La Reine de Glace Pt. 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Finalement, Marie réalisa qu'elle devrait être patiente. Elle ne pourrait d'aucune manière changer les choses rapidement. Donc, elle devrait s'accommoder des circonstances et surtout s'assurer de faire le moins de vagues possible. Cette situation s'était avérée particulièrement difficile quand elle devait sourire à Alphonso ou qu'elle devait faire face à un Maxime de plus en plus absent du domaine. Mais le pire, c'était de garder une attitude soumise, noble et intéressée quand son vagin était douloureusement déchiré par le sexe de son mari.

6.

Une semaine après le mariage, le nouveau couple quitta le domaine pour les Antilles. Ils montèrent à bord d'un très chic yacht appartenant à Da Silva pour une croisière dans les îles du Sud. Ce voyage de noce devait malheureusement se conclure par une réunion d'importants personnages de la mafia. Raphaël devait absolument y assister et Marie était curieuse de faire la connaissance de tous ces personnages.

Le voyage se déroula sans grand problème. Raphaël était toujours attentionné et le couple voyageait avec une escorte réduite composée de seulement trois gardes du corps, d'un cuisinier et de l'équipage du bateau.

Une journée type se passait ainsi. Un réveil tardif suivit d'un déjeuné copieux. Le couple s'installait ensuite pour une séance de bronzage. Le problème était que Raphaël avait insisté pour que Marie porte le monokini. Elle était tout à fait mal à l'aise de s'exhiber seins nus avec une minuscule culotte devant ces quelques étrangers, mais elle ne voulait pas déplaire à son mari. Elle constata rapidement que les hommes d'équipage ne lui portaient pas grande attention. Ils étaient sûrement attirés par les modèles à gros seins. Les gardes du corps en avaient vu d'autres et étaient d'un professionnalisme sans failles. Raphaël était cependant subjugué par le corps de sa jeune femme et il pouvait passer des heures à la caresser au soleil. La chose n'était pas désagréable en soit, mais Marie s'efforçait de garder l'esprit alerte et de rester intérieurement froide à ses attentions. Extérieurement, elle s'assurait de pousser un petit gémissement ici et là pour montrer à son mari que ses efforts n'étaient pas vains.

Généralement, Raphaël perdait sa contenance en début d'après midi et il entraînait sa femme dans leur cabine. Marie réalisa vite que les relations en levrette lui étaient moins douloureuses. Elle détestait cette position animale, mais son mari contrôlait mieux son enthousiasme. Dans les positions plus conventionnelles, il s'excitait et la pénétrait trop profondément. En fin de journée, ils accostaient dans diverses îles où ils passaient la soirée.

En gros, Raphaël avait l'air totalement amoureux alors que Marie demeurait réservée, calme et toujours un peu distante. Si le Parrain était très charnel avec sa femme, le couple parlait peu. D'ailleurs, un homme dans la cinquantaine et une jeune femme de 19 ans avaient une banque de sujets de conversations assez limités. C'était particulièrement vrai compte tenu que le travail de Raphaël, le passé et la famille de Marie étaient des sujets tabous. Cependant, la discussion s'orienta un jour vers Sylvie.

- Raphaël, avez-vous eu des nouvelles de ma sœur et de Maxime depuis le mariage. Je ne les ai pas revus.

- Quoi, tu ne sais pas?

- Savoir quoi?

- Euh. Et bien, ils ne sont plus ensemble. Je ne voulais pas t'en parler pour ne pas te faire de peine. Apparemment, elle l'aurait quitté pour un de ses amis. Maxime est dévasté de la situation.

- Je n'étais pas au courant. Nous ne nous sommes pas parlées souvent ces derniers mois.

- Je suis désolé.

- Où est-elle?

- Je ne sais pas vraiment. Je crois qu'elle a quitté la ville. Je m'informerai à notre retour.

Cette nouvelle, bien que terrifiante, confortait Marie dans sa lecture de la situation. Sylvie avait été manipulée au point de devenir une ombre d'elle-même et maintenant, Maxime l'avait refilé à un ami. Bien que son cœur se serrait à cette idée, elle resta de marbre.

- Vous savez, ça ne me surprend pas de ma sœur. Elle a toujours été comme ça.

- Ça doit t'inquiéter quand même?

