La Pêche Aux Moules

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Rainett
Rainett
63 Admirateurs

Son visage crispé, sa grimace, ses gémissements, sa façon de secouer la tête font croire qu'elle est forcée, réticente. Mais ses hanches qui réagissent bien à l'empalement prouvent le contraire. Elle adore se faire enculer. Est-ce que papa sait ça? Il la baise durement et son visage se crispe en une grimace féroce, la respiration difficile prouve la détermination qu'il met à enculer ma mère. Elle soulève ses hanches sur la pointe des pieds pour lui donner un meilleur angle, et sa jambe visible tremble. Le gars l'attrape par les coudes et lui tire les bras en arrière pour la frapper plus fort. Ses seins dansent sous l'impact. Ses fesses claquent. Elle crie. De plaisir ou de douleur?

Il la relâche et se sépare d'elle, puis il lui claque les fesses et se détourne pour attraper un joint. Elle s'assoit sur la table en gémissant. Elle respire fort en se tenant les reins. Elle attrape une cigarette qu'on lui tend et en tire une profonde bouffée. Elle vide sa bière puis, en marchant avec précaution, s'approche de son tortionnaire, lui tapote la poitrine en lui disant qu'il a fait du bon travail. Je me déplace pour obtenir une meilleure vue, mais un bruit de feuilles écrasées lui fait tourner la tête dans ma direction. Heureusement, le gars qui vient de l'enculer lui attrape un mamelon qu'il tord méchamment, ce qui détourne son attention.

« Tout le monde a eu son tour, l'heure tourne, je dois rentrer. J'avais dit à la maison juste une petite balade. On en fera plus la prochaine fois » Elle descend sur la plage et va se tremper les fesses dans l'eau. Elle revient, enfile son maillot, fait un bisou à chacun, et se dirige vers la sortie. C'est la catastrophe. Si elle repart par où elle est venue, soit elle me verra, soit elle sera à la maison avant moi. Je rampe dans le sable aussi vite que je peux. J'entends un des gars la rappeler parce qu'elle a oublié son seau et sa truelle. Elle fait demi-tour ce qui m'accorde un court répit. Je dois m'arracher, courir devant elle, en restant sur le côté caché de la promenade, à l'abri du clair de lune et hors de sa vue.

Lorsque j'atteins la maison, je m'arrête dans l'ombre un court instant pour vérifier le chemin derrière moi. Sûr que je l'ai distancée, je monte les marches et je me précipite jusqu'à ma chambre. Debout à la fenêtre de ma chambre, dissimulé derrière le rideau, je surveille le retour de ma mère, avec mon pouls qui bat, et ma respiration haletante. Je suis encore excité, ma bite dressée à l'intérieur de mon maillot de bain. Machinalement, je me caresse un peu en me remémorant la vision de ma mère s'offrant à la fougue de la jeunesse. Cette évocation est si intense que je réalise trop tard que ma mère est sur le seuil de ma chambre, appuyée contre le chambranle, et qu'elle me regarde me caresser. Je me jette dans mon lit pour dissimuler ma raideur. Elle semble mal à l'aise, mais elle ne recule pas. A-t-elle pu me voir courir sur la plage, malgré mes efforts pour rester hors de vue?

Je ne sais pas quoi dire, ma bite tend mon slip, le carrousel d'images de ma mère se faisant démonter ne veut pas s'effacer, ma raison vacille. La seule chose que je trouve à dire, c'est de lui demander si elle a eu de la chance. Avec les moules, je précise rapidement. Elle a cette torsion des lèvres que je connais si bien, ce regard qu'elle a lorsque j'essaye de lui faire croire des sottises. Elle s'approche, hautaine, et s'assied sur le bord du lit, tout près de moi.

« C'est tout ce que tu as trouvé à me demander? » dit-elle finalement.

J'ai beaucoup de questions à lui poser, j'aimerais lui demander ce qui se passe entre elle et papa, qui sont ces jeunes, est-ce qu'il y a longtemps que ça dure? Mais bien sûr, il y a un truc qui me turlupine.

