La « Lancenoir » 05

BÊTA PUBLIQUE

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Léa était bien incapable de parler avec l'énorme boudin qui lui envahissait la bouche. Elle parvint toutefois à pousser un vague chuintement exprimant sa détresse devant la besogne à accomplir. Amadou lui non plus n'était pas tout à fait satisfait :

« Elle ne sait vraiment pas sucer votre fille, j'ai jamais vu ça. C'est à peine si elle réussit à dépasser mon gland! Enfin bon, même une paresseuse pareille, on peut toujours lui péter la rondelle, ça ne lui demande pas d'effort. »

Léa ouvrit grand les yeux, effrayée à la pensée d'avoir l'énorme masse noire enfoncée dans le cul. Sa mère eut par contre un temps d'hésitation. Sa fille avait droit à une queue comme elle n'en avait jamais osé rêver, et elle n'était même pas capable de se montrer à la hauteur. Mais elle reprit vite ses esprits, elle avait une mission à accomplir :

« Attendez, je vais... euh... il faut vous huiler le pénis, Amadou... Si vous voulez bien.

— Des fois, vous autres les blanches, vous avez de ces idées. C'est inutile, un bon coup sec, et ça ouvrira les chakras.

— Je vous en supplie Amadou.

— Très bien, si vous insistez. Venez donc me palucher le serpent, M'dame.

— Quoi! Moi! Non! allons, c'est hors de question...

— Vraiment?

— Bon je vais le faire. »

Hélène s'empourpra craignant que son consentement bien rapide ne trahisse son appétit pour le chibre ténébreux.

« Jean utilise le beurre, imposa Hélène.

— Comment ça?

— Beurre le cul de Léa! pesta Hélène, exaspérer par la bêtise de son mari, ou tu veux qu'elle soit déchirée?!

— Mais je suis son père...

— Et c'est toi qui l'as mise dans cette situation! cria Hélène, un peu injustement. Alors, prends tes responsabilités! Ou sinon tu iras expliquer à notre médecin que ta fille a eu le cul déchiré à cause de la bite d'un noir. »

Amadou un peu curieux de voir la suite des opérations sortit sa queue de la gueule de Léa. Hélène s'en approcha, se sentant prête à défaillir à la simple proximité d'un tel monstre. Elle ouvrit la bouteille et versa un mince filet sur le titan gonflé. Elle hésita un instant puis posa la main sur le sexe gargantuesque. Elle le sentit vibrer comme s'il avait une vie propre, elle commença à le frictionner, sa main lui paraissait minuscule tout d'un coup. Elle se mit à genoux pour mieux pétrir, et aussi parce que ses jambes tremblaient. Elle avait le museau juste devant la bête, et se pourléchait les babines. Si seulement elle pouvait y donner un coup de langue, goûter à ce mets, pensait-elle alors que ses mains remontaient vers le bas ventre d'Amadou. Mais il y avait son mari et sa fille à côté. Sa satanée fille, pour la première fois elle la haïssait. Non seulement elle ramenait ce noir, ce sauvage à la maison. Mais elle se le réservait pour elle. Quelle égoïste! Elle apportait la honte sur toute la famille, mais en jouissait seule, une ingrate...

Elle dut verser de l'huile plusieurs fois, quatre ou cinq avant qu'elle ne sente que tout le chibre soit bien huileux. Elle ne se lassait pourtant pas de palper ce membre puissant.

Pendant ce temps, Jean parlait à sa fille :

« Retourne toi ma choute, il va falloir que je te beurre l'entrée du... Enfin tu vois... »

Comme sa fille paraissait terrifiée, il voulut la rassurer sur ses intentions.

« C'est pour ton bien ma fleur, si je ne le fais pas cet énorme mandrin va t'écarter les chairs comme on fendrait une bûche. C'est un moment désagréable à passer, mais après tu feras partie de sa tribu, et tu pourras oublier toute cette horrible affaire. Juste un peu de patience, ton père sait ce qu'il y a mieux pour toi.

— D'accord papa, si tu le dis, beurre-moi bien le fion. »

Elle se retourna, ayant en face d'elle sa mère en train de caresser le sexe huileux d'Amadou. Hélène était à genoux, le regard complètement hypnotisé par l'obélisque immense. Elle se lécha les lèvres, et deux pensées se superposèrent dans le cerveau de Léa : « merde, ma mère est une salope » et « Comment ose-t-elle toucher à ce qui est à moi. Elle n'a qu'à trouver son propre nègre! » C'est alors qu'elle sentit un doigt s'introduire dans son postérieur.

