Humiliation pour Halloween

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Une étudiante-esclave subit un jeu cruel pour Halloween.
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Traduit de "Halloween Humiliation" de Cindy Silver Eyes.

Cindy se regarda une dernière fois dans le miroir -- elle était prête à fondre en larme de honte, mais elle écarta cette option immédiatement. Ne jamais pleurer. C'était l'une des règles drastiques que son Maître avait établies. Subir une nouvelle punition ne rendrait pas les choses plus faciles : à la fin, elle ferait ce qu'il avait décidé pour elle, elle savait ne pas avoir le choix.

Ce qu'elle voyait dans le miroir n'était pas une élève de première année de l'Université de Miami. Ce qu'elle voyait était une écolière catholique en uniforme, sauf qu'aucune écolière catholique ne s'habillerait d'un uniforme aussi vulgaire : elle portait une jupe plissée à carreaux bleus et gris, bien trop courte pour être autorisée à l'intérieur de n'importe quel établissement scolaire. La jupe n'arrivait même pas à mi-cuisse. Elle avait aussi un chemisier blanc d'au moins une taille trop étroite, sa poitrine déjà ample semblait remplir le chemisier comme si ses seins essayaient de s'échapper d'une cage en tissu. Le tissu d'ailleurs assez fin ne cachait pas vraiment le soutien-gorge en dentelle noir qu'elle portait en dessous. Et avec sa jupe si courte, ça ne demandait pas un grand effort pour remarquer qu'il était assorti à son string noir... elle avait sur ses pieds de petites socquettes de fifille et des sandales noires brillantes, sauf qu'elles étaient tout sauf conformes à ce que porterait une écolière avec des talons de dix centimètres. C'était une tenue qui semblait dire « violez-moi... VIOLEZ-MOI, tout de suite... »

Tout dans ces vêtements semblait conçu pour attirer l'attention. Vêtue comme ça, Cindy ne serait rien d'autre qu'un fantasme de mâle tirer d'un magazine porno déboulant sur le campus. Elle était entrée dans le bureau du vigile habillée comme toutes les autres étudiantes, jeans, t-shirt et une paire de baskets -- et elle allait bientôt en partir comme le portait craché d'un pastiche de call-girl fantasmée...

Son excuse pour faire l'étalage d'un tel sans-gêne était censée être Halloween. Les étudiants et étudiantes paradaient souvent dans des costumes même en classe. Mais Cindy savait que personne n'irait pour autant s'exhiber comme une strip-teaseuse. Ce matin, elle était envoyée sur le campus pour émoustiller et amuser ses camarades d'école.

« T'as l'air bonne à croquer, esclave... »

Elle se tourna pour faire face à son maître -- qui se tenait bien droit du haut de ses presque deux mètres. Il était noir comme la nuit, mais ses redoutables yeux brillaient de plaisir. Ses muscles imposants tiraient sur le tissu de son uniforme de vigile.

« Si bonne en fait, que je serais presque tenté par une deuxième pipe ce matin... »

Cindy se mit immédiatement à genoux, écartant les cuisses et tirant sur sa minuscule jupette. Elle baissait les yeux au sol et se croisa les mains dans le creux des reins.

« Cette salope insignifiante peut-elle à nouveau sucer votre queue, Maître? » demanda-t-elle la voix pleine d'une ardeur factice à servir les plaisirs de son maître.

C'était l'une de ses habitudes ; chaque matin Cindy se rendait dans le centre de sécurité de l'université pour fournir une longue pipe fougueuse à son maître, ce qui habituellement lui donnait aussi un petit-déjeuner sous forme d'une giclée de protéine. C'était la première de nombreuses tâches similaires qu'elle exerçait toute la journée pour son maître... Elle venait de finir son devoir matinal dans le bureau privé dix minutes plus tôt, après quoi il lui avait donné le costume d'Halloween qu'elle devrait porter aujourd'hui...

Bruce sembla considérer l'offre de son esclave...

Il était assistant au chef de la sécurité. Mais aussi un ancien joueur de football américain et un ancien Marine, il était bâti comme un mur de brique noir. Il avait dans la quarantaine, mais faisait facilement dix ans de moins. Quant au chef de la sécurité, c'était un homme blanc et gras ayant la cinquantaine bien entamée et qui, dans les faits, était presque toujours absent. Ce travail avait de temps en temps offert à Bruce quelques avantages - mais découvrir dans le logement de Cindy, situé sur le campus, une petite cachette de cocaïne battait à plate couture tout le reste.

