La Reine de Glace Pt. 04

BÊTA PUBLIQUE

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La vie au domaine s'était organisée dans une certaine routine. À son retour de voyage, Marie appris que sa mère Jeanne avait été hospitalisé. La douleur qui lui tenaillait le ventre depuis son viol s'était transformée en cancer. La maladie fut courte et la mort rapide. Marie était soulager de voir le calvaire de sa mère prendre fin.

Par ailleurs, Raphaël était de plus en plus absent du domaine. Cette situation permettait à Marie d'étudier en toute tranquillité les méandres de l'organisation et de mieux connaître la personnalité profonde des lieutenants du Parrain. Son intelligence supérieure lui permettait d'enregistrer une foule de détails dont elle pourrait peut être se servir plus tard.

Elle n'avait pas eu d'autres nouvelles de Sylvie. Tout ce qu'elle savait c'est qu'elle n'était plus sous l'influence de ce Léo. Sa sœur était devenue un sujet tabou et personne n'en parlait. Maxime de son côté était beaucoup plus discret. Il s'occupait maintenant des affaires de gambling de l'organisation et ne venait pratiquement plus au domaine. On disait de lui qu'il avait perdu son statut de dauphin.

Elle entendit Raphaël entrer dans la maison. Elle retira rapidement le dildo de son sexe et se dirigea vers la douche. À sa sortie, Le Parrain était debout dans la chambre et faisait les cent pas d'une manière fébrile.

- Vous semblez agiter Raphaël?

- Oui.

- Qu'y a-t-il?

- Rien. Enfin, un important collaborateur a été retrouvé mort sur son bateau en Europe.

- Ce n'est pas grave pour vous j'espère?

- Pas vraiment, cet homme n'était pas impliqué dans des affaires dangereuses. C'est justement ca mon problème. Il était apprécié de tous et je vois mal le pourquoi de son assassinat.

- Qui était-il?

- Je ne crois pas que tu le connaisses. Léonard Gianti.

- Mon pauvre mari.

Elle regarda son reflet dans le miroir pour s'assurer que son sourire restait caché. Elle s'approcha de Raphaël et plaça une main sur sa queue. Quelques minutes plus tard, pour la première fois de sa vie, elle chevauchait son mari, sa chatte avalant complètement son impressionnante virilité. Si elle ne s'était retenue, Marie aurait presque pu jouir.

10.

- Es-te sure d'être prêt à le faire.

- Oui.

- J'aurais quand même préférée quelqu'un d'autre.

- Non, je dois le faire moi-même.

11.

L'homme éjacula en grimaçant. Une goutte de sueur quitta le menton du mexicain et tomba sur le visage de la femme qui ne sembla pas le remarquer. L'inconnu retira son condom et le lança négligemment dans la poubelle située près du lit. Il remit sa chemise et son pantalon et sorti sans rien dire. La femme restait là, jambes largement écartées, fixant le plafond d'un regard vide, comme toujours. Elle se retourna vers la petite fenêtre sale de la chambre et remarqua que le soleil se levait. Son quart de travail était fini.

C'était le 17ième client qui profitait des charmes de Sylvie, une soirée relativement tranquille. Elle ne bougeait pas. Une vielle femme entra dans la chambre avec un bout de pain et un bol de bouillie à l'odeur douteuse. Elle déposa les choses sur la table de chevet et sortit une seringue de sa poche. Elle injecta le fix à la jeune femme décharnée qui sembla se relaxer aussitôt. Elle referma les jambes. Ses yeux se fermèrent et le visage d'un homme apparut aussitôt dans son esprit embué. La vielle femme sortie de la chambre après l'avoir détachée.

Dans quelques jours, on célèbrerait le 5ième anniversaire du mariage de Marie et Raphaël Da Silva. Il y a cinq ans, Maxime l'abandonnait à l'ignoble Léo Gianti.

