La Tarte

BÊTA PUBLIQUE

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C'est alors qu'elle se retira à demi, et s'assit sur ses genoux, elle mit une main entre ses jambes, et elle utilisait ses doigts pour pincer les lèvres de sa chatte ensemble. Pas besoin d'explication pour savoir pourquoi elle faisait ça, et je savais que le moment était venu que je fasse ma part.

Il n'y eut pas un mot lorsque j'ai commencé à lécher frénétiquement son membre en demi-érection comme si je mourais de faim, la main de Sandie sur ma tête ma langue le léchait, et elle me guidait avec sa main du sommet de sa queue à la base de ses couilles, la seule fois que sa main quitta sa position fut quand elle quand elle saisit son pénis pas besoin d'instructions pour que je sache que je devais ouvrir ma bouche, et compléter mes efforts.

Sa queue dans ma bouche si tôt après qu'elle ait été dans le vagin de ma femme me semblait la chose la plus naturelle au monde. Le goût n'était pas très différent de celui d'il y a une semaine. Il m'en offrait une petite portion en quantité de ce qu'elle m'avait rapportée la dernière fois, la chose la plus excitante était la texture de son pénis, je n'avais jamais imaginé que ce soit si doux, et le velours exquis du gland, la chose la plus merveilleuse était de sentir la queue grossir dans ma bouche quand elle répondait à l'attention que je lui donnais. Sandie retira ma tête, il bandait à nouveau, et n'avait plus besoin d'aide.

- C'est mon tour » dit-elle.

J'ai baissé la tête, et me suis étendu sur le dos, elle a placé ses genoux près de ma tête, sa chatte encore fermée par ses doigts centrée sur ma bouche. Ses seuls mots furent :

- Ton dessert est prêt.

Elle a enlevé sa main, me laissant voir la vue la plus délicieuse au monde. Ses lèvres s'écartèrent délicatement, et le trésor qu'elle portait commença à goutter lentement vers ma bouche grande ouverte.

Je l'ai vu me regarder, au moment où la première goutte de sperme tomba sur ma langue, j'ai savouré le parfum, j'ai vu la suite du jus se former, et j'ai avalé rapidement la première goutte, j'ai ouvert aussi grand que possible, et je fus récompensé en ayant la bouche pleine.

Puis Sandie se plaça sur mes lèvres, et j'ai commencé à faire ce qu'elle m'avait enseigné. Toute ma concentration servait à suivre ses instructions, ma langue léchait autour de la fente, puis se concentrait sur le trou, bouchée après bouchée j'avalais, il n'y eut bientôt plus rien, même en pompant aussi fort que je le pouvais, mais j'étais totalement hors d'état de réfléchir, envahi par le plaisir, sans aucune idée de la quantité de foutre que j'avais avalé pour étancher ma soif.

Quand elle voulut se retirer, j'essayais désespérément de recueillir une dernière goutte, mais elle avait une autre idée, et elle demanda à son amant de la mettre en pratique, sa voix était vive et émue lorsqu'elle dit :

- Jack, tient ses jambes derrière sa tête

Je n'avais plus de pensées rationnelles, et je ne savais pas du tout à quoi elle voulait en venir, comme il fit ce qu'elle demandait, elle plaça sa main sur ma queue et en même temps m'ordonna

- Ouvres la bouche

J'ai su ce qu'elle voulait, mais je ne pouvais désobéir, et ma bouche s'ouvrit le plus possible. Alors qu'il tenait mes jambes derrière ma tête, Jack poussa son érection contre mes couilles, il semblait inconscient de commencer à bouger sa chose contre moi, je pouvais sentir ses couilles pousser contre mon cul ouvert, ce qui aurait été dégoûtant pour moi dans un état lucide, ajouta à mon excitation sexuelle qui m'avait déjà envahi.

Je la sentais caresser mon pénis, et je n'oublierai jamais la vue de mon foutre perlant sur mon gland, et la première goutte de sperme explosant littéralement. Elle cessa de me branler, et amena ma queue vers sa cible, je ne prétendrai pas qu'un quart de foutre vint dans ma bouche, mais mon chargement complet m'atteint en une fois, je tenais ma bouche ouverte en attendant plus, mais lorsque ma femme vit que j'avais déchargé, elle dit doucement :

- Avale

Je ne vous ennuierais pas plus avec la description de ce que nous fîmes tous les trois cette nuit-là. Jack et ma femme avaient été excités par les attentions que je leur prodiguais, et dès qu'ils le purent ils refirent l'amour pour la deuxième fois, une heure plus tard, mes services furent à nouveau requis, et pendant qu'ils m'excitaient, mon second orgasme de la nuit ne me fut pas autorisé.