C'était depuis cette affaire que leur accord avait démarré, Bruce avait rendu les choses parfaitement claires : Cindy n'était rien, si ce n'est son esclave sexuelle. Un jouet pour son plaisir et ses distractions. Rien d'autre qu'une source d'amusement. Il avait par ailleurs une petite amie, très noire et vraiment très belle et il ne se serait normalement pas approché d'une petite salope blanche même armé d'une pique. Il n'était pas un de ces noirs qui s'excitait à l'idée de tenir une blanche dans les bras. Il pensait que les blanches n'étaient bonnes qu'à se faire baiser et à pas grand-chose d'autre...

Depuis qu'il avait commencé ce travail à l'université de Miami, il y a sept ans, il avait développé un mépris profond envers ces chiennes blanches bourrées de fric qu'il devait supporter. Ses plans concernant Cindy n'allaient pas au-delà de la baiser, d'abuser d'elle et de l'humilier, comme compensation pour tous les affronts et offenses qu'il avait subis. Même s'il devait reconnaître qu'il avait probablement imaginé la plupart d'entre elles - ça ne rendait pas ses jeux pervers avec sa petite esclave moins drôle... Et puis, la fille était sublime, même Bruce devait l'admettre. Et il avait déjà pleinement profité de cette jeune et jolie esclave de manières répétées... À la plus petite désobéissance, la plus petite hésitation, la plus petite erreur elle était punie par une épaisse ceinture en cuir - Bruce n'était pas le genre d'homme à supporter le plus petit soupçon de désobéissance. D'ailleurs les types qu'il connaissait du boulot, ainsi que Cindy, seraient vraiment très surpris s'ils le voyaient avec sa petite amie. Elle était belle et noire, mais c'était aussi une sacrée tigresse, féroce et rebelle... le contraire de Cindy. Sa petite-amie ne se laissait emmerder par personne, et encore moins par Bruce...

Cindy, elle, on pouvait l'emmerder autant qu'on voulait...

« À la réflexion, ce sera pour plus tard... » annonça-t-il, en regardant nonchalamment la jeune fille agenouillée devant lui. Elle était comme un petit insecte dont on pouvait s'amuser à arracher les ailes. « Va en cours, salope - et n'oublie pas les règles du jour... » Les règles que Bruce avait fournies avec le costume.

Cindy ravala sa fierté une nouvelle fois.

« Oui, Maître. Je n'oublierais pas Maître. » dit-elle avant de se mettre lentement debout. Elle prit son cartable, et passa les sangles dans le dos, ce qui accentuait encore plus la mise en avant de sa poitrine pulpeuse, puis elle se rua dehors.

Elle savait qu'elle allait passer une journée infernale.

*****

Il ne s'était passé que cinq minutes avant que Cindy ne croise Scott - Ils avaient logé au même étage au dortoir de la fac pendant leur première année. Il était largement en surpoids, portait des lunettes à verre renforcé - c'était un pur nerd, à la seule exception que, autant que Cindy ait pu le remarquer, qu'il n'était pas vraiment une lumière. À la première rencontre avec quelqu'un de sa connaissance, son visage vira au rouge, elle savait à quel point elle avait l'air ridicule.

« Salut, Scott » dit-elle, faisant de son mieux pour le dépasser rapidement.

« Waouh, t'as l'air canon Cindy! » déclara Scott, rattrapant la jeune femme. Cindy était bien consciente qu'en montrant autant de jambes et de poitrine dénudées elle était un aimant à mecs ; et vêtue de cet uniforme d'écolière, elle aurait du mal à se débarrasser des importuns.

Elle essaya d'ignorer les commentaires laudateurs de Scott tout en marchant vers sa salle de classe, ce qui ne l'empêchait pas de rester coller à elle. Elle était sûre que Scott avait le béguin pour elle depuis longtemps, mais elle pensait bien ne l'avoir jamais encouragé sur cette voie. Et puis dès son arrivée à l'université, la moitié les garçons de première année devaient avoir eu un coup de cœur pour elle, et ce bien qu'elle ait pris soin de ne sortir qu'avec des étudiants de troisièmes années ou plus. Elle écoutait à peine ce que Scott racontait, tout ce qu'elle voulait c'était s'échapper.

