La Tarte

BÊTA PUBLIQUE

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Je suis sorti du lit tranquillement, j'ai pris ma douche et je suis descendu vaquer à des tâches diverses. Quand j'ai entendu Sandie descendre je me suis rué dans la cuisine pour préparer son café et le lui apporter dans le salon dans lequel nous discutions habituellement le dimanche matin.

Nous nous sommes salués comme habituellement, nous sommes assis, et avons discuté, au bout d'une demi-heure elle a changé de vitesse, et lorsqu'elle a commencé de parler je pouvais dire que nous allions avoir une discussion sérieuse.

- Je ne me souviens pas avoir eue de nuit aussi reposante. Bien sûr trois orgasmes ne font pas de mal. En parlant de mal, ma chatte n'a jamais été comme ça, Jack est allé deux fois plus loin que toi, et je le sens aujourd'hui. Elle a poursuivi d'un ton pensif Plus j'y pense, mieux c'est, en me concentrant je sens sa queue forcer pour entrer.

N'ayant rien à ajouter à ce qu'elle disait je la regardais en attendant la suite. Au bout de quelques instants c'est ce qu'elle fit :

- Je pense que nous devons réfléchir sérieusement à ce qu'on fait là. Étant donné la forme que me donne le fait d'avoir été baisée seulement deux fois par Jack et la façon dont tu sembles plus excité que jamais à l'idée d'avaler son foutre en moi, je pense que nous allons devenir accros à cette situation. On devrait voir plus loin, et réfléchir un peu avant de continuer.

Cela la fit rire, voyant que je n'avais pas saisi la blague elle arrêta de rire suffisamment pour me dire :

- Loin, et raide. C'est tout Jack ça.

Son rire éclata et je me joignis à elle. Une fois que nous fûmes calmés j'ai demandé :

- Tu veux dire que tu ne veux pas recommencer? C'est ce que tu veux dire?

Elle a un peu réfléchi et répondu :

- Non, tout le contraire, j'aimerais y retourner maintenant, et qu'il me baise toute la journée, c'était chouette cette grosse queue en moi, et si je pouvais, je la garderais tout le temps en moi. ...

Elle se tut semblant réfléchir à ce qu'elle voulait dire, puis continua :

- C'est ce que j'essaye de dire, ça va devenir une habitude si ça continue, ce qu'il m'a fait c'est génial, et ce qui est arrivé ensuite n'était pas mal non plus. L'idée de te nourrir avec le foutre de mon amant doit déclencher une réaction nerveuse je suppose.... Quand j'étais assise sur toi la nuit dernière, j'ai pensé à des choses effrayantes, tu te souviens comment j'ai traité ta petite queue quand j'ai eu mon deuxième orgasme?

Elle s'arrêta longuement, j'ai hoché la tête en me souvenant de la douleur de ses pincements et quand elle étirait ma peau.

- Si tu savais à quoi je pensais, tu aurais peur, ou tu devrais avoir peur... Elle sembla réfléchir et poursuivit.. Pour faire bref, si on décide de continuer nous allons y aller de plus en plus profondément, tu peux faire usage de ton imagination sur ce que ça veut dire pour nous deux, nous devons décider maintenant ce que nous faisons.

Elle attendait que je dise quelque chose, en repensant à ce qu'elle avait dit j'ai réalisé que ma queue bandait. C'était la première fois que sa présence se faisait sentir, j'ai souri en pensant que j'avais déjà voté et j'ai dit :

- La seule chose que je peux dire est que la nuit dernière fut la plus excitante de ma vie, penser à ça maintenant m'excite encore, si je dois voter maintenant je te dis que nous ne devons pas arrêter, le choix final t'appartient, c'est selon ta décision.

Elle acquiesçait de la tête même avant que j'ai fini, et elle dit sans hésitation :

- Accord conclu, je connaissais ma décision dès que sa queue est entrée en moi, je veux le baiser à chaque fois que je peux, et comme je sais maintenant comme c'est excitant de te nourrir de son foutre je veux le faire souvent. Je te donne juste une chance d'avoir ton mot à dire.... Elle a ri et dit : après ça tu n'auras plus rien à dire du tout, ta bouche aura mieux à faire.