Je me souviens de Jack disant qu'il avait été comblé, et ayant besoin de rentrer chez lui pour du repos. Sandie accepta, et le regarda s'habiller.

Nous le raccompagnâmes en bas, et les amants s'embrassèrent, et Jack partit. Nous avons éteint les lumières comme d'habitude, et nous sommes retournés au lit comme d'habitude. Étendue sur le lit, Sandie dit avec une voix étouffée :

- C'était la meilleure chose qui m'est jamais arrivée. Je suis si heureuse d'être tombé sur tes histoires, pas toi?

J'ai dû murmurer une sorte d'approbation, mais je n'en suis pas certain. Elle parlait très doucement, et je m'efforçais d'entendre, elle disait :

- J'aime te voir sucer sa queue, quand il s'est frotté contre ton cul pendant que je tenais tes jambes en l'air, je voudrais le voir en toi, la prochaine fois peut-être..., Puis elle fut calme, et je sus qu'elle s'était écroulée de sommeil vaincue par une dure nuit.

Je me suis endormi aussi, sans pensées consciente durant des heures. Je sais que j'ai eu des rêves excitants, et lorsque nous nous sommes réveillés j'ai dû rendre mon service à Sandie, j'aimais faire ça, et je commençais à croire que c'était ma destinée de faire cela pour toujours pour elle.

Chapitre 6

Ma femme et moi ne fîmes rien de nature sexuelle la semaine suivante, à moins que vous incluiez dans ces activités le fait d'en parler. Ses mots étaient excitants à mon oreille, sachant ce que j'avais appris dans les mois qui avaient suivi notre première expérience faisant de moi un cocu, j'aurais dû prêter plus d'attention en parlant à Sandie. Elle appréciait les compliments de Jack, et je pouvais dire qu'ils augmentaient son plaisir.

Je me souviens d'une conversation que nous avons eu le soir suivant la visite de son amant. C'était court, mais important dans notre relation. J'aurais peut-être dû penser un peu plus à ce qu'elle me disait et à ma réponse aussi.

Nous en étions au café, et elle commença par me dire, d'un ton de voix égale :

- Bien, maintenant tu sais ce que c'est que d'être cocu. C'est aussi excitant que dans tes histoires?

J'ai hoché la tête, et dit :

- Dix fois plus excitant, quand j'ai vu sa queue disparaître en toi, ça a dépassé mon imagination, quand il a giclé en toi, et que je savais que tu le faisais pour moi, je ne pouvais penser à rien d'autre, c'était la meilleure des choses, t'en penses quoi?

- Je ne peux l'expliquer, mais quand il m'a baisée pendant que tu regardais, cela m'a beaucoup plus excité que la semaine d'avant, c'est bizarre sans doute, mais c'est comme ça.

J'ai acquiescé, et elle a continué :

- Je crois que j'ai besoin de savoir vraiment si tu veux qu'on continue. Je sais tu as déjà répondu à cette question, mais c'était avant que tu le voies, et avant que tu ne suces Jack, tu en penses quoi maintenant?

Je n'ai pas pris le temps de réfléchir, j'ai répondu :

- C'est ce que nous devons faire, je n'imagine rien de plus excitant que la nuit dernière, et si tu veux continuer à le faire, je le ferais aussi.

Avec un air de conclusion dans la voix elle dit :

- Les choses sont dites. Souviens-toi juste comme tu es en demande maintenant au cas ou les choses qui arriveraient dans le futur n'iraient pas comme tu voudrais.

Cela mit fin à notre conversation, et j'ai débarrassé la table pendant qu'elle prenait un bain relaxant.

Je me rappelais encore et encore les détails de la nuit dernière, et ma part particulièrement, et cela me semblait encore plus excitant à chaque image flashant dans ma tête. J'étais nerveux pour la prochaine session, et je ne comprenais pas pourquoi Sandie pensait que je pourrais avoir des réserves à le refaire.