« Est-ce que c'est meilleur dans le cul? »

La question la fait rire. « Pour qui? »

Le gars, je suppose. Je revois les grimaces sur son visage quand il l'a prise dans le cul. Elle ne semblait pas être au mieux.

« Les garçons aiment ça ! Mettre leur bite là où il n'y a pas la place ! »

J'acquiesce en hochant la tête.

« Rien d'autre? »

« Aimes-tu le goût du sperme? Ça ne te donne pas la nausée de sucer des bites? »

« Il faut un peu de temps pour s'y habituer. Pas le goût, mais le fait de l'enfoncer profond dans ma gorge, oui. Mais c'est nécessaire pour donner aux jeunes hommes l'impression qu'ils ont le plus gros pénis du monde ! »

« Alors, faire vomir les filles, ça fait partie du plaisir d'être un mâle? »

« Laisse-moi te montrer quelque chose » Elle se penche vers moi en caressant ma cuisse. Sa main me galvanise et se pose sur la bosse de mon slip. Elle me sourit. Elle me demander d'ôter mon slip. Je lui souris craintivement.

« Je ne vais pas te donner une fessée, à moins que tu le souhaites? »

« Non merci » je réponds. Encore que, l'idée d'être à plat ventre sur les genoux de ma mère, cul nu, la bite pendante, avec sa main qui frappe et qui caresse alternativement. A cette pensée, ma bite se tend.

« Allez, c'est mieux de te déshabiller. Détends-toi, je te connais, c'est moi qui t'ai fait. Ton père aurait dû avoir cette conversation avec toi il y a longtemps, mais il ne l'a pas fait, d'après ce que je vois »

Ce n'est pas une question. Elle est tellement proche de moi. Je regarde son soutien-gorge bien rempli, son ventre nu et les poils pubiens qui dépassent de l'entrejambe. Elle est hypnotique, penchée sur moi. Je détourne mon regard vers le papier peint, sur le mur, la frise qui ... Elle glisse sa main dans mon maillot de bain.

« Il faut que tu saches certaines choses, avant d'être un homme. Allez, enlève-çà ! »

Encore une fois, les images de ma mère, cette femme que je ne reconnais plus, avec ces gars, me tourmentent. Je fais glisser mon maillot de bain, elle le tire jusqu'à mes chevilles.

« Soulève-toi, aide-moi, écarte tes jambes ! »

Je peux sentir son souffle sur ma bite, mon propre souffle se flétrir. Quand elle attrape ma bite, je sursaute.

« Détends-toi, je ne vais pas te l'arracher ! »

Elle me saisit la bite à pleine main, je me laisse faire, un vertige m'étourdit. Avec l'ongle de son pouce, elle écorche ma bite pour me montrer l'endroit adéquat.

« Première chose, tu n'es pas obligé de l'enfoncer jusqu'au fond de la gorge, la mienne ou celle de n'importe qui voudra te sucer. En réalité, jusqu'ici, c'est bien suffisant pour que tu ressentes du plaisir, et que la personne qui te suce soit contente. Il faut apprendre à être bienveillant pour plaire. En plus, tout ce qui dépasse hors de la bouche peut être caressé, comme çà ! »

Aussitôt, elle prend ma bite dans sa bouche, je ne peux pas échapper à son emprise, elle me tient et mon vertige augmente. Elle me suce avec un bruit humide, caresse ma tige, saisit mes bourses, puis elle se relève et me demande :

« Est-ce que ça te plaît? »

Je n'ai pas le temps de répondre que déjà elle s'installe à nouveau sur moi. Un frisson me traverse, mais je la laisse faire. Je regarde sa tête bouger de haut en bas, à petits coups, puis brusquement, elle s'enfonce profondément et me prend complètement dans sa bouche. Je peux sentir sa langue contre la base de ma bite, et la façon dont sa gorge se contracte comme si elle tentait de m'avaler. Elle fait une pause et me ressort de sa bouche.

« Je parie qu'il t'arrive souvent d'être tout excité, ton pénis tout raide et lancinant, n'est-ce pas? Tu aimerais le coller quelque part et ça te rend fou, n'est-ce pas? » Et elle recommence à me pomper.