Jean était devant le cul de sa fille, il avait le doigt couvert de beurre et l'enfonçait dans le derrière de sa fille. Et il bandait. Il en avait un peu honte, c'était sa fille, mince! Mais elle était tellement jolie, et son derrière était à croquer. Il devait être le premier homme à lui enfoncer quelque chose dans le cul, c'était au moins une chose que la tribu de la Lance-Noire ne pourrait pas se vanter. Mettant une motte de beurre au bout de son doigt, il l'enfonçait doucement dans le troufion de sa fille. Et ça lui donnait une envie folle d'y plonger sa bite. Mais il serait ridicule, comment sa bite pourrait ne pas sembler risible à côté de celle du grand noir. Et même sans ça, ce serait l'inceste! Il n'était pas dépravé à ce point. Et pourtant, comment résister au corps de sa fille chaud, qu'il préparait pour une sodomie phénoménale. Si seulement il pouvait être à la place d'Amadou, si seulement il avait son corps. Car, il avait tout comme lui la trique, mais sa pine, elle, ne dépassait la taille d'un petit crayon.

Léa, se mordait les lèvres alors que son père lui chatouillait le trou du cul. Elle savait que c'était son papa qui lui mettait un doigt dans la rosette, mais elle avait sous les yeux la puissance virile d'Amadou, et alors qu'elle sentait le beurre fondre contre ses parois anales, elle était à deux doigts de jouir. Elle avait peur du colosse prêt à la fourrer, mais elle mourrait d'impatience de se faire honorer par une telle bête... Ce qui la retenait de jouir était que ç'aurait son père qui lui aurait fourni un orgasme... C'était déjà suffisamment embarrassant qu'il triture son trou du cul, qu'est-ce que ce serait si elle s'abandonnait.

Son père avait bien écarté sa rosette et y versa le restant de la plaquette de beurre qui avait fondu. Léa sentit la matière grasse et chaude lui couler dedans comme du confit.

Sa mère entendant sa fille gémir arrêta de frotter le sexe d'Amadou. Il était temps que ce dernier lui fasse connaître les derniers outrages.

Amadou avait observé la scène qui se passait devant lui avec intérêt. Comme la mère aurait été prête à abandonner famille et mari s'il lui avait proposé de la niquer sur le champ. Mais il préférait la faire mijoter dans son jus. Quant au mari, il s'était comporté en vraie lopette, il bandait comme un âne, enfin comme un petit âne handicapé. Il était réprimé, une vraie larve incapable de s'avouer ses fantasmes, ou ne les accomplissant que par procuration, en regardant du porno. Il devait d'ailleurs trouver le porno plus excitant que de baiser sa femme à la missionnaire. Nul doute qu'il connaissait la plus grande excitation sexuelle de sa vie en voyant un étranger se taper sa fille. Enfin la fille, elle débordait de mouille rien qu'à l'idée de se faire monter. S'il avait vraiment été sadique, il aurait pu partir d'ici et laisser cette famille dans une frustration sexuelle intenable. Mais il serait, lui aussi, resté sur sa faim, la bite bien dure, et sans avoir eu la satisfaction de défoncer et d'humilier ces sales bourges racistes.

« Montrez-moi ce trou du cul, que je le défonce », annonça Amadou.

Sa queue bien dressée par les caresses de la maman de Léa, il positionna son gland à l'entrée du cul de la jeune fille. Ses parents regardèrent l'élargissement progressif de l'anus de leur fille avec des sentiments mitigés. Ils avaient fait tout leur possible pour diminuer autant que possible la douleur qu'elle pourrait ressentir et la plaignaient, mais en même temps la mère fantasmait d'être à la place de sa fille, et le père de celle du noir.

La rondelle commençait à avoir la taille nécessaire à une balle de tennis pour y entrer. On y était presque. Hélène donna un oreiller pour que sa fille puisse mordre dedans, évitant ainsi qu'elle ne crie et n'ameute tout le quartier. Quand tout d'un coup, la bite commença à disparaître! Elle s'enfonça dans le trou du cul de Léa. Elle en lâcha son oreiller oubliant de mordre et préférant hurler :

« OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHH!!!! »

Un cri sans fin.