À chaque fois qu'elle passait devant quelqu'un, elle devenait le centre d'attraction. Elle aurait pu jurer que chaque type se retournait sur son passage pour mater son cul remuer sous sa minuscule jupette, et cela comprenait les agents d'entretien et les profs.... Plus d'un firent des commentaires obscènes sur son apparence quand elle les croisait. Cindy gardait la tête droite, même si ses joues devenaient de plus en plus rouges chaque fois qu'elle entendait un commentaire. Le regard des filles variait de la surprise à la désapprobation indignée. Mais certaines se retournaient aussi pour mater son cul. Cindy se demanda combien d'entre elles appréciaient simplement ce qu'elles voyaient, et combien étaient de vraies lesbiennes. À cette pensée, elle sentit son estomac se nouer. C'était dans des occasions pareilles que sa beauté naturelle et, en toute franchise, sa carrosserie parfaite semblait lui être un fardeau à porter. Tout le monde adore voir une fille comme Cindy dans des habits moulants et osés - et pour ça, rien de mieux qu'un uniforme d'écolière, pas vrai?

Au moins, pour l'instant personne ne s'arrêtait pour bavarder avec elle, c'était un soulagement. Peut-être était-ce dû à Scott, qu'elle coltinait comme un petit chien.

« Alors, Scott... » dit Cindy. « Ma salle est par là, je crois qu'on va devoir se séparer... »

Elle lui lança un prompt au revoir et commença à entrer dans la salle sans attendre de réponse. Mais Scott cria après elle : « Hey! Cindy attend un peu...! »

« Quoi! » Elle commençait à en avoir vraiment sa claque de Scott.

« J'ai bien peur que tu ne doives sécher ce cours. » annonça Scott avec délice. Et avant qu'elle ne se mette à protester, le binoclard grassouillet avait mis sa main dans son sac et en sortait un objet : c'était une règle rouge et brillante.

Le cœur de Cindy se serra. Scott! Scott en avait une?! Ce petit nullard obèse avait une règle rouge...!

« Alors chérie, tu vas suivre... », déclara Scott avec une confiance renouvelée. Cindy regarda autour d'elle, abasourdi, sachant fort bien qu'elle allait devoir suivre Scott - Les règles du Maître devaient être obéies sans exception, et le prix à payer si elle ne faisait que mine d'hésiter était considérable. Mais comment Scott pouvait-il avoir quoi quelque relation que ce soit avec son Maître? Elle savait que certaines personnes auraient des règles rouges aujourd'hui, et cette pensée lui avait rongé le cœur depuis ce matin. Elle trouvait ça pire que de porter son scandaleux uniforme de pétasse - Mais Scott? Elle avait pensé que son Maître aurait donné une ou deux règles à des membres de la fraternité noire du campus...

Elle suivit Scott jusqu'à un petit espace boisé à l'intérieur du campus, une zone suffisamment isolée, même si l'on pouvait toujours tomber sur un vigile ou des promeneurs.

« Bien ma jolie... tu connais la manœuvre... » l'encouragea Scott arborant un petit sourire suffisant. Il était quelque peu gêné lui-même, mais ce sentiment était largement éclipsé par son excitation.

Cindy n'hésita qu'un tout petit moment - à quoi bon faire de la résistance? Elle se pencha en avant, jusqu'à saisir ses chevilles, faisant se retourner sa petite jupette à carreaux sur son chemisier. Scott fut ravi de l'aider, lui poussant sa jupe jusqu'à la taille et révélant son derrière que ne couvrait que son string noir. Le visage de Cindy était brûlant d'humiliation. Elle aurait voulu se volatiliser.

« Donc... Je vais le faire... Juste dix coups... » Cindy ferma les yeux et se prépara pour la première tape de la règle, qui atterrit sur ses fesses avec un « SLAP » retentissant. Ça cinglait, la douleur déferla sur elle et avec un temps de retard Cindy poussa un peu cri perçant. Elle s'était pourtant promis de rester coite - la dernière chose qu'elle pouvait souhaiter était que des gens viennent voir ce qui se passe.

