La Tarte

BÊTA PUBLIQUE

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Pendant qu'elle me donnait cette leçon elle avait commencé à pousser son bouton contre mon pubis, et je peux dire au ton de sa voix que ça l'excitait, ce qui m'excitait c'était que mon nez était enfoncé dans ses fesses et dans mon état d'excitation l'arôme me transportait. Sa respiration s'accélérait, et quand elle parla de nouveau c'était presque un murmure, elle cria :

- Quand je te dis de pousser ta langue dedans tu le fais le plus possible sois prêt.

Cet ordre me surprit alors que ma langue était enfoncée dans sa chatte aussi loin que je le pouvais, tout ce qu'elle voulait je le faisais, alors j'ai essayé de me concentrer en attendant son ordre, plutôt que sur ma queue.

Il arriva plusieurs choses à la fois, la première a été un cri explosif de sa part, suivi par son ordre "Maintenant, fais-le!". En même temps qu'elle faisait cela je sentais une de ses mains travailler dans sa chatte qui était maintenant projeté au-delà de mon nombril, son autre main agrippait mes testicules et semblait faire de son mieux pour me l'arracher.

C'était inattendu, elle se déplaça, son anus devant ma bouche, et quand elle m'ordonna d'enfoncer ma langue le plus loin possible celle-ci plongea dans l'anus.

Vous pensez que c'est plus dégoûtant qu'excitant, quand je suis dans mon état normal c'est ce que je dis, mais là je commençais à jouir et tout ce que nous faisions me mettait dans tous mes états, ma langue dans son cul avait ajouté une nouvelle dimension à une situation déjà extrêmement érotique.

Je ne vous ennuierais pas par une éprouvante description de nos sessions pendant les deux semaines suivantes, sinon vous dire qu'elles étaient toutes du même acabit, ce qui était étrange c'est que c'était toutes les nuits, à la fin de ces deux semaines Sandie me complimenta sur ce que j'avais appris sur les tartes à la crème comme elle les appelait. Elle me dit que j'étais prêt à le faire en vrai, mais elle voulait que je continue à le pratiquer jusqu'à ce qu'on le fasse vraiment.

C'est ce que je fis.

Chapitre 3

La nuit ou Sandie me fit des compliments était un mardi, je m'en souviens. Elle m'avait fait des allusions voilées au fait qu'elle était presque prête à aller voir Jack. Elle ne m'a jamais dit qu'elle allait essayer de séduire le voisin, juste que c'était pour bientôt. Étant donné la manière dont elle avait augmenté mon anticipation chaque nuit, je savais que ce ne serait jamais assez tôt pour moi.

Le samedi suivant a semblé parfaitement normal. J'ai travaillé sur la haie entre notre maison et celle de Jack et quand il m'a vu il m'a rejoint. La conversation fut difficile pour moi alors que la seule pensée que j'avais était ma femme au lit avec lui. Je suis sûr qu'il m'a trouvé distrait mais il n'en a jamais rien dit.

Sandie cuisinait pendant que je travaillais dans le jardin, et un arôme délicieux vint me chatouiller les narines alors que je retournais à la maison. Il était 18h, et elle me dit de me laver les mains, en m'annonçant que le dîner serait servi à mon retour.

Nous avons dîné une heure après que je sois rentré, et je restais assis attendant le dessert qu'elle avait cuisiné, j'étais sûr que c'était une de ses fameuses tartes, mais je n'arrivais pas à identifier son genre à l'odeur.

A ma grande déception le dessert qu'elle servit fut une boule de glace, mais je me suis contrôlé en pensant avoir de la tarte plus tard suivi d'une autre merveilleuse session au lit. Dès que le dessert fut fini, Sandie se leva de table, elle me dit :

- Je vais aller prendre un bon bain maintenant, tu vas débarrasser la table.

Et elle sortit de la pièce, me laissant nettoyer la pièce. Rien d'extraordinaire je prenais en plus en plus souvent la charge de ces tâches ménagères. D'habitude elle prenait un bain juste avant que nous allions au lit, ce soir c'était différent.

Assis dans le canapé je lisais le journal, lorsqu'elle revint du bain. Sa vision me coupa le souffle, j'aurais voulu la supplier de me laisser lui donner du plaisir.

