Le Bimblau

BÊTA PUBLIQUE

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Elle retrouva soudain sa clarté d'esprit et s'horrifia de ce qui venait de se passer. Elle se comportait comme une folle du cul, incapable de réfléchir. Ce n'était pas que son physique qui était en train de se métamorphoser, son cerveau aussi! Si elle ne n'agissait pas, qui sait ce à quoi elle ressemblerait à la fin de la journée et si elle serait encore en mesure de penser à autre chose qu'au sexe...

Les portes s'ouvrirent enfin, elle était à l'étage des labos... Elle s'avança, et son sursaut d'intelligence s'arrêta, elle essaya de se rappeler pourquoi elle était là. Elle était venue chercher une gélule non? Mais pourquoi? Ah oui!! Elle voulait un antidote.

Elle avança à l'aveuglette... tous ses types en blouses blanches étaient diablement sexy, ils devaient être sacrément intelligent s'ils portaient ce genre d'uniforme, et tous ces scanners qui faisait bip-bip et les tubes à essaies qui faisaient Pschiitt! c'était impressionnant!

Finalement elle vit Éric, l'homme qu'elle avait rencontré hier.

« Éric!!! »

Ce dernier se tourna vers elle. Et marcha à sa rencontre.

« Bonjour Caroline, vous semblez... changée aujourd'hui.

— C'est vrai? Tout le monde me dit ça hi hi! C'est que ça doit être vrai.

— Vous êtes blonde, vos seins ont quadruplé de taille et vos lèvres sont devenues pulpeuses. »

Malgré le ton clinique, Caroline rougit sous cette avalanche de compliment, et sautilla d'un pied sous l'autre.

« T'es trop gentil! tu veux me séduire c'est ça? hihi... Je crois que t'as réussi...

— Non, je crois surtout qu'hier vous avez volé une des gélules et que vous l'avez avalé.

— Mais non!!! J'ai rien volé... je suis gentille! Tu peux me fouiller... et me fouiller où tu veux. »

Elle fit un clin d'œil.

« Ce n'est pas la peine... Par contre je suis intéressé par les résultats, il faudrait que je puisse vous examiner et prendre des mesures...

— Je vais devoir me déshabiller alors! oh la la! C'est que je suis timide moi... »

Soudain elle se mit à paniquer.

« Mais je peux pas aujourd'hui!

— Ah bon? Pourquoi?

— Je ne veux pas dire... »

Elle plaqua sa main sur sa bouche comme une petite fille qui voudrait garder un secret.

— Allez... Si tu me dis, je te donnerais une récompense.

— Quoi donc?

— Hum... Qu'est-ce qui te ferait envie ?

— J'ai envie d'une sucette... Et quand je dis sucette, c'est un message codé... »

Caroline lui fit un clin d'œil. Et s'aperçut que ses cils étaient devenus plus longs.

« Je vois.

— Ben oui, une sucette, en vrai, c'est une bite à sucer, j'adorerais qu'on me mette une grosse pine bien bandée dans la bouche.

— Bon... d'accord. Je te laisserais me sucer. Maintenant, dis-moi qu'elle est ton problème, pourquoi tu ne veux pas te déshabiller ?

— J'ai pas le minou bien rasé, j'aurais trop honte de le montrer.

— Ce n'est pas un problème ça.

— Si!

— Alors, disons qu'on fera les mesures demain... Tu te le raseras comme tu voudras ce soir.

— Génial, un joli petit ticket de métro, tu me caresseras la chatte hein ?

— T'inquiète pas.

— Alors maintenant... je veux ma récompense. »

Éric mena Caroline dans une salle obscure, sans doute utilisé pour faire des tests. Caroline se dépêcha de se mettre à genoux immédiatement pour déguster une queue à son goût. La bite n'était pas immense, mais rien que de poser ses lèvres dessus, elle devint moite. Elle commença à pomper comme elle n'avait jamais pompé, ses lèvres semblaient faites pour servir de fourreau à pine... À chaque fois que la queue frottait ses lèvres, cela lui donnait une envie furieuse de saliver et de sucer...

