Le Bonheur est Dans Le Près

Informations sur Récit
Diane reçoit la fessée par son beau-père.
4.7k mots
4.56
4.7k
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

La fessée

Le maire s'adressa à Diane :

« Mademoiselle Diane Maso, consentez-vous à prendre pour époux monsieur Maurice Lefort? »

Elle consentit, d'une voix déterminée.

Ils étaient désormais mariés.

Georges Lefort, le père de Maurice, avait observé l'échange des anneaux. Il connaissait peu sa belle-fille. Mais en quelques instants, il s'était fait son idée. Maurice ne ferait pas le poids.

La fête fut tout a fait classique.

Dès le lendemain, le couple emménagea à la ferme. Georges leur avait donné sa chambre, celle qu'il avait occupé avec sa femme, décédée deux ans auparavant.

C'était la première soirée que Diane allait passer dans la famille Lefort, sa famille désormais. Ils venaient de rentrer du restaurant où ils avaient dîné.

Dans le salon, il y avait les trois fils, Maurice bien sûr, mais aussi Simon et Jacques. Diane était la seule femme puisque Simon et Jacques étaient encore célibataires.

Georges prit la parole :

« Diane, ma fille, je te souhaite la bienvenue dans ta nouvelle famille. »

Maurice embrassa sa femme d'un chaste baiser sur les lèvres. Ses frères confirmèrent mollement le message de leur père.

Georges continua :

« Mes enfants, nous allons renouer avec une tradition que la mort de votre mère a malheureusement interrompue. »

Les fils se regardèrent, apparemment très embarrassés. Maurice tenta de protester :

« Papa, non, s'il-te-plaît ! »

Le père le foudroya du regard.

« C'est toi le mari. C'est à toi de le faire ! »

Maurice baissa la tête. Il répondit à son père d'une voix de petit garçon :

« Je le ferai pas papa ! »

Diane regardait la scène sans comprendre.

Georges regarda son fils, d'un air méprisant :

« Bon, alors c'est moi qui vais m'en charger. »

Les trois fils n'osaient plus lever les yeux.

Georges se tourna vers Diane et lui dit, d'un ton sans réplique :

« Enlève ta culotte et viens t'allonger sur mes genoux. Je vais te donner la fessée. »

Il s'assit sur une chaise.

Elle le fixa, totalement incrédule.

Après un moment d'hésitation, elle demanda :

« Vous plaisantez, j'espère? »

Georges la toisa :

« Tu vas faire ce que je te dis. Sinon, Maurice se chargera de te tenir pendant que je te corrigerai. »

Elle continuait à croire à une plaisanterie. Elle regarda les fils, et en particulier son mari Maurice. Tous semblaient très sérieux. Elle s'adressa à son époux :

« Tu ne vas pas le laisser faire quand même? »

Il resta silencieux. Il croisa le regard de son père, se tourna vers sa femme et bredouilla :

« Tu ferais mieux de lui obéir. »

Diane réfléchissait. Elle ne comprenait pas. Elle ne voyait pas d'issue non plus, mis à part la fuite. Mais fuir n'était pas dans son tempérament.

Georges savait qu'il fallait agir vite. Il comprit que Maurice n'allait pas l'aider. Il ordonna :

« Simon, tiens Diane pendant que Jacques va lui baisser sa culotte. »

Diane ne faisait pas le poids. Elle tenta de s'opposer quelques instants mais elle comprit très vite qu'ils auraient le dessus. Elle se retrouva avec sa culotte sur les chevilles, déposée à plat ventre sur les cuisses du père. Il lui releva sa robe pour dégager les fesses.

Diane ne voulait pas se rendre ridicule en gigotant. Elle se tenait avec la tête vers le sol. Elle serrait les cuisses pour ne pas montrer son sexe. Ses pieds étaient posés sur le carrelage. Sous son ventre, elle sentait le contact rêche du pantalon en velours côtelé.

Georges lui dit :

« Tous les soirs, le mari corrige sa femme. Je l'ai toujours fait avec ma femme. Normalement, c'est Maurice qui devrait te donner la fessée puisque c'est ton mari. Mais il ne veut pas le faire. Donc, c'est moi qui le ferai. Tu te laisseras faire parce que c'est ton devoir dans cette famille. »

Il lui asséna la première claque. Il tapait fort, de toute la largeur de sa main qui claquait le long des fesses. Après chaque coup, il gardait sa main posée sur les globes pendant plusieurs secondes.