J'ai ri avec elle. J'ai ressenti une telle excitation que je savais qu'aucune autre décision n'était possible pour moi.

Après cette conversation Sandie décida qu'elle ne baiserait pas avant samedi, c'était mieux pour elle disait-elle elle avait des batteries à recharger. Comme je lui avais donné le pouvoir de décider je ne pouvais qu'acquiescer. Une autre partie de la décision était plus difficile pour moi à observer, elle me dit :

- Tu ferais mieux de comprendre que pas de sexe signifie ça. Je veux que tu me promettes que tu ne joueras pas avec ton engin derrière mon dos. Tu peux le faire?

J'étais sûr que ce n'était pas difficile, même si en pratique il allait en aller autrement.

Nous avons passé la semaine suivante de la manière habituelle, moi travaillant, elle s'occupant de la maison. Elle ne donna aucun signe d'excitation, ou même d'y penser. Tout ceux qui nous connaissaient n'aurait rien remarqué d'inhabituel.

J'avais noté un changement cependant, la manière dont Jack me remercia lorsque je l'ai croisé dans le jardin. Il a d'abord paru honteux, puis deux jours plus tard il me traitait comme un de ses étudiants. Difficile de donner un exemple, mais c'était l'impression que j'avais. Il semblait penser qu'il était en responsabilité, et que je devais le respecter.

Samedi est arrivé et j'étais complètement excité, avant on faisait l'amour deux fois par semaine, je me masturbais quotidiennement, le plus souvent pendant la douche du soir, et de ne pas avoir pu le faire me rendait dingue, j'ai bandé pendant toute une journée, et Sandie qui l'avait remarqué m'a fait des références voilées au besoin de faire quelque chose pour résoudre ce problème, j'espérais que cela voulait dire qu'elle allait rendre visite à Jack et revenir ensuite me faire avaler son foutre.

A ma surprise, et pour mon excitation immédiate, elle annonça deux heures avant le dîner que nous avions un invité cette nuit. J'ai immédiatement demandé si ce serait Jack, mais elle me dit d'être patient, et que toutes mes questions trouveraient une réponse. Cet intermède fut le plus long de ma vie.

Une heure avant le dîner Sandie me dit de monter avec elle. Une fois en haut elle m'ordonna de lui préparer un bain et de l'assister. Cela ne fit qu'accroître mon excitation, cela confirmait mes soupçons, son amant allait se joindre à nous cette nuit. Je songeais à tout ce que cela impliquait, et j'étais coincé entre mes vraies sensations sur le sujet, c'était une chose de lire ça dans une histoire, et une autre de voir son fantasme être réalisé ; je me demandais si je pouvais y faire quelque chose, et à chaque fois la même réponse : je ne savais pas.

Lorsqu'elle fut prête à sortir du bain je l'ai aidé, et j'ai commencé à la sécher en devant selon ses ordres prêter particulièrement attention à sa poitrine, et à son entrejambe, ce qui augmenta mon excitation au point que j'avais peur de gicler même sans m'être touché.

Sandie avait étendu les vêtements qu'elle voulait porter cette nuit, je les ai vus sur le lit, et j'ai su que tous mes espoirs, toutes mes peurs seraient réalisées. Il n'y avait que trois choses : une culotte blanche, le short ultra-court qu'elle avait porté il y a une semaine, et un Marcel. Mes mains tremblaient en lui mettant ses vêtements, cela avait une puissance érotique très forte pour moi.

Lorsque nous descendîmes je me dirigeais vers la salle à manger et me suis astreint à des activités domestiques pour distraire mes pensées et en espérant tranquilliser mon érection. Cela semblait fonctionner à 19h je n'avais qu'une demie-érection.

Ce ne fut pas une surprise de trouver Jack dans l'entrée lorsque j'ouvris la porte. Nous échangeâmes les salutations, lui facilement, moi gêné, mais il avait apporté une bouteille de vin ce qui me donna une excuse pour aller à la cuisine et quitter ainsi la pièce.

Sandie était occupée par une préparation de dernière minute, et semblait avoir fini lorsque j'entrais. Lorsque je lui dis que Jack était arrivé elle sourit et me donna une petite accolade et dit :

- Je vais lui parler.

