L'avilissement d'Aurore - Partie 03

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Une nuit des plus sauvages...
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/19/2020
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Chapitre 6 -- Sodomie et polygamie

La journée est pourtant loin d'être finie pour l'auxiliaire qui, moins de deux heures plus tard, se retrouve nue et à quatre pattes sur le lit. Derrière elle, l'élu du Conseil régional :

- Cambre-toi bien, Aurore! Tu as un de ces culs! Quel joli derrière! Rond, ferme, tonique, haut perché!

Et le politicien de caresser, de toucher, de peloter et de malaxer le merveilleux postérieur qui s'offre à son regard. Puis, il pose ses mains bien à plat sur chaque fesse et, doucement, les écarte au maximum, découvrant par cette manœuvre toute l'intimité de la beauté. Sa langue se pose directement sur le petit œillet, tandis que l'employée d'administration le conjure d'arrêter, espérant en vain un peu de compassion :

- Je vous en prie... Je vous en supplie... Même mon mari...

Le Président la coupe et termine la phrase à sa place : - ... Ne m'a jamais enculée, c'est cela? Eh bien, comme je suis devenu depuis quelques jours un peu ton second époux, il me semble que j'ai désormais le droit d'aller là où aucun autre homme n'a été! Enfonçant sa langue dans la caverne secrète, il se saisit de l'un des seins de la jeune mariée. Se relevant, il commence, à l'aide de gel, à masser délicatement le rectum et à y introduire un, puis deux, et enfin trois doigts. Il les fait lentement coulisser dans l'anus d'Aurore, qui n'a jamais été aussi abaissée, et bientôt souillée.

Positionnant sa queue contre la rondelle ainsi élargie, il gifle l'une des fesses de la belle, pour détourner son attention et, l'instant suivant, s'enfoncer jusqu'à la garde dans l'anus :

- Je suis sûr que tu vas finir par aimer, ma chère! Je te prends par le cul et tu ne peux de toute façon ne rien y faire! Tel est mon bon plaisir et je compte bien en profiter souvent!

La subordonnée gémit d'une voix à peine audible, mais son bourreau n'en n'a cure : - Un derrière pareil est fait pour la sodomie. Je ne vais pas m'en priver et j'en ferai profiter d'autres! Joignant le geste à la parole, il fait coulisser son membre d'avant en arrière, s'insinuant le plus loin possible dans l'orifice de la malheureuse.

Le gland, en buté contre la corolle, est comme aspiré et disparaît dans la rondelle distendue.

-- Aaaaaahhhh...Aaaaaaahhhh... J'ai maaaaaaaaalll! hurle la jeune femme.

Au cours de cette terrible intromission, l'assistante administrative ne cesse de geindre, le souffle coupé par la douleur. Elle a l'impression qu'un énorme fer rouge s'est introduit jusqu'au fond de son rectum. Elle n'y est pas préparée. Des larmes envahissent ses yeux grands ouverts et des gouttes de sueur coulent sur son visage.

-- Je vais t'exploser ton fion de salope, lâche soudain son « patron », qui utilise rarement un tel langage.

-- Hhhhhooooompppfffff!

L'élu la saisit fermement par ses hanches et commence doucement à se retirer. Et quand il ne reste plus que le gland, il s'arrête et s'enfonce à nouveau dans le postérieur sans défense.

-- Aaaaahhhhh, vous me faites maaaaaalll!

Quand son bas-ventre heurte la croupe tendue, il se retire d'un seul coup, répétant cette opération plusieurs fois : il replace son nœud sur le petit trou qui arrive encore à se refermer, pèse légèrement contre et, voyant la blonde se crisper, lui assène une claque formidable sur son derrière. La fille, surprise, se relâche et Daniel Guérin en profite pour s'engager à nouveau jusqu'au plus profond de l'étroit orifice :

-- Aaaaaaaaahhhhhhahhahhhhhh... Arrêtez! Je vous en supplie!

L'homme politique va et vient dans le conduit dilaté, s'en donnant à cœur joie, giflant les fesses rebondies. Ne parvenant plus à retenir son éjaculation plus longtemps, il se lâche dans le rectum d'Aurore, non sans une dernière parole : - Avant, tu es étais mon inaccessible phantasme, maintenant tu es mon enculée chérie! Se retirant enfin de l'anus perforé, le Conseiller régional s'en va prendre une douche, laissant sa victime effondrée sur le lit. Une fois lavé, il l'invite, d'une petite tape sur les fesses, à prendre un bon bain pour mieux laver ce « beau cul qui vient de servir ».

