Le Club - Partie 12

BÊTA PUBLIQUE

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Belle Cathy continua son inspection, elle sanctionna encore trois de ses hommes avec la même dureté que l'ancien sergent Lonel puis les libéra pour retourner à son bureau avec son aide de camp, le lieutenant Iorta.

Quand elle y arriva, elle s'installa sur sa chaise et Iorta commença à énumérer les affaires du jour. Pour la plupart des banalités et elle commençait à regretter son affectation précédente en Afrique, bien plus intéressante. Lilleland était après tout une ville tranquille de la métropole. Pourtant, elle savait qu'elle était capable d'excès improbables. Elle avait elle -- même participé à l'un des pires de son histoire quand son père, le général Cathy, avait répondu à l'appel d'un juge local pour mettre fin à celui que les locaux appelaient « la guerre des deux frères ». Pendant quelques jours, Lilleland avait été un champ de bataille aussi sanglant que ceux qu'elle avait connus durant les dix années qui suivirent.

Finalement, elle fit taire Iorta.

- Avez -- vous réglé le problème concernant mon logement?

- Pas tout fait, reconnut le lieutenant un peu gêné. L'appartement de fonction qui devait vous être alloué a bien été ravagé par un dégât des eaux et il n'y en a aucun autre de disponible sur la base.

Bella fronça les sourcils en attendant la suite. Iorta était un officier efficace et elle savait qu'il allait lui proposer une solution.

- La seule possibilité restante serait de vous loger dans un hôtel en attendant que les réparations dans votre logement soient terminées. Le nouvel Excelsior s'est proposé.

- L'Excelsior? C'est un hôtel de luxe, hors de question.

Elle omit d'ajouter que naguère il avait été le QG du « caïd » et de sa bande et qu'elle trouvait incroyable de devoir habiter dans un endroit qu'elle avait dû prendre littéralement d'assaut.

- C'est malheureusement la seule solution acceptable. En cette période, tous les autres hôtels de qualité proches de la caserne sont complets et vous devez rester à proximité si jamais un ordre de mission arrive en urgence.

Elle ne pouvait que reconnaître la justesse de son propos.

- Très bien, ce sera l'Excelsior alors.

================CHAPITRE 04================

Bella Cathy arriva à l'Excelsior en fin d'après midi. Elle était accompagnée du seul Iorta et elle fut accueillie par une jeune femme brune qui lui dit s'appeler Angelica Rubicosa et être la superviseuse chargé de l'encadrer. Elle eut une étrange impression de malaise en présence de cette jeune femme tant elle respirait la soumission et le désespoir en dépit des sourires qu'elle affichait en permanence. Elle se demanda si c'était là le lot commun de tous les employés de ce genre d'établissement mais elle en doutait.

- L'Excelsior est flatté d'accueillir un officier aussi glorieux que le colonel Cathy, lui déclara Angelica en lui serrant la main.

- Pas de simagrées de ce genre, l'interrompit Cathy qui réalisa en lui rendant son bonjour qu'elle tremblait, je n'aime pas ce genre de démonstration que ce soit de la part de mes subalternes ou d'autres personnes.

- Très bien, répondit Angelica. Je vais vous montrer votre chambre. Comme vous le vouliez, nous vous avons réservé une chambre peu luxueuse.

Ils prirent un ascenseur qui les mena dans un grand couloir. Cathy tenta de se souvenir si elle avait emprunté ce couloir lors de son passage précédent 10 ans plus tôt mais elle devait reconnaître que l'Excelsior ne ressemblait en rien à ce qu'il avait été. Angelica s'arrêta devant une grande porte en chêne et l'ouvrit grâce à une clé magnétique. La chambre était spacieuse mais finalement assez classique. Il y avait une télévision mais elle n'était pas immense, le lit était sans chichis. Les autres éléments comme le mini bar ou un coffre personnel n'étaient pas ostentatoires. Bella visita la salle de bain et fut satisfaite. Il y avait une baignoire suffisamment grande pour elle mais qui n'était aucunement ornée et elle pouvait également se servir d'un pommeau de douche. Aucune fantaisie, genre télévision incrustée dans le mur. Elle était satisfaite par ce lieu.

- C'est parfait, dit -- elle.

- Pour les repas, commença Angelica.

