La « Lancenoir » 05

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Léa se fait tringler par le grand noir devant ses parents.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/14/2016
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Dans les épisodes précédents :

Léa, suite à un quiproquo devient la petite amie d'Amadou. En conséquent, ce dernier se rend chez les parents de sa nouvelle conquête pour se présenter. Mais, ceux-ci font preuve de peu d'enthousiasme à ce qu'un noir fréquente leur fille, ils parviennent cependant à un accord. Que Léa devienne membre de la tribu de la « Lancenoir » et Amadou acceptera de la laisser à un autre. Mais pour devenir membre de cette tribu certains rituels sont exigés, le premier est que la famille de la jeune fille assiste à l'accouplement des deux jeunes tourtereaux, et voilà qu'Amadou porte Léa jusqu'au lit parental...

Après s'être débarrassé de son « fardeau » sur le lit, Amadou regarda autour de lui. La chambre était on ne peut plus sobre : un grand lit avec des couvertures à motifs géométriques, une armoire et une bibliothèque Ikea, d'épais rideaux aux fenêtres, rien ne transpirait un quelconque érotisme, on ne devait se coucher dans cette chambre que pour dormir.

« Alors c'est là que vous faites vos saloperies? Pas très bandant... Pourtant, je suis que Madame est une grande amatrice de cochonneries. Où vous planquez vos sex-toys?

— Je n'ai pas de gadget!

— Alors je suis sûr que Monsieur doit être fort occupé pour combler une cochonne comme vous.

— Je ne suis pas...

— Oui, oui, je sais... Vous êtes du genre bien propre sur vous, mais dans votre petite caboche alors là, vous êtes une grosse perverse. Et je suis sûr que votre fille est pareille, on peut la croire toute pure, mais elle a plein d'immondices dans sa tête. C'est pas vrai? »

Mais la fille était surtout affolé à l'idée que ses parents puissent la voir en train de se faire posséder charnellement par Amadou, aussi tenta-t-elle timidement de le dissuader :

« Amadou, on peut pas faire ça devant mes parents...

— Tais-toi et retire ta jupe. »

Léa hésita, mais finit par obéir. Elle fit lentement glisser sa jupe sur ses jambes, pas par lubricité, mais parce qu'elle ne voulait pas quitter ce dernier morceau de tissu qui la protégeait. Sa toison pelvienne apparaissant à son grand désespoir à mesure qu'elle se débarrassait de sa jupe, elle n'avait rien en dessous et elle laissait voir son minou à ses géniteurs et à son amant. La pauvre à demi nue avait devant elle un colosse grimaçant et juste derrière lui, ses parents inquiets.

« Amadou, je t'en prie...

— Toi, ferme ta gueule. Combien de fois il va falloir que je te le dise! Et écarte les jambes plutôt que de geindre! »

Léa obéit sans plus rien à dire. À quoi bon... à chaque mot qu'elle sortait, elle se faisait rembarrer par Amadou, et ses parents étaient tellement gênés de la situation qu'ils n'osaient rien dire. Elle s'allongea donc sur le dos, évitant de regarder son père et sa mère, et elle ouvrit les jambes pour montrer sa fente.

« Qu'est-ce que vous pensez de sa boîte à jus? demanda Amadou. Approchez-vous! Ça doit faire un bail que vous ne l'avez pas vu. Maintenant elle est pleine de poils, enfin heureusement pas trop ; elle se rase la foufoune comme une vraie salope, hein? Toujours prête à se faire saillir par une grosse queue noire. Allons, avancez-vous! Vous ne voyez rien d'ici. »

Les parents toujours serrés l'un contre l'autre, pour se donner courage, obéirent. Ils virent leur fille vêtue d'une simple chemisette, les jambes ouvertes en position pour se faire pénétrer.

« Alors, redemanda Amadou. Qu'est-ce que vous en pensez? »

Les parents gardaient le silence, bien trop embarrassés pour dire quoi que ce soit. Amadou se pencha sur Léa et lui effleura le clitoris, passa ensuite son doigt sur sa fente avant de la porter à son nez. Puis il présenta son doigt sous le nez de Jean.

« Elle est bien mouillée, non?

— C'est... Vraiment...

— Alors qu'est-ce que vous en pensez? »

Jean, dut prendre sur lui, il voulait en finir en vitesse, il dit la première chose qui lui venait à l'esprit :

« Elle est jolie?