Dans les jours qui ont suivis le mariage, Sylvie avait été amené dans une petite chambre sombre et froide. On l'avait battue. Elle avait été violée par de nombreux hommes, toujours dans l'anus. Elle hurlait sans relâche. Alors on la battait plus fort. On l'avait privée de sommeil et de nourriture. On l'avait relâchée en forêt, elle avait été pourchassée et capturée. Des hommes l'avait attachée à une table et lui avait percé les seins. La douleur avait été horrible. Ensuite, on lui avait expliqué ce qu'on attendait d'elle. Elle refusa, se rebella. Sylvie fut de nouveau battue. On inséra des électrodes dans son sexe et son anus. On lui donna des chocs jusqu'à ce qu'elle accepte d'obéir. Une électrode télécommandée avait été laissée dans son conduit anal pour s'assurer de son obéissance. Des hommes l'on menée sur une scène où elle avait été violée par des noirs trop membrés devant des lumières trop vives. Son vagin avait été déchiré et on avait dû la recoudre. Bien entendu, on ne jugea pas bon de geler la plaie avant de procéder à l'opération. Sylvie était brisée.

Léo Gianti était très compétant, sa méthode éprouvée. Il avait des plans pour sa nouvelle acquisition. Les spectacles « live » étaient très lucratifs, particulièrement quand la foule était invitée à participer. Une beauté comme Sylvie pouvait rapporter plusieurs millions en peu de temps. Malheureusement pour le promoteur, le caractère de Sylvie ne lui permit pas de percer dans le domaine.

Pour son premier spectacle, on avait pris des mesures extrêmes pour s'assurer de son obéissance. Il était impensable qu'elle puisse offrir régulièrement ce genre de performance dans ces conditions. Normalement, on brisait l'actrice une première fois. Par la suite, la menace suffisait à obtenir son obéissance. Sylvie n'était pas faite de ce bois. Dès son second spectacle, elle se mit à hurler et à se débattre, brisant le nez d'un des acteurs au passage. Les spectateurs durent être remboursés. Sylvie a de nouveau été battue et torturée, mais elle était devenue un cas à risque. La scène n'était pas pour elle.

Léo décida de la faire tourner dans des films pornos. Encore une fois, elle était trop sauvage. Quelques soient les moyens utilisés, Sylvie se déchaînait à un moment ou un autre du tournage. Particulièrement lorsqu'on tentait de la sodomiser. Elle était un risque pour tout le monde et personne ne voulait travailler avec elle. Léo réussi à soutirer quelques dollars de la jeune femme en lui faisant tourner des films extrêmes où on l'attachait pour lui faire subir différentes tortures de type BDSM. Elle était particulièrement performante dans ce genre de scène. Les amateurs se régalaient du naturel de l'actrice, du réalisme de ses cris et de la résistance de celle qu'on nommait « The Screaming Angel ».

Cependant, ce genre de pratique était très dur sur le corps de la belle. Elle mangeait peu, on la droguait beaucoup et les coups répétés commençaient à laisser des marques permanentes sur son jeune corps. Léo l'abandonna à un souteneur qui tenta de la prostituer.

Elle ne connu pas beaucoup de succès dans le domaine. Elle était toujours aussi agressive lorsqu'on tentait de la prendre. On la droguait de plus en plus pour s'assurer de sa passivité, mais ce genre de filles n'est pas très populaire. De plus, même dans un état second, elle était susceptible d'exploser à tous moment. Des clients avaient été blessés.

Elle passa de souteneurs en souteneurs. Tous avaient leur méthodes pour casser la belle femme aux cheveux noirs, mais aucun ne réussi vraiment. Un souteneur alla même jusqu'à la laisser pendant deux mois à bord d'un cargo africain où elle fut violé à des centaines de reprises, mais rien n'y fit. Bien entendu, elle attrapa de nombreuses infections. On soignait tant bien que mal celles qu'on pouvait, mais elle était maintenant séropositive, entre autres.

C'est ainsi que Sylvie se retrouva dans ce bordel mexicain. Ici, loin dans cette région minière isolée, l'idée de baiser une femme blanche pour une poignée de pesos était encore envisageable. Même si cette femme n'était plus qu'une loque. Pour assurer la sécurité de la clientèle, on l'avait attachée à son lit. Souvent, elle explosait et se débattait pendant l'acte. Ainsi immobilisée, elle ne pouvait pas faire grand-chose et la plupart du temps elle se calmait après les trois ou quatre premiers coups que le client lui assenaient.