La pipe ne dura pas longtemps, les lèvres de Caroline étaient comme du velours, enfoncer sa queue entre ses deux épaisses lippes était un plaisir que peu d'hommes pouvaient connaître. Quand Éric gicla sa sauce, Caroline ne réfléchit même pas et se mit à tout avaler d'un trait, le sperme était délicieux! Elle lécha le gland à fond pour être sûre de ne pas en laisser une goutte.

Éric retira sa queue de la bouche de Caroline pendant qu'elle restait à genoux à se délecter encore un peu de la saveur de sperme qui lui restait en bouche. Quand Éric allait repartir, elle se souvint qu'elle devait lui demander quelque chose :

« Éric!

— Euh... Il y a quelque chose que je devais te demander... Attends... ah oui, un antidote! C'est ça que je veux...

— Mais un antidote pour quoi?

— Hier, j'ai avalé une gélule qui m'a fait pousser mes gros nichons!

— Premièrement, ça m'a l'air formidable, tu n'as pas besoin d'antidote pour ça.

— C'est vrai ça ! Merci! J'adore mes nichons aussi, j'ai vraiment envie de les caresser, pas toi ?

— Hum, si... Mais deuxièmement, il y a un quart d'heure tu m'as dit que tu n'avais pas volé de gélule Bimblau.

— Oh... »

Mince elle avait avoué! Il risquait d'appeler la police peut-être... Elle se serait bien jetée à genoux pour le supplier, mais elle était déjà à ses pieds.

« Je suis désolée! J'ai vraiment été vilaine... Je le ferais plus, jurée!

— Je te crois, mais c'est pas bien. Pour la peine, je crois que tu mérites une fessée.

— Oh oui! Une fessée! »

Caroline s'en voulut de se montrer si enthousiasme, ça devait être une punition... pas quelque chose qu'elle devait prendre plaisir à subir. Elle se reprit :

« Je veux dire... oh non! pas une fessée.

— Viens-là, » dit-il en indiquant une table où étaient posés des instruments scientifiques.

Caroline se remit debout et se pencha sur la table, elle sentit que le Monsieur lui retirait son tailleur et sa petite culotte. Avec sa main, il commença à lui frapper ses fesses toutes rondes. À chaque coup, elle laissait échapper un petit « Oh! » Alors que sa foufoune devenait de plus en plus mouillée... Quand il eut fini de la punir, la véritable punition commença, car il se refusa à lui enfoncer sa queue dans sa fente visqueuse de mouille. À la place de quoi il dit :

« Revient demain, tu devras te déshabiller et on te fera passer des tests.

— Oh des tests!? j'aime pas trop ça, les math c'est compliqué.

— Mais non idiote, il s'agira de voir si des nichons sont plus sensibles que la normale, ce genre de choses...

— Oh oui alors! J'adorerais faire ce genre de test.

— Bien, et oublie cette histoire d'antidote, tu n'en as pas besoin... »

Caroline repartit du labo, elle fut déçue de ne croiser personne dans l'ascenseur et dans les couloirs. Elle avait vraiment envie de parler avec des hommes, et plus si affinités...

Dans son bureau elle se remit à travailler sur le projet de campagne marketing... Du moins elle essaya. Elle déchiffra avec difficultés les notes qu'elle avait écrites la veille : « Il faut axé la campagne sur le principe qu'être désirable n'était pas incompatible avec compétence et intelligence. » Qu'est-ce que ça pouvait bien dire ? Elle était désirable, ça ne suffisait pas? Elle prit le crayon pour barrer intelligence et compétence, puis elle se mit à réfléchir, mais au bout de quinze secondes ses pensées tournaient autour des hommes, comme elle avait envie de leur queue. Sans s'en rendre compte, elle avait mis le stylo dans sa bouche et elle se mit à le sucer.

On cogna contre sa porte

« Entrez! »

La porte s'ouvrit, elle fut déçue que ce ne soit pas un Monsieur, mais juste Florence, la secrétaire du patron. Et elle semblait en colère :

« Qu'est-ce que tu fais, ça fait dix minutes que tu devrais être en réunion. Tu ne lis pas tes mails?

— Je trouve plus mon mot de passe.

— Et ton téléphone?