— Tu entends ça, Léa? Ton père trouve que tu as un minou qui lui donne la trique. Comme c'est mignon... Vous autres, les blancs, vous êtes quand même une sacrée bande de pervers, des homos ou des pères qui veulent se taper leur fille. Que des vicieux. Et vous, Madame, vous ne devez pas être en reste. Une MILF comme vous, vous devez aller voir ailleurs, je suis sûr. Les petits jeunes que votre fille amène à la maison, vous goûter leur sucre d'orge quand personne ne regarde, non?

— Certainement pas!

— À d'autres! Avec votre tailleur sexy, vous pourriez aussi bien avoir "pute" écrit sur le front. Vous ne me ferez pas croire que vous ne vous retrouvez pas sous le bureau de votre patron en train de lui astiquer le manche... Mais revenons au berlingot de votre fille, vous le trouvez mouillé vous?

— Euh oui...

— Forcément, rien que d'imaginer ma bite, elle est en chaleur, mais elle pourrait l'être nettement plus, non? Madame quand vous vous apprêtez à vous faire mettre, vous mouiller comme une huître juteuse? J'imagine que vous avez les lèvres gonflées, vous vous pâmez comme une salope... Et là, vous avez l'impression que votre fille se pâme?

— Non.

— Alors qu'est-ce qu'elle doit faire?

— ...

— Allons, vous avez quelques années d'expérience de plus qu'elle donc vous êtes une bien plus grosse salope, c'est évident. Vous pouvez lui donner des conseils. Que doit-elle faire pour être bien chaude avant que je lui enfonce mon manche?

— Mais! Mon Dieu! Vous êtes vraiment immonde...

— Restez poli, je vous prie! Et concentrez-vous, elle doit se br...? proposa Amadou... Se bran... allons, essayez de deviner.

— Se branler, gémit le père.

— Ah! Voilà, tu entends ton papa, Léa? Quand je t'annonce que tu vas te faire baiser, tu dois te masturber jusqu'à ce que tu sois humide comme une fontaine. Et comment doit-elle faire ça, Madame?

— Moi... mais... il faut... les doigts... vous savez bien!

— Eh bien, tu as entendu ton papa et ta maman, Léa? Alors qu'est-ce que tu attends? »

Et Léa, devant les commandes données par sa famille, commença à introduire quelques doigts dans sa fente baveuse. Amadou regarda cette fille de bonne famille se masturber quelques minutes devant les yeux éberlués de ses parents. Puis, lorsqu'elle commença à vraiment prendre du plaisir, il l'interrompit :

« Maintenant, retire-moi mon froc! »

Aussitôt Léa cessa ses activités un peu trop impudiques et referma immédiatement ses jambes. Elle allait s'occuper du jean d'Amadou mais celui-ci lui ordonna d'y mettre les formes :

« À quatre pattes, salope! lève bien le cul, montre-le à tes parents! »

Léa hésita, Amadou lui demanda donc

« Tu sais pourquoi je veux te voir à quatre pattes?

— Non.

— Tu me causes comme à un chien ou quoi? Si tu me parles, tu me sers du "Monsieur".

— Non, Monsieur, je sais pas.

— Ta salope de mère doit savoir. »

Cette dernière ne s'offusquant même plus des insultes... Elle aurait tout de même préféré rester bouche close, mais sous le regard imposant d'Amadou elle se sentit obligée de lui donner satisfaction en répondant :

« C'est plus sexy.

— Voilà, on voit la bonne pute qui connait son affaire... Oui tu montres à ton maître que tu es une chienne, une trainée bonne à baiser. Une femelle comme toi n'a pas besoin de savoir marcher sur deux jambes. Elle doit juste savoir comment dresser son cul en l'air!

— En France les femmes sont libres, se formalisa Jean.

— Je ne dis pas le contraire. Elles sont libres de choisir par quelles queues elles veulent se faire mettre. Mais à la fin elles se font toujours baiser par une queue de noir... Pas vrai gros cul, » dit-il en fichant une claque sur le cul de Léa.

Celle-ci ayant fini de présenter son cul, se retourna, toujours à quatre pattes sur le lit, la tête au niveau de l'entrejambe du grand noir et défit l'épaisse ceinture en cuir avec un gros ceinturon.