D'autant que tous les deux sont attendus dans un peu plus d'une heure au restaurant de l'hôtel. Observant la créature de rêve qui, après sa toilette, a entrepris de se peigner les cheveux vers l'arrière, il ne peut masquer un sourire de contentement : il n'aurait jamais imaginé un jour pouvoir la soumettre à ses fantaisies.

Le Président observe la mariée se sécher avec une serviette et dont les seins tremblent sous le frottement vigoureux. Il s'émerveille de l'innocence sans faille du corps dénudé de cette femme qu'il vient de profaner. Ses mamelons dansent sur les globes frémissants, puis disparaissent derrière le rideau de sa chevelure humide alors qu'elle se penche en avant. Le sèche-cheveux peluche sa crinière, tandis qu'elle l'apprivoise avec une brosse circulaire, en faisant des vagues douces pour encadrer son joli visage. Elle s'arrête une minute pour baisser les bras et boire plusieurs gorgées de la tasse de thé que Daniel Guérin lui a apporté, officiellement pour s'excuser pour le désagrément anal qu'il vient de lui infliger longuement.

Décidément, il n'est doué en rien, pense-t-elle. Ce thé n'est pas très bon. Sans doute l'a-t-il fait infuser trop longtemps. Mais avec un haussement d'épaules, elle vide la tasse au goût bizarre, en se pinçant les lèvres. Quelques passages de plus pratiqués avec le peigne et ses cheveux tombe doucement sur ses épaules. Il la regarde se pencher pour laisser ses seins se glisser dans les bonnets de satin de son soutien-gorge puis se pencher en arrière pour en attacher les crochets. Elle fouille ensuite dans son tiroir à sous-vêtements pour trouver le string assorti, puis marmonne quand elle ne le trouve pas. Il est vrai que le Chef de délégation l'obligeant à partager sa chambre, elle a dû changer de place une partie de sa garde-robe.

Enfin habillée, elle paraît un peu chancelante lorsqu'elle pose une main sur le mur pour glisser ses pieds dans des chaussures à haut talon. L'élu remarque que ses iris ont commencé à s'agrandir. Elle marche de façon instable en allant vers la porte de la chambre. Quand ils arrivent au restaurant, elle est visiblement détendue. Ses joues sont d'une rougeur anormale et ses mouvements sont des plus langoureux.

Le maître d'hôtel les attend et les conduit à travers une salle à moitié bondée, jusqu'à une table située en retrait, dans un coin tranquille. Trois convives y sont déjà installés : elle reconnaît les deux Vice-Présidents du Conseil régional et le Préfet béninois.

Les hommes la regardent avec concupiscence, alors qu'elle passe pour peu ivre, sous l'effet des pilules que Daniel Guérin a préalablement et méticuleusement écrasées dans le thé.

Elle n'a pas encore bu d'alcool, mais le politicien, ayant lu les effets secondaires du médicament ingurgité, sait que quelques verres suffiront pour la faire passer à un état d'ébriété.

Le Conseiller régional l'aide à s'installer à table et elle semble ignorer que les mains de l'homme s'attardent sur ses épaules nues. Elle ne remarque pas le clin d'œil inquiétant que son « patron » échange avec les trois autres invités. L'auxiliaire est tournée vers Jean-Marie Leblanc, avec qui elle converse. Elle ne voit pas Vincent Pivert remplir le verre de champagne presque vide devant elle. Sa deuxième coupe est à peine terminée que déjà le Préfet propose un toast et lui tend un verre de vin blanc. Ses iris sont maintenant complètement dilatés. Il lui faut désormais beaucoup de temps pour répondre à la question la plus simple et sa voix apparaît pâteuse, ses mots étant de plus en plus mal articulés et agencés.

Le Président, lui, prend de plus en plus de libertés, traînant sa main sur son dos, la laissant ensuite tomber pour jouer avec l'étendue croissante de sa jambe qui se montre largement.