Elle portait un short ultra-court, à part ses sandales son seul autre vêtement était un haut qui lui couvrait ses seins, si mince que l'on voyait ses tétons, d'un seul coup d'œil on les voyait dressés, et j'ai trouvé cette vision très stimulante.

Elle portait une boîte en métal qu'elle utilisait pour transporter la nourriture à nos voisins, et en réponse à ma question non dite elle dit :

- J'ai cuisiné une tarte pour Jack, et je pense en ramener une ici, je me demande de quel genre.

J'étais si distrait par son apparence que je n'ai pu lui répondre, mais j'ai dit :

- Elle est à la noix de coco? C'est ce que ça sent.

Elle sourit en disant

- Non chéri, mais pas loin, c'est une tarte à la crème à la banane, je pensais cela approprié, comme ça tous les deux vous aurez une tarte à la crème ce soir, mais la tienne ne sera pas à la banane.

Elle marcha vers la porte, me laissant sans réactions. Son mot final fut :

- Maintenant tu es un gentil garçon, au lit à 23h, salut.

Elle quitta la maison, et je me suis retrouvé avec le cerveau en ébullition. Je me suis répété ce qu'elle avait dit encore et encore, me demandant si cela voulait dire qu'elle avait décidé que le moment était venu pour elle de séduire Jack. Quand elle reviendrait ramènerait-elle un petit supplément dans notre lit où elle me le livrerait?

Je ne pensais à rien d'autre de toute la soirée, et je ne sais absolument pas ce que j'ai fait pendant ce temps, j'ai dû essayer de regarder la télé, mais aucun souvenir, j'ai dû essayer délire, mais je ne me souviens de rien, je me souviens juste m'être battu avec ma main pour ne pas me branler, l'urgence de me masturber me submergeait et me rendait dingue.

Vers 22h je n'en pouvais plus de curiosité à propos de ce qui se passait de l'autre côté. J'ai songé plusieurs fois à aller fureter du côté de la maison de Jack. La peur que Sandie me surprenne m'a arrêté, la voir en colère après moi était plus que je n'en pouvais supporter, et je l'ai attendu, bien que totalement anxieux.

J'ai passé la dernière heure et demie avant de me coucher dans la baignoire, même là je ne pensais à rien d'autre, j'avais même peur de toucher mes parties génitales, je n'aurais probablement pas pu me retenir, je voulais plus que tout sauver mon orgasme pour Sandie, sachant que si j'éjaculais maintenant je perdrais tout désir, et je ne voulais pas de ça.

Peu avant 23h je me mis au lit, nu comme ordonné, je me suis étendu sur le dos, mon érection ne frottant pas ainsi, et j'évitais la moindre stimulation avec le drap, je n'avais jamais vu l'horloge tourner si lentement et lorsqu'une heure après j'ai jeté un œil sur l'horloge, une minute seulement était passée.

Vers 23h30 j'ai entendu la porte de devant se fermer, mon cœur a commencé à battre fort, j'étais dans l'anticipation, et j'ai entendu la dernière marche produire son craquement, mon regard était fixé sur la porte, et quand j'ai vu dans l'obscurité sa forme apparaître c'en était presque trop.

En entrant dans la chambre elle mit ses mains derrière son dos, et défit son haut, j'espérais qu'elle allume la lumière que je vois ses merveilleux seins, elle n'avait pas cessé d'avancer vers le lit et avait atteint son côté, j'ai vu ses mains toucher son côté, puis je l'ai vu enlever son short.

Je n'ai pu me contenir plus longtemps, et j'ai chuchoté d'une voix rendue rugueuse par l'émotion :

- L'as-tu fait?

Elle n'a pas dit un mot, mais a grimpé dans le lit sur ses genoux, elle a balancé une jambe au-dessus de ma tête, quelque chose de blanc entre ses jambes et elle chuchota d'une voix aussi âpre que la mienne :

- Vois par toi-même

Je n'ai même pas pu attendre qu'elle baisse sa fente jusqu'à ma bouche, j'ai mis mes mains sur ses cuisses et touché, j'ai su alors pourquoi elle m'avait entraîné pour lui rendre le service qu'elle attendait, sans ces instructions je n'aurais pas réussi à le faire proprement dans ma frénésie.

Mon premier coup de langue me donna la réponse, le goût explosa dans ma bouche salé, l'odeur musquée de sa chatte me dit qu'elle avait baisé, c'était un goût différent du mien, l'odeur aussi était différente.