« Donne la ceinture à ton père. Il pourra l'utiliser sur ton cul si tu ne te montres pas assez bonne baiseuse. »

Et avant que Jean puisse refuser, il ajouta :

« Si vous ne vous montrez pas assez juste et sévère quant aux talents de votre fille au lit, c'est moi qui la fouetterais et j'ai bien plus de force que vous. »

Léa à moitié nue offrit donc la ceinture à son père. Puis elle enleva le jean d'Amadou, et fit descendre son slip. Les parents glapirent de surprise devant l'énormité de ce qui se présentait à leurs yeux

« Qu'est-ce que! »

Et la mère : « Mon Dieu! C'est impossible! »

Et le père : « C'est donc ça la lance noire... »

« Eh oui! Et elle n'est pas encore tout à fait bandée! Léa, fais-moi une branlette espagnole pour faire durcir tout ça, montre à tes parents le morceau de choix avec lequel tu vas te faire mettre.

— Une quoi? demanda Léa

— Mais cette femelle ne sait rien! Qu'est-ce que vous lui avez appris toutes ces années? Madame, expliquez-lui!

— Euh... Une branlette espagnole c'est quand tu mets le pénis du monsieur entre tes seins et que tu lui branles le sexe comme ça.

— Vraiment comment peut-elle ignorer ça?! Surtout avec les gènes de vache qui courent dans la famille. Madame est plantureuse comme une actrice de porno, et votre cadette, Mamamia! Ce n'est pas des seins qu'elle a, c'est des pastèques!

Léa retira sa chemisette, exposant ses seins qui, pour être les plus petits de la famille, n'en faisaient pas moins la taille de grosses mangues, et elle tenta de faire glisser le long tuyau noir en train de durcir entre ses seins. Les émotions se mélangeaient. Léa était honteuse du spectacle qu'elle offrait, tout en se souvenant avec délectation du plaisir qu'elle avait éprouvé quand cette bite de cheval l'avait possédée. Hélène et Jean étaient époustouflés par cette bite, suffisamment pour oublier un instant qu'elle faisait des va-et-vient entre les seins de leur fille.

Amadou sentait avec plaisir la jeune fille serrer ses seins autour de sa bite. Avoir une gonzesse qui utilisait ses grosses loches pour lui donner du plaisir était toujours un incomparable bonheur. Une femme ne sait pas bien branler une queue avec ses mains, le rythme ne va pas, la queue est trop serrée, ou elle fait des mouvements trop violents, alors qu'entre ses seins... On profite de la douceur de leurs rondeurs graisseuses, et on y lézarde avec la satisfaction de se savoir notre membre aussi bien entouré. Aussi Amadou fut-il assez mécontent quand il sentit le mouvement progressivement ralentir jusqu'à cesser tout à fait : Léa avait pris peur. Devant la bite qui lui arrivait maintenant devant le visage, elle était comme hypnotiser par le gland qui trônait entre ses deux yeux.

Amadou avisa le père de l'inefficience coupable de sa fille bien aimée :

« Qu'est-ce que vous attendez! Vous voyez bien qu'elle a arrêté de me branler, fouettez là! Ou faut-il que je le fasse à votre place? »

Le père n'eut pas le choix ; il se rappelait la menace d'Amadou, soit il infligeait lui-même le fouet à sa fille, soit Amadou s'occupait de la châtier avec toute la puissance de ses muscles. Bien à contrecœur, et même bouleversé de devoir lui infliger ce châtiment, il se mit à exécuter l'ordre terrible. Il leva la ceinture et la fit chuter sur le corps nu de Léa.

« Ahhhh!! »

Même avec toute la mollesse que son père y avait mise, Léa sentit la lanière en cuir lui frapper le dos, lui causant un brutal rappel à la réalité. Quelque dix secondes plus tard, elle sentit un second coup lui arriver dessus. Cette fois un peu plus fort et laissant une marque visible pour quelques jours. Léa regarda derrière elle avec des yeux de chiens battus, elle put observer son père brandissant la ceinture en l'air prêt à la cravacher. Elle se sentait malheureuse, son père ne l'avait jamais frappé. Pas une seule fois ses parents ne lui avait infligé une claque ou une simple fessée, au pire on l'avait privée de dessert, et voilà qu'à son âge elle se faisait marquer à la ceinture. Et pas parce qu'elle avait eu un zéro en cours, ou s'était montrée insolente, mais parce qu'elle n'était pas capable de branler correctement un noir...