- Ma sœur vie sa vie, je vie la mienne. Vous savez Raphaël, elle m'a beaucoup déçue. Elle a toujours été une traînée. Il semble que rien n'ait changé. Tant pis pour elle si elle quitte le giron de la famille...

L'aplomb avec lequel elle avait prononcé ces mots la surpris elle-même. Raphaël était ravi d'entendre sa femme si détachée du sort de sa sœur. Il l'avait bien observée alors qu'ils parlaient et son attitude ne laissait aucun doute. Elle se foutait de sa sœur. C'était bien, mais une chose l'inquiétait.

- Demain, nous arriverons à l'île où se tiendra notre rencontre. Je ne pourrai vous voir avant le soir et samedi, il y aura une réception.

- Alors?

- Traditionnellement, ces réceptions sont organisées par un des membres du groupe. Cette année la personne en charge est reconnue pour commanditer des spectacles à caractère très osés. Je ne suis pas à l'aise avec ce genre de chose, mais je ne peux m'y soustraire. Si vous le voulez, je pourrai vous en excuser.

- N'ayez crainte Raphaël. Je suis peut-être jeune et inexpérimentée, mais je suis votre femme. J'irai ou vous irai et je serai à vos cotés. Tant que vous ne me demanderai pas de participer à des actes dégradants, je resterai avec vous. Qui sait? Peut-être est-ce que j'aimerai le spectacle.

S'il avait été mal à l'aise d'aborder le sujet, il était maintenant estomaqué par son attitude. Cette soirée serait un bon test pour leur couple. Raphaël commençait à développer de sérieux sentiments à son égard et il souhaitait ardemment que sa femme puisse apprécier son penchant pour les côtés plus spectaculaires du sexe. Il serait regrettable qu'il aille à la forcer à assister à ce genre de manifestation. Après tout, c'est lui qui était le commanditaire de la soirée.

7.

Le riche complexe hôtelier était gardé comme une forteresse. Marie resta discrète pendant son séjour là bas. Elle remarqua cependant qu'il y avait en réalité peu de dirigeants mafieux. La majorité de ceux-ci semblait être des proches de Da Silva. Il y avait cependant de nombreux personnages importants qu'elles ne connaissaient pas. Des banquiers, des juges, des hauts fonctionnaires etc. De toute évidence des clients ou des collaborateurs du Parrain. Il s'agissait pour la plupart d'hommes matures. Ce qui était frappant, c'est que pratiquement tous ces gens étaient accompagnés par de très jolies jeunes filles. Pendant que les hommes discutaient entre eux, Marie observa ces femmes agir sans leurs «mari». Elle constata qu'elles se distinguaient par un manque de classe hors du commun. Elle tira les conclusions qui s'imposaient. Ces femmes étaient des prostitués dont le travail était d'accompagner et de satisfaire ces messieurs importants. Elle n'était pas totalement étrangère aux familles mafieuses, mais le clan Da Silva se démarquait de tous ce qu'elle avait connus par l'omniprésence du sexe dans ses opérations.

Le soir du samedi, tout le monde fut réuni dans une grande salle munie d'une scène. Raphaël et Marie s'étaient vus réserver une place de choix, au centre de la salle, un peu en retrait. Le repas se passa sans incidents. Après le dessert, un animateur noir monta sur scène et prit un micro.

- Mesdames et Messieurs, le chic hôtel Marraco est fier de recevoir en ses murs de si grands personnages. (applaudissements)

- Pour le plus grand plaisir des ses invités, l'hôtel Marraco est fier de vous présenter un spectacle dirigé par Mr Léo Gianti qui s'intitule : La chasse aux esclaves...

Un écran de cinéma s'éclaira sur la scène. Des hommes noirs, spectaculairement musclés, couraient dans une forêt. Ils étaient armés de lances, de cordes et de filets. Rapidement, on aperçu la proie. Une femme légèrement vêtue, aux longs cheveux noirs. Les chasseurs la rattrapèrent rapidement, la jetèrent par terre et l'immobilisèrent dans leurs filets. La femme criait, se débattait et les hommes la frappaient avec leurs pieds et leur lance. La scène était filmée caméra à l'épaule et on ne voyait pas clairement la victime, mais la terreur qui émanait de ses cris semblait très réaliste. Finalement, les hommes ficelèrent la femme à une branche d'arbre et la transportèrent comme une bête.