- Je les prendrais tous à la caserne, la coupa Bella. Je ne serais ici que pour me reposer.

- Il n'y a aucun horaire bien entendu, ajouta Angelica qui n'avait même pas sursauté quand elle l'avait interrompu.

Décidément, Bella détestait la servilité de cette femme.

================CHAPITRE 05================

Assis dans le fauteuil en cuir de son bureau, Uron observait Bella Cathy qui prenait possession de sa chambre. Le lieutenant -- colonel ignorait bien entendu que le propriétaire de Excelsior avait fait installer des caméras en de multiples endroits du lieu où elle devait habiter ni que c'était lui qui avait organisé son arrivée dans cet hôtel. Si elle avait su que son aide de camp dans lequel elle avait si confiance était son complice, elle aurait certainement hésité avant d'entrer dans cet hôtel qui bientôt deviendrait sa prison.

Satisfait de ce qu'il voyait, il décrocha son téléphone et composa un numéro qu'il connaissait par cœur.

- Diaz, mon cher, fit -- il quand il entendit la voix de son interlocuteur. Tout va bien!

L'enfer qu'avait connu Amandine lors de la soirée d'aménagement d'Angel n'avait été qu'un prélude. Désormais Laura et elle n'étaient plus que des poupées sexuelles totalement dévouées au plaisir sexuel de ce monstre.

Pendant la semaine qui avait suivi la soirée, le gode qu'elle avait dû elle -- même s'introduire n'avait jamais quitté son anus. Il lui produisait une douleur atroce à chaque fois qu'elle devait bouger ce qui lui arrivait en permanence puisqu'Angel l'avait également réduite au rôle de soubrette et qu'elle devait sans cesse remplir des tâches ménagères. Le pire n'était pas cela ni même encore les multiples viols qu'elle devait subir de celui qu'elle devait appeler le maître. Le pire était que ce gode qui lui procurait autant de souffrance lui obstruait totalement l'anus ce qui l'empêchait de se rendre à la selle quand le besoin se faisait sentir. Le gode étant retenu par un ceinture fermée à clé, elle devait donc supplier Angel pour qu'il la libère. Cette humiliation supplémentaire quotidienne lui était insupportable surtout que ce dernier profitait de chaque occasion pour lui asséner des commentaires graveleux.

Laura n'était pas en reste. Angel n'hésitait pas à la prendre elle -- aussi plusieurs fois par jour et comble de l'horreur, comme Saint Servier avait déjà mis fin à sa virginité anale, il ne se dispensait pas de la sodomiser quasiment à chaque fois. La jeune fille, pourtant toujours aussi soumise au nouveau maître des lieux, continuait à souffrir mille morts à chaque fois qu'il passait par la porte de derrière. Amandine avait déjà assisté à plusieurs de ces viols affreux et elle savait qu'Angel tirait autant de jouissance dans le coït lui-même que dans la douleur qu'il infligeait autant à la fille qu'à la mère par procuration. D'ailleurs, il ne ratait jamais une occasion de les humilier comme le prouvait le fait qu'il continuait à les obliger à dormir dans la même chambre en dépit du fait que deux autres restaient vides. Ainsi les deux femmes étaient contraintes de partager le même lit, nues (il les forçait à enlever leurs vêtements chaque soir) et Amandine savait qu'il profitait du spectacle de leurs contacts involontaires dans cet espace étroit. Puis vint le soir où Angel décida qu'elle était prête pour une nouvelle sodomie.

Elle se retrouva dans la « chambre du maître » celle qui avait la sienne et celle de son mari et elle découvrit que le grand lit qui y avait été installé était équipé de tout un attirail d'objet de torture qu'elle n'avait pas remarqué lors de sa première visite. Il y avait notamment deux menottes accrochées au cadre du lit. Amandine se souvint immédiatement de la soirée avec de Saint Servier et du viol qu'il avait fait subir à Laura en l'emprisonnant avec des menottes de ce genre. Elle comprit tout de suite qu'elle allait connaître le même sort. Il lui emprisonna les poignets dans les menottes, elles étaient tellement courtes qu'elle dut se plier en deux sur le lit. Bien entendu, Angel la força à se cambrer au maximum afin d'offrir ses fesses de la plus belle des façons. Il retira le gode qui fit un flop obscène et il lui écarta les fesses pour insinuer un doigt dans son œillet anal. Avec son anus endolori par le gode, Amandine réagi immédiatement à cette nouvelle sollicitation en se contractant de douleur.

