L'avilissement d'Aurore - Partie 04

Chapitre 7 -- Bronzage intégral et l'adieu au Bénin

Durant le copieux repas du matin, le Vice-Président ne manque pas de faire des commentaires graveleux : - Madame la Secrétaire, vous étiez en furie hier soir! Je n'ai jamais vu une chienne aussi chaude! On ne s'embête jamais avec vous... Quelle baiseuse!

Aurore préfère ne pas répondre. Et le vieux chauve de continuer en donnant quelques indications sur la façon dont les journées vont se dérouler : - Comme vous le savez, le complexe résidentiel comporte plusieurs piscines, une destinée aux enfants en bas âge, la seconde tous publics, et la troisième réservée aux adultes. Vu la tenue que vous allez porter, nous irons à la dernière. Il n'y aura guère de monde, je suppose, mais bon, on va quand même essayer. Vous irez vous installer dans un transat, enlèverez votre bikini et toutes les trente minutes vous vous retournerez.

Daniel veut que vous soyez bronzée de la même manière tant de face que de dos. Et chaque heure, vous irez piquer une tête dans le bassin, et, en sortant de l'eau, vous demanderez à un homme, à chaque fois différent, de vous mettre de la lotion solaire sur le ventre --et donc sur vos seins- et sur le dos --et donc sur vos fesses-. S'il s'attarde ou a les mains baladeuses, vous ne réagirez pas et le laisserez s'amuser...

Et de 11h à 17h, sept hommes différents, tout en mettant de la lotion solaire sur ce splendide corps, auscultent, tâtent, touchent et massent la créature de rêve, sous le regard licencieux de l'élu Leblanc, assis sous un parasol et qui ne perd rien du spectacle.

Au moins je n'ai pas dû coucher avec eux, pense-t-elle.

Le soir, son « gardien » l'informe qu'après le restaurant du soir, ils prendront un taxi. Sans lui préciser la destination. Elle devra porter un chemisier et une mini-jupe.

- Mais il est déconseillé de sortir le soir, Monsieur! s'inquiète-t-elle. Le Bénin est un pays dangereux!

- Ne vous inquiétez pas! Tout est prévu. Au fait, dernière chose : ne mettez pas de sous-vêtements.

A 20h30, l'auxiliaire et le sexagénaire monte à l'arrière d'un bahut conduit par un chauffeur d'une quarantaine d'années, très mince, portant une fine barbichette et de petites lunettes rondes. Dès que la voiture se met en route, Jean-Marie commence à embrasser goulûment Aurore, qu'il a obligée à s'installer au centre de la banquette, offrant au conducteur, via le rétroviseur, une vue complète de la belle blonde.

Il commence à déboutonner son chemisier, avant d'en écarter largement les pans puis de l'enlever. Le taximan à bientôt une vue complète de la poitrine de la jeune femme qui, seins nus, tente en vain de repousser les caresses insistantes du Vice-Président :

- Enlevez votre mini-jupe et écartez vos cuisses : j'ai envie de jouer avec votre clitoris!

- Pas ici, s'il vous plaît! Pas devant un inconnu ni dans une voiture! implore-t-elle

- Faites ce que je vous dis! Vous ne voudriez pas que Daniel soit très fâché, n'est-ce pas?

Alors elle obéit et se retrouve bientôt, jambes ouvertes, branlée vicieusement par ce vieux dégoûtant, sous les yeux lubriques d'un chauffeur qu'elle ne connaît pas du tout.

- Conducteur! hèle soudain Leblanc. Cela vous dirait de connaître un peu mieux Madame?

- Oh oui, Monsieur!

- Et bien arrêtez-vous dans un endroit discret et sûr! On inversera simplement nos places. Et si cela ne vous dérange pas, je filmerai votre rencontre avec la jeune dame. C'est uniquement pour ma collection privée, rassurez-vous! Rien ne sera diffusé!

Quelques minutes plus tard, la voiture stoppe dans un lieu absolument désert. Le Conseiller régional, désormais à l'avant tandis que le chauffeur s'installe à l'arrière, commence à filmer tout en donnant ses ultimes directives au taximan : - Inutile de vous déshabiller, Monsieur! Elle a juste besoin d'un accès à votre sexe. Pour s'adressant à l'assistante administrative : - Vous allez, ma chère Aurore, le sucer longuement et, quand le membre sera bien dur, vous vous empalerez sur lui, langoureusement et sensuellement. Ensuite, vous le baiserez comme si c'était votre mari!