— Euh... J'ai plus mon code Pin. Hihi, pin, ça se prononce comme pine... »

Florence regarda Caroline comme si elle était attardée, se demandant si elle se foutait de sa gueule. Et elle avait changé depuis la dernière fois qu'elle l'avait vu, elle avait les cheveux blonds, et cette poitrine... Mais n'était pas là pour ça :

« Ce n'est pas le moment pour faire des blagues, ton dossier est prêt? »

Caroline regarda la feuille avec la petite phrase écrite dessus :

« Oui, j'ai écrit quelque chose.

— Très bien, alors on y va »

Caroline suivit Florence, heureusement car elle ne se souvenait plus vraiment où était le bureau du patron. Elle entra dans le bureau, alors que le patron était déjà assis. Il était en costume élégant, était âgé d'une cinquantaine d'années, mais entretenait son physique. Ses cheveux étaient bruns, ses yeux bleus et sa mâchoire carrée. Caroline l'avait toujours trouvé impressionnant, affichant une assurance que seuls des millions sur un compte en banque peuvent donner. Il pouvait vous figer sur place d'un regard s'il posait les yeux sur vous, et Caroline était assez fière -jusqu'à présent- d'avoir pu lui retourner ce regard sans fléchir, en ayant derrière elle l'assurance de sa propre compétence et de son intelligence.

Mais maintenant, elle était anxieuse, inquiète, elle devait lui remettre un travail et elle n'était pas sûre que ça lui plaise. Tremblante, elle fit tomber son papier. Quand elle le ramassa, elle se courba en deux, laissant bien le temps à son patron de mater son postérieur de qualité supérieure. Quand elle se remit debout, elle bafouilla : »

« Alors le projet de marketing, c'est que euh... il faut que les femmes soient séduisantes.

— Et...

— Mais aussi intelligente et compétente? C'est dans le sondage. Mais moi je crois que c'est faux...

— Et pourquoi tu penses ça... ?

— Hi hi, je sais pas.

— Une femme qui n'est ni compétente ni intelligente. Comment fera-t-elle pour trouver un job, un mari ?

— Et ben... Faut qu'elle couche et qu'elle suce, je pense.

— Tu crois ça ?

— Euh oui.

— Alors qu'est-ce que tu attends pour t'exercer? »

Comme si elle n'attendait en effet que ça, Caroline retira son tailleur et sa petite culotte. En la retirant, elle se rendit compte qu'elle avait tellement imprégné le tissu de mouille qu'il en dégoulinait. Elle prit bonne note d'apporter pour les jours suivants plusieurs culottes à mettre dans son sac à main pour pouvoir en changer lorsqu'elle était trop excitée. Il ne lui fallut ensuite que quinze secondes pour déboutonner les quatre boutons restant encore attachés de son chemisier et elle se retrouva entièrement nue.

Le patron se rapprocha d'elle et commença à la caresser, ce qui fit frissonner Caroline d'un délicieux plaisir anticipé.

« Pour la campagne marketing, on va laisser quelqu'un d'autre sans charger. »

Caroline était humiliée et honteuse ; son travail n'était-il donc pas satisfaisant?

« Je suis désolée, Monsieur...

— Tu n'as pas à l'être, tu vas être promue.

— Vraiment!? » Caroline sauta de joie et embrassa son patron.

« Tu vas être promu à la publicité, tu serviras de modèle pour vanter les mérites du Bimblau.

— C'est merveilleux! »

Tout le monde la verrait sur des affiches, elle s'imagina faire bander des hommes dans tout le pays, dans le monde entier peut-être! C'était comme un rêve devenu réalité.

« Et maintenant, allonge-toi. Je crois qu'une certaine jeune femme à un besoin urgent de se faire tringler. »

Caroline obéit immédiatement, et poussa un cri dès qu'elle fut pénétrée par la queue dure de son patron. Elle se demandait comment elle parvenait à être silencieuse quand elle faisait l'amour avant? Maintenant, à chaque pénétration elle criait haut et fort, se moquant bien qu'on puisse penser qu'elle n'était qu'une salope, elle prenait de toute façon bien trop son pied pour penser.

