La Villa Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Trois semaines après sa sortie de l'hôpital, Stéphanie est allongée sur son grand canapé. Elle lit un bouquin, un verre de vin posé sur la table-basse. Elle est complètement nue sous son peignoir. Ses cheveux mouillés, emmitouflés dans une serviette. La jeune femme lit un Jules Verne. Elle aime bien l'auteur, ne l'a jamais lut durant sa jeunesse en foyer. Alors elle rattrape le temps.

Elle pouffe quand son peignoir s'écarte. Dévoilant sa superbe poitrine.

- Alors vous voulez vous montrer? Mais il n'y a aucun homme pour vous voir!

Stéphanie le referme en souriant. Au moins se dit-elle le sexe ne lui manque pas. Même si un homme pour la câliner lui ferait du bien. Elle n'a pas lut une ligne que le peignoir s'écarte de nouveau, tandis que la température semble monter de quelques degrés.

- Vous avez chaud, pervers? Allez, on rentre à la maison.

Cette fois, à peine le peignoir refermé, il s'écarte de nouveau, encore une fois. Stéphanie qui commence alors à paniquer, regarde autour d'elle. Mais la maison est vide, l'alarme enclenchée. Sûrement un retour de son agression. Elle va pour refermer une nouvelle fois son peignoir, que son verre s'envole dans la pièce, s'éclatant contre le mur de droite, situé à plusieurs mètres d'elle.

Stéphanie s'assoit vivement. Mais une gifle puissante frappe son visage. Elle crie. Une seconde gifle arrive, la sonnant presque. Stéphanie se lève. Elle n'a pas le temps de faire un geste, que son peignoir est arraché, il semble voler puis atterrir à l'autre bout de la pièce de vie. La laissant nue comme au premier jour. Une nouvelle fois, des mains féminine relève ses bras, les maintiennent par les poignets, tandis qu'une poigne puissante lui écarte les cuisses. Un corps lourd, mais invisible se couche sur elle. Stéphanie se dit que ce n'est pas possible, qu'elle doit faire un cauchemar. L'homme invisible comme les fantômes n'existent pas. Pourtant elle ne peut pas voir celui qui l'agresse. Mais l'instant d'après cette pensée est chassée par un énorme pal qui lui pénètre le sexe. La malheureuse reconnaît l'engin qui l'a violée la dernière fois, dans la salle-de-bain du rez-de-chaussée. Deux sexe de cette taille ne peuvent exister sur cette planète.

Stéphanie hurle quand le pieu qu'elle ne peut voir déchire son intimité. Elle sent cette chose en elle, qui se met à aller-et-venir. La baisant. Stéphanie croit devenir folle, est persuadée d'être folle. Une entité invisible, cela n'existe pas. Encore moins une entité si perverse qu''elle violerait une humaine de chair et de sang. Pourtant la douleur est là, la longueur, l'épaisseur aussi. Même si seul Aurélien la déjà possédée, la pauvresse reconnaît bien là un rapport sexuel. Elle voit même dans la télé le reflet de son corps, de ses cuisses largement écartées, de sa vulve grande ouverte. Ce n'est pas possible, un cauchemar ne peut avoir autant de détail, être aussi réaliste, douloureux. Car pour morfler, elle morfle. Le sexe qui la taraude ne se contente pas de la violer, il lui détruit le sexe. Il cherche à lui faire mal, très mal, et il y réussit très bien.

Une fois de plus, le corps de Stéphanie est profané, une fois de plus un corps est couché sur elle, une fois de plus elle est violée. Ses seins volent en tout sens, son sexe la brûle horriblement, elle pleure de tout son saoul, de toute son âme. On la prend comme un morceau de viande, sauf que l'entité qui fait ça n'est pas humaine, n'est pas visible. Une bouche se pose sur la sienne, une langue s'insinue dans sa cavité buccale, se mélange de force à la sienne. Des mains pétrissent maintenant ses seins, elle en voit les traces dessus, comme dans le vieux film d'horreur. Mais rien, rien d'autre n'est visible. Pourtant, elle ressent ce viol dans tout son être, tout son corps.

Puis le corps qui la force, accélère le rythme, la cadence, la violence. Comme avec un homme de chair et de sang, elle comprend ce qui se passe, l'entité va jouir en elle. Ce n'est pas possible, ce n'est pas scientifique ou cartésien, un fantôme ne peut pas jouir... Mais c'est ce qui arrive, l'engin monstrueux planté en elle, se fige d'un coup au plus profond de son vagin. Plusieurs jets torrentiel d'un liquide tiède jaillit dans son intérieur, l'inondant, la remplissant.

L'engin se retire alors d'elle, enfin bien vidé. Le corps se relève, puis il n'y a plus rien. Stéphanie, choquée, reste les jambes écartées. Elle porte une main à son sexe, d'où s'écoule le poison que son assaillant à craché en elle. La jeune femme en prend sur ses doigts, remonte sa main devant ses yeux. Il n'y a pas de sang, c'est déjà ça. Par contre, il y a de la semence masculine, blanche, épaisse. Mais rapidement cela se transforme en eau. Elle remet la main sur sa vulve, gémit de douleur tant elle lui fait mal, une nouvelle fois elle remonte sa main, là encore il n'y a plus que de l'eau.

