Quelle Famille !

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Ma femme est une bonne mère de famille.
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Mon premier mariage a eu lieu après que ma "fiancée" m'ait dépucelé alors que j'avais tout juste 20 ans, et elle à peine 18. Mariés trois mois après, notre vie quotidienne était constituée presque uniquement de baise, puisque j'avais des coups à rattraper après avoir été déniaisé si tard.

Je tringlais ma (très) jeune épouse 3 fois par jour en moyenne, et elle ne se refusait jamais. Chez nous, chez ma mère, chez ses grands-parents, nous avons testé tous les lits, toutes les tables, tous les canapés, tous les parquets et tous les carrelages. Une expérience mémorable fut un wagon-lit, en allant chez sa mère qui nous avait d'ailleurs payé les billets pour cela. Le pied... Comme nous étions dans les années 70, tout ça se faisait "à cru", c'est-à-dire sans capote, et bien entendu au bout de trois mois la salope était en cloque jusqu'aux yeux.

Notre fils est ainsi né entre deux séances de baise, et je me souviens avoir tiré un dernier coup à la clinique, quelques jours avant l'accouchement. Cela s'est passé dans les toilettes de la chambre individuelle, moi assis sur la cuvette et elle assise sur moi, me tournant le dos. Je pouvais ainsi me cramponner à ses nichons rendus énormes par la grossesse, et j'ai très vite éjaculé bien au fond de son vagin, dans la hantise qu'une infirmière ou un médecin ne nous surprenne ainsi.

Après la naissance, mon épouse n'a pas perdu sa libido et je pouvais donc continuer à me vider les couilles tous les jours, entre deux tétées. Inutile de dire que j'assistais aux allaitements, à la fois excité et jaloux de ce petit homme qui tétait les nibards de ma femme en ne se privant pas de les peloter. Dès que la tétée était terminée, je sautais sur la mère de ce salopard pour lui mettre une giclée.

Les années passant, le bébé est devenu en garçonnet, puis un ado, et enfin un jeune homme. Je surveillais discrètement son évolution, car la jalousie qui m'avait pénétré lorsqu'il tétait sa mère ne s'était pas éteinte. Combien de fois ai-je pensé à ce spectacle de l'allaitement pendant que nous faisions l'amour, lui dormant dans la chambre attenante à la nôtre? Cette pensée décuplait ma bandaison et mon ardeur, et je défonçais sa mère, l'insultant comme la dernière des trainées. Elle répondait à mes insultes en essayant de m'humilier : "Petite bite, c'est tout ce que tu peux faire? Tu me chatouilles à peine. Baise-moi, bon Dieu!" Bien évidemment, ceci me donnait l'envie de la clouer au matelas, ou à la cloison ou à l'armoire, suivant les cas. Je la secouais comme si je pouvais ainsi lui décrocher les ovaires et jouer au bilboquet avec eux.

Lorsque notre fils a eu 18 ans, son anniversaire fut grandiose. Quelques mois après, nous lui avons payé une voiture, car il avait passé le permis brillamment à 18 ans et 3 mois. Je pensais qu'il allait emmener ses copines en promenade et les baiser sur la banquette arrière. Mais un jour, en parlant avec lui, j'appris qu'il était toujours puceau. "Je ne veux pas que tu fasses comme moi. Il faudrait te faire dépuceler avant d'avoir 20 ans", lui dis-je en riant.

Lui aussi a ri, et il m'a dit qu'il était "sur le coup" et serait très prochainement dépucelé, c'était programmé. Je lui assurai que j'en étais très heureux, et je lui dis en plaisantant que j'espérais être présent ce jour-là. "Tu seras présent, Papa, je te le promets", me répondit-il. Je me demandai alors comment il comptait me faire assister ainsi à l'opération, et cette question me tarauda ensuite pendant des semaines.

Quelques mois plus tard, c'était mon anniversaire. Pendant le repas de famille, au moment de souffler les bougies sur mon gâteau, je me levai et me penchai sur la table. Je vis alors pendant une fraction de seconde que ma femme avait sa main gauche sur la cuisse de mon fils. Rien de très anormal, pensai-je sur l'instant. Une quinzaine de minutes après, je constatai que Stéphane, notre fils, avait un regard et un sourire étranges alors que sa mère avait le rouge aux joues. Je me levai, et fis le tour de la table pour aller chercher une deuxième bouteille de champagne. En passant derrière leurs chaises, je pus apercevoir les mollets nus de mon fils, et son pantalon et son slip sur ses chevilles. J'eus à mon tour le rouge aux joues, mais heureusement je me réfugiai dans la cuisine.