Puis il relevait son bras et claquait à nouveau, de toutes ses forces.

Très vite, le cul devint rouge. Diane faisait des efforts pour ne pas crier. Elle subissait mais ne voulait pas lui donner le plaisir de la voir souffrir. À chaque impact, la douleur était cuisante. Elle s'estompait progressivement jusqu'à disparaître presque totalement. C'était le moment que Georges choisissait pour recommencer. Il connaissait bien son affaire. Tout était calculé pour rendre la douleur supportable.

Georges était concentré sur sa tâche. Il regardait le fessier, il regardait sa main, il sentait les ondes irradier la chair.

Diane avait posé ses mains au sol. Son corps formait un arc avec trois appuis, sur les pieds, les mains et le ventre.

Elle fermait les yeux. À chaque coup, son visage se crispait. Puis, elle attendait que la main s'élève à nouveau, ce qui annonçait la prochaine frappe. Alors, elle contractait ses fesses et resserrait ses cuisses.

Les trois frères observaient. Maurice semblait résigné. Jacques et Simon reluquaient en douce le derrière de leur belle-sœur.

La fessée continuait sur un rythme lent mais immuable.

Après une dizaine de coups, Georges dit à Diane :

« Relève toi ma fille! »

Elle prit appui sur les genoux de son beau-père et se mit debout. Elle abaissa sa robe et se pencha pour remonter sa culotte. Mais Georges intervint aussitôt :

« Ce n'est pas fini. Je voulais juste que tu ne restes pas trop longtemps avec la tête en bas. Je veux que tu aies mal aux fesses, pas au crâne. Allez, lève ta robe et remets toi en position. On reprend. »

Diane était déçue et ce fut perceptible. Mais elle se résigna. Elle se troussa et s'allongea de nouveau en travers des genoux de son beau-père.

La fessée recommença. Georges claquait le cul. Sa main était large mais elle ne suffisait pas à couvrir le postérieur. Diane conservait ses jambes et sa croupe serrés. Cependant, à chaque fois qu'il faisait une pause entre deux claques, Georges pesait sur la raie. En relevant sa main, il frottait le milieu des fesses avec ses doigts.

Au début, il le faisait avec discrétion, de sorte que seule Diane pouvait s'en rendre compte. Mais petit à petit, son geste était de plus en plus ostensible. Il voulait qu'elle le sente bien, quitte à ce que ce soit visible.

Il y eut au total cinq séries de dix frappes. Une fois la cinquantième fessée administrée, Georges s'adressa à toute la famille :

« Voilà qui est fait. Allez, tout le monde au lit et bonne nuit. »

Diane se releva. Au lieu de remettre sa culotte, elle l'enleva. Elle alla dans sa chambre sans dire un mot. Maurice la rejoint. Personne ne sut ce que les jeunes mariés se dirent ce soir là mais la lune de miel était très probablement terminée.

Diane humiliée

Le lendemain, la famille se retrouva réunie dans la cuisine pour le petit-déjeuner. Il n'y eut aucune allusion à ce qui s'était passé la veille.

Georges expliqua à Diane ce qu'il attendait d'elle. Elle devait bien entendu participer aux travaux de la ferme, mais étant donné son inexpérience, elle se contenterait d'observer et d'apprendre petit à petit. Étant la seule femme de la maison, elle aurait aussi la charge de préparer les repas.

Au fur et à mesure que la journée avançait, Diane se sentit de plus en plus tendue. Ses fesses la faisaient souffrir et elle ne savait pas comment elle allait réagir à une seconde séance qu'elle pressentait comme inéluctable.

Au moment du dîner, les conversations étaient anodines, centrées principalement sur les particularités de la journée. Diane débarrassa comme si de rien n'était mais elle ressentait un creux dans son ventre. Elle évitait de regarder Georges, se concentrant sur son travail de nettoyage.

