La Pêche Aux Moules

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Épier ma maman nue, dans un bungalow sur la plage, radieuse.
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Rainett
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Il fait nuit et je suis accroupi derrière la haute haie de bambous d'un cabanon près de chez nous. Cette haie est censée protéger la terrasse de ce bungalow des regards indiscrets. Mais la haie est endommagée par endroits, et l'éclairage de la terrasse me permet de voir sans être vu. Et je vois ma mère, nue et agenouillée, tailler une pipe sublime à un jeune homme adossé à un pilier, tandis que deux autres mecs, vautrés sur un canapé, short baissé et torse nu, commentent en riant la prestation de ma maman.

La première chose qui me vient à l'esprit, pendant que j'assiste à cette exhibition, parmi toutes les choses qui pourraient me traverser l'esprit dans ces circonstances, c'est combien ce que disent mes potes au sujet de ma mère est exact. Ils ont raison, ma mère a une bouche à tailler des pipes. Ce n'est pas vraiment mes potes, plutôt des mecs qui veulent me taquiner en faisant des commentaires graveleux sur ma mère.

« Ta salope de mère, par derrière, elle vachement bonne ! » Quelque chose que j'ai souvent entendu.

C'est une évidence à laquelle je n'ai pas beaucoup réfléchi, parce que c'est ma mère. Mais si je mets cela de côté, en la regardant sucer ce mec, avec ses seins qui se balancent, et son gros cul qui s'agite, c'est vrai que cette salope doit être bonne par derrière. Elle s'applique, concentrée sur son ouvrage, elle suce avec délectation, lèche avec application, sa bouche fait des bruits humides, et sa main manipule les couilles pendantes du mec.

Nue sous la lumière crue du porche, ma mère ressemble à ces pétasses dénudées dans les magazines pornos de mon père que je feuilletais en cachette quand j'étais adolescent. Des seins volumineux, des fesses presque sans cellulite, et des jambes plus que jolies, pas les cannes maigres qu'ont les modèles anorexiques de maintenant, ce qui leur donne une impression de fragilité.

Le gars est adossé à une colonne du porche, en haut des marches, et ma mère, accroupie devant lui en pleine lumière, semble être sur une scène, assurant le spectacle en manœuvrant avec science la bite du mec. C'est vrai qu'elle assure, je dois bien en convenir, moi qui suis un adepte des vidéos pornos, cette salope a du talent.

Elle est pleine d'énergie, pompe sa bite en la plongeant profond dans sa bouche, tripote ses couilles d'une main, se caresse la chatte avec l'autre, et semble se caler sur le rythme de la musique que diffuse la radio. Ma mère a semble-t-il déjà épongé les deux mecs affalés sur le canapé, les laissant repus et calmés, et qui s'occupent en se secouant le poireau. Ils regardent ma mère satisfaire le troisième, debout contre le pilier.

Je ne connais aucun de ces mecs, pourtant ça fait des années qu'on vient en vacances ici, et je croyais connaître tous les mecs du coin. Mais d'après la façon dont ils l'ont accueillie, ils la connaissent mieux que bien. Chaque été, ma mère nous amène ici, sur la côte, pendant quelques semaines, louant toujours la même villa, pendant que papa travaille, car l'été c'est la haute saison pour son commerce.

D'aussi loin que je me souvienne, il y a souvent eu des soirs où ma mère me mettait au lit en me disant qu'elle allait à la pêche aux moules. Un peu plus grand, mais encore enfant, elle me laissait devant la télé et partait, seulement vêtue d'un bikini minuscule, le nouveau qu'elle avait acheté pour la saison. Munie d'une truelle et d'un seau, elle partait tenter sa chance en disparaissant dans l'obscurité de la plage. Je n'ai jamais trouvé cette idée bizarre, et je l'imaginais avec son seau et sa pelle, marchant sur le rivage éclairé par la lune, s'arrêtant pour déterrer les coquillages de leur refuge dans le sable, sans imaginer autre chose.

Seulement, depuis le temps qu'elle cherchait des moules, toujours après le coucher du soleil, elle n'en rapportait jamais. Il y avait toujours quelque chose qui n'allait pas, la température, la marée, ou alors elles étaient trop petites. Parfois, elle rentrait, boiteuse ou chancelante, une fois avec un œil au beurre noir, et elle me disait qu'elle avait trébuché dans l'obscurité, qu'il fallait la laisser dormir le lendemain matin parce qu'elle aurait sûrement des difficultés pour se lever.