La mère voyant en action la bite marbrée toute huileuse ne put que se féliciter de sa prévenance. Si Amadou avait baptisé le cul de Léa au naturel, elle y serait probablement restée. Au lieu de ça elle constatait que le chibre, quoi qu'énorme, coulissait avec facilité.

Il ne fallut pas attendre longtemps avant qu'une étrange odeur leur parvienne, Hélène pensa une seconde qu'elle avait laissé quelque chose sur le feu. Mais elle réalisa bien vite que l'odeur provenait du postérieur de sa fille. Elle sentait le beurre brûlé! Il ne fallut alors que peu de temps avant de constater qu'à chaque coup de queue, du beurre bruni était éjecté du cul de leur fille pour atterrir sur leur lit. La puissance exercée par la bite d'Amadou était phénoménale. Léa avait les yeux révulsés, on ignorait si elle était encore consciente, sans doute était-elle partie dans un monde entre plaisirs et douleurs. De sa bouche s'écoulaient des flots de bave qu'elle semblait incapable de contenir. Amadou, lui était bien plus maître de la situation, il décida de faire participer les parents à sa chevauchée anale :

« Alors, quels conseils donneriez-vous à votre fille pour qu'elle profite au mieux de son enculage?

— Heu... réagirent les parents, les yeux fixés sur la bite qui coulissait comme piston.

— Vous, Monsieur, quand vous enculez votre dame, qu'est-ce que vous aimez qu'elle fasse? »

Jean ne répondit au départ que par un silence gêné. Il n'avait jamais sodomisé sa femme. Une pratique de barbare selon lui, et il n'était pas étonnant que ce sauvage de noir l'apprécie. Mais il ne pouvait s'empêcher de penser à ce qu'il éprouverait à sa place, la bite bien à l'étroit dans le cul de sa fille. Car à ce moment, ce n'était pas sa femme qui lui faisait envie, il s'imaginait à la place d'Amadou domptant cette garce de fille lui fourrant son pieu, même si le sien avait l'air ridicule en comparaison... Sans bien contrôler ses paroles, perdu dans un songe, il finit par dire :

« Ce qu'il faut ce sont des coups francs, la faire hennir comme un cheval. La dresser. Vous voyez ce que je veux dire. »

Hélène rêvait elle aussi, s'imaginant domptée par l'apollon noir :

« Lui prendre la crinière, la faire rugir.

— Voilà! Vous savez comment traiter votre salope de fille quand vous vous y mettez, » dit-il en agrippant les longs cheveux de Léa.

D'un coup sec sur sa chevelure, Amadou enfonça son membre jusqu'à la garde. Léa était transpercée. Un épieu, une lance noire, lui parcourut le corps.

La chevauchée qui eut lieu ensuite fut ineffable. Un spectacle comme on n'en voyait qu'au Colisée de Rome, une bête faisant son repas d'une martyre. Amadou n'avait aucun respect pour sa proie, peu importe que son cul brûle par la friction de sa bite et des parois graisseuses. Peu importe qu'il lui arrache la tête en tirant sur ses cheveux à chaque coup de piston. Peu importe que la jeune fille frise l'orgasme à chaque coup de boutoir. Le corps de Léa fut profané, compressé, embouti, ravagé. Elle finit anéantie, une loque humaine ne pouvant plus faire un geste. Les aiguilles d'un acupuncteur peuvent paralyser, la tige d'un membre de la lance noire peut disloquer.

Léa était étendue sur le ventre, les jambes écartées. Une abondante coulée de sperme sortant de son cul déformé.

Les parents regardaient tétanisés par ce qui venait de se passer. Monsieur Lacour ne s'en rendit pas compte tout de suite, mais à voir sa fille se faire posséder de manière aussi sauvage il en avait joui dans son pantalon. Madame, elle, n'avait pas joui. Mais en mourrait d'envie. Elle voyait le grand noir, sa queue maintenant un peu molle, mais toutefois incomparablement supérieure à celle de son mari et rêvait de se mettre à genoux pour l'aduler. Amadou alluma une clope.

« Madame, Monsieur, la performance est terminée. »

Derrière eux, à la porte se trouvait une autre personne : Lucie. Elle avait entendu du bruit un quart d'heure plus tôt et était venue voir. Et le spectacle lui avait été incompréhensible. Sa sœur se faisait faire l'amour par ce sale sauvage. Et ses parents au lieu d'y mettre un terme ne faisaient rien. Au contraire! Elle avait même vu sa mère mettre de l'huile sur la queue du sin... du noir!

