La Villa Ch. 02

Informations sur Récit
Une entité invisible et pervers fait son entrée...
5k mots
4.29
5.6k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/21/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ce récit fantastique, teinté d'horreur, n'est pas à mettre entre toutes les mains. Le viol en est son fondement. Seul un public majeur et avertit pourra le lire. Seul un public aimant ce genre de texte l'appréciera, du moins je l'espère. Il est donc réservé au moins de dix-huit ans, au amateurs de rapports forcés. Je rappelle que ce texte n'est que tiré de l'imagination de son auteur. En aucun cas il ne cautionne quoi que ce soit. Il y aura des moments pornographique, pervers, d'autres plus narratif, j'espère que les deux côtés vous plairont. Pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas, seul des critiques jaillirons de votre esprit. Ce serait aussi stupide que de commander le meilleur plat à base de viande dans le meilleur restaurant du monde, alors que vous êtes totalement végan. Pour les autres, je vous souhaite bonne lecture.

Pour info, j'ai classé ce texte dans « horreur », mais il aurait tout aussi bien put se mettre dans « non consentement. ». Ensuite l'histoire va commencer plus ou moins doucement, avant de basculer dans le porno horrifique. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ce texte, que j'en ai eus à l'écrire. Cordialement, Livio.

Quand Aurélien revient, Stéphanie s'est réveillée quatre fois durant leurs quatorze jours de séparation. Il semble que quand son fiancé est là, la jeune femme ne se touche pas pendant son sommeil. Elle se persuade alors que cela doit être à lui qu'elle rêve en se caressant. Le rythme habituel revient, sauf que Stéphanie se réveille systématiquement deux fois par semaine en se masturbant. Début octobre cela s'accélère, sur deux semaines, elle se réveille chaque nuit. Mais c'est différent, aucun orgasme. Elle a la sensation d'avoir été baisée, sans amour, comme si c'est juste un rapport sexuel pour que son partenaire se vide. Mais sa main sur son sexe, lui fait penser que c'est elle qui se donne du plaisir, sauf que maintenant, elle n'a plus d'orgasme, ni de plaisir. Il n'y a vraiment que quand Aurélien est là, que rien ne se passe. Depuis son séminaire, lui aussi à changé. Il ne lui fait l'amour que deux fois durant le temps qu'il passe avec elle, sans aucune brutalité dans le rapport. Le dimanche, quand Aurélien part, Stéphanie arrose son potager, au moins elle n'aura pas à le faire avant le lendemain soir. Elle y reste dix minutes avant de rentrer.

Le lundi vingt-cinq octobre, l'enfer va s'abattre sur Stéphanie. Le lundi matin, la jeune femme se réveille à huit heures. Cette nuit, elle a dormit d'une traite. Sans se réveiller, sans se masturber. Après avoir urinée, elle se rend à la cuisine. Fait couler un café, se prépare deux tartine avec un pain au lait qu'elle coupe en deux. Elle met du beurre, de la confiture de fraise. En silence, Stéphanie prend son petit-déjeuner. Elle aime ce moment. Aurélien lui manque déjà. Finalement, les deux semaines de séparation à cause de son séminaire leurs ont fais du bien. Lui est de nouveau l'homme doux dont elle est tombée amoureuse. Les deux fois où ils font l'amour le week-end, en douceur, lui plaise de nouveau, même si pour elle ce n'est pas la panacée. À chaque fois, elle a de petits orgasmes. Rien à voir avec ceux qu'elle se donne en dormant, ou du moins se donnait, mais ils ont le mérite d'être là.

En allant à la douche, Stéphanie se dit qu'elle va réaliser une de ses envies qu'elle n'a jamais osée. Se baigner nue dans une piscine. Après tout, il n'y a pas de voisin proche, personne ne peut la voir. C'est idiot de ne pas oser. La jeune femme va dans la salle-de-bain du rez-de-chaussée. Il y en a une en haut, et une en bas. Plus une salle de douche attenante à chaque chambre. Mais celle d'en bas est la plus spacieuse. Elle aurait bien prit un bain, mais elle a peur que sa décision de se baigner dans la piscine nue s'envole. Une douche s'est bien plus rapide, une fois propre, elle n'aura qu'à courir jusque à la piscine nue, et y plonger.