Prenant, non sans lui avoir enfilé un préservatif, la queue dans sa bouche, la jeune femme est surprise par la grosseur de celle-ci, qui contraste avec ce corps si mince. Et pendant qu'elle passe sa langue sur le gland et sur la hampe, la bite noire continue à prendre du volume. Elle est énorme. Lentement, mais sûrement, la guidant de sa main vers l'ouverture de sa fente, elle s'introduit la pine. Lorsque cette dernière est entrée tout entière, elle commence à chevaucher l'inconnu, montant et descendant sur le pieu qui la remplit. Elle a l'impression qu'elle va être déchirée, tant l'engin est impressionnant. Après plusieurs longues minutes d'un rythme chaloupé, et tandis que l'homme éjacule abondamment dans le condom en elle, la mariée se retient de tout orgasme : c'est la seule fierté qu'il lui reste.

De retour à l'hôtel, Jean-Marie, l'ayant reconduite jusqu'à sa chambre, lui fixe rendez-vous dès le lendemain matin, à la même heure et à la même piscine, avec, au niveau de son comportement, des consignes identiques à celles de la veille. Sept nouveaux hommes, dont trois déjà présents la veille, sont invités à lui passer de la crème solaire.

Ceux pour qui c'est la deuxième fois se montrent d'ailleurs plus enhardis, palpant longtemps sa poitrine, la soupesant, faisant rouler ses tétons entre leurs doigts.

L'un n'hésite pas à lui glisser son doigt couvert de lotion dans son anus, le faisant coulisser, tout en massant au passage longuement et vicieusement son anus délicat.

En soirée, le repas terminé, la subordonnée, à quatre pattes sur le lit, cul cambré, est enculée pendant vingt minutes par le Vice-Président du Conseil régional. Enfin, le troisième et dernier jour se déroule de manière similaire aux deux précédents.

Sept mâles, dont quatre l'ayant massée la veille, sont à nouveau invités par la belle blonde à passer de la crème solaire sur l'ensemble de son corps. En tout, se dit-elle, d'un air triste, les mains de quatorze hommes différents ont exploré mes formes.

Et le soir, après avoir mis en marche la caméra avant de rejoindre sa suite, Leblanc a donné à la fille des instructions précises : il ira manger seul au restaurant tandis qu'elle appellera le "room service", devant user de ses charmes pour séduire le serveur et lui tailler une pipe à genoux. Elle doit ensuite le faire éjaculer sur son visage et ses seins. Après s'être exécutée, elle éteint l'appareil vidéo et, le moral au plus bas, s'en va se coucher, touchant à peine au repas qu'elle avait commandé...

Le jour suivant, avec le retour de Daniel Guérin et Vincent Pivert, la délégation est à nouveau au complet. La journée est essentiellement consacrée aux derniers préparatifs, le vol de retour étant programmé en milieu de nuit. Vers 21h, Aurore voit le Président débarquer dans sa chambre, un collier et une laisse à la main : - Dans mes rêves les plus fous, comme je te l'ai déjà dit, je n'imaginais pas que cela puisse arriver. Mais par acquit de conscience, j'avais quand même apporté ce matériel.

J'ai bien fait.

Il est temps d'aller faire une promenade avec ma chienne! Déshabille-toi maintenant! Et rassure-toi : on ne va pas loin! On reste à cet étage! Tu vas juste aller dire bonjour à Jean-Marie et Vincent. Voici ce que tu leur diras en frappant à la porte.

Sur ce, il tend un bout de papier à l'auxiliaire, qui commence à blêmir à la lecture de celui-ci. Et c'est fier comme un paon que le dirigeant, habillé, déambule dans le couloir de l'hôtel, suivie par une femme entièrement dénuée et tenue, debout, à l'extrémité d'une laisse. Arrivant devant la suite du dénommé Leblanc, elle tape contre l'accès à la suite, tout en récitant, mortifiée, le texte écrit par son « patron » :

- Monsieur le Vice-Président, c'est Aurore. J'espère que vous êtes là, car j'ai besoin de ma dose journalière de protéines. Je suis venue pour avaler chaque goutte de votre précieux foutre. Ouvrez-moi, vous ne serez pas déçu par mes talents de pompeuse!

L'entrée s'ouvre, elle y pénètre, suivie par le Chef de la délégation, qui passe la cordelette à son collègue. Jean-Marie, guidant la jolie blonde avec celle-ci, l'invite à s'agenouiller en ses cuisses et à entamer avec sa bouche désormais experte en fellation, un lent mouvement de va-et-vient sur la queue déjà sortie du pantalon et dressée. Après avoir avalé la totalité du sperme ayant envahi sa gorge, elle entreprend de nettoyer le sexe de l'élu avec sa langue afin qu'il soit à nouveau propre.