S'ils faisaient ça à sa sœur que préparaient-ils pour elle? Voulaient-ils l'accoupler elle aussi à un dégénéré?

Peut-être que ses parents étaient au chômage et n'avaient pas osé lui dire. Et maintenant, pour trouver des sous, ils se préparaient à faire travailler leurs filles comme prostituées pour les racailles du quartier? Elle pensa à s'enfuir, mais où se cacher? À ce moment elle vit le noir se tourner vers elle et lui faire un clin d'œil. Elle courut se réfugier dans sa chambre, tremblante. Et si cette nuit, il s'introduisait dans sa chambre pour l'outrager!?

Laissant Léa et Amadou dans leur chambre, les deux parents allèrent dans la chambre de leur fille. Ils furent serrés dans le lit, et avaient tous deux une envie folle de faire l'amour. Mais aucun n'aurait osé le suggérer après ce qui était arrivé à leur fille. Ç'aurait été indécent, et puis Hélène se demandait comment elle pourrait prendre plaisir à se faire sauter par la petite zigounette de son mari après avoir vu un sexe de mâle aussi puissant que celui d'Amadou. De même Jean avait peur qu'en sortant son petit sexe pâlichon, son épouse ne lui rit au nez.

Dans la chambre « adulte, » Amadou finit sa cigarette. Comme Léa restait immobile et semblait paralysée après la séance de démolition anale, il utilisa son cul comme cendrier, y plantant sa cigarette. Léa finit par ressentir la chaleur, et ses sens commencèrent à lui revenir.

« Comment as-tu pu faire ça?

— Quoi?

— Me baiser devant mes parents.

— Ton père à accepter que tu entres dans ma tribu, et pour ça, il faut que tu subisses quelques rites d'initiation.

— Mais il ne peut pas décider de ça à ma place! Je ne veux pas faire partie de ta tribu, moi!

— Eh bien, il pense différemment. Je suppose que tu dois les saouler pas mal pour qu'ils acceptent que je te baise sous leurs yeux. Ouais, ils crèvent d'envie à ce que tu dégages de leur maison. »

Léa en entendant ça se mit à pleurer.

« Mes parents... Ils savent que c'est pas moi qui... Que je ne suis pas vraiment une salope!

— Mais, ma grande, tu te rends compte que tu t'inquiètes de ce genre de chose avec le cul qui déborde de foutre. Qu'est-ce qu'ils peuvent croire à part ça.

— Personne ne m'aime...

— Écoute tant que tu comportes en gentille fille, que t'arrêtes tes simagrées de bourgeoise. Tu peux compter sur moi, tu ne dormiras pas à la rue.

— Mais... mes parents, qu'est-ce qu'ils vont penser de moi?

— Ne soit pas une ingrate. Merde... ton père t'a beurré la rosette et ta mère s'est assurée que je coulisse bien dans ton cul. C'est pas tous les parents qui feraient ça je t'assure...

— C'est vrai?

— Mais oui, mais faut que tu leur foutes la paix. Que tu ne penses pas qu'à toi. Que tu passes gentiment les étapes de l'initiation sans faire d'histoire. Tu pourras faire ça?

— Oui!

— Tu le jures?

— Je le jure!

— Brave petiote... Maintenant c'est l'heure de dormir. Te prendre comme une chienne ça fatigue.

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10 Commentaires
Genco22000Genco22000il y a 9 mois

Une bien chouette histoire qui fait bien bander.

Le must, c'est qu'une histoire comme cela se passe dans la réalité.

DavidMC2DavidMC2il y a plus de 3 ans
Bonne série

Toujours avec plein de détails. Dommage juste que les potes d'Amadou n'en aient pas profité.

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
lancenoir

le noir s'est endormi ? ou c'est comme sur d'autres sites des histoires jamais fines ?

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

il ne doit pas y avoir de suite ou l'auteur s'est endormi; Dommage, c'était captivant comme histoire...

AnicetteAnicetteil y a plus de 6 ans
C'est ignoble!

On pressent que la suite des hauts faits du taureau noir en rut, sera pour la belle Madame Hélène Et tant qu'on y est, Jean (qui n'est pas Pâris) aura sa "rosette beurrée".. s'il reste du beurre...

Bravo pour ce talent d'une écriture si prenante. Dommage le manque de romantisme. Mais une coquine de 50 ans prend du plaisir à fantasmer, et même plus, sur le gros matériel africain noir. Bisous. Bandez.

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