Il était convenu que Jack se joindrait à nous pour le dîner de samedi prochain, et cela devint notre "rendez-vous". Nous discutions par-dessus la haie lorsque nous nous retrouvions dans le jardin, et je savais qu'il allait tondre notre pelouse mercredi, ce qu'il faisait depuis plusieurs années. S'il avait des relations sexuelles avec ma femme pendant que j'étais au travail je ne le savais pas, et je lui faisais confiance sur ce point.

Le samedi suivant, dès que Jack fut entré, Sandie fut toute à lui. Elle portait à nouveau son costume de "voisine à baiser" comme elle les appelait, et dans la minute où Jack la vit habillée ainsi il ne put s'empêcher de la toucher.

Pendant ce temps j'avais servi le repas et les avait appelé dans la salle à manger, il l'avait dénudé entièrement. Ils sont venus à table bras dessus bras dessous, et ils ont mangé rapidement.

Si vous ne pensez pas que c'est excitant d'être assis et de dîner à table avec une femme nue, essayez ça. Ma queue bandait, et celle de Jack aussi.

Lorsque ma femme m'ordonna de servir le dessert, je savais ce qui était attendu, j'apportais une part de tarte à la banane à la crème pour chacun d'eux, et une boule de glace pour moi. Lorsqu'ils virent ça, ils rirent tous les deux, et Jack dit que j'étais facile à dresser.

Le dessert expédié ils ne pouvaient plus attendre, Sandie me dit de débarrasser, et nous nous dépêchâmes de monter dans la chambre.

Elle m'ordonna immédiatement de me déshabiller, puis de déshabiller Jack pour elle, je trouvais cela plutôt bizarre, mais l'excitation que j'avais ressenti depuis une heure m'entraîna à le faire. J'ai essayé de le déshabiller rapidement, mais ce fut plus difficile que pour moi, j'ai fini par réussir, et il y eut bientôt trois personnes nues dans la pièce, deux d'entre eux avec une érection pointant vers une femme attirante.

Sandie tomba à genoux devant son amant, et elle prit son pénis dans sa bouche, l'excitant quelques minutes, puis elle regarda sa queue. Elle dit sans me regarder :

- Viens à côté de Jack chéri, je veux voir si elle est aussi petite que dans mon souvenir.

J'ai obéi comme un robot, et fit ce qu'elle dit. Elle nous regarda, et rit franchement, en disant d'une voix forte

- Elle est encore plus petite, on dirait un truc de gamin pour faire pipi, à côté d'une queue d'homme non? On va la mesurer, va chercher mon mètre à côté de la machine à coudre chéri.

Et elle retourna à sa queue, semblant m'avoir éjecté de son monde, sûr du fait que j'obéirai. C'est ce que je fis bien sûr, la machine à coudre était dans la pièce voisine, je me suis dépêché, j'avais peur de ne pas trouver le ruban, mais il était bien visible sur la table comme s'il était placé là délibérément pour que je le trouve facilement. Je l'ai ramassé et suis retourné dans la chambre.

Ses attentions amoureuses pour la queue de Jack avaient grimpé d'un cran, et je fus surpris de la retrouver avec la queue de Jack en bouche, elle avait toujours refusé de faire cela avec la mienne. Je le lui avais demandé plusieurs fois, la suppliant même parfois, mais rien ne l'avait jamais persuadé de le faire, et cela m'excitait de la voir faire cela avec son amant, alors qu'elle l'avait toujours refusé à son mari. J'essayais de ressentir de la jalousie, mais il n'y avait que l'excitation.

Elle arrêta de sucer et lécher dès que je fus entré, prenant le ruban elle dit :

- Maintenant voyons ça. Tu n'as peut-être même pas la moitié de la taille de Jack. Elle plaça le ruban le long de ma tige: 12 centimètres dit-elle.

Elle n'avait pas mis le ruban tout à fait correctement, et j'étais certain qu'on devait être plus près de 15 centimètres, mais je n'ai rien dit.

Puis elle fit de même avec Jack en disant

- La moitié c'était peut-être trop généreux, il est plus petit que ça.... 23 centimètres annonça-t-elle, on dirait que j'avais raison, on a un pipi, et une queue, j'aime mieux les queues.

Et ils éclatèrent de rire tous les deux, mais j'étais trop gêné pour me joindre à eux.