Ce qui était vraiment différent c'était la chaleur dans sa chatte, et la douceur des lèvres de sa chatte, lorsque j'ai passé ma langue dessus, son clitoris aussi était bien plus gros, tout était la preuve de son excitation, aussi grande que la mienne, et qui me menait à un plus haut degré d'excitation.

J'essayais de contenir mon impatience débordante et de la servir ainsi que je l'avais appris. Mais elle devait être encore plus excitée que d'habitude parce que j'avais léché par deux fois lentement autour de sa chatte, et elle chuchota vivement :

- Plus vite, lèche plus vite bon Dieu!

Cela augmenta mon désir, et ma langue travaillait le plus vite possible. Je léchais aussi vite que possible ramenant les trésors que je trouvais dans ma bouche, les

avalant, j'ai avalé tout ce que j'ai trouvé, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien, elle avait dû réalisé qu'il n'y avait plus de foutre pour moi, alors elle bougea rapidement plaçant son clitoris sur mon nez et sa délicieuse chatte sur ma bouche.

- Bouffes-là, maintenant, vas-y!

Mes lèvres se collèrent à son ouverture, et je récoltais tous ses jus mêlés et divins.

Un cri naquit dans sa gorge, j'ai senti ses cuisses se refermer sur ma tête, elle pressait sa fente contre mon visage avec tant de force que je ne respirais qu'avec peine, mais c'était sans importance, elle me dit brutalement :

- Bouffe-le ce foutre, bouffe-le salope!

Je n'avais besoin que de ça pour jouir, je n'ai même pas eu à toucher ma queue, à ses mots j'ai éjaculé. Rien à faire de savoir si j'étouffais, sa fente sur mon visage, tous ces jus aux senteurs et aux goûts mêlés ce devait être comme ça le paradis, plus la peine de mourir j'y étais!

Je ne sais pas si Sandie s'est soulevée ou si mon corps a réagi instinctivement, mais je me souviens avoir cherché de l'air en tournant la tête tout en essayant d'avaler ce que j'avais dans la bouche, le résultat fut que j'étais presque évanoui, cela me prit plusieurs secondes pour atteindre les deux buts, et Sandie était à mes côtés me tenant fermement. Sa respiration s'apaisait, elle me chuchota à l'oreille :

- Alors c'était aussi bon que tu le pensais?

Le mot "bon" n'avait aucun sens dans ce contexte, et j'essayais de trouver les mots qui convenaient, finalement j'ai répondu :

- Je ne peux te dire combien ce fut merveilleux, j'ai lu depuis si longtemps là-dessus, mais ce que tu m'as fait ce soir n'a rien a voir avec ces histoires, aucune comparaison possible, c'est la meilleure chose qui me soit jamais arrivée.

Elle ajouta :

- On dirait que tu es prêt pour plus que ça

Elle rit doucement, et cela me prit un certain temps avant de réaliser qu'elle sentait mon érection en se pressant contre mon corps, jusque-là je n'avais pas conscience de bander aussi dur, c'était déjà arrivé bien sûr mais lorsque j'étais plus jeune, ce qui se passait démontrait simplement combien cette soirée m'avait excitée. Elle me posa alors une question simple à laquelle je rêvais de répondre, mais sans que je puisse trouver de mots, elle me demanda tranquillement :

- Tu veux savoir?