Le même scénario se reproduit avec Vincent puis, toujours nue mais cette fois dans sa chambre, avec Daniel Guérin. Arrivant à l'aéroport, celui-ci ne résiste pas à humilier la secrétaire, en adressant à ses acolytes un commentaire bruyant et graveleux :

- Et bien, mes amis, trois paires de couilles viennent d'être parfaitement vidées par notre nouvelle chargée de mission. Nous pouvons décoller en toute sérénité!

De retour au pays, l'assistante reste sans nouvelle du Président pendant quelque temps.

Heureuse de retrouver son mari, elle espère finalement que tout cela ne sera bientôt plus qu'un très mauvais souvenir. Malheureusement, elle se trompe lourdement...

Chapitre 8 - Gode et laveurs de vitres

Après plusieurs semaines de silence, Aurore apprend qu'à la demande expresse du Conseiller régional, qui n'a pas tari d'éloges sur ses compétences professionnelles exceptionnelles, le Directeur général de son Administration vient d'accepter son détachement pour une durée indéterminée auprès du staff de Daniel Guérin.

Elle y occupera les fonctions de Secrétaire de Cabinet et, à ce titre, bénéficiera d'une allocation salariale complémentaire. L'élu ne manque pas de téléphoner à la jeune femme : - J'espère que tu es heureuse de cette promotion « canapé »! A ce propos, sache que je t'ai choisi un bureau particulièrement « cosy », le moral de ma principale collaboratrice devant être remonté en toute tranquillité! Bien évidemment, toutes les fenêtres sont obturables, afin de sauvegarder ta pudeur légendaire!

Deux jours après la décision à laquelle la jolie blonde n'a pas vraiment pu s'opposer, le responsable politique contemple, avec un regard à la fois vicieux et plus que salace, sa nouvelle plus proche subordonnée, telle une véritable poupée gonflable :

- Enlève tes vêtements! ordonne-t-il, alors que la fille, qui venait lui apporter un dossier, se tient debout, juste en face de lui. Interloquée, elle s'exécute néanmoins.

Elle se débarrasse de son blazer, de son chemisier, de sa jupe, de ses sous-vêtements et de ses chaussures. Désormais nue, elle voit son supérieur déposer une boîte rectangulaire sur son bureau : - Ouvre! C'est pour toi! Un petit cadeau de ma part!

L'écrin contient un gode noir. Guérin poursuit : - Je me suis dit que le Bénin devait te manquer, surtout les grosses queues noires, comme celle du Préfet, de ses enfants, de nos accompagnants lors du safari, du chauffeur de taxi et du serveur. Tu t'en es déjà tapée des blacks!

Avec ce jouet en plastique, tu pourras penser à eux, le soir, dans ton lit ou sur ton lieu de travail.

Mais pour le moment, je veux juste que tu t'amuses sainement. Monte sur la table de réunion et baise-toi avec. Glisse-le bien dans ta fente. Et je veux te voir mouiller!

Malgré l'épouvantable dégradation qu'elle ressent, l'assistante fait coulisser le jouet sexuel dans son sexe, tandis que le dirigeant, fidèle à ses habitudes, la filme en pleine activité. Le mouvement du godemichet occasionne quantité de bruits obscènes et juteux. La mariée redouble d'efforts pour en finir au plus vite. Ses tétons sont durs comme du roc, et elle commence à utiliser sa main libre pour se caresser.

Jetant un œil à la fenêtre, Aurore voit soudain des pieds. Elle réalise qu'il s'agit de la plateforme des laveurs de vitres, et qu'ils sont en train de s'occuper des carreaux de l'étage au-dessus. Le sang de l'employée d'administration ne fait qu'un tour quand elle prend conscience que le plateau va descendre juste après, et que les nettoyeurs vont avoir une vue nette et directe sur elle en train de se masturber :

- Monsieur le Président, implore-t-elle. Dehors, à la fenêtre... Les laveurs de carreaux...

- Eh bien? Ils sont là chaque mois. On ne frotte pas les vitres à l'Administration? répond celui-ci.

- Mais... Ce sont des inconnus... Ils vont me voir..., proteste-t-elle.

- Tais-toi et continue!

C'est alors que la plateforme descend à leur étage. Et comme le craignait la subalterne, les trois hommes --tous d'origine arabe- la voient tout de suite, mais elle n'a pas d'autre choix que de continuer à s'astiquer avec la bite factice. -- Place-toi face à eux! Je veux qu'ils voient ton expression quand tu te baises avec un sextoy! Plus vite, plus fort. Je veux qu'ils te voient prendre ton pied! Il y a maintenant des bosses nettes dans le pantalon des travailleurs. - Allez, jouis pour eux!