Sylvie dormait un peu. Elle était lourdement affectée par sa condition. Elle ne pensait plus vraiment. Son cerveau lui envoyait des images. Elle voyait des couleurs, percevait des odeurs, elle entendait des sons, des mots. Parfois, elle voyait un visage, toujours le même. Le visage d'un homme, un très bel homme qui la regardait en souriant. Elle se souvenait de son nom : Maxime. À chaque fois, cette image l'apaisait.

Elle réagit instinctivement au bruit quand la porte de sa petite chambre s'ouvrit. Probablement un nouveau client. Il y avait beaucoup de lumière dans la pièces, mais elle avait perdu la notion du temps. Elle écarta machinalement les jambes, mais rien ne se produisit. Elle ouvrit les yeux.

Un homme était debout, près du lit et la regardait. Elle reconnu ce visage. Dans ses rêves il était souriant, mais à ce moment, son sourire était une grimace et ses yeux étaient remplis de larmes. Pour la première fois depuis des années, le visage de Sylvie se fendit d'un sourire. Sa voix faible et cassée dit un seul mot.

- Maxime...

- Je m'excuse mon amour.

Sur ces mots, il tira sur la gâchette de son pistolet. La balle traversa le cerveau de la femme entraînant une mort rapide et sans douleur. Maxime s'agenouilla sur le bord du lit et pris la main du corps encore chaud. Il pleura pendant près de 3 heures avant de ressortir du sordide bordel mexicain.

13.

Raphaël Da Silva était furieux. Il venait d'apprendre qu'il venait de perdre un autre procès. Trois de ses principaux lieutenants se retrouvaient en prison pour trafic de drogue. Non seulement cette situation était embêtante, mais il avait perdu une somme colossale dans la saisie qui avait amené le procès.

Une chose troublait le Parrain par-dessus tout. C'était le troisième procès du genre qu'il perdait. Dans la dernière année, il avait vu cinq cargaisons de drogues saisies. De coutume, il s'arrangeait avec la police pour leur en donner une ou deux afin qu'elle garde la face, mais jamais cinq et jamais de cargaisons aussi importantes. C'était comme si la police connaissait d'avance ses mouvements.

Bien sur, il y avait un nouveau maire, un homme sorti de nulle part pour gagner la mairie à la surprise de tous. On se demandait encore où il avait trouvé le fric pour financer sa campagne. Ce salaud avait changé les lois municipales empêchant l'exploitation de commerces de type sexuel au centre ville. Cette décision avait coûté cher à Raphaël qui avait dû fermer pas moins de trois clubs importants. Cet homme était du genre incorruptible. L'organisation avait suffisamment de connections pour contrôler un tel toréador, mais que ça n'expliquait pas tous ces revers en justice.

Comme si ça n'était pas assez, les bandes de motards et les bandes d'immigrés avait repris le commerce de la drogue et des femmes. Pourtant, l'entente négociée avec ces bandits était bien claire. Raphaël était tout à fait justifié de répliquer à ces affronts, mais il était menotté. Il ne pouvait se permettre d'engager les hostilités avec autant de groupes en même temps. De toutes façons, aucun de ces groupuscules n'était suffisamment organisé pour menacer la mafia. De plus, la police s'intéressait trop aux affaires de la mafia pour qu'il puisse se lancer dans une guerre ouverte. Le problème était ailleurs. Jamais les choses n'avaient été aussi mal. Il devait y avoir quelqu'un de gros derrière cette situation. Peut-être un autre Parrain. Ça serait du jamais vu.

Alphonso ne cessait de lui répéter d'être patient et de rester calme, mais Raphaël sentait que quelque chose clochait. Il avait fait mené une enquête dans la rue. Les résultats avait été très longs à entrer et très vagues. Il en ressortit une chose. Les dealers, les prostituées, le prêteur sur gages et toute la faune souterraine de Blackpoint semblait avoir un respect important pour la Reine de Glace.