Le plan suivant nous montrait un groupe d'hommes assemblés autour d'un grand poteau de bois. On avait mis un masque fait de peau d'animal à la femme qui était solidement attachée. Un homme s'avança dans les exclamations, il semblait être le sorcier. Il dansait autour de la pauvre fille qui tentait de s'échapper. Il s'approcha d'elle et déchira le devant de sa robe. Ses seins semblèrent bondir à l'air libre. L'homme sorti d'un étui une grande aiguille et un anneau d'or. La caméra se fixa sur la poitrine haletante. Le sorcier tira cruellement sur un mamelon et, d'un geste sec et précis, le transperça de son aiguille. La fille poussa un crie strident. Le sorcier répéta l'opération sur le second sein. On entendit à nouveau des cries et des pleurs. L'homme se tourna vers la tribu et proclame.

- La blanche est notre esclave.

La salle devint soudainement noire. Personne ne parlait.

On releva l'écran et la scène fut de nouveau illuminée. Le décor rappelait un village indigène. Au centre, il y avait une sorte d'arène. Une douzaine d'hommes en pagne entrèrent en dansant et se placèrent autour de l'arène. L'animateur revint. Il était déguisé en sorcier.

- Tribu, l'esclave blanche plaira au roi, mais avant, elle doit payer pour les crimes des blancs contre ce village.

Les hommes crièrent. La mise en scène démontrait une absence totale de talent, mais les spectateurs s'en foutaient. Sous un tonnerre d'applaudissements, la femme fit son apparition. Elle était au fond de la salle, derrière les spectateurs. Deux chaines dorés reliées à une poignée de cuire étaient fixées aux anneaux d'or qui ornaient ses seins. Elle portait le masque en peau d'animal. Ses cheveux se rependaient soigneusement dans son dos. Ses yeux étaient partiellement cachés, mais le bas de son visage était tout à fait libre. Ses mains étaient liées dans son dos et elle portait une mince robe en tissus fleurie.

Son geôlier la promena à travers la foule d'un pas rapide. La femme peinait à tenir le rythme et sa poitrine était constamment secouée par les coups de laisse qui l'encourageaient à accélérer le pas. Finalement, elle monta sur scène. L'animateur-sorcier lui fit prendre place face à la foule, la détacha et lui retira sa laisse.

- Avant de la livrer au roi. La femme sera sacrifiée symboliquement au dieu phallique.

On amena une sorte de chaise des coulisses, Le femme fut attachée dessus par le cou, les bras, les jambes et les cuisses. La chaise était haute. Le sexe de la femme reposait au niveau de la poitrine des hommes. Ses jambes étaient écartées au maximum et pendaient dans le vide. Ainsi ficelée, son sexe était d'autant plus accessible que la chaise pouvait basculer d'avant en arrière.

Le sorcier sortit de sa robe un gros dildo en ébène, le trempa dans du lubrifiant et l'inséra sans plus de cérémonie dans le vagin de la femme qui poussa un râle de douleur. Pendant près de trente minutes, la victime du sorcier se vit transpercer par des dildos de différentes grosseurs et couleurs. Son anus ne fut pas épargné. À un moment donné, l'animateur invita des spectateurs à venir participer. Un petit homme chauve inséra sa bouteille de bière dans le cul de la fille alors qu'une femme visiblement ivre baisa sa chatte à l'aide d'une bouteille de vin. Un vieil homme à la démarche incertaine s'approcha et inséra son téléphone portable dans le vagin de la fille. L'animateur demanda le silence et c'est dans l'hilarité générale qu'il posa son micro sur le ventre de la femme afin qu'on puisse entendre la sonnerie de l'appareil. Des cameras filmaient l'action et projetaient des images en gros plan sur des écrans situés sur les côtés.

Puis vint le clou de la soirée. Le sorcier fit monter trois hommes sur la scène. Les deux premiers étaient de grandeur moyenne, mais le troisième était d'une stature impressionnante. Ils furent présentés comme étant les représentants du dieu sur terre. Des femmes de l'assistance furent invitées à retirer leur pagne sous les encouragements de la foule. Leur sexe était impressionnant. Même Marie fut estomaquée de voir que ces hommes étaient tous mieux membrés que son mari. Leurs longues queues pendaient jusqu'à leurs cuisses.