Après ça la nuit fut la copie conforme de la précédente, le pénis de Jack entrait plus facilement cette fois, comme s'ils avaient fait ça toute la semaine, et que sa chatte s'était étirée pour mieux l'accueillir. Ils semblaient prendre leur temps pour atteindre l'orgasme mais ils y parvinrent.

Ce fut mon tour, le même que la semaine dernière, puis ils baisèrent une seconde fois, pendant que je regardais, et après quoi je remplis ma tâche.

La seule différence fut lorsque Jack tint mes jambes au-dessus de ma tête pour que ma femme puisse me masturber et que je gicle dans ma bouche grande ouverte, comme la fois d'avant il poussa contre moi et commença à bouger son pénis en petits coups contre mes couilles.

Quand j'ai giclé dans ma bouche, et avant que Jack puisse relâcher mes jambes, Sandie dit :

- Jack, mets ta queue plus bas

Il n'eut pas l'air surpris par la requête, et il commença à bouger de bas en haut lentement, elle redit :

- Plus bas, juste un petit peu plus bas ».

Au bout d'une minute j'ai senti le gland glisser dans mon cul, puis pousser dans l'ouverture, j'étais sûr qu'elle allait lui dire de me baiser, mais au lieu de cela elle dit :

- C'est assez pour cette fois, tu l'excites n'est-ce pas, je suis sûre qu'il aimerait ça, pas toi?

La vérité c'était que la sensation de sa queue glissant dans mon cul, était excitante, je ne pensais pas une telle chose possible, Sandie aussi semblait excitée par la vue, et j'étais certain que nous explorerions cela bientôt.

Après ce petit interlude je dus le lécher et le nettoyer une fois de plus, et les amants retournèrent à ce qu'ils faisaient de mieux, baiser. Je revins à ce que je faisais de mieux, regarder. Lorsqu'ils finirent de baiser bien sûr, je devins un actif participant.

Cette nuit-là marqua le rituel pour plusieurs nuits de samedis à venir. Il y eut de légères variations bien sûr.

En quelques occasions je dus continuer à sucer la queue de Jack jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma gorge. Elle trouvait cela plus excitant que moi, parce que pour moi le goût n'était pas le même sans le mélange des jus. Comme cela entraînait que Jack ne pouvait alors plus baiser, elle me faisait faire cela avec parcimonie.

Elle continuait aussi à lui faire frotter sa queue contre mon cul, et une fois elle l'arrêta avant que j'ai un orgasme. Elle utilisa ses doigts pour essuyer mon gland du foutre qui était dessus pour l'étaler sur le sien et elle lui dit :

- Voyons voir si tu peux le pénétrer...

J'étais sûr que le moment était venu de perdre ma cerise, mais cela lui prit beaucoup de temps pour faire pénétrer le gland dans mon anus, et elle dit :

- Ça suffit pour l'instant, la prochaine fois il en prendra plus

Puis elle me branla pour me faire gicler dans ma bouche. Et je dus le lécher pour le nettoyer avant qu'il ne la baise pour la seconde fois.

Je ne m'étais jamais demandé comment je me sentais à propos de la pénétration. Je n'avais jamais eu de pulsions homosexuelles, mais quand je pense que toutes mes histoires parlaient de maris nettoyant la queue de l'amant... Je sais que ce qu'il me faisait m'excitait beaucoup, mais j'étais dans le désir, je ne savais pas.

Au bout de six mois de ces rendez-vous réguliers, mon monde s'est écroulé. Je n'oublierais jamais cet instant, et ce repas de dimanche, avec juste moi et Sandie, fut mon heure la plus sombre.

Chapitre 6 suite et fin

On aurait dit un dimanche comme un autre, j'avais préparé un repas léger pour nous deux, c'était l'hiver, et nous regardions les oiseaux dans la mangeoire dehors. Tout aussi normal que possible, une journée pour un couple marié qui avait passé la nuit précédente à baiser et sucer le voisin.

Après un long silence mutuel, Sandie dit tranquillement :

- Chérie nous avons besoin de parler de quelque chose de sérieux.

Je pouvais dire à son regard que ce qu'elle avait à dire était certainement sérieux, parce que sinon elle aurait souri en me regardant avant de commencer. Elle poursuivit :

- Je devrais te dire ça devant Jack, et je suis très sérieuse, il me dit qu'il m'aime, et je ressens la même chose pour lui. Cela ne veut pas dire que je ne t'aime plus, parce que je t'aime. Je ne peux pas t'expliquer, c'est comme ça. Je vous aime tous les deux, mais j'ai besoin de lui d'une façon dont je n'ai pas besoin de toi. Tu peux le comprendre?