Bien sûr, ce n'est que plus tard, vers la fin de mes études secondaires, que j'ai appris que les moules ne se récoltent pas dans le sable. Quoi qu'elle fasse de ses soirées d'errance, ce n'était pas chercher des moules. Ce soir, comme d'habitude, maman m'a dit qu'elle allait chercher des moules. Elle a mis ses clés, ses lunettes de soleil, son porte-monnaie et de la crème solaire dans les poches de sa veste courte en coton, et elle est partie avec son seau et sa pelle. Des lunettes de soleil et de la crème solaire pour aller pêcher des moules, la nuit, même si je ne suis pas intéressé, je suis quand même un peu curieux.

Je suis trop vieux pour continuer à regarder des rediffusions à la télévision, je pourrais aller tenter ma chance au bar de la plage, descendre quelques bières en regardant les filles tortiller leurs jolies fesses, mais ma curiosité me pousse à suivre ma mère de loin. Elle n'est pas difficile à suivre avec sa veste claire, et elle ne se retourne jamais. J'aimerais bien savoir ce qu'elle fait de ses soirées, car c'est probablement la dernière année que nous passons nos vacances ensemble. Je rentre à l'université en septembre, je ne peux pas savoir ce que je ferai l'été prochain. De plus, il est possible que dans l'esprit de mon père, je servais jusqu'alors de chaperon à ma mère, et ce n'est pas sûr qu'il la laisse partir seule en vacances, l'été prochain.

Dès que le claquement de ses sandales s'estompe dans l'obscurité, je me glisse derrière elle. Par prudence, je sors par la porte principale, celle qui donne sur la rue. Elle est sortie par la porte du jardin, celle qui donne directement sur la plage. Au carrefour suivant, je l'aperçois marchant le long de la plage. Elle se voit de loin, sa veste claire, ses cheveux blonds, ses longues jambes, elle est reconnaissable entre mille. Je l'ai suivie de loin, jusqu'à un cabanon proche de la plage, à moins d'un kilomètre de notre villa de vacances.

La cabane est obscure, mais le porche arrière est éclairé, donnant sur une cour sablonneuse entourée d'un rideau de cannisses. L'endroit est isolé et je regarde le site depuis la route du bord de mer qui surplombe. Je ne vois pas grand-chose alors, profitant d'un pli de terrain, je m'approche en marchant accroupi. Finalement, je me dissimule derrière la barrière de roseaux pour jeter un coup d'œil entre les bambous disjoints. Une radio, en équilibre sur la fenêtre de la cabane, diffuse des airs jamaïcains d'une station locale. Sur la terrasse arrière, deux gars sont vautrés sur des sièges en osier, des bières à la main, et un troisième se tient appuyé contre la balustrade du porche.

Le bungalow, en contrebas de la route côtière, à une cour arrière réduite, coincée entre de hautes haies des deux côtés qui lui donnent beaucoup d'intimité. La face avant donne directement sur la plage. A l'arrière, juste une haie de bambous mêlés de cannisses pour masquer les trous dans la haie. Garé dans l'allée sableuse à côté de la cabane, un break en mauvais état. Ma mère a escaladé la pente sableuse depuis la plage, puis longé le bungalow, et se trouve sur les marches qui mènent au porche. Je me suis rapproché, pour avoir une meilleure vision de la situation, tout en restant dissimulé derrière les branches de la haie.

Les gars semblent la connaître, et ils l'accueillent joyeusement. Elle semble familière des lieux car elle embrasse les gars les uns après les autres. Elle les embrasse tous à pleine bouche, et se laisse tripoter les fesses et les nichons. Je suis désorienté, est-ce qu'elle les connaît tous intimement? Ou c'est juste un jeu, une plaisanterie? Un gars, vautré dans un siège en osier, fume une cigarette. Elle se penche et lui enlève le clope des mains. Mais elle le fume, ce qui ne semble pas être une cigarette, vu la façon dont elle tire dessus longtemps, puis retient son souffle, avant de faire passer. Dire qu'elle m'a balancé une claque, une fois, parce qu'elle m'avait chopé avec une cigarette !