Son patron lui pelotait ses énormes seins tout en la baisant, savourant ce corps de bimbo si parfait. Il n'avait pas été étonné de la voir débarquée sous cette forme dans son bureau. C'est lui qui avait envoyé l'e-mail en provenance de Chimex pour lui faire croire qu'ils étaient intéressés par le vol de la gélule Bimblau. Il avait tout organisé avec Éric, celui-ci avait besoin d'un test sur un cobaye humain, mais le faire selon les normes établies par l'EMA, c'était impossible. Quand Éric lui avait fait part de la transformation physique de Caroline en bimbo et qu'elle avait accepté de se faire fesser sans autre forme de procès il était devenu impatient de voir son employée, ce qui était une première.

De toute façon, la vente de ce produit se ferait par le marché noir, en passant par la Russie. Vendre un produit qui change physiquement le corps des femmes était déjà à la limite du légal, mais quand les scientifiques s'étaient aperçus que cela rendait stupide toute commercialisation était devenue impossible.

Et pourtant, cela ouvrait un tel marché... Quel mari ne voudrait pas d'une femme belle et idiote ? Quel patron ne voudrait pas d'une secrétaire canon et soumise qu'il baiserait quand il en aurait envie ?

En pensant cela, il redoubla de vigueur. Il se rappelait encore quand elle venait d'être engagée, elle sortait d'une grande école de commerce : l'HEBAM, et se pavanait comme si l'entreprise lui appartenait, donnait des ordres à tout le monde. Elle puait l'arrogance, quand il la rencontrait dans les couloirs, elle le regardait comme si elle voulait prendre sa place. Maintenant son QI avait baissé de 40 points... elle devait avoir des difficultés à lire, et ne devait pas être capable d'utiliser plus de deux cents mots de vocabulaire. Sa capacité de concentration ne s'étendait pas au-delà d'une minute, et l'essentiel de ses pensées tournait autour du sexe.

Quant à sa fierté, avec une bite plantée dans sa chatte juteuse, elle ne pourrait plus prétendre qu'à être une soumise, une de ces filles qui s'agenouillent et prennent ce qu'on leur donne.

Quand Éric avait parlé des effets du Bimblau, Guillaume avait immédiatement pensé à Caroline. Il avait tellement envie que cette snob hautaine se mette à genoux pour le sucer, qu'elle écarte les cuisses pour lui et devienne sa chienne. Elle était peut-être encore respectée aujourd'hui, mais elle serait considérée comme la salope de l'entreprise dès demain, celle que tout le monde aurait baisée. Celle qui avale des queues sur simple demande. Une fois qu'Éric aurait analysé scientifiquement Caroline, elle irait au département marketing du 26ème étage, elle serait photographiée nue et en habits sexy pour la promotion du Bimblau. Ensuite... peut-être pourra-t-elle avoir une place à l'accueil. Elle serait parfaite pour faire patienter les clients, et ceux-ci seraient plus détendus une fois qu'ils se seraient vidé les couilles en elle.

Alors que Caroline criait : « Plus fort! plus fort! » Guillaume jouit dans sa chatte, déversant sa semence dans son employée servile. Caroline n'avait jamais éprouvé ça, cette sensation d'être rempli par tout ce sperme, elle jouit en hurlant d'extase.

Quand elle quitta le bureau, elle eut soudain une vision fugace... comme si son cerveau se réveillait et hurlait d'horreur en se découvrant devenue une salope, une pute. Mais rapidement cette idée étrange disparue. Peut-être qu'elle devrait en parler à Éric, si elle insistait il lui donnerait peut-être une nouvelle gélule, ce serait chouette si elle pouvait devenir encore deux fois plus belle!

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6 Commentaires
Yokebed83Yokebed83il y a environ 3 ans

Super histoire !! Une suite de prévu ?

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Extraordinaire !

J'adore et très certainement que "son nouvel" emploi sera passionnant.

Hâte

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Une suite ? ...

trouchardtrouchardil y a environ 3 ans

Très bien trouvé cette histoire de gélule. Vivement qu'il la commercialise :)

Merci pour cette histoire.

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

TB, avec la prochaine pilule, ses seins pendront jusqu'au nombril ?

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