Stéphanie pouffe en y pensant. Elle se dit qu'il ne faut pas oublier de déverrouiller l'alarme dernier cri en tapant le code au digicode près de la porte d'entrée. La jeune femme oublie souvent de l'enlever, à chaque fois l'entreprise de télésurveillance prévient Aurélien et envoie des agents pour vérifier que tout va bien.

Elle entre dans la salle-de-bain tout sourire. Elle referme la porte, met le loquet. Une habitude qu'elle a même si elle est seule. Stéphanie s'enferme toujours pour se doucher. Y compris quand Aurélien est avec elle pour une douche coquine. Elle pose son téléphone portable qui ne la quitte jamais sur le rebord du lavabo, puis enlève son tee-shirt, le met dans la panière à linge salle. Il y a un grand miroir sur la porte. En se regardant dedans, la jeune femme se demande comme des seins aussi gros peuvent tenir droit tout seul, défiant les lois de l'apesanteur. Même si elle est timide et pudique, Stéphanie aime son corps, elle sait qu'il plaît aux hommes, trop d'ailleurs. Leurs regards lubrique, salace la mette souvent mal à l'aise. Elle déteste cet impression de se sentir comme un simple objet sexuel. Que leurs regards ne voient qu'un morceau de viande où mettre leurs queue...

Ensuite c'est son jogging qui est retirée. En voyant son sexe dans la glace, elle se dit qu'il va falloir se raser avant le retour d'Aurélien, il commence à y avoir un peu trop de poils. Elle enjambe la baignoire, Stéphanie tourne le mitigeur, le met sur chaud. L'eau jaillit, aspergeant son corps, ses cheveux. Cela lui fait du bien la réveille. La jeune femme au corps parfait laisse couler l'eau sur son corps. Ensuite elle la coupe, attrape un gel douche, en fait couler dans ses mains. Elle frictionne son corps, ses seins, son ventre, ses fesses. Elle frotte ses jambes, puis fini par son sexe. En se savonnant la vulve, Stéphanie ne ressent rien, elle se dit que consciemment c'est nettement moins bien niveau plaisir que quand elle dort. Cette pensée la fait rire.

Elle remet l'eau une fois qu'elle est bien savonnée de partout. Laisse l'eau enlever le savon. Stéphanie resterait bien des heures ainsi, mais il va falloir arrêter, aller à la piscine, se baigner nue, enfin. Elle coupe alors l'eau, puis tout bascule dans l'horreur. Sans qu'elle n'est rien vu venir, une serviette se pose sur ses yeux, lui ôtant toutes vues. Des mains puissantes attrapent ses bras, les rabattent en arrière. Une main maintient ses poignets dans son dos. Stéphanie tente bien de se débattre, mais l'homme est bien trop fort.

Un coup de poing dans le coin gauche de son menton, suivit de deux autres dans le ventre, la plie en deux. Stéphanie se rend alors compte qu'elle pleure, mais le tissu de la serviette absorbes ses larmes. Elle crie aussi, mais personne ne peut l'entendre. Elle est seule ici, son voisin le plus proche trop loin. Hurlante, elle se retrouve à genoux. Un sexe masculin pénètre sa bouche, passe sur sa langue, s'enfonce dans sa gorge. Son visage est plaquée contre un ventre d'acier, elle ne peut plus respirer. Elle vomit, mais le pal ferme la voie trop hermétiquement, elle est obligée de tout ravaler.

Derrière la serviette, elle sent ses yeux s'agrandirent, presque sortir de leurs orbites, aucun once d'air n'arrive à entrer. Elle tente bien de reculer sa tête, de trouver un peu d'air, mais une poigne de fer la maintient contre le ventre de son violeur, dont elle sent les testicules contre son menton. Elle ne peut pas ouvrir plus la bouche, le membre énorme occupe toute la place dans sa cavité buccale, étirant ses commissures au-delà des leurs possibilités. Stéphanie n'a jamais imaginé qu'un sexe masculin, avec une telle circonférence puisse exister.

Puis le pieu se recule, un peu d'air atteint ses poumons. Quelques secondes à peine. Le monstre qui la prend se met alors à lui baiser la bouche. Stéphanie fait bouger sa langue, pour lui trouver une place, procurant ainsi bien involontairement du plaisir à son bourreau. Une main maintient l'arrière de son crâne, une autre la fait maintenant aller et venir sur le chibre qui la force. Stéphanie se demande au fond de son horreur qui lui tient alors les poignets dans le dos. Les mains sont plus petites, comme ceux d'une femme. Mais comment une femme peut-elle aider au viol d'une autre ? Fusse-t-il buccale ?