Elle sortit de la cuisine, me laissant sans savoir comment l'on servait un plat ce qui n'avait jamais été ma responsabilité, beaucoup de changements avaient eu lieu dans nos vies et c'était juste un de plus.

Je fis aussi bien que je pus transférant la nourriture sur des plateaux, puis les amenant à table. Lorsque tout sembla prêt je suis allé à la porte les appeler, et c'est là que le changement me frappa.

Jack était assis dans mon fauteuil, et il n'était pas seul. Sandie assise sur ses cuisses, et alors que j'entrais dans la pièce, ils s'embrassaient. Je regardais en silence pendant ce qui me sembla une éternité. Lorsqu'ils finirent de s'embrasser Sandie me remarqua debout là et dit :

- Oh chéri, le dîner est prêt? Nous avons faim.

J'étais incapable de parler, et j'ai juste opiné de la tête. Ce fut le signal pour eux de se lever et de se diriger vers la salle à manger agissant comme si tout était parfaitement normal.

Le dîner se passa tranquillement. Jack avait beaucoup d'histoires et il ne se fatiguait jamais. Avant que je puisse réaliser le repas était fini, Sandie me dit de débarrasser, et qu'elle servirait le dessert.

Je me dépêchais de desservir et fut surpris quand Jack offrit de m'aider. Nous continuions à parler de sujets très ordinaires, et il était difficile pour moi de concilier ce qui se passait avec ce que j'espérais qui se passerait.

La table fut vite nettoyée, et juste comme Jack et moi reprenions place Sandie entra apportant le dessert. Elle mit une part de tarte devant Jack, une autre à sa place, et une petite crème glacée devant la mienne. Comme je la regardais interrogatif, elle me dit avec un adorable sourire :

- Ne t'inquiètes pas chéri, tu auras ta tarte à la crème plus tard.

J'ai entendu Jack étouffer un rire, et alors que je le regardais je le vis tenter de cacher sa réaction au commentaire de ma femme. Lorsque Sandie se fut assise, il recommença avec ses histoires, et bientôt nous conversions tous facilement.

Je mangeais ma crème glacée, ma tête me tournait ne songeant à ce qu'elle m'avait dit. D'après la réaction de Jack il était évident qu'il savait à quoi s'attendre cette nuit, et cela signifiait que Sandie lui avait parlé cette semaine, en lui racontant ma part dans cette affaire. Même avec l'effet apaisant de la crème glacée je savais que j'étais rouge de honte.

Lorsque nous eûmes fini le dessert, j'ai débarrassé. Sandie me dit d'apporter la bouteille de vin et les verres dans le salon, et je me suis rué dans la cuisine pour faire cela.

Comme la fois d'avant en entrant dans la pièce Jack était assis dans mon fauteuil, ma femme sur ses cuisses. Comme avant ils s'embrassaient, mais cette fois le niveau de passion était évident à voir.

J'ai ouvert la bouteille et rempli nos verres, puis je leur ai tendu deux verres, et je pris le mien sur le canapé. Sandie choisit ce moment pour dire :

- Mon dieu Jack, il y a quelque chose de dur comme la pierre dans ton pantalon, laisses-moi le sortir pour que ça ne me touche pas

Elle s'assit sur le rebord du fauteuil, posa son verre sur la table, et nonchalamment posa ses mains sur son pantalon. Je regardais comme hypnotisé ses mains sur sa braguette. Il avait une érection ça se voyait, et elle le caressait, puis elle dit que ce serait mieux qu'elle reprenne sa place.

Pendant un court espace de temps j'ai vu la bosse dans le pantalon de Jack, ma femme ne m'avait pas menti sur la taille de son pénis, étant donné la tente, la taille devait effectivement être du double de la mienne. J'étais écartelé entre des sentiments de jalousie et d'excitation.

Sandie devait penser à la même chose, entre des gorgées de vin ils s'embrassaient, et à chaque fois les baisers étaient plus longs, son excitation était facile à voir, et cela m'enflammait encore plus. Lorsqu'ils eurent vidé leurs verres je savais que dans mon pantalon on n'était pas loin de ce qui se passait dans celui de Jack.

Elle se leva, prit la main de son Amant, et alors que je regardais muet elle dit :

- Montons tous maintenant elle me regarda droit dans les yeux et dit : Tu es prêt chéri? Je sais que Jack l'est.