Elle ouvre la glacière, en sort une bière, et se met à la boire. Je n'avais jamais vu ma mère avec une bière. OK, elle se défoule un peu. Apparemment, elle est moins coincée que je le croyais. Pour moi, c'est ma mère, je la respecte et je la crains un peu. Des fois, elle pique des colères, et même mon père ne fait pas le malin. Est-ce que c'est comme une pause annuelle qu'elle s'accorde? Oublié le train-train quotidien, les emmerdes. Trouver un endroit équivoque pour boire une bière, fumer de l'herbe, en écoutant de la musique, en compagnie de jeunes hommes. Elle commence à se déhancher au rythme de la musique, enlève ses sandales pour danser pieds nus.

Elle ôte sa veste et la jette sur un siège. Elle danse de manière lascive devant un mec qui se penche pour lui dire quelque chose que je ne comprends pas. Elle éclate de rire, un rire haut perché de femme aguichée que je ne lui connais pas. Elle dégrafe son soutien-gorge et le pose sur la tête du mec. Elle continue sa danse provocante en tortillant exagérément son cul. Ses gros nichons se balancent sous le nez du mec qui tend la main pour en caresser un. Elle danse avec pour seul vêtement son slip de bain minuscule, plus proche du string que du slip. Elle se rapproche du mec, se penche, et sans cesser de se trémousser, elle frotte ses nichons sur le visage du mec qui les embrasse. Elle fait semblant d'être outrée, et se dégage en lui tapant sur les doigts.

Elle fait semblant de gronder le gars en prétendant qu'il lui a fait mal en serrant trop fort son nichon. Une autre surprise. Ma mère n'a jamais utilisé un langage aussi vulgaire. On croirait entendre une fille de bar. Ensuite, d'un geste souple, elle quitte son slip, se tourne, se penche et frotte ses fesses sur le visage du mec qu'elle faisait semblant de gronder. Le gars l'attrape par les hanches pour lui embrasser les fesses, et lui lécher la raie du cul. Heureusement que je suis assis, sinon je tomberais de désarroi. Le gars se régale, lui empoigne les fesses à pleines mains pour les écarter, et enfonce son visage là au milieu. Puis, toujours en rigolant, elle lui échappe et se met à danser nue, là au milieu de la terrasse. Elle danse devant les gars, en secouant ses fesses et ses nichons, et pour mieux les énerver, elle chatouille sa craquette.

C'est quelque chose que je n'aurais jamais pu imaginer de ma mère. Elle écarte sa chatte avec ses doigts, se caresse, et présente sa chatte ouverte à chacun de ses spectateurs, sans cesser de danser. Quand elle danse devant un gars, celui-ci fait mine de l'attraper, mais elle se dégage en riant. Ce petit jeu dure un moment, jusqu'à ce qu'un gars, plus impatient que les autres, ouvre sa braguette pour caresser son sexe. Aussitôt, ma mère se précipite vers lui, s'accroupit entre ses jambes écartées, et le prends à pleine bouche. Elle le suce comme si elle mourrait de soif. Ce n'est pas le genre de chose que je devinais de ma mère. Elle n'est pas du genre à se déchaîner pour quoi que ce soit. Elle garde toujours la tête froide, le calme au milieu des tempêtes que mon père affectionne, pour une raison parfois insignifiante. Pour moi, elle était l'incarnation de la bourgeoise BCBG, sauf avec ses maillots de bain minuscules.

Penchée sur la bite du mec, elle le suce avec vigueur, et ses mains ne restent pas inactives. Une sur la tige du mec, l'autre sur ses bourses, elle s'emploie comme une véritable professionnelle. Je vous l'ai dit, je suis un expert, avec toutes les vidéos que je regarde, et je peux juger de la qualité de son travail, qui est exceptionnel. Pendant qu'elle s'occupe, un autre gars vient se pencher derrière elle pour lui caresser le cul. Aussitôt, elle cambre ses reins en écartant ses cuisses pour lui donner un meilleur accès. Le gars en profite pour introduire ses doigts à l'intérieur de ma maman. Elle s'offre totalement aux doigts qui l'explorent. Le mec qu'elle suce attrape ses nichons qu'il tripote gentiment.