Elle serra ses seins bien fort autour du sexe d'Amadou et recommença à frotter ses nichons de bas en haut contre le gros manche. Il était passé de la taille d'un gros joystick, à celui d'une batte de base-ball. Et rien ne semblait indiquer que sa croissance était terminée.

« Mon Dieu, on dirait un cheval, susurra Hélène. C'est plus qu'humain... »

Jean eut un frisson en entendant sa femme s'exprimer ainsi. Il savait parfaitement identifier l'état d'esprit de sa femme au timbre de sa voix, et il reconnaissait le ton : elle ne faisait pas que constater, elle était excitée.

« C'est tellement énorme... » ne pouvait-elle s'empêcher de commenter.

Amadou jeta un œil sur la mère de famille. Lui aussi entendait dans sa voix le son d'une chatte en chaleur, et d'ailleurs sans même s'en rendre compte, la maman avait inconsciemment posé une main sur son sein qu'elle caressait. Amadou était flatté que le spectacle de sa bite dans toute sa gloire fît un tel effet. Mais il était temps de passer aux choses sérieuses, il s'adressa donc à sa proie :

« Aller sur le dos, les pattes écartées, femelle. »

Léa obéit. Elle commençait à avoir le tournis avec cette bite qui lui passait entre les deux yeux. Elle se demandait jusqu'où elle pouvait monter. Elle reposa son dos contre le matelas et les draps de ses parents, et ouvrit les cuisses devant son amant.

« C'est écarté ça?! Je ne veux pas être gênée par tes mollets quand je te baise! Madame, Monsieur, tenez les jambes de votre fille. Ma bite est large et il lui faut une bonne ouverture. »

Jean et Hélène se regardèrent embarrassés... Certes ils voulaient être le moins actif possible dans la copulation de leur fille, mais ils voyaient la bite monstrueuse et se devaient d'agir pour éviter que leur ange chéri ne soit sauvagement labouré. Peut-être pouvaient-ils faire en sorte que la pénétration se déroule sans heurts. Ils prirent l'un le pied droit, l'autre le pied gauche, lui écartant amplement les jambes pour que la cramouille de leur fille soit facilement accessible au gourdin noir. Une fois ses ordres suivis, Amadou avait devant lui une chatte bien ouverte à défoncer, et dégoulinante. Léa devant le spectacle de cette énorme tige turgescente avait réagi comme un animal : instinctivement. Sans se soucier de la présence de ses parents, elle mouillait comme un jour de pluie.

Amadou entra lentement dans la fente juteuse, enfonçant d'abord son mandrin à mi-longueur. Ce fut assez pour que Léa crut qu'on lui ouvrait le ventre. Amadou retrouvant un habitat bien plaisant pour sa queue commença à s'occuper à prendre son pied. Il ne tint plus compte des cris de la femelle et commença à exercer des va-et-vient puissants.

Madame tenant un des pieds de sa fille, sentit le choc quand l'anaconda s'enfonça dans le minou de sa fille. Et elle ne fit pas que sentir, elle entendit Léa hurler comme si elle était seule au monde! Incapable de se contenir, la mouille inondait le lit. Madame elle-même fut prise de jalousie. Elle avait presque quarante-cinq ans, elle était belle et n'avait jamais connu une jouissance telle que le manifestait sa fille. Elle voyait le chibre marbré pilonner la chatte de fille avec une force, une vitesse qui avait de quoi la faire défaillir. En observant cet accouplement bestial, elle oublia qu'elle était mère, oublia l'inconvenance de voir sa fille se faire défoncer, elle se mordait les lèvres de désir quand...

« Un préservatif! Il faut un préservatif! » cria son mari.

Amadou se retourna vers lui et se mit à rire comme un forcené.

« Une capote?! Mais mon vieux, tu en as de bonnes toi! Les capotes pour des bites à ma taille ça n'existe pas! Où il faut en commander sur des sites spécialisés! Mais ne t'inquiète pas. Je ne baise que des femelles saines. C'est pas avec moi qu'elle va tomber malade...

— Mais si elle tombe enceinte?

— Et bien, son gosse aura une grosse bite, je peux te l'assurer. »

Et, disant cela, il lui en remit un coup de mandrin.