Pendant ce temps on avait détaché la femme masquée et on l'avait amenée au centre de l'arène. Les trois hommes l'encerclèrent. La femme semblait paniquée et elle cherchait à s'enfuir. Systématiquement les hommes l'arrêtaient et en profitait pour l'embrasser goulument et explorer son corps avant de la relancer brutalement vers le centre du cercle. La foule tapait des mains alors qu'elle luttait pour se sauver. Des doigts envahissaient son sexe et son anus. Des langues exploraient sa bouche. Quand elle tombait, on la relevait par les cheveux.

La suite était prévisible. On lui fit sucer les trois membres jusqu'à l'érection. Les caméras projetaient des images de sa bouche distendue. Elle avait du mal à respirer et salivait beaucoup, mais les trois hommes ne lui laissaient aucun répit. L'animateur haranguait la foule à laquelle il fit remarquer jusqu'à quel point la salope aimait sucer des grosses queues. Il s'approcha de la fille et lui glissa un mot à l'oreille. L'homme qu'elle suçait se recula aussitôt. La femme se traina à quatre pattes jusqu'à lui pour reprendre son membre en bouche, mais aussitôt l'homme se sauvait. La femme arpenta la scène de long en large pendant de longues minutes pour tenter d'attraper un des trois membres virils. La foule riait aux éclats.

Elle fini par rattraper un des hommes et entreprit de le sucer avec vigueur. Le plus costaud et le plus membré des acteurs s'approcha discrètement d'elle par l'arrière. Il l'attrapa par les hanches et la pénétra d'un coup sec. Elle abandonna le sexe qu'elle suçait pour crier sa douleur et sa surprise. Le noir la pistonna furieusement en lui tirant les cheveux. Le sorcier s'approcha et toucha délicatement à son front. Comme sur commande, la fille se mit à feindre l'orgasme d'une manière on ne peut moins convaincante. Ses cris étaient trop forts, ses paroles peu senties.

- Ha Oui. Ha oui. J'aime les grosses queues. Encore, Haaa!

Les trois hommes la trainèrent aux quatre coins de la scène pour la baiser pendant un long moment. La foule était surexcitée. Marie regarda autour d'elle. Pratiquement tous les hommes pelotaient leurs compagnes. Sur sa gauche, une femme était penchée sur l'entrejambe d'un grand maigre. Plus loin, un petit chauve bedonnant avait renversé sa partenaire sur la table et la baisait tranquillement en profitant du spectacle. Marie restait de marbre, mais Raphaël semblait agité.

Un des hommes s'allongea sur le sol et la fille se précipita, au signal de l'animateur, pour s'empaler sur son sexe érigé. Les caméras filmaient tout.

Elle chevauchait sa queue faisant face à la foule. Ses seins bondissaient sous le choc des assauts. Un des hommes s'approcha par derrière. Il appuya sur son dos et la femme due se pencher vers l'avant de manière à ce que son visage repose près du sol. Il enligna son sexe sur son vagin et, ajustant son mouvement avec celui de son partenaire, pénétra l'actrice. Elle poussa un long cri. Son sexe semblait vouloir se déchirer sous la pression des deux énormes queues qui la bourraient. Le troisième homme lui souleva la tête en la tirant par les cheveux et la musela de son pénis alors que la double pénétration vaginale prenait son rythme.

L'animateur rodait autour du quatuor. À un moment donné, son micro capta une petite phrase en sourdine.

- Je n'en peux plus. Arrêter par pitié.

- Vous avez entendu? La salope en veut encore. Allez-y messieurs.

Et les trois hommes de redoubler d'ardeur jusqu'à ce que un après l'autre, ils se retirent pour éjaculer dans sa bouche.

Dès le début du film. Marie avait reconnu sa sœur.

8.

De retour dans leur chambre, Raphaël semblait anxieux, mais n'osait dire un mot. Marie le regarda, appréciant le moment, lui souri et lui dit en s'approchant:

- Tu as peur que je sois choquée.

- Oui. Je m'excuse. Ce genre de chose n'est pas sous mon contrôle.

- Je comprends. Ca t'a excité?