Je sus ce qu'elle voulait dire, et j'ai simplement répondu

- S'il te plaît

- J'ai amené la tarte à Jack, comme tu sais, quand il a vu ma tenue ses yeux lui ont sorti de la tête, il ne disait plus rien, je lui ai demandé si je pouvais entrer, il s'excusa de sa distraction et il m'ouvrit la porte. Il était juste derrière moi, j'essayais de remuer mon petit cul et ça a dû marcher parce que j'ai entendu clairement sa respiration s'accélérer, dans la cuisine je lui offert une part de ma tarte, et il était congestionné, il me sortit une assiette, me demandant si j'en voulais aussi, j'ai dit que non ; j'ai coupé la part et l'ai mis dans son assiette, il était assis à la table de la cuisine, et j'ai pris une position suggestive, je m'étais entraîné dans l'après-midi devant le miroir, je peux te dire qu'il faisait de son mieux pour ne pas mater ma chatte, après toutes ces années sans chatte le pauvre semblait désespéré, aucun moyen pour lui de louper ce que je lui offrais. Il a fini sa tarte, et j'ai suggéré qu'il range l'assiette dans le lave-vaisselle pour qu'il se lève, c'était si comique la manière dont il essayait de me cacher son érection, comme prévu il bandait, il avait un short, et la tente était énorme si tu vois ce que je veux dire, il essayait de tenir l'assiette devant et elle est tombée par terre, comme elle était en plastique elle ne s'est pas cassée, je me suis baissée pour la ramasser, ma tête était à quelques centimètres de la bosse, il était mort de honte il ne bougeait plus. En ramassant l'assiette j'ai caressé l'érection par inadvertance au passage, il a mis ses mains devant mais semblait si gêné, alors j'ai mis ma main sur la sienne et je lui ai demandé s'il était blessé là, il a eu une expression si comique! Alors je l'ai embrassé, il a mis quelques petites secondes à réagir, mais quand il l'a fait, il était dedans, c'était très sérieux, il était enthousiaste. J'ai frotté mon corps contre le sien, et il a décollé. Et nous avons été dans la chambre, nous nous embrassions et nous caressions, et quand nous avons été au lit il a continué, il a dégrafé mon short, enlevé mon haut, et ses yeux étaient braqués sur mes seins, j'ai approché sa tête et il est devenu dingue, je n'ai jamais été aussi bien sucé sur mes tétons, c'était bon! Il a passé un temps infini à les lécher, les sucer, et même les mordre et les pincer, puis ses yeux se sont rivés sur ma chatte, mon cul était en l'air à ce moment-là et j'ai dit mais ne t'arrêtes pas, j'ai ouvert mes cuisses, pris une de ses mains que j'ai posé entre elles, et il a semblé se souvenir de ce qu'il fallait faire, et il m'a doigté prodigieusement bien, j'ai remis sa tête sur mes tétons et je l'ai laissé faire, c'était génial. Je ne sais pas combien de temps il a fait ça mais j'ai décidé qu'il était temps de le voir nu, j'ai déboutonné sa chemise, lui ai enlevé, et après son short et son slip, et je dois te dire qu'en voyant la taille de la tâche humide dans son slip j'ai cru qu'il avait joui, sa queue était dure comme de la pierre, elle était encore plus grosse que je ne l'avais imaginé, le double de ce que j'avais vu dans le jardin, elle est deux fois plus grosse que la tienne. Je ne pouvais plus résister, je me suis étendue sur le dos, et je l'ai guidé en moi, je l'ai laissé faire le reste, il était nerveux, mais il a pris son temps, s'il m'avait prise comme un bélier je serais morte, j'ai perdu ma virginité à 15 ans, et je ne m'en souviens plus vraiment sauf que ça avait été bon et que ça m'avait fait mal en même temps. Maintenant je sais ce que ça veut dire que de la perdre une deuxième fois. Ses premiers coups de boutoir l'ont enfoncé plus loin que tu n'es jamais allé, c'était un territoire inexploré, jusqu'à ce soir j'ai été vierge toute ma vie, maintenant je sais ce qu'être baisée par une vraie queue veut dire, super! Tu sais que tu éjaculais juste quelques secondes après être entré en moi? Et bien Jack ce n'est pas ça, il devait avoir perdu la tête d'excitation, mais il arrivait à se contrôler, il m'a baisé lentement très longtemps, et quand j'ai été sur le point de jouir il a accéléré le mouvement, Dieu que c'était bon! Il semblait savoir quand mon orgasme approchait parce qu'il s'est enfoncé si loin, si profond en moi, j'avais le feu au cul, c'était si bon que je pensais pouvoir mourir, et là il a éjaculé, mais à la vérité je ne m'en suis pas aperçue j'étais trop occupée par mon orgasme, rien d'autre n'avait d'importance. Je suis revenue à moi, et j'ai pris conscience qu'il me baisait à nouveau, cet homme est d'une vigueur, je me sentais trempée, je me suis dit que je devais lui dire d'arrêter, mais c'était si bon, et je ne l'ai pas fait, je te jure sur ma mère que sa queue était encore plus grosse, lorsqu'il a giclé la deuxième fois j'ai cru faire une crise cardiaque. Je n'ai pas eu d'orgasme la deuxième fois mais c'était bien, je me sentais vraiment bien d'avoir cette grosse queue en moi, je n'avais plus besoin de jouir pour l'apprécier, c'est la meilleure baise que j'ai jamais eue, j'espère que la prochaine sera encore meilleure. Je sentais son foutre couler en moi quand j'ai bougé, je ne savais pas qu'un homme pouvait décharger autant, mais bien sûr tu sais ce qu'il en est non? Je lui ai dit que je devais rentrer, on s'est embrassés, tu sais ce qu'il y avait de drôle? Il m'a remercié, cela peut sembler drôle mais j'ai aimé ça. Je me suis dépêché pour rentrer je ne voulais pas que tu en perdes une goutte, tu connais la suite.

