Le Bonheur est Dans Le Près

BÊTA PUBLIQUE

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Il reprit le compte, claquant le cul toujours aussi fort, puis caressant la vulve en surface.

Au cinquantième coup, Diane se releva. Elle regarda son mari Maurice d'une façon méprisante. Elle semblait lui dire qu'elle ne regrettait pas d'avoir joui sous la masturbation de son beau-père, qu'il avait bien mérité cette humiliation publique. Elle ramassa sa robe et sa culotte et déposa son slip devant son époux.

Elle se rendit dans sa chambre.

Georges se leva, alla se passer la main sous le robinet et sortit. Simon et Jacques étaient gênés, surtout vis à vis de leur frère. Maurice ramassa le sous-vêtement et rejoignit sa femme. On les entendit se disputer assez violemment.

Georges

La nuit de Diane fut agitée. D'un côté, elle avait honte de ne pas avoir pu se retenir. Cet homme brutal lui avait donné du plaisir, malgré elle. De l'autre, elle se rendait compte que cela avait été un plaisir comme elle n'en avait jamais ressenti. Un plaisir inoubliable.

Elle était confuse parce qu'elle n'arrivait pas à déterminer quelle était la raison d'un tel paroxysme. Surtout, quel rôle avait joué la fessée?

Dans le lit, elle était furieuse de devoir coucher avec son mari. Lui était en colère contre sa femme qui s'était donnée en spectacle devant ses frères. Elle lui avait fait perdre la face. Il aurait voulu la gifler quand elle lui avait déposé sa culotte, nue devant tout le monde, sans pudeur.

L'un et l'autre conservaient en tête la totalité de la fessée. Lui voyait son père tripoter le sexe de sa femme et elle, se laisser faire, s'offrant même à la pénétration en ouvrant ses cuisses. Elle se remémorait le mélange des caresses et des coups, son abandon progressif et inexorable. Et puis, elle se rappela ce sexe qui lui appuyait sur le ventre.

Ils finirent par s'endormir, vaincus par la fatigue et les émotions.

Le quatrième jour marqua un tournant. Maurice était refermé sur lui-même, rancunier envers son père et sa femme. Georges était particulièrement enjoué. Il plaisantait avec sa belle-fille. Diane, quant à elle, reprenait le dessus. Elle participa à la vie de famille, depuis le petit-déjeuner jusqu'au dîner. Dans son cerveau commençait à germer une idée pour la séance à venir. Les deux frères semblaient attachés à ne pas prendre parti. Ils agissaient comme si ce qui s'était passé la veille n'avait pas existé.

Après le dîner, Georges se posta sur sa chaise. Diane vint vers lui. Elle enleva sa robe. Elle ne portait ni culotte ni soutien-gorge. Elle s'exhibait, nue, devant tout le monde.

Avant de prendre place, elle se tourna vers son mari et le fixa, avec un air de défi. Il ne put soutenir ce regard. Alors, elle se pencha sur son beau-père. Elle posa ses mains sur la cuisse. Son buste était à l'aplomb de l'assise les seins pendants, offerts. Elle se tenait, cassée en deux à la taille, au dessus de son futur bourreau. Elle tenait ses jambes à la verticale, pieds largement écartés. Elle se cambrait exagérément, tendant ses fesses au châtiment à venir. Elle savait que dans cette position, Georges ne pourrait pas facilement toucher son vagin en la fessant.

Cela ne le désarma pas. Il commença par lui peloter les seins l'un après l'autre, plus pour son plaisir personnel que pour exciter sa belle-fille. Les tétons durcirent sous l'effet des caresses. Il les étira avec son pouce et son index en pince.

Ensuite, il passa sa main sous le ventre de Diane pour atteindre sa chatte et vérifier qu'elle mouillait. Satisfait, il assena le premier coup tout en tenant une mamelle. Au moment de l'impact, il tordait la glande. Pendant la phase d'attente, il frottait sa paume sur la pointe. De temps en temps, il contrôlait que Diane continuait à s'imprégner.

Diane avait remarqué que Georges bandait. Le pantalon formait une bosse. Elle en était ravie parce que cela servait ses plans. Elle fit glisser sa main jusqu'au sexe et se mit à le frotter au travers du tissu. En même temps, elle tourna ses yeux vers ceux de son beau-père. Ils se regardèrent et elle lui fit comprendre qu'elle allait lui rendre sa masturbation.

Elle empoigna la tige et la fit coulisser dans sa main. Georges continua la fessée sans faiblir. Ils ne se perdaient pas des yeux. Diane voulait le voir perdre pied, comme elle avait perdu pied la veille. Mais il semblait imperturbable. Alors, elle descendit la fermeture Éclair de la braguette, écarta le slip et extirpa le sexe. Elle le branla plus vigoureusement. Elle essayait de mettre de la sensualité dans ses yeux, entrouvrant sa bouche, faisant apparaître le bout de sa langue.