Après le départ des invités, la table fut vite débarrassée à nous trois. Il était l'heure d'aller nous coucher, et à 23 heures chacun était dans son lit. Je me souviens m'être endormi très vite, la fatigue et le champagne aidant. Deux heures plus tard, une envie pressante me réveilla. Je me levai pour aller aux toilettes, et dans le couloir une mince lumière sous la porte de la chambre de mon fils m'alerta. Je me dis que lui-aussi venait d'aller aux toilettes, ou se préparait à y aller.

En passant devant la porte, j'entendis toutefois un bruit, ou plutôt un bruissement, qui me parut étrange. La curiosité me força à écouter, l'oreille collée à la porte. Mon fils était peut-être en train de se faire dépuceler par une amie ou une camarade de lycée? Je perçus alors des soupirs et des cris étouffés. C'était ça! Je regagnai notre chambre, et constatai alors, ce que je n'avais pas remarqué en sortant, que notre lit était vide. "Où peut-elle bien être?", pensai-je pendant quelques secondes.

Les brumes de sommeil se dissipèrent alors, et mon esprit établit un lien entre les deux informations que mon cerveau venait d'enregistrer. Mon cœur bondit dans ma poitrine. "Non, ce ne peut être ça!" Je ressortis dans le couloir, et aussi discrètement que possible je me replaçai devant la porte de la chambre de mon fils. Cette fois, je pus entendre la voix étouffée de ma femme : "Oh putain, c'est bon, continue!" Je ne pus m'empêcher de saisir la poignée et de la tourner le moins bruyamment possible.

Lorsque je pus entrevoir ce qui se passait, je restai bouche bée, puis une excitation inconnue m'envahit. Face à moi, les plantes des pieds et les mollets de mon fils, et derrière tout ceci, les fesses de mon épouse. Le tout était secoué d'un mouvement vertical, et à chaque secousse je pouvais voir les poils pubiens de ma femme et de mon fils se mélanger.

Tout à coup, je vis sur le côté de ce magma de stupre le visage de mon fils. Il m'aperçut lui-aussi, mais poursuivit son coït incestueux comme si de rien n'était. Voyant que je ne manifestais pas de colère, il prit les fesses maternelles à deux mains et les écarta. Il me montrait avec son index droit le sphincter de mon épouse, et il me fallut quelques secondes pour comprendre. Il m'invitait à sodomiser sa maman, pour lui offrir une double pénétration.

Cette perspective fit tomber tous mes tabous. Je bandais comme un salopard depuis quelques secondes, et en deux enjambées j'étais au pied du lit. Je me mis à genoux entre les jambes de mon fils, et en une seule poussée j'avais investi le gros intestin de mon épouse qui ne parut pas plus surprise que ça. "Quelle salope", pensai-je aussitôt. J'agrippai à deux mains son 95C qui pendait sur le nez de mon fils, et entamai une enculade sauvage, à sec. "Depuis le temps que j'attendais ça", entendis-je alors. Elle en redemandait!

J'étais en train de prendre en sandwich ma femme, avec mon, non, SON fils! Ma queue, qui depuis des années avait des proportions "normales", se mua alors en bite de hardeur professionnel. Ce sphincter que je n'avais jamais osé demander à ma femme, j'étais en train de le défoncer à grands coups. Pire, je me surpris à insulter ma petite épouse chérie : "Une bite ne te suffit pas, il t'en faut deux à la fois, salope, ordure, sac à bites!"

Je sentais à travers le périnée de ma femme la queue de mon fils qui lui barattait le vagin. Après quelques minutes de ce traitement, nos deux bites crachèrent presque simultanément un tsunami de sperme. Trois corps suants se répandirent alors pèle mêle sur le lit de notre fils. Nos mains, nos sexes, nos bouches, nos langues, nos seins se mêlaient en une orgie indécente, incestueuse, mais ô combien plaisante.

Depuis ce jour, au moins une fois par semaine, nous reformons ce trio lubrique sans jamais nous en lasser. Nous avons plus de soixante-dix ans à nous deux avec mon épouse, mais cela ne rebute pas mon fils qui remplit sa mère avec de plus en plus de plaisir car son père, non seulement bénit cet inceste, mais y participe plus qu'activement.

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