Quand tout fut rangé, Georges recula sa chaise et dit:

« Allez ma fille, viens te faire corriger. »

Diane regarda son mari qui baissait la tête. Les frères avaient la même attitude. Elle tourna son regard vers le père qui la fixait, attendant avec confiance qu'elle vienne jusqu'à lui. Elle s'approcha sans baisser les yeux et se planta en face de lui.

Après quelques instants, toujours en le toisant, elle passa ses mains sous sa robe et tira sur sa culotte. Ensuite, elle s'allongea sur les genoux de son beau-père.

Il releva la robe et marqua une pause. Les fesses portaient encore les marques de la fessée de la veille.

Georges posa sa main pour recouvrir la raie. Diane prit sa respiration, attendant le premier coup.

Le père leva son bras et frappa sans retenue. Le coup claqua dans le silence. La main resta plaquée sur le cul. Georges attendait que la douleur passe.

Ses doigts s'insinuaient jusqu'en haut de la raie, le majeur étant posé sur les lèvres.

En relevant sa main, il frotta toute la longueur du sillon, en commençant par une forte pression sur la fente vaginale.

Diane ne pouvait pas se soustraire à ces attouchements malgré tous ses efforts pour serrer ses cuisses.

Georges continua la première série de dix coups sur le même rythme. À chaque fois, la main s'abattait, produisant un claquement retentissant. Pendant quelques instants, elle restait en contact avec le fessier. Enfin, les doigts massaient intentionnellement le tour des lèvres.

Quand la dixième claque retentit, Georges demanda:

« Ma fille, est-ce que tu veux faire une pause? »

Elle répondit sur un ton agacé:

« Non, qu'on en finisse au plus vite ! »

En ramenant ses doigts, il sentit que son majeur s'était légèrement enfoncé entre les lèvres. Le vagin s'était entrouvert, faisant comprendre à Georges que Diane mouillait. Elle-même n'en était probablement pas consciente : ce n'était encore qu'un pur réflexe biologique. Mais lui savait ce qu'il avait à faire.

Il reprit sa fessée méthodiquement, frappant fort, frottant de façon appuyée. Son médius glissait de plus en plus, enduisant les chairs sur son passage. La première phalange pénétrait entre les lèvres.

Diane ne pouvait plus ignorer qu'il la pénétrait. Elle ne pouvait pas non plus se voiler la face : il le faisait sans la forcer.

Les fils, quant à eux, ne s'étaient pas encore aperçus du changement. Ils étaient hypnotisés par le rythme lent et régulier du châtiment. Le mari ne se rendait pas compte que son propre père violait sa femme.

De sentir sa belle-fille excitée malgré elle par la punition, Georges se remémora sa femme. Il sentit qu'il bandait, d'un coup.

Il se dit que Diane avait dû percevoir son érection parce que son ventre pesait exactement sur son sexe.

Malgré son excitation, il parvint à conserver son calme et ne changea pas la cadence. Il frappait sa belle-fille inexorablement et en même temps la branlait avec application.

Diane sentait bien ce qui se passait et elle en avait honte. Elle aurait voulu l'empêcher de continuer. Être frappée, elle en avait pris son parti. Mais cette humidité, ce doigt qui glissait en elle sans pouvoir lui opposer de résistance, c'était une humiliation.

Elle savait qu'il savait et elle savait aussi qu'il savait qu'elle savait. Il en était même excité, le salaud. Elle avait senti son sexe raide lui rentrer dans le nombril.

Elle comptait les coups, anxieuse de voir ce supplice se terminer.

Désormais, il frappait plus haut, les doigts heurtant la vulve. À chaque pause, pendant plusieurs secondes, il lui pistonnait le vagin avec l'index et le médius. Juste avant de donner le coup suivant, il ressortait ses doigts en les essuyant le long de la raie.

Il continua sur le même tempo, sur le même modèle jusqu'au bout des cinquante claques.

Diane se releva, remit sa culotte et alla dans sa chambre, le rouge aux joues. Le père se leva et disparut à son tour. Les fils se dispersèrent. Cette fois, on entendit Diane crier contre son mari.

Maurice humilié

Diane eut du mal à trouver le sommeil. Elle resta au bord du lit, tournée vers le mur. Elle avait mal et ne pouvait pas rester couchée sur le dos.