L'ourlet de la robe de l'adjointe a migré au-dessus de ses cuisses et l'élu traîne son doigt sur la peau nue ainsi exhibée : - Tu portes parfois un porte-jarretelles? lui demande-t-il avec facétie. L'assistante regarde ses propres genoux comme si elle essayait de comprendre ce qu'elle montre. Elle cherche à moitié à se couvrir et marmonne, de manière ridicule : - Ce sont mes cuisses. Elles se maintiennent d'elles-mêmes.

- Et ta culotte? Elle reste toujours en place ou elle descend facilement?

L'employée d'administration semble déconcertée par la question, alors que les autres rient.

- Eh bien? la presse-t-il comme si la question avait été sérieuse : - Parle-nous de ton tanga, Aurore. Est-ce que tu l'enlèves parfois pour d'autres hommes que ton mari?

La jeune femme ne comprend pas. Ses pensées sont pénibles et confuses. La voix de Daniel Guérin sonne creuse et déconnectée de son visage souriant. Dans sa lutte pour se concentrer sur ce qu'il dit, le reste de la salle à manger se réduit soudain à un microcosme et elle n'est plus que vaguement consciente des autres personnes.

Le Conseiller régional remonte la robe au maximum et la fille s'avère incapable de rassembler ses idées pour arrêter cette progression : -- Regardez-moi cela! glousse-t-il à l'adresse des autres invités en soulevant le vêtement pour montrer ladite culotte.

Jean-Marie, le Vice-Président, pêche tranquillement un glaçon dans son verre et le laisse tomber sur la peau nue de la subalterne, au-dessus de ses cuisses. Celle-ci crie de surprise et écarte les jambes sans réfléchir, désarçonnée par la glace fondante.

La main du vieux chauve profite de cet instant d'inattention pour introduire l'un de ses doigts dans la fente de la blondinette, profitant de la lenteur de réflexion de cette dernière. Celle-ci gémit, sans que l'on sache s'il s'agit d'une protestation ou d'une marque de plaisir. D'autant que le pouce et l'index du sexagénaire ont rapidement trouvé son clitoris. Cette sensation agréable apaise toute objection éventuelle dans le cerveau embrouillé d'Aurore. Pour le moment, le centre du plaisir l'emporte sur sa pensée rationnelle. C'est la première fois, depuis le début de la mission au Bénin et des humiliations endurées, que ses cuisses s'ouvrent presque d'elles-mêmes.

Les doigts travaillent sans relâche son entrejambe, titillant et faisant rouler son bouton d'amour, et font haleter la créature de rêve d'excitation. Son sexe est bientôt trempé et suffisamment mouillé pour que les attouchements subis provoquent des bruits incongrus dans son lieu privé. Aussi confuse qu'elle soit, la secrétaire a encore assez de bon sens pour montrer une certaine réticence.

-- Ton string est humide, Aurore, il est temps de l'enlever! suggère Daniel Guérin, sachant qu'elle n'est pas capable de relier les idées dans son esprit. Il remonte à nouveau l'ourlet de sa robe, mais cette fois jusqu'au ventre plat de la subalterne :

- Enlève-le pendant que personne ne regarde, insiste-t-il : -- Fais-le sans attendre! Tout de suite!

La subordonnée, à moitié hagarde, soulève ses fesses de la chaise et fait passer le sous-vêtement délicat sur ses genoux avant de lever, l'un après l'autre, ses pieds pour retirer complètement celui-ci. Elle est désormais cul nu sur son siège, fort heureusement caché à la vue des autres clients du restaurant. Le Président récupère le dessous et l'étale sur la table. Il n'est en réalité que légèrement humecté.

L'élu le presse néanmoins sans vergogne contre son nez avant de passer le trésor de dentelle aux trois autres hommes pour leur permettre d'apprécier ce parfum intime.

A la fin du repas, après avoir à nouveau ingurgité deux grands verres de vin rouge, Aurore, titubante, s'appuie sur les bras des deux Vice-Présidents, tandis que leur leader exhibe la clé de la chambre de l'auxiliaire, ce qui permet d'ouvrir la voie vers l'ascenseur. Dès que les portes de celui-ci se referme, il embrasse l'auxiliaire goulûment, qui est incapable de résister et de faire valoir ses objections. Elle passe d'un individu à l'autre en l'espace de quelques secondes, chacun, y compris le Préfet béninois, engouffrant sa langue dans la bouche de la femme désorientée...