Mais rapidement cette pensée est chassée par la douleur que le viol de son visage lui octroie. Stéphanie se demande comme avec une telle violence, son nez ne se casse pas, sa mâchoire ne se disloque pas, sa gorge n'éclate pas. De longues minutes, elle est forcée ainsi, hurlant dans le sexe qui fait office de bâillon de chair. Sa gorge la brûle, elle transpire abondamment, tremble. La bite la pilonne, elle bave énormément. Il y en a tellement, que ça lui ressort par le nez, par la bouche quand l'engin se retire presque entièrement. Son menton, son torse, ses cuisses sont recouverte de sa bave. Puis le pieu s'enfonce une dernière fois totalement en elle, le ventre s'immobilise contre son nez. Un flot torrentiel de semence jaillit dans sa gorge. De nouveau la bouche fermée hermétiquement, Stéphanie n'a d'autres choix que de tout avaler.

Puis le pieu se retire, elle recrache un peu de sperme, elle en sent à la commissure de ses lèvres. La première fellation faîtes par Stéphanie n'est rien d'autre qu'un viol buccal monstrueux. Mais ce n'est pas fini pour elle. De nouveau elle hurle. Comme si elle ne pèse pas plus qu'un fétu de paille, la jeune femme est soulevée dans les airs par les cheveux. Elle est balancée sur le sol de la salle-de-bain, s'y écrase sur le dos. Heureusement qu'il y a un grand tapis, sinon, elle se serait brisée tout les os dorsaux. Là le moelleux du tissu absorbe le plus gros de l'onde de choc, mais la douleur est là, fulgurante, violente. Stéphanie tente de se relever, mais on la maintient au sol. Ses bras sont tendus au-dessus de sa tête, maintenu par les poignets par les mains féminine à la force incroyable. Ses cuisses sont écartées, un poids se couche sur elle. La malheureuse hurle comme une démente en comprenant qu'elle va se faire violer. La serviette toujours en place, elle ne voit toujours rien. Son agresseur n'a pas dit un mot, ne fait pas un son. On lui enfonce un truc dans la bouche, étouffant ses hurlements. Plus pour la faire taire, pour pouvoir la violer en silence, que pour ne pas attirer l'attention de voisins qu'elle n'a pas.

Quand elle sent un gland énorme contre sa vulve, Stéphanie se débat comme une bête sauvage. En vain, l'instant d'après un truc aussi gros qu'une batte de base-ball la pénètre. D'un seul coup, en entier. La douleur est sauvage, puissante, méchante. La jeune femme qui n'a connu que son fiancé, n'a jamais eus un engin aussi gros en elle. Stéphanie est certaine qu'il l'a déchirée, massacré son intérieur. Pourvu qu'elle puisse encore avoir des enfants. Au moins par voie scientifique, car pour elle, après ça, le sexe c'est fini.

Son sexe aride irradie dans tout son corps tellement la douleur est violente. Son corps arqué subit les coups de boutoirs violents de son assaillant, ses seins bougent en tout sens. Son bâillon est enlevé, des doigts s'insinuent dans sa bouche, la jeune femme ne sait pas pourquoi. Ils se retirent, des mains se posent sur ses seins, les broient. On la viole ainsi, longtemps, très longtemps, avant qu'un jet torrentiel de semence lui inonde le ventre. Stéphanie, au comble de l'horreur n'a qu'une seule pensée : pourvut que ce soit fini, qu'il soit enfin vidé.

Quand le pieu se retire, elle sent un flot de semence s'écouler d'elle. Heureusement qu'elle prend la pilule, sinon, avec autant de sperme en elle, Stéphanie est persuadée qu'elle serait tombée enceinte direct. Hélas pour elle, son calvaire n'est pas fini. Son bourreau est inépuisable. Il la met à quatre pattes, de nouveau son pieu s'enfonce dans son vagin, tapant jusque à l'entrée de son col de l'utérus. Il recommence à bouger en elle, à la défoncer. Faisant bouger tout son corps en tout sens. Avec dans cette position, en levrette, une vue incroyable sur son cul splendide. Elle ne sait pas combien de temps il la prend ainsi, mais il dure une éternité avant de nouveau, de se vider dans son corps outragé.