Maurice n'essaya pas de la toucher. Il comprenait qu'elle le méprisait parce qu'il ne l'avait pas défendue. Il regrettait profondément sa propre attitude mais il se savait totalement impuissant face à son père.

Le lendemain matin, Diane essaya de s'isoler, préférant accomplir des tâches ménagères à l'intérieur de la maison pendant que les hommes s'occupaient de l'exploitation en extérieur. Elle ne prit pas son petit-déjeuner avec eux, attendant qu'ils soient sortis pour boire son café.

Au déjeuner, elle les servit sans s'attabler elle-même. Quand ils furent repartis, elle mangea sur un coin de table dans la cuisine. Elle évitait de s'asseoir.

Le dîner se fit en famille. Elle prit sa place, comme la veille. Une fois le repas terminé, elle débarrassa et fit la vaisselle. Elle agissait lentement, sachant que dès qu'elle aurait fini, la fessée commencerait.

Elle avait peur d'avoir mal, mais surtout elle redoutait de ne pas pouvoir maîtriser ses sensations.

Maurice s'apprêtait à passer dans la chambre. Georges comprit son intention et il l'en empêcha immédiatement :

« Tu restes là ! Tu dois assister à la correction de ta femme. Allez ma fille, en place ! »

Le père déplaça sa chaise à l'écart de la table, devenant en quelque sorte le point de mire de la pièce. Il s'assit, les cuisses largement écartées. Il ouvrit ses bras, comme pour accueillir sa belle-fille.

Diane s'approcha, souleva sa robe et descendit sa culotte. Elle agissait déjà mécaniquement. En trottinant, la démarche entravée par le slip qui lui maintenait les chevilles serrées, elle se plaça à la droite de son beau-père, se pencha et s'étendit en travers de ses genoux.

Georges souleva la robe et la troussa jusqu'à la taille, tirant un peu sur le tissu qui restait coincé sous le ventre. Il sentit Diane se soulever imperceptiblement pour faciliter le passage.

Des bleus commençaient à marbrer le postérieur, résultat de la première fessée qu'elle avait reçue deux jours auparavant.

Délicatement, Georges posa sa main pour masquer le sillon séparant les fesses.

Du bout du médius, il tapota l'entrée du vagin. Il ne se pressait pas pour commencer.

Il se mit à masser les lèvres et leur pourtour avec ses doigts regroupés en spatule. La caresse était douce.

Les frères étaient étonnés de la durée de cet instant préparatoire. Ils avaient les yeux rivés sur la main qui couvrait la partie médiane du cul. Ils ne voyaient pas ce qui se passait dans les profondeurs de l'entre-jambe.

Diane était tendue. Elle attendait la première claque avec anxiété. Elle sentait bien qu'au lieu de la frapper, son beau-père essayait de l'exciter. Elle faisait tout pour ne pas se retrouver dans le même état que la veille.

Georges continuait. L'effleurement du début se mua en malaxage de plus en plus appuyé. Les lèvres restaient sèches mais il percevait la lubrification interne par le glissement de plus en plus prononcé des chairs.

Quand il l'estima prête, il força sur son majeur pour la pénétrer. Le doigt rentra sans peine jusqu'à la troisième phalange. Il le bougea pour stimuler le vagin et le ressortit bien enduit. Il se mit à bander très dur quand il vit qu'elle était à nouveau si mouillée. Sous son ventre elle le sentit grossir, ce qui augmenta son imprégnation.

Georges s'appliqua à lustrer la vulve, séparant les lèvres avec le pouce et l'index, récupérant le jus avec son médius, l'étalant aussi bien en largeur qu'en hauteur, entourant le bouton du clitoris.

Il poursuivit ce travail de sape pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'il soit certain que Diane ait envie qu'il aille plus loin.

Alors, il forma un cône avec ses cinq doigts réunis et se mit à la baiser. Le vagin s'ouvrait sous la pression. La main n'était plus à plat sur les fesses. Elle disparaissait de plus en plus entre les cuisses de Diane.

Simon et Jacques étaient bouche bée, les yeux exorbités. Maurice au contraire avait détourné le regard pour ne pas voir son père masturber sa propre femme.