Parvenus à la chambre de la belle nana, les hommes se mettent à l'aise, enlevant leur veste de costume et se servant dans le mini -- bar. Le Conseiller régional s'éclipse quelques instants avant de revenir avec un caméscope sorti tout droit de sa valise.

Celui-ci est installée dans un coin de la pièce, près du lit, afin d'avoir une vue d'ensemble.

La subalterne se tient debout au milieu de sa suite, incertaine de la raison de la présence de ces quatre personnages. Il n'y a pas assez de place pour qu'ils puissent tous s'asseoir, sauf sur le lit, pense-t-elle, de manière débridée et incohérente.

Les invités défont à présent leur cravate. Alors qu'elle veut prendre une chaise, Vincent Pivert lui demande de se déshabiller. Elle sent la fermeture éclair de sa robe descendre lentement le long de son dos, tandis qu'elle s'agrippe maladroitement pour tenter de préserver sa pudeur. Le soutien-gorge est ensuite rapidement dégrafé de son buste. Et la main du Vice-Président caresse déjà sa poitrine.

-- Enlève tes vêtements, Aurore! ordonne Daniel Guérin : - Montre à mes amis la beauté de ton corps et tes charmes incroyables! Il est plus que temps que tu te dévoiles!

Désemparée et confuse, les yeux vitreux, elle trouve péniblement la fin de la tirette de sa ravissante tenue et termine de l'abaisser. L'habit glisse de ses hanches et tombe jusqu'à ses pieds. L'air frais de la pièce donne la chair de poule à la peau exposée. Ses tétons dressés palpitent avec une sensibilité qu'elle peut sentir.

Mécaniquement, elle pousse sa tenue sur le côté lorsqu'elle s'est amassée autour de ses pieds. Ses jambes sont magnifiques, ses seins ronds et fermes, son sexe presque glabre, surmonté uniquement d'une petite bande de poils pubiens blonds, ses fesses toniques. Tandis que le dirigeant affiche un sourire satisfait, les trois autres hommes ne manquent de faire part de leur plaisir : le corps de la jeune femme est encore plus beau que ce qu'ils imaginaient dans leurs rêves les plus fous...

- Bouge ta poitrine pour nous, devant la caméra! encourage l'élu, et la fille berce le haut de son corps jusqu'à ce que ses miches se secouent et se balancent pour la caméra.

Jean-Marie Leblanc s'est rapidement dévêtu et se tient derrière elle, en se pressant contre son postérieur alors que ses mains prennent possession de ses globes mammaires. Elle inspire fortement lorsqu'il pince ses mamelons tendus :

- Humm! Très beaux nichons! On va bien s'amuser, charmante secrétaire!

Son autre main descend vers le mont de vénus, son genou écartant l'entrejambe. L'employée ouvre ses cuisses pour lui donner plus d'accès, alors qu'il la fouille avec son majeur. D'un air goguenard, il ressort celui-ci, luisant de mouille :

- Elle est trempée! Notre respectable assistante administrative est visiblement prête à se faire désosser!

- C'est bien cela, Aurore? Tu es prête à te faire défoncer pour payer ton dîner? renchérit Guérin, qui fait rouler dans sa poche une petite fiole de liquide orangé : bientôt, une fois versées, quelques gouttes de feu d'ange sur son clitoris la rendront sauvage.

Toujours l'air décontenancée, elle tient le poignet du Vice-Président qui la fouille en taquinant vicieusement son bourgeon d'amour jusqu'à ce que ses fesses commencent à onduler en réponse. Elle respire par petits halètements et grimace à chaque fois que le pouce passe sur son capuchon en érection. Le bruit obscène émanant de son entrecuisse témoigne de l'abondance de ses sucs. Jean-Marie a maintenant trois doigts qui plongent en elle et elle s'écrase contre sa main en roulant ses hanches de manière lubrique avec une urgence qui indique clairement qu'elle veut un orgasme. Il l'aurait bien laissée jouir avant de la chevaucher, mais le « patron » a d'autres projets. Quittant sa caméra et cédant le tournage à Vincent Pivert, il l'allonge sur le lit et, tandis qu'elle pleure de frustration, il s'agenouille entre ses jambes et passe un liquide épais et visqueux sur son bouton.

Pendant quelques secondes, elle fait une pause, puis gémit dans une sorte d'angoisse sexuelle. Elle se balance d'avant en arrière et se mit à crier :

- S'il vous plaît, j'ai besoin de sexe! Baisez-moi!