- Je te conseille de te relâcher, ricana Angel, car ce soir je ne m'arrêterais en bon chemin.

Il introduit deux doigts supplémentaires et elle sentit son anus s'écarter. Le gode l'avait incontestablement rendu plus élastique. Visiblement satisfait, retira ses doigts et s'avança. Amandine sentit alors une pression sur son œillet anal, elle savait qu'il s'agissait du gland de son pénis. Elle voulut s'avancer pour s'échapper mais il l'agrippa par les hanches pour empêcher sa fuite. Il la força à faire machine arrière de telle façon à ce qu'elle s'empala sur son pénis qui s'enfonça à moitié dans ses intestins. La douleur l'envahit immédiatement. Cela faisait longtemps qu'elle avait abandonné toute once de fierté et elle se mit à hurler sans retenue. Angel, comblé par la situation, continua sa pénétration. Il pesait de tout son poids sur elle et elle dut s'allonger. Cette nouvelle position ne découragea pas Angel qui finit par l'empaler totalement. Elle sentit le contact de ses bourses contre son fessier et elle savait que ce n'était que le début de son calvaire car il allait commencer à la baiser réellement. Quand il débuta son va et vient dans ses intestins, ce fut comme si du papier de verre lui arrachait l'intérieur de ses intestins et ses hurlements redoublèrent. Comme lors de ses première sodomie pourtant imparfaite, elle se remit à le supplier mais cette fois, Angel ne montra aucune pitié. Il la contraignit à se redresser et elle se retrouva à quatre pattes pour lui permettre de la pistonner de manière plus active. Il accéléra son rythme la portant au bord de l'évanouissement. Enfin, la libération arriva, il jouit entre ses fesses et son grognement de satisfaction couvrit un instant ses cris de douleur. Ils s'effondrèrent tous les deux sur le lit. Angel se retira et s'allongea sur le dos pendant qu'Amandine restait sur le ventre, tentant désespérément de reprendre son souffle. Angel se retourna et lui expédia une tape sur les fesses la faisant sursauter.

- Tu vois que l'on a fini par transformer ton cul en un trou à bite, déclara -- t --il en éclatant de rire.

Elle enfouit sa tête dans les coussins en sentant le contact froid du gode qu'il réinsérait dans son anus, indiquant qu'il ne comptait pas mettre fin à son humiliante sodomie perpétuelle.

Ce jeu pervers dura encore des semaines, Angel semblait insatiable et s'amusaient d'elles comme de jouets. Un jour en plein après midi, une sonnerie annonça l'arrivée d'un invité. Amandine lui ouvrit la porte et tomba sur un géant au style hispanique et il lui fallut un certain temps pour reconnaître Guillermo Diaz.

Diaz était, contrairement à Angel, un homme d'affaire local qu'elle avait déjà rencontré mais elle savait qu'il n'était pas très considéré par les notables de la région en dépit de sa fortune à cause de ses origines modestes. Elle se rappelait que Jérôme son époux parlait toujours de lui avec condescendance. Il la dévisagea avec un sourire qui en disait long sur ses intentions et elle comprit immédiatement qu'il était, comme de Saint Servier, un complice d'Angel. Elle fit demi -- tour pour le conduire vers le salon où Angel l'attendait et elle sentit le contact de la main de Diaz sur ses fesses. Elle se figea mais se souvint, amère, de la phrase qu'Angel leur avait fait apprendre au moment de la soirée avec de Saint Servier : « il a tous les droits et toi aucun » et elle reprit sa route en serrant les dents. Les quelques mètres qui séparaient la porte d'entrée du salon furent un supplice tant la main de Diaz se fit aventureuse. Il la lâcha quand ils entrèrent dans le salon. Angel était assis sur le divan une place et se leva pour accueillir son invité.

- Mon cher Guillermo, quelle joie de vous voir. Asseyez -- vous donc. Vous boirez comme d'habitude?

Diaz hocha la tête et Angel se retourna vers Amandine.

- Sers nous deux bières et vite, lui intima -- t -- il sur ce ton sans pitié qui affectionnait tant.