Ils rirent tous les deux de cette petite plaisanterie, mais j'étais frigorifié, et je ne pouvais répondre. Ce fut seulement lorsqu'ils quittèrent la pièce bras dans les bras que je trouvais la force de me lever pour les suivre.

Chapitre 5

Le temps que j'arrive à la porte ils étaient déjà en train de monter les escaliers, ma femme regarda par-dessus son épaule et dit :

- Dépêche-toi chéri, je ne veux pas faire attendre Jack

Ils continuaient à monter et j'ai accéléré pour les rattraper, ralentissant seulement lorsque je fus juste derrière eux à la porte de la chambre.

Une fois dans la chambre ils se tenaient près du lit s'embrassant passionnément. Jack passait ses mains sur le corps de ma femme, et les mouvements, et les gémissements qu'elles faisaient l'excitaient encore plus. Elle se recula un peu, puis me dit :

- Chéri, déshabilles-moi pour Jack.

Puis elle attendit comme si elle n'était pas sûre de ma réaction, je n'en étais pas sûr non plus, mais pendant une seconde seulement, je fis les deux pas nécessaires pour l'atteindre, et mains tremblantes j'ai enlevé son haut. Comme il tombait au sol, Jack dit :

- Sandie, tu as les plus beaux seins que j'ai jamais vu.

Ses mains se sont posées dessus et il a commencé à les caresser, bougeant en cercles sensuels autour des tétons qui pointaient, puis les pinçant entre ses doigts. Ses gémissements croissaient en intensité, sa respiration s'accélérait, signalant ainsi le succès de son initiative, et je l'ai vue se tendre vers lui.

J'étais comme hypnotisé à nouveau, incapable de bouger jusqu'à ce qu'elle dise :

- Le reste chéri! Dépêches-toi, j'ai besoin de lui.

Cet ordre sembla me réveiller, et j'ai abaissé son short, elle m'arrêta :

- Pas comme ça, à genoux!

Mon cerveau était dans ma queue, et ma queue était plus dure qu'elle ne l'avait jamais été. Sans pensée consciente je me suis agenouillé à son côté, et j'ai terminé le déshabillage de son corps magnifique. En quelques secondes elle se tenait nue devant son amant, et il lui redit à nouveau combien elle était belle.

Je m'étais attendu à ce qu'elle me demande de le déshabiller lui aussi, mais cela n'arriva pas. Au lieu de ça c'est elle qui déboutonna sa chemise et la lui enleva. Puis elle tomba à genoux, et délaça ses chaussures, rapidement enlevées, et suivies par ses chaussettes. Puis elle déboucla la ceinture, ouvrit la braguette, dégrafa le pantalon, et le fit tomber à terre lentement.

Je voyais la tente sous son sous-vêtement, elle était énorme, je sus ce qu'elle avait voulu dire en me disant qu'elle s'était sentie comme une vierge quand il l'avait baisé la première fois. Même si je ne voyais pas encore la taille réelle de son pénis, il était beaucoup plus gros que le mien.

Elle baissa le caleçon, me révélant la chose qu'elle aimait sentir entre ses jambes.

Sandie commença à caresser la queue lentement, elle me regardait, et m'a dit d'un ton très doux, presque rêveur :

- Il n'est pas beau? Tu vois maintenant ce que je voulais dire? Je me sens comme une vierge!

J'espérais qu'elle n'attendait pas de réponses de ma part parce que j'étais incapable d'en donner une. La vue de la main de ma femme caressant le pénis de son amant était tellement excitante à regarder. Sa queue semblait grossir encore lui rendant hommage, et je pouvais voir de petites gouttes foutre se former au sommet du gland.

Après l'avoir caressé pendant une éternité elle dit sans me regarder :

- Déshabilles-toi

J'étais incapable de lui désobéir, et j'essayais de me déboutonner alors que mes doigts et mes mains semblaient gourds et insensibles, je finis par y arriver, mes vêtements étendus au sol parmi ceux de ma femme et de son amant.