Pour ne plus laisser aucun doute sur ses intentions, Georges dit à haute voix, s'adressant autant à Diane qu'à ses fils:

« Tu as cinquante coups pour jouir. Ne te presse pas. Si tu pars trop vite, tu devras subir le reste de la correction. Elle sera douloureuse. Par contre, si tu te retiens, chaque claque va augmenter ton désir. »

Aussitôt, il sortit sa main, l'éleva et l'abattit sur les fesses. Dans le prolongement de son mouvement, il la perfora du bout de ses cinq doigts et la branla en effectuant une dizaine d'aller-retour. À chaque nouvelle entrée il poussait fort pour l'ouvrir davantage et la pénétrer plus profondément.

Diane ne voulait surtout pas lui obéir. Elle était déterminée à rester insensible à cette agression sexuelle. Elle fermait les yeux, crispait sa mâchoire, serrait les poings et subissait.

Elle reçu la seconde frappe qui la fit grimacer. La main la fouilla. Son vagin s'écartait malgré son envie de contracter son muscle. Il la masturbait violemment. Elle ne pouvait que le laisser faire.

Il ressortit ses doigts aussi brusquement qu'il les avait entrés. Elle se retrouva le sexe vide. La main s'élança pour retomber durement. Immédiatement, elle fut prise de nouveau. Le mouvement de piston recommença. Le premier passage ouvrait la voie. La suite n'était que frottements rapides, jusqu'à ce que sans préavis, la main s'extirpe du fourreau.

Progressivement, le vagin se remplissait de jus et il tardait de plus en plus à se refermer.

Georges continuait, s'efforçant de conserver le même rituel, appliqué sur le même rythme. Il claquait, il branlait pendant une dizaine de secondes. Il claquait, il branlait.

À chaque nouvelle fessée, il comptait. Il voulait qu'inconsciemment, Diane organise son orgasme. Il n'avait pas de doute qu'il arriverait à la faire jouir. Il l'avait su dès le début et son intuition se confirmait coup après coup. C'était imperceptible mais elle s'ouvrait de plus en plus. Il pouvait pousser jusqu'au bout de ses cinq doigts. En plus, elle était trempée. Cela s'entendait, avec un bruit marécageux. Et puis il constatait qu'elle desserrait progressivement les cuisses et qu'elle soulevait discrètement et graduellement son bassin en poussant sur ses jambes.

Diane encaissait les coups. Petit à petit, elle se relâcha. Elle se laissa fouiller le vagin sans opposer de résistance. Elle se mit même à attendre la prochaine pénétration dès que la main la quittait pour la frapper. Dès qu'elle était à nouveau en elle, c'était un double soulagement. Son cul pouvait se détendre pendant quelques instants et en même temps elle appréciait de se sentir à nouveau pleine.

On en était au quarantième coup. Diane se dressa autant qu'elle le pouvait sur ses avant-bras et tendit ses jambes, forçant sur ses pieds. Elle se cambrait au maximum, se décollant de son beau-père. Elle écarta ses cuisses. Son souffle s'accéléra. Elle avait les yeux grand ouverts, dans une expression extatique, les pupilles révulsées.

Au moment où elle jouissait, Georges lui libéra le vagin pour la fesser à nouveau, sans pitié. Le choc la recolla au pantalon. Mais dès qu'il rentra sa main, elle se souleva à nouveau et son orgasme se poursuivit.

Georges lui donna le coup de grâce. Il lui empoigna le sein et l'écrasa dans sa paume alors que de l'autre main, il la fourrait à toute allure.

Elle prit appui sur le genou de son beau-père et se redressa, poussant une longue plainte. Georges ne la laissa pas se soustraire à la pénétration. Il poursuivit son barattage de la chatte et son malaxage du mamelon.

La jeune épouse retomba d'un coup, s'affaissant pour se retrouver à genoux sur le sol, les cuisses refermées, les fesses resserrées, les mains en appui sur la jambe du beau-père et le slip sur les talons. Elle reprenait son souffle. Georges gardait sa main levée, ruisselante de cyprine. Il s'adressa à sa belle-fille :

« Ma fille, reprend ta place. Nous n'avons pas fini. »

Elle mit un temps avant de réagir. Elle eut du mal à se lever. Elle dû s'appuyer sur son beau-père. Elle retira sa robe et sa culotte et s'allongea à nouveau sur lui, nue, les cuisses largement écartées.

12