Georges finit par abdiquer. Il cessa sa fessée, se concentrant sur son propre plaisir. Il se cramponna à la chaise, souleva ses fesses pour aller au devant de la caresse. Diane lui parla :

« Vas-y, laisse toi aller ! Gicle sur ma main ! Donne moi ta semence ! »

Georges continuait à la regarder. Son visage se crispa, son front se plissa, son regard se fit implorant. Enfin, il se libéra, exhalant un cri rauque, les cuisses tétanisées. Un premier jet s'envola, retombant sur le pantalon. Diane continuait son branle. Elle fixa l'urètre pour voir la seconde giclée. Elle était moins puissante et elle lui macula le dos de la main. Diane ne s'arrêta pas. Elle voulait lui vider les couilles. Georges continuait de râler.

Quand ce fut fini, elle lui sourit, amena sa main à ses lèvres et lécha le sperme qui s'y étalait. Puis elle s'agenouilla et engouffra le sexe toujours raide et englué de crème dans sa bouche, le suçant en fermant les yeux. Georges pencha sa tête en arrière et prit délicatement la nuque de sa belle-fille pour s'enfoncer plus loin dans sa gorge et se laisser nettoyer toute la bite.

Maurice se leva et se réfugia dans sa chambre. Ses deux frères étaient tétanisés. Ils bandaient et ils en avaient honte.

Diane se releva et partit rejoindre son mari. Georges restait assis sur sa chaise, la braguette ouverte, le sexe à l'air qui se recroquevillait.

Dans la chambre, le ton montait. Maurice criait sur sa femme. Il la traitait de putain. Elle lui répondait en dénonçant sa lâcheté et sa faiblesse. Elle le traita à son tour d'impuissant.

Alors il se déchaîna. On entendit les coups.

Georges se releva et entra brusquement dans la chambre pour séparer le couple.

Maurice n'osa pas s'opposer à son père. La peur le calma.

Georges l'invectiva :

« Comment oses-tu frapper une femme? »

Maurice en fut soufflé :

« C'est toi qui me reproche de frapper une femme? Après ce que tu as fait subir à maman pendant des années, tous les soirs? Après ce que tu fais à ma femme depuis quatre jours? »

Georges le regarda, peiné :

« Tu n'as donc pas compris la différence entre fesser et cogner? Quand tu bats une femme, tu exprimes ta faiblesse. Tu n'as plus d'autre moyen de t'imposer que de taper. Tu parles avec tes poings, à court d'arguments. »

Il continua :

« La fessée, c'est tout autre chose. Il s'agit de domination et de soumission. Dans un couple, il y a un dominant et un dominé. L'un et l'autre acceptent cet état de fait et c'est pour cela que le couple dure. La fessée est le moyen le plus extrême de manifester cette domination. Si elle est acceptée de part et d'autre, alors le couple est indestructible. C'était le cas pour ta mère et moi. J'aurais voulu que ce soit le cas pour ta femme et toi. Mais tu n'as pas été à la hauteur, c'est le moins qu'on puisse dire. »

Ils se regardèrent. Georges poursuivit :

« Ce que tu viens de faire à ta femme est inexcusable. Tu vas sortir de cette chambre et tu n'y reviendras jamais. Diane n'est plus à toi. »

Maurice était furieux. Mais il sortit, comme son père le lui avait ordonné.

Quand Maurice fut parti, Georges s'adressa à sa belle-fille :

« Tu restes ici, avec moi. Désormais tu es ma femme. Je te baiserai tous les soirs, après ta fessée. Nous allons commencer immédiatement. Tu mérites que je te fasse jouir parce que toi, tu m'as fais jouir comme jamais. »

Diane s'allongea sur le lit, cuisses ouvertes, attendant de se faire couvrir par son homme.

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5 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 6 mois

Très excitant... un récit au rythme de la fessée Merci

Silvain004Silvain004il y a 6 mois

Délicieusement excitant. Une suite serait un plus très appréciable.

APVapvAPVapvil y a 6 mois

Récit délicieux juste le bon équilibre.

chdecrivainchdecrivainil y a 6 mois

Bravo, excellent récit qui ne va point trop à l'excès.

ANDRERP95ANDRERP95il y a 6 mois

Très belle histoire.

Je crois qu'il existait un rituel de ce genre en Alsace il y a longtemps (j'espère) mais la fessée était donnée par le mari le soir de sa nuit de noce.

Mais pas sûr de ce que j'écris

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