tout serait différent. Uron ne pourrait pas la surveiller et surtout elle aurait le soutien de ses hommes. Elle pourrait alors échafauder des plans pour éliminer ce maître chanteur sans que personne ne connaisse jamais la sombre histoire de Marcel Diop. Toujours était -- il qu'elle en était réduite à attendre lamentablement l'arrivée du messager d'Uron, l'homme à la volonté duquel elle devrait se plier sans discuter.

On tapa à la porte et elle comprit qu'il était arrivé. Elle quitta son lit pour aller lui ouvrir. Elle eut la surprise de découvrir le visage d'Iorta, son assistant. Elle se dit alors qu'il devait venir prendre de ses nouvelles. Il tombait on ne peut plus mal.

- Lieutenant, dit -- elle avant qu'il n'ait plus prononcé la moindre parole. Je suis flattée que vous soyez passé me voir mais je vais bien et j'ai des affaires urgentes à régler.

Elle ne rajouta rien et voulut lui fermer la porte au nez. A sa grande surprise, il la bloqua dans son mouvement et força le passage. Elle dut reculer et il s'installa au milieu de la chambre avec une étrange expression sur le visage. Elle ne comprenait comment il pouvait se permettre une telle outrecuidance.

- Je sais tout, lui lança -- t --il avant qu'elle ne puisse le remettre à sa place. Comment crois -- tu que Uron a pu avoir autant d'informations sur toi aussi vite? Parce que je l'ai aidé.

Il éclata de rire devant l'air ahuri qu'elle afficha.

- Maintenant, fini de jouer au commandant, reprit -- il. Ton petit papa n'est plus là pour te permettre d'obtenir ce que tu veux.

Elle ne pouvait pas croire qu'il pouvait lui reprocher le nom de son père alors qu'il avait été avec elle en Afrique et qu'il connaissait parfaitement ses qualités de militaire. Elle n'avait jamais soupçonné qu'il nourrissait une telle rancœur envers elle.

- Maintenant, les règles du jeu vont changer. Je vais prendre les commandes de l'unité et tu vas me laisser faire, ça et bien d'autres choses.

Il s'approcha d'elle et déchira le haut de ses vêtements. Elle le repoussa violement et le frappa au visage. Il se redressa le regard plein de haine.

- Attention ma jolie, je suis le messager d'Uron ; tu sais ce que ça veut dire.

Elle comprit en une fraction de seconde ce que ça signifiait. Uron lui avait envoyé son propre subalterne pour augmenter encore son humiliation. Elle desserra les poings mais pas les dents.

- C'est mieux, dit -- il en essuyant le sang qui coulait de son nez.

Il s'approcha d'elle et elle dut se forcer pour ne pas le corriger de nouveau. Elle savait qu'elle était plus forte que lui et pourtant elle allait devoir se soumettre à sa volonté. Tout cela à cause de cet homme maudit dont elle ignorait les motivations. Iorta lui n'avait aucune réserve. Il acheva de déchirer le haut de sa tenue dénudant sa poitrine. Il recula comme intimidé devant ce spectacle. Mais il se reprit rapidement et comme pour la punir de sa propre faiblesse la frappa au ventre. Elle se plia en deux sous le coup de la douleur et de la surprise. Revigoré par ce qu'il croyait être une preuve de sa virilité, Iorta l'agrippa par les cheveux. Elle se retrouva le visage au niveau de son entrejambe.

- Sucez -- moi mon colonel, ricana -- t -- il en lui collant le visage contre son pantalon.

Elle détourna le visage mais il la maintint contre lui et elle comprit qu'il n'abandonnerait pas. Il tenait enfin sa revanche après des années passées à entretenir sa rancœur. La haine chevillée au ventre, elle défit la ceinture de son treillis et abaissa son pantalon puis son caleçon. Son sexe, libéré de sa prison de tissu se tendit vers elle. Dégoutée par ce qu'elle était obligée de faire, elle le prit dans sa bouche et commença sa fellation. Ce n'était pas une technique qu'elle maîtrisait, loin de là. Mais tout à son excitation, Iorta ne semblait pas s'en rendre compte, il gémissait de plaisir en lui tirant sur les cheveux pour lui imposer le rythme qui lui convenait et la traitant de tous les noms. Des petits jets de spermes coulaient dans sa bouche et elle avait l'impression de s'étouffer mais son second n'avait pas l'intention de lui laisser de répit et elle dut les avaler pour la première fois de sa vie.

Iorta finit par la libérer. Elle prit de grandes aspirations, crachant par la même occasion les quelques gouttes de sperme qui se trouvaient encore dans sa bouche. Il la tira de nouveau par les cheveux et la força à s'allonger sur le ventre sur le lit. Il troussa sa jupe et lui retira sa culotte. Elle sentit ses mains qui s'insinuaient entre ses jambes et commençaient à jouer avec son clitoris. Il cherchait visiblement à lui donner une sorte de plaisir mais il n'était pas l'expert en caresse qu'il pensait et elle restait totalement insensible. En réalité, les seules sensations qu'il arrivait à lui procurer n'étaient que de la douleur. Il se lassa rapidement de ce jeu inutile, il la contraignit à écarter les cuisses et la pénétra avec une telle force qu'elle fut soulevée du sol. Elle retomba sur le satin du lit et elle se retrouva accroupie en levrette pendant qu'il la prenait sans vergogne. Il éructait, lui tirant les cheveux pour l'obliger à ses redresser et lui tripotant les seins qui balançaient au rythme de la saillie. Elle n'avait jamais été prise dans une position aussi humiliante, aussi soumise. Il hurla et se retira d'elle pour éjaculer sur son dos. Des jets de spermes maculèrent son dos jusqu'à atteindre ses cheveux qui protégeaient sa nuque. Il s'écroula sur son dos pour reprendre son dos et en profitant pour lui mordre le cou lui laissant un suçon affreux. Tu as compris, assura -- t -- il. Tu as compris que je suis le nouveau maître.

Elle n'écoutait même plus ses déblatérations, se contentant de fermer les yeux, envahie par le dégoût de la déchéance qu'elle avait accepté pour préserver l'illusion de son honneur.

================CHAPITRE 09================

Depuis le siège de son bureau, Uron appréciait le spectacle. Les caméras installées dans la chambre de Bella fonctionnaient à merveille et il avait assisté au viol de la colonel par son aide de camp en direct live. C'était un vrai régal. Iorta avait été parfait et il allait continuer à lui être utile pendant encore quelques semaines, le temps de briser la volonté de cette femme si solide. Cependant, il se fourvoyait totalement en pensant qu'il avait obtenu ce qu'il désirait tant : le pouvoir. Sa trahison n'allait en réalité que le conduire qu'à la mort. Iorta n'était qu'un médiocre et Uron n'allait certainement pas le laisser s'opposer à ses projets pour Bella et ils étaient ambitieux. S'il était une chose que l'histoire récente de Lilleland et de la triste « guerre des deux frères » lui avait appris, c'était bien que pour contrôler cette ville et cette région il fallait tenir les rênes de la police mais aussi de l'armée. Dans quelques mois, quand elle serait devenue parfaitement docile, Bella serait la candidate idéale à la succession au poste de commandant de la base militaire de la ville. Avec un nom et un bilan comme le sien personne ne pourrait s'y opposer. Elle commencerait alors à installer des hommes choisis par le club à des postes clés et ainsi sans que personne ne s'en rende compte, Uron et ses amis commenceront à prendre la ville en otage.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 11 mois

Hmmmm je relis avec beaucoup de plaisir cette histoire et la soumission de Bella Cathy est un régal...

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