Elle fit une pause, me donnant une chance de parler. Impossible pour moi de dire quelque chose, j'essayais d'organiser mes pensées suffisamment pour que je puisse dire quelque chose de sensé. J'ai bredouillé :

- Je pense comprendre, je ne peux pas te blâmer d'aimer ce qu'il te donne parce que je sais que tu l'apprécies beaucoup. Es-tu en train de dire que tu l'aimes d'une autre manière que celle-là?

Elle parla avec sérieux dans la voix :

- Oui, je l'aime pour ce qu'il me fait au lit, et je l'aime en tant qu'homme. Comme je je dis, je t'aime encore, c'est juste que j'ai de très forts sentiments pour lui et nous ne pouvons pas l'ignorer.

Après avoir lutté avec mon cerveau j'ai dit :

- Qu'est-ce que cela signifie pour nous. Tu le veux plus que moi?

Je sentais mon monde s'écrouler.

Elle répondit doucement :

- Ce n'est pas que je le veux plus que toi, c'est que je le veux autant que je te veux toi. Dans un monde parfait je vous épouserais tous les deux et ce serait chouette. On pourrait continuer à faire ce que nous avons fait depuis l'été dernier, et tout le monde serait heureux.

Elle but un peu de café avant de poursuivre :

- Depuis que nous vivons dans une société dominée par les mâles la loi ne me permet pas d'avoir deux maris. Je ne peux rien y faire.

Elle arrêta de parler, semblant attendre une solution de ma part, mon esprit était chamboulé, et tout ce que je pouvais faire c'était de demander :

- Que penses-tu que nous devrions faire?

Elle y avait pensé parce qu'elle répondit sans hésitation :

- Tu te souviens que je t'ai demandé il y a plusieurs mois quand tu es devenu cocu pour la première fois si tu voulais vraiment continuer? En fait je te l'ai même demandé deux fois, parce que je voulais être sûre. Si tu te souviens bien, ta réponse était que tu voulais définitivement que je continue de baiser avec Jack, et tu pensais que c'était la chose la plus excitante au monde. Tu vois le résultat? J'aime Jack, et je veux être sa femme? Je ne peux pas être plus honnête que ça.

J'ai été abasourdi par cette révélation, et n'ai pas pu prononcer un son. Elle a continué :

- Peut-être ne sais-tu pas que nous baisons presque chaque jour depuis que ça a commencé. Je n'ai jamais assez de sa queue, et il ressent la même chose pour ma chatte. Je suis prête pour lui à tout moment, cela m'a pris beaucoup de temps pour prendre conscience que baiser c'est bon, et maintenant que je l'ai-je veux que ça continue toujours. Je vais faire bref, Jack va venir s'installer ici, il dormira dans le lit avec moi. Tu peux dormir dans la chambre d'amis, ou ailleurs si tu préfères. Tu viendras dans notre chambre les samedis soirs, tu n'auras pas moins de sexe qu'actuellement, Jack dit que tu ne seras plus jamais autorisé à me baiser, ce qui n'a pas d'importance pour moi, et ne devrait pas en avoir pour toi, tu ne l'as pas fait depuis longtemps, et ça ne semble pas te manquer. Nous allons essayer comme ça quelques mois, pour voir si ça marche, qui sait, on décidera peut-être que nous ne nous aimons pas, et il rentrera chez lui, mais on peut aussi s'aimer de plus en plus, et l'on peut te demander de partir, si nous faisons cela cela veut dire un divorce, et je serais libre d'épouser Jack.

J'étais incapable de répondre, et elle continua :

- Il y a une troisième option dont nous avons discuté. Tu veux que je t'en parle?

J'ai hoché la tête, je ne pouvais faire que ça, ma bouche était totalement sèche.

- Jack dit que tu peux continuer à vivre avec nous, même une fois mariés, à une condition. Sa condition est que tu ne sois plus jamais capable de me baiser. Tu vois il dit qu'il veut un enfant, et que je sois sa mère. Et moi aussi je peux porter l'enfant de Jack. On ne veut pas que tu me mettes enceinte, et je suis d'accord avec lui, si tu es d'accord aussi, il en sera ainsi, et tu pourras vivre avec nous, qu'en penses-tu?