Puis soudain, elle se fige. Le gars qu'elle suce éjacule dans sa bouche. Elle ne recule pas, reste immobile un instant, puis se relève pour cracher la charge dans la cour sablonneuse. Elle en crache un paquet ! Le second, qui lui tripotait la chatte, s'installe sur un siège, et ma mère vient s'occuper de lui, comme elle l'a fait pour le premier. Je vois moins bien sa prestation parce qu'elle me tourne le dos. Par contre, j'ai une vue parfaite de ses fesses qui s'agitent. Comme personne ne s'occupe de sa minette, elle se doigte la chatte elle-même. Puis, le scénario se renouvelle. Au bout d'un moment, elle se fige, patiente, puis se lève et vient cracher dans le sable. Le deuxième semble aussi prolifique que le premier.

Elle dirige alors vers le troisième, toujours appuyé contre la balustrade. Elle penche, le prend en bouche, et à ce moment-là, la voix du speaker, dans la radio, annonce l'heure. Elle se redresse en jurant, leur dit qu'elle doit partir, qu'elle a dit à la maison que ce n'était qu'une courte balade, et qu'on l'attend. Aussitôt, le gars qu'elle n'a pas encore sucé l'attrape par sa tignasse, lui remet la bouche sur sa bite, en lui disant gentiment :

« Suce-moi, salope ! »

Elle se soumet sans protester, ce qui m'étonne de ma mère, et reprend son ouvrage où elle l'avait laissé. Elle n'est pas rancunière, et fournit à nouveau une excellente prestation, jusqu'à la promenade finale pour cracher dans le sable. Le premier qu'elle avait sucé a reprit du poil de la bête. Pendant qu'elle suçait les deux autres, il s'est caressé, et maintenant il a retrouvé toute sa vigueur. Il est vautré dans son fauteuil en osier, elle se dirige vers lui, le prend en bouche, quelques mouvements rapides et profonds, pour bien l'humecter, puis elle se redresse, grimpe sur le gars, le chevauche, et s'empale sur la bite dressée.

Elle commence à rouler des hanches, lentement d'abord, puis plus rapidement. La tête penchée en arrière, pendant qu'il lui malaxe les seins. Elle se caresse la chatte en sautant sur la tige dressée, et elle laisse échapper un long et rauque gémissement, qui se termine par un jappement bref. Ça fait rire les deux autres gars qui jappent et hurlent à la lune, comme deux chiens qui ont reniflés un intrus. Malgré l'intensité du moment, elle parvient à leur dire qu'ils peuvent aller se faire foutre. Elle pose ses mains sur la gorge du gars qu'elle baise, comme si elle voulait l'étrangler. Elle serre, et lui soulève le menton avec ses pouces. Elle cambre ses reins et s'empale plus durement. Je ne peux pas voir l'expression de son visage mais clairement, c'est elle qui mène l'attelage. Brusquement, un long râle s'échappe de ses lèvres et elle se fige, secouée d'un long frisson. Elle ne prend pas la peine d'attendre pour voir s'il a fini. Elle se lève et descend de cheval.

Elle fait deux pas jusqu'au gars assis dans l'autre fauteuil, l'enjambe, mais elle ne prend pas la peine de le sucer, sa chatte étant déjà bien lubrifiée, elle descend sur son membre dressé. Cette fois, elle ne lui fait pas face, elle lui tourne le dos pour le chevaucher. Elle baise le mec en ondulant des hanches, et elle glisse sa main entre les cuisses du gars pour lui attraper les couilles et les masser amoureusement. Cette fois, je vois parfaitement son visage. Je me souviens du visage habituel de ma mère en public, ou celui quand elle me grondait, et j'ai devant mes yeux ébahis le visage d'une femme déformé par le plaisir. Une femme qui baise et qui se fait baiser. Ma bite devient trop raide et ne tient plus dans mon boxer. J'ai envie de me branler, mais j'ai peur que le mouvement puisse éveiller l'attention d'un des participants. La lune s'est levée, et même si on n'y voit pas comme en plein jour, je suis quand même un peu exposé.