Amandine fit volte face et partit vers la cuisine mais ralentit rapidement le pas. La dernière chose qu'elle voulait c'était se retrouver à nouveau en présence de ces deux salauds. Elle s'attarda donc dans le hall d'entrée et entendit donc la conversation entre les deux hommes.

- J'adore vos idées vestimentaire, félicita Diaz. Surtout que cette garce de Blenon à un cul qui ne demande qu'à être montré.

- Merci et vous devriez voir les seins de la fille qui ressortent de tous les côtés de son tablier, répondit Angel, une véritable invitation au viol. Mais à ce que je sais vos uniformes du « Fundo » sont inventifs eux -- aussi.

- J'en suis content effectivement et c'est une des raisons de ma présence en ce lieu. Je manque de main d'œuvre pour mon établissement. Je n'ai pour l'instant que deux de mes esclaves personnelles puisque la troisième est trop connue pour être exposée en un tel lieu. J'aimerais vous demander si vos petites soubrettes seraient disponibles pour faire quelques soirées au « Fundo ».

Amandine ne connaissait pas cet endroit mais elle se doutait que ce ne pouvait être qu'un lieu de perdition où elle ne connaîtrait de nouvelles humiliations.

- Bien entendu, répondit Angel. Vous verrez ce sont de très bonnes serveuses, je les ai bien formées.

- Ce sera excellent, je dois encore demander à nos amis de Saint Servier et Uron s'ils veulent en faire de même car ma clientèle risque de se lasser rapidement de tâter toujours les mêmes fesses.

- Et quelle est l'autre raison de votre venue?

- Ce cher Guillaume m'a appelé. Il m'a affirmé que Bella Cathy serait en son pouvoir avant une semaine. Vous comprenez ce que ça veut dire?

- Oui que nous devons mettre en route les préparatifs pour la grande soirée et surtout moi puisqu'elle se déroulera ici. Rassurez -- vous l'essentiel est déjà prêt. Comme vous avez pu le voir, la sécurité est déjà bien avancée.

- Oui j'ai pu compter le nombre de gardes que vous aviez enrôlé, la guérite à l'entrée et les caméras dans les arbres.

- Et encore, je n'ai pas encore pu lancer la construction du mur d'enceinte à cause de l'opposition du voisin qui prétend que ce serait un danger pour la faune locale mais ce n'est qu'un retard.

- Ce n'est pas un peu excessif tout cela quand même?

Angel marqua un temps de silence et Amandine comprit qu'il pesait les mots de sa réponse, dénotant ainsi sa gravité.

- Voyez -- vous, il y a quelques années, j'ai frôlé la mort. Un assassin a tenu ma tête dans son viseur et je n'ai dû ma vie qu'à sa seule volonté de ne pas appuyer sur la gâchette de son arme. J'ai juré que cela ne se reproduirait plus jamais.

- Je comprends, reconnut Diaz visiblement ému par cette révélation, mais vous saviez qui était cet homme et ses motivations?

- Mon enquête m'a conduit à découvrir que j'avais croisé cet homme peu de temps auparavant mais il a ensuite disparu de la circulation sans laisser de trace et toutes mes tentatives pour le retrouver se sont avérées vaines, c'est un fantôme.

- Un fantôme dangereux, termina Diaz qui avait parfaitement saisi le sens des pensées d'Angel.

Amandine aussi l'avait saisi. Il existait sur terre au moins un homme qui terrorisait ce monstre d'Angel, au point de le faire se terrer au fond d'une citadelle perdue dans le maquis. Elle serra les poings à cette idée.

- Mais que fais cette conne, tonna Angel qui venait de réaliser le temps qu'elle mettait pour apporter leurs bières.

Elle quitta ses pensées et se dirigea en courant vers la cuisine. Elle savait qu'elle encourait désormais les foudres de la colère du propriétaire des lieux. Elle ouvrit deux bouteilles et les versa dans les verres avant de les amener aux deux hommes.

- C'est pas trop tôt, remarqua Angel en se levant. Vous voyez mon cher Diaz, l'intelligence n'est pas un don familial. Autant cette chère Laura est la plus docile des chiennes dont un maître puisse rêver autant celle -- là conserve toujours une sorte de sauvagerie que je n'arrive pas à extirper en dépit du fait que je lui ai déjà arraché la moindre parcelle de dignité qu'elle n'ai jamais eu.