« Mais ce serait un enfant noir... C'est hors de question!

— Bon... si tu tiens tant à ce qu'elle ne se retrouve pas en cloque, on peut arranger quelque chose. Et puis tu as peut-être raison, je veux pas avoir un chiard d'une gonzesse qui n'est pas encore de la tribu. D'autant qu'avec le sperme que je décharge, il faudrait un miracle pour qu'elle ne se retrouve pas avec un petit nègre dans le tiroir-caisse.

— Tu as entendu? Amadou veut bien arrêter de te faire l'amour, mon chou, » affirma sa mère qui trouvait injuste que sa fille ait le droit de connaître un plaisir aussi intense.

Léa était loin d'être aussi contente que sa jalouse de mère. Elle était à deux doigts d'atteindre un nouvel orgasme et voilà, que ses parents l'ennuyaient pour des précautions dont elle n'avait que faire. Renoncer à ce plaisir était quand même bien décevant.

Les deux parents regardèrent Amadou retirer son énorme engin de la chatte de leur fille. Quand il en sortit le gland, Léa poussa un gémissement se sentant le corps vidé, tandis que sa chatte complètement déformée tentait tant bien que mal de se refermer.

« Putain! Mais quelle salope, hein? Allez, retourne-toi, morue. »

Mais Léa était bien trop épuisée pour bouger

« Vous voyez, à peine quelques coups de pines et c'est H.S, faudra qu'elle boive plus de jus de couille, ça donne de la force... En attendant, Monsieur, forcez là à obéir! »

Jean fut obligé d'avoir recours à de nouveaux coups de ceintures pour que Léa trouve la force de bouger. Mais encore fallait-il qu'elle trouve la bonne position...

« Cambre tes fesses mieux que ça, ordonnait Amadou, forçant Jean à fouetter une nouvelle fois le postérieur de sa fille. Plus vite que ça! »

Finalement, lorsque le cul de Léa se trouva bien en hauteur, Amadou se dirigea vers elle, la bite toujours dressée...

« Mais, qu'est-ce que vous faites?! s'inquiéta Jean qui craignait avoir deviné sur l'objectif visé par Amadou.

— Eh bien, je ne la mets pas enceinte!

— Oui... mais...

— Voyons un peu ce que vaut ce trou du cul...

— Mais que comptez-vous faire?!

— L'enculer bien sûr!

— Mais c'est impossible! s'exclama Madame, rougissant fortement. Votre bite est bien trop grosse!

— Ah ça, elle va la sentir passer. Mais, ne vous inquiétez pas, elle finira par en redemander. Toutes les salopes sont les mêmes.

— Chéri, dis-lui de refuser.

— Tu la préfères enceinte?

— Oh non!

— Alors c'est décidé, conclu Amadou, à la une! À la deux! À la tr...

— Non! cria Hélène. Vous ne pouvez pas faire ça à sec. Jean vient avec moi. Et vous, Amadou, je vous en supplie, attendez que je revienne avant d'enculer ma fille.

— Très bien, je poiroterais en me faisant dégorger le poireau, pas vrai Léa. »

Léa rougit, en apercevant la taille de ce qu'elle devait mettre en bouche. Hélène agrippa le bras de Jean et ils décampèrent prestement.

*****

Les parents ne tardèrent pas à revenir, voulant éviter que leur fille ne prenne goût au braquemart saveur chocolat.

Aussi furent-ils consternés en rentrant dans leur chambre de voir leur douce enfant avalant une immense queue noire. Elle semblait avoir la bouche remplie plus qu'à ras bord et pourtant, elle avait encore bien du chemin à faire avant d'en arriver à la moitié. Amadou lui tirait les oreilles pour l'obliger à emboucher une plus grande quantité de bite dans sa bouche. Il forçait l'entrée comme s'il essayait d'enfiler une chaussure trop serrée.

Hélène avait retrouvé ses réflexes de mère et eut pitié de sa fille en la voyant asphyxiée par ce mastodonte noir :

« Arrêtez!

— Ah voilà les parents qui se décident à revenir. Mais qu'est-ce que vous apportez? »

Amadou plissa les yeux pour distinguer ce que le couple amenait comme ustensile. Il distingua dans la main d'Hélène une bouteille d'huile et dans celle de Jean, une plaquette de beurre.

« Ma choutte! Ça va?! » demanda Hélène.

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