Le « feu d'ange » a commence à agir. La subalterne ne peut plus rester immobile et son cul s'est détaché de la literie dans un besoin évident.

Invitant le Préfet à « lui passer dessus en premier », le Conseiller régional lui écarte les cuisses, permettant à son ami noir, doté d'une imposante mentule, de se glisser en elle pendant qu'elle se tord sur le matelas, arquant son vagin vers lui en signe de supplication. Ses mains ont saisi le postérieur du Béninois et l'attire vers elle, tandis qu'elle lui offre sa chatte, ne laissant aucun doute sur ce qu'elle veut vraiment. Chaque fois qu'il la pénètre, elle hurle et marmonne de façon incohérente jusqu'à ce que, après seulement une douzaine de coups, elle crie et subit de plein fouet un orgasme intense. Même Guérin, revenu derrière le caméscope, est étonné de la puissance de sa jouissance. Son corps mince aurait dû être écrasé par la masse du Préfet, mais elle s'est précipitée contre lui avec une telle passion qu'elle l'a soulevé avec ses poussées maniaques. A peine la première secousse de plaisir s'est-elle terminée, via des tremblements, qu'une seconde vague l'emporte à nouveau par-dessus bord. Des halètements et des geignements de plaisir emplissent la pièce et signalent son désir de forniquer sans retenue.

Lorsque le black éjacule enfin, il apparaît soudain plus calme que la jolie blonde. Il sort d'elle épuisé et haletant. Elle se tord toujours sur le lit, en proie à un désir inassouvi.

Jean-Marie lui succède, Aurore et ses doigts avides prenant le contrôle de son pénis en érection et le frottant contre sa vulve. Mais le Vice-Président à d'autres projets pour elle : couvrant l'anus de salive, il sonde les fesses avec un doigt et positionne son sexe face à l'œillet. La belle secrétaire beugle lorsqu'il franchit l'ouverture.

Vincent, lui, en profite pour présenter sa queue à hauteur de son visage et les trois corps se mêlent, puis lentement un rythme de poussée et de traction s'établit et la subordonnée se retrouve embrochée par les deux pines, l'une dans sa bouche et l'autre dans son rectum. Les yeux fermés, elle grogne de bien-être, tandis que les deux hommes atteignent le nirvana et crachent longuement leur foutre en elle.

Elle est devenue une poupée de chiffon, trop fatiguée pour faire autre chose que de recevoir les hommages crémeux de quatre mâles dans ses orifices bien utilisés. Le Préfet est revenu pour se faire sucer son énorme queue. L'employée d'administration est trempée de sueur, après avoir été baisée et enculée si minutieusement.

Il frotte son sexe gonflé sur sa joue, puis le traîne sur ses lèvres : - Allez, suceuse de bites, montre-nous ton talent! murmure-t-il. Elle gémit un peu, mais sa bouche s'ouvre et sa langue titille le gland et lèche la hampe. Le Béninois poursuit :

- Bon coup de langue, chuchota-t-il. - Tu vas devenir très bonne à cela d'ici peu, avec un peu d'entraînement. Lèche-moi les couilles et la rondelle à présent! Et les trois autres spectateurs de regarder le muscle rose de la jeune femme passer sur le scrotum. Guérin n'a pas manqué de rapprocher la caméra pour filmer l'acte dégradant.

- Mets ton doigt dans ton cul, ordonne sèchement le black. Elle mouille son majeur dans la source de son propre jus, avant de se l'enfoncer dans l'anus. - Retire-le maintenant et joue avec ta chatte. Il est évident que le nommé Désiré veut l'humilier le plus possible. La main de la jolie blonde s'est déplacée entre ses jambes.

Le Président, pendant ce temps, a de nouveau enduit le clitoris d'Aurore avec des gouttes de feu d'ange. Touchant avec son doigt mouillé le tissu rose brillant entre ses cuisses, elle a de violents spasmes qui lui font craquer les hanches et grincer des dents. Ses doigts se sont désormais profondément dans sa chatte et elle semble possédée, tandis que le Préfet inonde sa gorge de semence masculine. Les quatre individus présents dans la chambre la regardent pendant qu'elle se doigte elle-même, les orgasmes, incontrôlables, se succédant les uns après les autres.

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