Alors qu'elle fait glisser de plus belle le gode dans un spectacle d'auto-viol, elle refuse que son corps la trahisse. Elle simule donc un violent orgasme avant que la situation dans laquelle elle se trouve ne lui soit rappelée lorsque, redressant la tête, elle voit les nettoyeurs la regarder avec lubricité. Une humiliation absolue déferle sur elle. Le Conseiller a cessé de filmer. - Gratifie-les! Remercie ses trois hommes d'avoir été si bon public lors de ta débauche! ordonne-t-il, sans même la dévisager.

Regardant les ouvriers derrière la fenêtre, elle murmure : - Merci, Messieurs! -- Mais enfin! Pas comme cela! Va les voir! Embrasse la vitre! s'énerve Daniel Guérin.

Nue, hésitante, elle marche jusqu'à la glace et pose un léger baiser dessus. - Utilise ta langue... Lèche le carreau! poursuit-il.

Ce qu'elle fait, vaincue. Les maghrébins, chacun leur tour, l'embrassent à travers la vitre. Les glaces sont froides, ses tétons durcissent presque immédiatement.

- Viens ici, maintenant! requiert à présent son « patron », tout en écrivant sur un bloc-notes. Puis, tendant le calepin à Aurore : - J'avais prévu de t'emmener ce soir à l'hôtel, mais je préfère finalement que tu montres cela à ces gentils messieurs.

Lisant le griffonnage pour elle-même, elle découvre les quelques mots : - Seconde représentation ce soir? 18 h, Hôtel de la Poste, Chambre 134! La belle recule, choquée :

- Monsieur... Mais je ne peux pas! Mon mari... Que vais-je lui dire?

- Ce n'est pas mon problème. Tu n'as qu'à inventer que tu as du travail à terminer avant de rentrer! Tu vas aller à ce motel même si je dois t'y traîner par les cheveux.

Et tu t'amuseras avec ces Arabes. Cela te changera des Blancs et des Noirs. Ce sera la découverte d'une nouvelle culture, comment dirais-je, un peu plus méditerranéenne.

Rouge telle une pivoine, l'auxiliaire marche jusqu'à la fenêtre et montre la note aux individus. Tous les trois font un signe enthousiaste confirmant qu'ils seront bien là. Et finalement, l'élu baisse les stores pour mettre fin à la séance d'avilissement.

- Dernière chose : tu prendras la caméra et tu leur demanderas de filmer tes exploits. Tu n'auras qu'à leur dire que c'est pour montrer ensuite à ton mec, qui est un pervers!

La belle blonde revient chez elle à 21h30, heureuse que cette journée horrible soit finie. Elle a quitté l'hôtel une demi-heure plus tôt. Elle est arrivée à 18h, comme lui a ordonné le politicien. Ses vêtements lui ont été enlevés en cinq secondes : elle est pelotée, enfournée, éperonnée par des queutards déchaînés. Ils la prennent en tournante, essayant toutes les combinaisons possibles, à l'exception de son anus.

Par chance, dès qu'un de ses violeurs a exprimé de l'intérêt pour sa porte arrière, elle a été capable de faire commerce de sa bouche, de ses mains, de ses seins ou de son vagin pour le combler. L'un d'eux a même exigé qu'elle le branle avec ses pieds.

Comme demandé, le caméscope a tout enregistré : la jeune femme suçant une queue tout en se faisant prendre en levrette ; sur le dos, une bite dans la bouche, et une dans chaque main ; une coulissant entre ses seins tandis qu'une autre lui martèle le vagin.

Pour terminer cette soirée de débauche non voulue, Aurore se retrouve au centre des trois maghrébins à la queue bien dure, allant sur ses genoux d'une bite à l'autre.

Une dizaine de préservatifs ont été utilisés et remplis.

Finalement, après avoir passé une vingtaine de minutes sous la douche à essayer de se laver pour effacer toute trace de cette débauche, elle sort de la salle de bains en portant sur elle l'une des robes de chambre de l'hôtel. Pour s'apercevoir qu'en l'attendant, les individus ont vidé le contenu des condoms dans une coupe de champagne.

- Un dernier verre pour la route? s'esclaffent-ils pendant que la jolie nymphe avale le verre de sperme offert, laissant un épais filet de foutre s'écouler du coin de sa lèvre.