« Est-ce que tu fais ça pour acheter mon silence? » Je demande.

Elle s'arrête, toujours avec ma bite dans sa bouche, esquisse un petit rire, tousse. Puis, en secouant la tête, elle me fait sortir de sa bouche.

« Papa n'a pas besoin de savoir. Maintenant, arrête de parler, et profite »

Je m'appuie sur les avant-bras pour pouvoir la regarder œuvrer. Elle fait du très bon travail. Les images de ma mère défilent sans que je puisse les ordonner : chevauchant un mec, préparant le repas, se faisant enculer, étendant son linge, suçant un mec, s'habillant pour une soirée entre copines. Mes fantasmes prennent le dessus. Ce n'est plus ma maman, c'est ma prof d'anglais, c'est la fille de la cafétéria, c'est la voisine, c'est cette femme, sur le parking du centre commercial, penchée dans son coffre de voiture, et qui ne se soucie pas qu'on puisse voir ses dentelles.

Je commence à sentir la montée du plaisir provenant des douces sensations de sa bouche sur ma bite. J'essaye de retarder la houle qui s'agite en lui saisissant la tête, ne voulant pas m'abandonner si vite, en essayant de prolonger ce merveilleux moment. En même temps, je m'interroge sur l'étiquette. Ce n'est pas n'importe quelle salope, c'est ma mère. Alors, dois-je la prévenir de l'imminence de ma venue? Puis je réalise qu'elle a de l'expérience, et qu'elle sait quoi faire. En réalisant que c'est ma mère qui va recevoir mon éjaculat dans la bouche, mon émotion annule tout le contrôle que je pourrais avoir, mes couilles se serrent et j'explose plus fort que jamais. Elle s'étouffe, surprise, mais récupère vite le contrôle et reçoit, sans sourciller, l'intégralité de ma décharge en jets ardents. Elle maîtrise l'opération avec tant d'aisance, que l'idée de n'être pas assez puissant me traverse et me déprime.

Elle rit, comme si elle pouvait deviner ce qui se passe dans ma tête. Elle a toujours ma bite entre ses dents, puis elle me lèche jusqu'à tout nettoyer. Elle se rassoit au bord du lit et me regarde. Elle me domine, examine mon visage. Je ne sais plus où regarder, ni quelle attitude adopter. Je ne sais pas me comporter. Satisfaction? Cynisme? Reconnaissance? Performance? Ma respiration se calme, la rémanence fait apparaître une légère sensation de picotement dans ma bite et dans mes couilles, jusqu'à mon trou du cul. Elle me sourit.

« Alors, qu'est-ce que tu vas dire à papa? »

Sans réfléchir, je réponds : « Rien, tant que ça continue »

Je voulais juste faire un compliment, lui donner mon appréciation pour la pipe la plus spectaculaire de ma jeune existence. Mais je me suis mal exprimé, elle l'a reçu comme un avertissement.

« Très bien. Je suppose que ce sera un bel été pour toi, n'est-ce pas? »

Elle me reprend dans sa bouche, en saisissant mes couilles à pleines mains, en aspirant fort avec sa bouche, ma queue toujours demie-molle. Je ne bande pas vraiment, mais je me sens renaître, progressivement, quelque chose de savoureux, langoureux et inexorable. Elle a raison. Ce sera un très bel été.

Rainett
Rainett
63 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 2 mois

Pervers et attendrissant ! Merci

ANDRERP95ANDRERP95il y a 2 mois

Toujours aussi bien écrit.

Quoique moi j ai un faible pour vos histoires de maris soumis.

Bravo

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Quelle Famille ! Ma femme est une bonne mère de famille.
Ma Maman Chérie J'ai toujours aimé ma maman plus que de raison....
Sans Arrière-Pensée Mon fils est malade, et je suis la seule à pouvoir le sauver.
Le Vrai Métier de Maman En me payant une escorte, je fais une sacré découverte...
Naissance d'Une Putain Le sexe mêne à tout.
Plus d'histoires