Raphaël passait ses nuits à retourner la situation dans tous les sens sans trouver d'explications logiques. Il entra dans sa chambre et découvrit sa femme simplement vêtue d'un très chic déshabillé transparent. Le bout de ses petits seins pointait à travers le tissu. Elle lui lança un regard invitant tout en lui versant un verre de son whisky préféré. Son mariage avec Marie Castillo avait été son meilleur coup depuis longtemps. Il avait libéré la salope en elle et maintenant, il pouvait la baiser à couilles rabattues sans avoir à se soucier de lui faire mal. De plus, elle jouissait comme une folle.

Il s'approcha d'elle et l'enlaça. Elle défit son pantalon et se lança dans une fellation experte. Les affaires pouvaient attendre.

14.

Raphaël Da Silva se réveilla avec un solide mal de tête. Il réalisa rapidement que quelque chose n'allait pas. Il avait froid. Il était debout. Il était nu. Ses yeux s'ouvrirent brusquement. Il était dans une petite pièce tout en pierre située sous les écuries. Il n'avait pas utilisé cet endroit depuis des années. C'était un petit cachot où il amenait ses adversaires pour les convaincre de la justesse de ses arguments ou pour punir des collaborateurs un peu négligents.

Devant lui, il y avait deux gardes lourdement armés qu'il ne connaissait pas. Son gros chien rottweiler était dans la pièce et grugeait tranquillement un os sanguinolent.

- Détachez moi! Allez bougez vous idiots.

Le chien leva la tête vers son maître, mais aucun des deux hommes ne bougea. Raphaël s'agita un moment en vociférant. Il avait peur. Il était en colère. Après un long moment, une clef se glissa dans la serrure de la porte brisant le silence.

Le Parrain hurla sa colère. Invectivant le nouveau venu avant même qu'il soit entré dans la pièce. Il gueulait encore lorsque la porte s'ouvrit et laissa apparaître une petite silhouette blanche. Raphaël se tut immédiatement.

C'était une femme, entièrement vêtue de blanc. Un grand capuchon cachait son visage. Elle marcha lentement vers l'homme enchaîné qui la reconnu aussitôt. La femme s'arrêta à un pas de son prisonnier et dévoila son visage.

- Marie? Toi? Pourquoi? Comment?

Elle le gifla avec force. Elle prononça 6 petites phrases. À chaque fois, elle le frappait avec plus de force.

- Tu as tué mon père.

- Tu as violé ma mère.

- Tu as réduit ma sœur en esclavage.

- Tu as volé ma virginité.

- Tu as détruit ma jeunesse et ma vie.

- Maintenant, je ne vaux pas plus que toi.

Raphaël ne trouvait même pas les mots pour protester.

Marie sortit un long couteau de chasse de ses vêtements. Sans dire un mot, elle pris les attributs viriles de son mari et d'un geste vif et mainte fois répétés, elle sectionna les testicules et le pénis de l'homme.

Sur le coup, Raphaël ressentit une vive sensation de brûlure. Ses yeux s'embuèrent rapidement et il se senti pris de fièvre et de nausée. Il sentait un liquide chaud et visqueux couler sur ses jambes. Il regardait incrédule la jeune femme dont les vêtements étaient maculés de sang. Elle souleva les testicules et le pénis encore ridiculement gros dans ses mains et les présenta à son mari.

- On t'a administré un anticoagulant. Tu vas mourir au bout de ton sang.

Elle lança d'un geste négligeant les parties génitales qui s'écrasèrent au pied du chien. Les yeux de Raphaël suivirent instinctivement le projectile. Comme pris de fureur, la bête engloutit les morceaux de chair en grognant.

- Maintenant tu connais la Reine de Glace.

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1 Commentaires
BachilleBachilleil y a presque 8 ans
Bravo...

Histoire palpitante et vous avez su ne pas dépasser les limites. J'avoue avoir trouvé votre récit très excitant la plupart du temps. Merci pour ce plaisir. La seule remarque négative que je pourrais vous faire, est le nombre de fautes d'orthographe tout au long de votre récit. Mais peut-être n'êtes vous pas de langue maternelle française. Dans tous les cas je serais ravi de lire et corriger vos prochains récits avant publication.

Cordialement, Bachille

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