Il la gifla alors violemment, la faisant tomber à la renverse. Elle se cogna contre la table basse qui se trouvait juste derrière elle et eut son champ de vision envahit par des étoiles. Il l'attrapa par la queue de cheval et l'obligea à s'agenouiller sur table en écartant les cuisses.

- Mais je ne me désespère pas d'en faire une bonne esclave désobéissante, assura -- t --il. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'elle ne comprenne où est sa place : au niveau du sol avec les ordures.

Il avait défait le ceinturon de son pantalon et le leva. A ce moment, Diaz retint sa main.

- S'il vous plaît, mon cher, fit -- il. Je sais que vous êtes chez vous mais laissez moi ce plaisir.

Angel sourit et lui tendit sa ceinture. Diaz souleva le bras et cingla les fesses d'Amandine. Le cuir de la ceinture, d'une très grande qualité, était très dur et coupant ; il entailla la peau fine du fessier d'Amandine qui se redressa en hurlant mais Angel lui attrapa les bras, la contraignant à se plaquer contre la table.

- A combien s'élève sa punition? demanda Diaz.

- Pour un tel manque de respect? Au moins 20 coups de ceintures.

- Excellent!

Un sourire sadique sur le visage, Diaz releva le bras et quelques secondes plus tard, Amandine poussa un nouveau hurlement de douleur. A la moitié de la punition fixée par Angel, ses fesses baignant dans le sang lui procuraient un tel martyre qu'elle demandait grâce à ses bourreaux. Angel qui la tenait toujours par les bras mis son visage en face d'elle.

- Tu demande pitié?

- OUI, répondit -- elle envahit par la honte de sa reddition.

- Oui qui?

- Oui, maître.

- Et que serais -- tu prête à offrir pour que nous arrêtions?

- TOUT! Tout ce que vous voulez!!!

Angel sourit et se retourna. Laura, attirée par les hurlements de sa mère, se trouvait dans son dos.

- Laura, ordonna -- t --il. Assis -- toi sur le canapé et écarte bien les jambes.

Obéissante comme à son habitude, la jeune fille s'exécuta sans un mot. Ainsi, elle dévoila sans aucune pudeur son intimité à la vue de Diaz. Angel reporta son attention vers Amandine.

- Tu vas la sucer, lui dit -- il.

- NON, PAS CA, refusa -- t -- elle horrifiée.

En réponse à son refus, elle reçut un nouveau coup de ceinturon qui lui arracha un nouveau cri strident. Deux nouveaux coups suivirent celui -- ci et ses yeux commencèrent à tourner mais elle savait qu'ils n'arrêteraient qu'une fois qu'ils auraient obtenu ce qu'ils souhaitaient.

- Je le ferais, sanglota -- t -- elle totalement vaincue.

Angel la fit se lever et la poussa en direction de Laura qui restait immobile. Flageolante, elle s'effondra entre les jambes de sa fille, exactement à l'endroit où ses tourmenteurs voulaient la voir. Elle hésita et un nouveau coup de ceinturon lui cingla le bas du dos cette fois. Elle se redressa un peu et plongea sa tête dans l'intimité de sa fille.

- Titille -- lui le clito, ordonna Angel.

- Sers toi de tes mains pour lui exciter le vagin, rajouta Diaz.

Comme dans le pire de ses cauchemars, Amandine obéit aux consignes de ces salauds et sa langue vint jouer avec le clitoris de sa fille. Elle n'avait jamais eu de relation lesbienne et voilà qu'elle se retrouvait réduite à l'horreur d'une relation incestueuse avec sa propre fille. Les deux hommes l'encourageaient pendant qu'au dessus Laura commençait à pousser de petits halètements de plaisir prouvant que son massage portait ses fruits. Les deux hommes se déchaînèrent et ce fut sous un torrent d'insulte qu'elle termina ce qu'ils lui avaient imposés. Elle ne trouva la force de surmonter cette nouvelle humiliation qu'en concentrant son esprit vers une pensée et une seule : un homme sur terre pouvait éliminer Angel et elle se persuada que cet homme n'allait pas tarder à poser lui aussi les pieds à Lilleland.