Dans son cerveau martyrisé de victime, Stéphanie comprend tout. C'est ce truc invisible qui l'a violée dans la salle-de-bain. Il n'y a pas eut d'épisode psychotique ou de coup de folie. C'est pour cela qu'il n'y a eut aucune trace, c'est déjà ce fantôme qui l'a violée. Ou un être d'une autre dimension, peut-être qu'elle est la preuve que Einstein à raison avec ses dimensions multiples... Mais la malheureuse Stéphanie n'a pas le temps de penser à autre chose. Elle sent une main lui attraper les cheveux, la forcer à se relever, l'entraîner vers la grande table qui trône au milieu de la pièce.

Avec ses mains, elle tente de faire lâcher prise à la chose. Elle sent bien les doigts qui la maintienne, mais il est trop fort. Quand elle est arc-boutée sur la table, la jeune femme sait qu'il va recommencer, qu'il va la violer de nouveau.

- Pitié... pas encore... pas encore...

Mais comme un violeur humain, l'entité se moque de ses suppliques. Le pal énorme se pose de nouveau contre sa vulve, la pénètre de nouveau d'un seul coup, la faisant hurler de douleur. De nouveau la bite monstrueuse se met à aller-et-venir brutalement, rapidement en elle. Stéphanie entend le bruit de la table qui grince tandis que son bourreau la prend à grands coups de reins. Elle sent la main qui plaque son dos contre la table, l'autre main qui écrase son crâne contre le bois. Mais surtout ce ventre dur qui heurte ses fesses fermes. La pauvresse est trempée de sueur, si trempée, que des bruits de grandes claques mouillées résonne dans la pièce, au milieu de ses hurlements. Elle bave énormément, tout en hurlant continuellement.

Cette fois, après une première éjaculation, l'entité dure plus longtemps dans son corps. Comme si un véritable humain est en train de la prendre. Il savoure son étroitesse, le douillet de son vagin. La douleur dans son ventre est atroce, son agresseur frappe de son gland son col-de-l 'utérus. Stéphanie le sent à chaque fois. Ses mains griffent le bois, sa joue lui fait mal à force d'être frottée sur la table. La pauvresse ne tente plus de se débattre, elle ne peut plus faire qu'une chose, subir et attendre la fin de cette nouvelle agression. Ses yeux se fixent sur la pendule qui égrène les secondes, les minutes. Cela diminue un peu sa douleur de regarder le temps défiler, pas sa douleur physique, non, mais sa douleur mentale d'être un simple objet de plaisir pour cette mystérieuse entité. C'est encore pire à vivre que lors d'un viol normal. Enfin, tout du moins, si un viol peut être normal...

Sous ses yeux, les secondes défilent, puis les minutes. Une minute, puis cinq, puis dix, puis quinze. Son violeur ne semble pas baisser de rythme, gardant toujours le même, puissant, brutal, méchant. Il la défonce avec la régularité d'un métronome. Le temps continue de passer, jamais Stéphanie n'a crut qu'une minute peut être aussi longue à vivre. Et ce viol qui continue et continue, comme si il ne veut jamais s'arrêter. Trente minutes qu'il la prend, puis trente-cinq, puis quarante. Stéphanie n'en peut plus, elle est vide, elle n'a même plus la force de crier. Alors la jeune femme au corps profané se contente de gémir en cadence, de lâcher un petit cri quand, lors d'un coup de reins plus violent, son bourreau lui fait encore plus mal. Quarante-cinq minutes de coït, son corps dégouline de sueur, ses cheveux colle à sa peau, une flaque de bave s'agrandit sur la table, juste devant sa bouche. Ses yeux rougis par les larmes, dégoulinent de pleures qui lui ravinent le visage. Le bout de ses doigts sont en sang à force de gratter le bois. Et lui continue, encore et encore. Cinquante minutes, cinquante-cinq minutes, une heure.

Après une heure dix de viol, son assaillant invisible accélère enfin ses coups-de-reins, ce que, au-delà de la douleur, Stéphanie accepte presque avec soulagement. Il va enfin se vider en elle, il va enfin la laisser tranquille. Une heure treize après qu'elle est commencée à fixer la pendule, il se fiche enfin en elle. Il se déverse dans son ventre, lui octroyant un affreux lavement vaginal à base de sperme. Mais le plus incroyable c'est cet hurlement de plaisir qui explose à ses oreilles. Un cri de bonheur d'une voix grave comme elle n'en a jamais entendu, une voix d'outre-tombe. Un orgasme bruyant qui lui glace le sang, tandis que le pal toujours enfoncé en elle, se déverse encore dans son corps. Il y en a tellement, que cela déborde, elle sent la semence tiède couler le long de ses cuisses, avant de ruisseler sur ses jambes, pour finir par tremper ses pieds. Enfin le pieu qui la taraude se retire de son corps, Stéphanie ressent un vide, l'air frais entrer dans sa vulve grande ouverte. Puis elle glisse lentement de la table. Quand son corps s'écrase sur le sol, elle ne le ressent pas. Enfin, la malheureuse s'est évanouit.

Mais la chose n'en a pas fini avec elle. Il couche Stéphanie sur le dos, lui écarte de nouveau les cuisses, la pénètre une nouvelle fois. Son corps aux cuisses écartées, au sexe grand ouvert sur une bite invisible, le subit en étant secoué en tout sens. Par contre, cela ne la tire pas de son évanouissement, elle ne se réveille pas plus quand après une nouvelle heure de viol, il la remplit de nouveau. Après avoir jouit en elle, l'engin se retire. Une main caresse les cheveux de la jeune femme évanouit. Une voix rarement entendu sur terre se fait alors entendre.

- La prochaine fois, je serais complètement vide avant de te prendre. Je pense que je testerais ton anus, sale chienne!

Jamais Stéphanie ne sera au courant de ce troisième assaut sexuel.

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