Je connaissais la suite et c'est revenu en flash dans ma mémoire seconde par seconde, pas moyen d'expliquer combien c'était excitant d'entendre Sandie me raconter comment elle avait séduit notre voisin, et comment elle avait couru pour que je la nettoie.

Aucune histoire ne peut se comparer avec ça. Je lui ai dit que je l'aimais, et qu'elle était si précieuse pour moi. Sa seule réponse fut de mettre une main sur mon épaule de me pousser sur le dos et de me dire :

- Prouves-le

Je savais ce qu'elle attendait de moi. Sa chatte était devant ma bouche, et j'ai enfoncé ma langue aussi loin que possible, puis elle a mis ses mains sont venus sur mon entrejambe et elle a commencé à faire ce qu'elle m'avait appris à apprécier ces derniers jours, une main tenait mes testicules, l'autre pinçait ma queue centimètre par centimètre, et elle a continué comme ça jusqu'à ce que sa respiration s'emballe.

Elle est descendue plus bas à ce moment-là, et a mis une main sur son clitoris et a commencé à le caresser furieusement, son mouvement avait placé son anus sur ma bouche et je fis mon travail en poussant ma langue profondément en elle.

Comme nous approchions de notre second orgasme elle s'est concentrée sur la punition de mon pénis avec la main qui lui restait, j'avais appris à aimer cette sorte d'attention et cela m'excitait encore plus, quand elle a gémi pour signaler son orgasme j'ai soulevé mon cul pour pousser de force ma queue contre sa main espérant que cela renforcerait ses efforts.

Et c'est ce qu'elle fit, elle pinça la peau tendre juste sous le gland, et la tira de toute sa force, en même temps elle dit d'une voix enragée

- Dieu j'aimerais que tu sois aussi grosse que celle de Jack

Et j'ai giclé, et j'ai poussé ma langue encore plus loin en elle. Après son second orgasme en moins d'une heure, elle en eut un troisième très rapidement,

Sandie était rassasiée, elle se laissa revenir à la réalité, en deux minutes elle se coucha près de moi sur le ventre, en me disant « bonne nuit ».

J'étais sûr qu'elle dormait, mais je lui ai répondu :

- Bonne nuit, je t'aime, merci pour ce que tu as fait aujourd'hui

Rien ne me laissa entendre qu'elle avait entendu, mais je me sentais mieux de l'avoir dit, j'avais noté mentalement d'être plus courtois envers elle à l'avenir après sa remarque sur les remerciements de Jack. Elle est la personne la plus importante du monde pour moi, et je devais le lui prouver par mes mots et mes actes. Avec cette résolution ancrée dans mon cerveau je l'ai rejoint dans son sommeil satisfait.

Chapitre 4

Si j'avais attendu de ma femme qu'elle aille voir son amant tous les soirs puis qu'elle revienne dans notre lit pour le service qu'elle attendait de moi j'aurais été déçu. Elle m'avait déjà dit que si elle réalisait mon fantasme, elle serait la seule à décider. Elle attendait de moi que je respecte mon engagement, ce fut évident le lendemain.

Je me suis réveillé le premier, et je suis resté étendu quelques minutes, regardant son visage, mon amour pour elle me subjuguait, et j'avais une envie folle de la prendre dans mes bras pour lui dire combien elle était spéciale pour moi.

La seule chose qui m'arrêta de le faire était le simple fait qu'elle n'était pas du matin, et elle ne voulait rien de moi, ni de personne d'autre, avant de s'être réveillée par elle-même, et d'avoir bu une tasse de café.