- Un peu.

Elle s'approcha de lui, l'embrassa passionnément en abaissant sa braguette. Son sexe était dur.

- Moi aussi.

Et elle s'agenouilla. Elle prit le membre dans sa main, dégagea le gland et le mis dans sa bouche. Elle le suça un moment et elle senti sa jouissance proche. Elle se releva et retira sa jupe. Elle se plaça de manière à ce qu'il la prenne par derrière.

- Baise-moi.

Raphaël tassa sa culotte sur le coté et la posséda d'un trait. Il était trop excité. Il la baisait trop fort et trop profondément, mais Marie ne sentait rien. Sa douleur était bien plus profonde que n'importe quelle douleur physique. Les larmes qui mouillaient ses joues n'étaient pas pour elle.

9.

Marie était assise sur son lit, les jambes largement écartées. Il y avait maintenant plus d'un an qu'elle était mariée. Elle dirigea le gland d'un gigantesque sexe de plastique vers l'entrée de son vagin. Manœuvrant l'engin délicatement, elle l'introduit lentement dans son sexe. Une fois les premiers centimètres disparus, la résistance se fit plus forte. Marie ne put retenir une grimace lorsqu'elle appliqua de la pression de manière à ce que le gigantesque membre factice se loge au plus creux de son intimité. Son diamètre était semblable à celui du pénis de Raphaël et son passage non moins douloureux.

Cela faisait maintenant un an qu'elle s'insérait des dildos dans le vagin sur une base régulière. Sa copine Anne lui avait suggéré cette pratique afin de modeler son corps pour qu'il puisse accueillir plus facilement et moins douloureusement le membre de son mari. C'était le troisième pénis de plastique qu'elle se procurait. Dès qu'elle n'avait plus de problème à s'insérer un dildo, elle passait à un plus gros.

Elle donna au dildo un mouvement de va et viens de plus en plus rapide, caricaturant ainsi l'acte sexuel. Elle variait la force et l'intensité de la pénétration tout en regardant son visage dans le miroir. Depuis douze longs mois, elle se regardait ainsi, s'assurant que son visage restait impassible à la douleur. Elle ne laissait rien au hasard. Elle lançait au miroir des mimiques sensuelles, elle se pratiquait à gémir et même à jouir de manière crédible. Raphaël devait absolument croire qu'elle craquait pour sa queue et que le sexe était quelque chose d'important pour elle. De toute évidence, son plan fonctionnait.

Le corps en sueur, elle bloqua le membre profondément en elle à l'aide d'un coussin et s'allongea pour réfléchir. Elle trouvait paradoxale le fait que depuis qu'elle avait perdu sa virginité, son sexe ne lui avait procuré que de la douleur. Les relations sexuelles avec Raphaël étaient toujours douloureuses, mais n'avait plus rien à voir avec les tortures du début. Elle trouvait incroyable de constater à quelle point le sexe était important pour les hommes et jusqu'à quelle point elle pouvait manipuler son mari simplement en prenant son sexe dans sa bouche et en criant comme une perdue quand il la baisait. Elle riait intérieurement de voir son visage rougi et sa respiration haletante alors qu'il redoublait d'ardeur pour l'amener à l'orgasme. Elle l'encourageait à la prendre plus fort, plus longtemps et lui obéissait. Si il savait qu'elle n'avait jamais rien ressenti.

Raphaël était toujours un chaud lapin et la baisait maintenant de quatre à cinq fois par semaine. Avec le temps, il prenait de moins en moins le temps de la caresser. En fait, il prenait un malin plaisir à faire jouer des films pornographiques dans la chambre conjugale. Marie regardait alors l'écran d'un œil intéressé. Il lui caressait les seins pendant que de jeunes filles de toutes nationalités se faisaient baiser de toutes les façons imaginables. Souvent, il poussait sa tête vers son membre et elle le suçait tranquillement jusqu'à ce qu'il jouisse dans sa bouche. Le gout du sperme l'écœurait, mais comme pour le reste, elle simulait le plaisir. Parfois, Marie se plaçait directement à genoux devant lui pour le sucer sans attendre. Raphaël prenait de toute évidence un grand plaisir à voire sa femme se comporter ainsi dans les circonstances. C'était tellement mieux que de baiser une pute.