Le scénario se répète, elle semble se figer, le type sous elle se tend, la soulève un peu, puis retombe épuisé. Elle rit, le félicite, et se lève. Elle prend une nouvelle bière dans la glacière et la boit à longs traits. Quand elle repose sa bouteille, elle laisse échapper un long rot sonore, ce qui fait rire tout le monde. Moi, ça me déconcerte. Même maintenant que je suis adulte, je n'oserais pas faire cela devant ma mère. Elle pivote sur elle-même, fait sa coquette, et demande à haute voix s'il y en a eu pour tout le monde. Puis, comme si elle découvrait le troisième, elle s'approche de lui en ondulant des hanches, s'empare de son membre en semi-érection, et le caresse. Visiblement, celui-là, c'est son préféré.

Alors qu'elle le taquine, le gars l'enlace, la soulève de terre en l'attrapant par les fesses, et la dépose sur la table basse. Les deux autres gars regardent, repus, vautrés sur les sièges en osier, en se passant un joint. Ma mère s'allonge sur la table en levant bien haut ses jambes, et en les écartant comme pour exhiber le V de la victoire. Nue comme le jour de sa naissance, elle est la reine de son petit royaume, exerçant son pouvoir sur les garçons qui sont ses fidèles vassaux. Cela me sidère. Elle a deux fois leur âge. Elle est séduisante, mais elle ne peut pas rivaliser avec les jeunes femmes qu'ils fréquentent d'habitude. Elle n'est pas vêtue sexy pour les aguicher, elle n'est même pas maquillée, et lorsqu'elle fait des efforts de toilette, elle affiche sa génération en ressemblant à leurs propres mères. Ces gars-là semblent être des étudiants, et je ne suis pas sûr d'être intéressé par une MILF. En même temps, je réalise que je bande depuis un petit moment déjà.

Ma mère aguiche le gars, soulevée sur ses coudes, en inclinant son pied levé comme on le fait avec sa main pour lui dire : « Viens ici, beau gosse, je vais m'occuper de toi ! » Il se déshabille entièrement et s'approche, lui saisit les jambes, les écarte, se baisse, et il l'embroche comme une poule au barbecue. Un des gars lui tend un joint neuf. Elle hésite, puis l'accepte, prend une longue bouffée, et le tend au gars qui la baisse la tête. Le gars fait une pause, en restant planté dans ma mère, tire une bouffée, lui rend le joint, puis reprend son travail. Elle reprend une longue bouffée et rend le joint à celui qui lui avait donné. Elle écarte ses genoux en repliant ses jambes, et elle donne un ordre cru à son jeune étalon : « Baise-moi plus fort ! » Les deux autres l'encouragent et il frappe plus fort ma mère.

Ce n'est plus la personne qui m'a élevé. Je commence à penser que ma mère se promène sur la plage, et que j'ai suivi une femme qui lui ressemble vaguement. Le speaker à la radio annonce l'heure et ma mère lâche un juron en exhortant son cavalier à ne pas mollir. Cela semble provoquer le gars qui se retire, empoigne ma mère, la retourne et se présente à l'entrée de ses fesses. Elle pousse un cri, se dégage, et tend la main vers sa veste. Un gars lui passe la veste, elle fouille dedans, sort sa petite bouteille, s'enduit l'entrée de son cul, puis se remet en position. Il présente sa bite à l'entrée de son cul, lui donne une petite poussée et la penche pour qu'elle se cambre. Elle se tient sur les mains et les genoux, bien cambrée, avec les fesses qui pointent en arrière.

Il se penche, lui dit quelque chose à l'oreille, elle acquiesce d'un hochement de tête alors, sans élan, d'un seul mouvement, il entre presque entièrement dans son cul. Elle ne peut pas retenir un cri de bête blessée. Un long cri qui se termine dans un râle. Elle baisse la tête, vaincue. Le gars s'accroche à ses hanches et commence à la baiser brutalement. Elle gémit, mais ne fait aucun geste pour s'échapper. Au contraire, elle pousse ses fesses vers l'arrière pour qu'il la baise bien à fond. Au début, elle tend sa main derrière elle, le repoussant pour l'empêcher d'aller trop loin trop vite, mais ensuite, elle secoue sa main comme pour espérer que ses fesses ne résistent pas. Enfin, les deux mains à plat sur la table, elle pousse son cul vers lui pour accepter l'empalement.

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