Quand le pieu se retire, elle est soulevée, remise debout. On la plaque contre le mur, on lui écarte les jambes, on la pénètre pour la violer encore et encore. Les seins écrasé contre le ciment, elle doit de nouveau le subir dans son ventre massacré. Elle n'a plus la force de hurler, mais elle gémit de douleur, d'horreur en continue. Stéphanie se fait violer sauvagement sur la pointe des pieds. Elle bave tellement, son corps n'est plus qu'une plaie, surtout son sexe. Les mains puissante broient toujours ses seins. Là encore son calvaire dure très longtemps, Stéphanie se demande comme un être humain peut avoir autant d'endurance. La malheureuse ne sait pas pourquoi elle pense à cela en se faisant si sauvagement prendre. Elle pense qu'il a dut prendre du viagra, c'est ça, un produit chimique pour la violer plus longtemps. Une question qui peut semble idiote au milieu d'un viol abominable. Mais ce n'est qu'un subterfuge de son subconscient pour lui faire éviter de vivre pleinement ce cauchemar. La pauvresse n'a pas la chance de tomber en état de choc ou de sidération, alors il tente d'adoucir comme il peut cet enfer.

Une nouvelle fois, le sperme de son violeur jaillit en elle. Alors que Stéphanie n'a jamais vraiment sentit quand Aurélien jouit dans son ventre, là, l'éjaculation est si abondante qu'elle la ressent au plus profond de son être. Quand il se retire, toujours écrasé contre le mur, Stéphanie glisse lentement contre le mur. Quand le corps s'éloigne d'elle, la jeune femme se met en position fœtale, position que prennent la plupart des femmes après un coït forcé et violent. Elle grogne de douleur, quand un tube rigide, bien plus petit que le sexe de son violeur entre dans son ventre. Mais le pénis de son bourreau ne la force pas une nouvelle fois. On lui enlève ses bagues, son bracelet, son ras-du-cou, ses boucles d'oreilles. Tout est en or et en diamant, valant pas mal d'argent. Mais le plus important c'est qu'on ne la touche plus sexuellement, puis plus du tout. Au bout de quelques instants, la serviette glisse de ses yeux qu'elle garde fermés. Pendant de longues minutes, Stéphanie, le corps secoué de sanglots, reste comme cela, dans cette position, les yeux fermés.

Comme une litanie, une seule pensée traverse son cerveau : « Pourquoi moi ? Pourquoi moi ? Pourquoi moi ? ». Au bout d'une dizaine de minutes, elle trouve la force d'ouvrir les yeux. Persuadée que son bourreau est toujours là, la pauvre victime n'a pas entendu la porte s'ouvrir ou se refermer. Mais non, elle est seule. Stéphanie pense qu'elle a dut s'évanouir, ne pas les entendre quitter la pièce. Il a dut remettre le loquet en place de l'extérieur, avec un tournevis ou un couteau, car la porte est verrouillée.

Une violente envie de prendre une douche l'étreint. Mais elle se retient, la malheureuse l'a vue dans des tas de séries policières ou de films, ne jamais se laver après un viol. Pour les traces, pour l'ADN. Elle met une main entre ses cuisses, c'est bien trempé. Stéphanie se demande si ce n'est que du sperme, ou si il y a du sang aussi. Il était si énorme qu'il a dut horriblement la déchirer. Puis il y a toujours ce truc en elle. Avec un effort surhumain, Stéphanie le retire de son corps. C'est le tube rigide de dentifrice que son bourreau a enfoncé dans son corps après en avoir fini avec elle, comme un dernier outrage.

La malheureuse le laisse tomber sur le sol, il roule, s'arrête contre la panière à linge sale. Stéphanie remet sa main entre ses cuisses, la soulève devant ses yeux. C'est vraiment mouillé, mais il n'y a pas de sang, on ne dirait même pas de la semence masculine. Elle regarde autour d'elle, voit son téléphone. Avec difficulté, la pauvre victime s'agenouille, l'attrape. Elle regarde l'heure, il est onze heures quarante, son agresseur à abusé d'elle pendant plus de trois heures. Avec difficulté tant ses doigts tremblent, Stéphanie déverrouille son téléphone, va sur le clavier, fait le 112. Une opératrice lui répond, elle ne comprend pas ce qu'elle vient de lui dire, Stéphanie dit juste :

- Je viens de me faire violer... par un homme... une femme l'a aidé...