Elle le conduisit au lit, sans jamais lâcher son organe énorme, après lui avoir demandé de s'étendre au centre du lit elle lui grimpa dessus, écarta ses jambes, reposant légèrement sur ses genoux. Sans quitter des yeux sa queue elle me parlait doucement disant :

- Chéri, restes avec nous, je te veux à côté de Jack, ta tête juste ici

Elle m'indiquait le milieu du lit en disant cela, j'ai dû battre tous les records de vitesse en me dépêchant d'obéir.

Dès que je fus en place elle s'avança, caressant sa queue l'approchant de sa chatte, ma tête était à quelques centimètres de la chose, et je voyais son foutre pointer, et prêt à couler. D'une voix tendue Sandie dit :

- Chéri étales ça sur le gland de Jack cela va l'aider à entrer en moi

Comme ma main s'approchait pour obéir, je savais qu'ils me regardaient tous les deux, comme si, si je réussissais cet acte cela aiderait n'importe quel autre homme à baiser ma femme plus facilement.

Le simple fait de toucher son gland m'a dévoilé un nouveau côté en moi, et j'ai ressenti l'extrême douceur du gland, qui était aussi très dur. J'utilisais un doigt pour étaler le jus sur la chose, et j'étais presque dégoûté en retirant ma main lorsqu'elle dit :

- Ça suffit, c'est pour moi, pas pour toi

Elle avait mis sa main sur mon poignet en disant cela, et elle a retiré ma main de cette partie si fascinante en lui. Elle s'est positionnée au-dessus de son membre, et fit une pause avant d'ouvrir sa chatte pour l'accepter en elle, puis elle dit doucement :

- Mets-là en moi

J'ai placé une main sur la tige de la queue, et l'ai approché d'elle, elle a commencé doucement à abaisser sa chatte vers lui et je l'ai vue commencer à s'empaler sur lui.

Ils gémissaient tous les deux alors que son gland disparaissait de ma vue, j'étais incapable de prendre conscience des bruits, j'entendais les gémissements de plaisir alors que son membre s'enfonçait de plus en plus profond, je l'ai entendu lui dire combien elle était belle, ce qui me fit honte, jamais je ne l'avais complimenté ainsi

Elle le baisa ainsi pendant cinq minutes, elle dit à court de souffle :

- C'est plus loin que tu n'as jamais été, je suis encore vierge ce soir

Je ne voyais que sa queue disparaître dans la chatte de ma femme, et quand elle dit cela à peine 1/3 de son membre l'avait pénétré. Plutôt que de vouloir le voir sortir d'elle, je devais lutter pour m'empêcher de l'aider à s'enfoncer encore plus loin en elle.

Je ne sais pas pendant combien de temps ils ont baisé, plus longtemps que lorsque je faisais l'amour avec elle, j'étais honteux, il était si évident que Jack était d'abord préoccupé par le plaisir de Sandie, pas par le sien.

Cela était démontré par sa façon de caresser ses seins, il lui répétait qu'elle était belle, et il utilisait un doigt pour stimuler son clitoris, tout montrait son intérêt pour son plaisir, et quand elle a senti l'orgasme déferler sur elle, elle le supplia de jouir en même temps qu'elle.

Aucun doute lorsque ce moment de plaisir ultime survint, tout en elle tendait à s'empaler sur sa queue, tout en rugissant un cri de plaisir, puis elle commença à dire des choses que je ne l'avais jamais entendu dire. Ses mots étaient simples mais si érotiques, et elle les a répété jusqu'à ce qu'elle jouisse,

- Jack, gicles en moi, fais-le dépêches-toi, remplis ma chatte

La passion dans ces mots était plus que je ne pouvais en supporter, et je sentais mon propre orgasme approcher. Il s'est encore plus enfoncé en elle, elle a crié une dernière fois de plaisir, j'ai vu sa tête se renverser si violemment qu'elle semblait brisée, son corps tremblait, leurs jus se mêlaient, il a mis ses bras autour d'elle, et ils se sont embrassés passionnément.

Toutes les bonnes choses ont une fin, et il en fut ainsi de leur baiser. Sandie reprit sa position, et me regarda en disant :

- Maintenant tu vois ce que c'est une vraie baise?

J'avais perdu toute capacité à parler, je ne pouvais même pas hocher la tête, je savais la différence entre ma performance, et faire l'amour, on venait de m'en faire la démonstration. La honte que je ressentais cohabitait avec l'excitation extrême, et le désir qui me consumait.