« Tu sais que ça ne compte pas, » dit Scott faussement affligé. « Tu es censée compter... »

Avec consternation, Cindy se rappela les règles établies par son Maître ce matin. Qu'est-ce qui lui arrivait? Elle avait 21 ans, elle était majeure, étudiante universitaire, et jusqu'à très récemment très populaire et respectée de ses pairs. Et à cet instant, elle était en train de se prendre... Une fessée...! Au milieu du campus par un gars qui avait le béguin pour elle depuis une éternité et dont, jusqu'à ce matin, elle ne pouvait être qu'un fantasme pour lui!

La seconde fessée atterrit tout aussi brutalement, et toujours suivit d'une douleur tenace. Cindy lâcha un glapissement, mais parvint ensuite à prononcer : « Un! »

« Tu es censée dire : "Un, Monsieur..." » Lui reprocha Scott avec un petit sourire pédant. « Mais je vais être sympa et compter celle-là. »

Une autre frappe atterrît sur ses fesses et cette fois, après avoir criée, Cindy délivra la phrase complète : « Deux, Monsieur! »

Paf... Paf... Paf... Les coups continuaient de pleuvoir, chacun suivit d'un bref cri de douleur et du respectueux comptage par la jeune fille. Rapidement, ils arrivèrent à dix laissant Cindy haletante, le visage rougit, et les fesses brûlantes...

Scott avança pour se placer devant elle.

« Eh bien, c'est ce que j'appelle s'amuser.... » commenta-t-il. « Est-ce que tu sais à quel point j'avais envie de toi... j'ai rêvé de toi... Combien de fois je me suis masturbé en fantasmant sur toi... Et je peux enfin exaucer mes désirs... Je crois que tu es censée me remercier de t'avoir disciplinée... »

Cindy s'était relevée, essayant de remettre convenablement sa petite jupe chiffonnée. Elle connaissait les règles bien sûr. Les règles préparées spécialement pour aujourd'hui.

« Vas-y ma fille... à genoux... »

Le cœur gros, elle se baissa pour se mettre en position. Ses rotules posées sur la terre sale.

« Bonne fille... », sourit Scott. « Il est temps que je reçoive ma pipe de Mademoiselle Perfection... »

*****

Il était quatre heures quand Cindy se présenta à son dernier cours de la journée, Histoire de l'Allemagne. Elle avait toujours à faire face aux mêmes réactions indignées, aux ricanements, aux regards éberlués, qu'au début de la journée. Et même après avoir circulé sur le campus toute la journée comme une traînée, elle se sentait toujours aussi humiliée face aux réactions que générait son scandaleux "costume" d'Halloween. Et, pour rendre les choses encore pires, elle venait d'arriver en retard pour le cours, focalisant encore plus l'attention sur elle. Elle entra en classe bafouillant une excuse - son retard était dû à la dernière série de règles rouges...

En tout, au cours de cette journée honteuse, elle avait été arrêtée par neuf types possédant des règles rouges -- le premier était Scott. Elle n'avait aucune idée de la façon dont les règles avaient été distribuées, ni à qui, ni pourquoi... la plupart de ceux qui en avait reçu lui étaient de parfaits inconnus. Ç'avait été atrocement humiliant -- se faire arrêter par quelqu'un qu'elle ne connaissait même pas, qui lui agitait une règle rouge sous le nez. Être amenée dans un coin relativement isolé du campus, se faire fesser par cet étranger au sourire pervers et honorer son pouvoir sur elle en comptant les frappes qu'elle recevait, suivi de l'obligatoire "Monsieur" pour chaque frappe. Tout cela pour finir par le remercier de l'avoir puni en lui offrant une pipe, comme si elle était une simple pute. Elle avait sucé neuf personnes différentes, cette simple pensée suffisait à la faire frissonner de honte.

Le pire avait été la dernière série de gars. Loin de lui être des inconnus, il s'agissait de membres de l'équipe de football. Trois d'entre eux l'avaient bloquée dans un coin, agitant leur règle rouge, et affichant les sourires les plus tordus et stupides imaginables. Et ce n'était pas les sportifs mignons avec lesquels elle était quelquefois sortie, mais des bouseux moches et massifs qui jouaient en défense comme remplaçant et ne s'approchaient presque jamais des jolies filles. Normalement, aucune de ces brutes n'aurait d'ailleurs pu espérer quoi que ce soit de Cindy - ils étaient donc surexcités à la perspective d'avoir en leur pouvoir la classieuse et sexy jeune femme qui ne prêtait normalement attention qu'aux quarterbacks ou aux futurs pros... Elle avait donné à chacun une longue pipe derrière les gradins, et elle l'avait fait en ayant retiré son haut. En échange de quoi, elle n'eut à recevoir qu'une seule série de fessée avec la règle. Le dernier, Ricky qui était plus méchant que bête l'avait abreuvé de toute sorte d'insultes avant de jouir sur sa poitrine nue. Le souvenir des dernières fêtes était encore frais dans sa tête, Cindy l'avait rejetée quand il lui avait des avances grasses et insistantes. Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui, Cindy s'était mise à genoux devant lui, lui exhibant ses plantureux et magnifiques nichons, suçant sa bite bien dure comme une bonne esclave obéissante, et rien n'aurait pu rendre la grande brute plus heureuse...