Son cerveau est en mode autonome, la belle victime ne sait même pas comment elle fait pour donner des détails.

- Vous êtes où ?

- Chez moi...

Elle donne son adresse.

- J'ai fais partir les secours. Vos agresseurs sont encore là ? Vous êtes vous mise en sécurité?

- Je... je ne sais... pas... suis... enfermée... dans ma salle-de-bain... Je crois... être en sécurité...

- Restez-y, la police arrive. Ne faîtes pas de bruit. Raccrochez, restez silencieuse.

Stéphanie, terrorisée, n'attend pas la fin de ce que lui dit l'opératrice, elle raccroche, s'agenouille contre la baignoire. La jeune femme prend la tête dans ses mains, pleurant alors toutes les larmes de son corps.

Après l'appel du central, deux véhicules de la bac convergent sur les lieux. Deux autres véhicules de police quitte le commissariat. Quand ils arrivent, le portail menant à la maison est ouvert. Les deux véhicules de la Bac sont les premiers sur les lieux. Le capitaine Dubois prend la direction des opérations. Les bleus arrivent peu après. La porte d'entrée est verrouillée, toutes les fenêtres fermées, la porte arrière est également verrouillée. Ils doivent utiliser un bélier pour ouvrir la lourde porte. Tandis qu'ils pénètrent dans la maison, un véhicule des pompier et un du SAMU arrivent sur les lieux. L'alarme se met à sonner. Quatre policiers restent à l'extérieur au cas ou l'agresseur ou les agresseurs tentent de fuir. Les soignants restent dehors, attendant que les lieux soient sécurisés.

Les policiers s'éparpillent par deux dans la maison. Le capitaine Dubois et un bleu arrivent devant une porte, Dubois essaie de l'ouvrir, elle est solidement fermée.

- Madame, vous êtes là ?

Aucune réponse.

- Madame, c'est la police, vous nous avez appelez. Répondez...

Stéphanie qui a vu des tas de films où les voyous se font passer pour des flics hésite. Les sirènes qui résonne devant la maison ne la font pas réagir. D'une toute petite voix, elle dit :

- Prouvez-moi que vous êtes policier et non mon violeur.

- Je fais glisser ma carte de police sous la porte.

Le capitaine Dubois la retire de son portefeuille, la fait passer sous le bois. Stéphanie l'attrape, la vérifie. C'est vraiment des flics. Avec difficulté elle se relève, titube, enlève le loquet de la porte. Le policier l'ouvre, quand elle le voit, elle s'effondre dans ses bras, évanouit. Dubois regarde le bleu :

- Va chercher les médecins, vite !

Le policier part en courant, il revient quelques instants plus tard avec l'équipe du SAMU. Dubois pose le corps évanouit de Stéphanie sur le sol et laisse faire les soignants.

La maison est vide. La police scientifique va arriver pour relever les empreintes, les traces ADN. Le commandant Hélène Salage, arrive vingt minutes après, elle est chargée de l'enquête. Deux lieutenants de police judiciaire l'accompagne. Salage et son équipe, son chargés au sein de la PJ de Nice, des crimes et agressions sexuelles. Stéphanie à été évacuée vers l'hôpital de l'Archet à Nice. Elle à été mit sous tranquillisant.

Dubois fait son rapport à Salage. Il lui explique que le téléphone de la victime à sonné plusieurs fois, la dernière il y a cinq minutes alors qu'un technicien faisait les prélèvement dessus. Il n'y a pas touché avant pour préserver l'intégrité des lieux de l'agression. Ce dont le félicite Salage. Il lui explique que hormis le portail ouvert, toutes les issues de la maison étaient verrouillées. Que l'alarme s'est mise à sonner dès qu'ils ont enfoncés la porte. Qu'il à été obligés d'appeler le centre de surveillance privé pour avoir le code et la couper.

La sonnerie du téléphone de Stéphanie résonne de nouveau. Salage qui a des gants le ramasse. Le technicien ayant fait les prélèvements dessus, l'a reposé à sa place. « Bébé » s'affiche à l'écran, Salage décroche, pose le téléphone contre son oreille, une voix inquiète se met à parler :

12