Cindy tenta de chasser de sa mémoire Ricky et les autres types à qui elle avait dû accorder des faveurs tout au long de la journée, et prit une chaise. Tout le monde la regardait avec des regards de crève-la-faim ou simplement amusés - même le professeur Green arrêta son cours magistral, et dut prendre sur lui pour reprendre sa leçon après avoir vu le joli petit cul de Cindy se balancer sous sa minuscule jupette d'écolière.

« Wheew, » siffla quelqu'un derrière son dos, suffisamment fort pour déclencher des rires. Cindy ne put s'empêcher de tourner la tête - ce n'était pas un garçon, mais une fille : Tina Syms. Cindy avait oublié qu'elle était dans sa classe. Tina avait aussi habité le dortoir des premières années. Elle avait la chambre annexe à la sienne et Cindy avait été amie avec elle - jusqu'à ce qu'elle découvre que c'était une lesbienne refoulée...

Elle détourna la tête et se concentra sur le texte en face d'elle, essayant d'ignorer les ricanements et les regards curieux. Elle était consciente que tous les mecs dans la classe avaient probablement une érection, toutes pointant sur elle. Cette seule pensée lui donnait envie de courir hors de la salle de cours et de se cacher dans son appartement, mais elle devait obéir aux instructions de son Maître...

Le cours ne semblait jamais devoir finir - comme elle était en double filière marketing & histoire, elle avait dû prendre une option d'histoire avancée, mais "Histoire de l'Allemagne" était d'un ennui abyssal. Elle aurait préféré prendre l'Angleterre Victorienne, mais avant même qu'elle ait pu s'inscrire, les places avaient été prises. Et puis, sa poitrine la démangeait affreusement - le sous-tif collait contre sa peau à cause de tout le foutre qui avait séché sur sa poitrine. Elle aurait voulu le déchirer et se gratter. Et prendre une douche. Elle se sentait sale rien que par les regards qu'on lui lançait et les actes qu'elle avait dû accomplir toute la journée. Sans parler, bien sûr, du soutif collant...

Finalement, le professeur Green conclut son cours. Cindy mourrait d'envie de se tirer de là. Elle avait accompli ses écœurants devoirs, et la substance visqueuse de neuf types était entreposée dans son estomac bien rempli...

« Cindy, pourriez-vous rester quelques minutes après le cours? » demanda le professeur Green.

« Bien sûr... » répondit-elle déçu.

Cela dit, elle préférait que les autres partent avant elle... Elle ne voulait pas exhiber une nouvelle fois toute sa chair nue, et être assise derrière une table offrait quelques repos à sa modestie. Bien sûr, cela n'empêcha pas les élèves de se rincer l'œil sur elle en sortant. Un grand noir passa devant elle presque assez près pour la toucher. Et Cindy se demanda, une nouvelle fois, pourquoi aucun noir n'avait reçu de règle rouge. Elle s'était attendue au contraire, elle aurait même parié dessus. Son Maître ne se cachait pas d'être amis avec les gamins noirs du campus, et il ne cachait pas non plus son aversion pour les gosses de riche blanc. Alors pourquoi n'en avait-il pas offert aux gosses qu'il appréciait, comme revanche raciale...? Il était pourtant friand de ce genre de chose. Peut-être pensait-il que Cindy n'était pas assez bien pour les jeunes noirs. Et ça convenait tout à fait à Cindy - elle trouvait même ça fantastique... Elle n'aimait pas penser qu'elle était raciste simplement parce qu'elle venait d'un milieu privilégié, mais être le jouet d'un seul noir était déjà bien assez pour une jolie blonde des quartiers huppés.