La guerre des deux frères - Partie 03

BÊTA PUBLIQUE

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- Autant qu'on peut en espérer d'une oie blanche. Elle devrait te plaire, elle est open à tout... comme moi.

- Toi, tu es la meilleure, lança-t-il en frôlant son sein droit.

- Eh, coco, on s'affole pas. Tu connais la règle, si tu veux tâter la marchandise, il faut casquer avant. Ma copine et moi, on peut t'offrir le genre de spectacle qui te fait kiffer mais il faudra payer d'avance pour deux.

Le client se pencha et détailla Jasmine qui se sentit évaluée comme une simple marchandise par le regard concupiscent de cet homme en âge d'être son père. Un vertige s'empara d'elle en comprenant qu'elle allait certainement devoir laisser ce vieillard disposer de son corps.

- OK ma petite, lança-t-il. Allez embarquez!

Karine revint vers Jasmine et se rendit compte de la pâleur de son teint.

- Pas question de lâcher ma cocotte, lui fit-elle lui prenant son poignet. Ce mec est un bon client qui adore les shows. Il paye toujours rubis sur l'ongle et n'est pas trop brutal alors je compte bien faire une bonne partie de ma soirée en lui donnant tout ce qu'il veut. Si jamais tu me fais le coup du « je tombe dans les pommes », tu le regretteras amèrement. Pas question que je trinque parce que tu nous as fait perdre une super recette.

Karine serra tellement fort qu'une marque bleue apparue sous ses doigts et Jasmine se crispa devant la menace. Satisfaite de son effet, Karine posa les mains sur son gilet et, d'un coup sec, l'ouvrit en faisant sauter plusieurs boutons.

- Voilà, estima-t-elle. C'est mieux. Faut que le client puisse évaluer au mieux ce que tu as à lui offrir.

Elle tira alors la jeune femme en direction de la voiture et le client ouvrit la portière arrière pour les laisser grimper. La voiture démarra pour se diriger vers le parking le plus proche. Dès qu'elle eut fermé la portière, Karine posa ses mains sur la poitrine de Jasmine et qui, par réflexe, voulut s'éloigner pour échapper à ce contact contre-nature qu'elle n'avait jamais connu. Affichant un sourire de circonstance, Karine n'abandonna pas et colla ses lèvres sur le cou de sa partenaire.

- Me fais pas répéter les choses, lui glissa-t-elle en remontant doucement jusqu'à son visage. Laisse-toi faire ou tu auras affaire aux macs. Ce soir, tu vas devenir un broute-minou ma petite et qui sait? Tu vas même peut-être aimer ça.

Jasmine déglutit mais cessa de résister, consciente qu'elle ne pouvait échapper à ce nouveau calvaire. Radoucie, Karine plaqua alors son visage contre celui de sa partenaire pour la forcer à lui donner un baiser. Au bord de l'apoplexie, Jasmine laissa la langue de cette professionnelle envahir sa bouche et jouer avec la sienne. Karine fit glisser le petit soutien-gorge blanc qui protégeait encore la poitrine de la jeune fille pour pétrir doucement ses tétons et lui arracher un petit gémissement qui la remplit de honte. De plus en plus hardie, la prostituée fit descendre sa main droite le long de son ventre pour la glisser sous sa ceinture. Jasmine se dandina au contact froid des doigts froids de Karine sur la peau de son entrecuisse. La langue toujours campée dans la bouche de sa nouvelle compagne, Karine menait les débats comme elle le voulait rendant la scène la plus émoustillante possible pour le chauffeur qui, le regard planté dans son rétroviseur, ne perdait rien de ce qui se passait dans son dos.

Quand il gara enfin son véhicule dans un endroit à l'abri des regards, Karine bascula en arrière, entraînant Jasmine avec elle.

Libérant enfin la bouche de cette dernière, elle posa la main droite sur le haut de son crane pour lui intimer de reculer. Toujours soumise, Jasmine obtempéra et descendit doucement le long du corps fin de la prostituée. Quand elle arriva enfin au niveau de son entrecuisse, Karine retira sa main.

- Défait mon pantalon, murmura-t-elle sur un ton qui ne souffrait aucune réplique.

Défaite, Jasmine obéit de nouveau et fit descendre le petit pantashort de la jeune femme jusqu'au niveau de ses genoux dévoilant le tissu noir d'un cache sexe bien réduit que Karine retira dans la seconde avant de poser sa main sur la nuque de Jasmine. La bouche de la nouvelle prostituée se retrouva collée contre l'intimité totalement imberbe de sa compagne plus expérimentée et elle comprit qu'elle n'allait pas pouvoir échapper à ce nouveau contact contre-nature. Karine ne relâchant pas sa pression sur sa nuque, elle sortit timidement sa langue et commença à embrasser doucement cet entrecuisse féminin. Karine se mit à gémir doucement, simulant à merveille le début d'un orgasme. Entre deux râles, elle ne cessait de la guider, lui ordonnant de jouer avec son clitoris, de faire coulisser ses doigts dans sa fente d'amour. Révulsée par ce qu'elle devait faire pour préserver les ruines de son existence, Jasmine se comportait comme un pantin de bois qu'un marionnettiste guiderait avec perversité.

Une vague de froid dans son dos lui révéla que l'on venait d'ouvrir la portière derrière elle. D'un regard furtif, elle vit la silhouette sombre du client qui venait se caler contre ses cuisses et voulut se redresser. La main de Karine lui interdit ce mouvement et elle dut retourner à ses jeux lesbiens alors qu'elle sentait les mains de cet inconnu se balader sur ses jambes, relever sa jupe et faire glisser son string. Les gémissements de Karine s'intensifièrent et Jasmine comprit qu'elle cherchait à exciter le client et un contact dur contre son entrejambe lui indiqua qu'elle y réussissait parfaitement. Le pénis en érection pénétra son vagin toujours endolori à la suite du viol multiple qu'elle avait subi la veille et elle poussa un petit cri que le client interpréta comme un encouragement. D'un coup de rein sec, il l'empala totalement avant de commencer à la limer. Il n'était pas aussi violent que les brutes de Gaétan mais ne témoignait pas non plus de la moindre tendresse qui aurait pu rendre cette relation moins humiliante pour Jasmine qui se sentait de plus en plus comme un vulgaire bout de viande.

Karine continuait à se dandiner comme si elle vivait un plaisir toujours plus intense et ses mains continuaient à imposer les manœuvres à suivre à sa compagne d'infortune. Prise comme une animale tout en étant contrainte d'aventurer sans langue dans l'antre d'amour d'une femme qu'elle ne connaissait que depuis quelques minutes, Jasmine s'enfonçait toujours plus profondément.

Totalement inconscient du désespoir de sa partenaire vénale, le client continuait à la limer avec toute l'énergie et l'expérience que son âge lui permettait. Jasmine sentit monter une chaleur désagréable de son ventre alors que son corps réagissait favorablement à ce contact et elle manqua convulser. Une claque de Karine la ramena immédiatement à la réalité. Souriante pour bluffer le client quant à la raison de cette intervention, la professionnelle s'assurait toujours du bon déroulement des opérations. Soudain une nouvelle chaleur piqua la fesse droite de Jasmine. Encouragé par la claque donnée par Karine, le client avait entreprit de la fesser tout en continuant à la limer.

- Salope, tonna-t-il. Tu aimes ça, hein? Tu adores te faire prendre comme la pute que tu es!

Il continua ainsi à lui frapper brutalement les fesses tout en la baisant et elle perdit toute notion de temps jusqu'au moment où il finit par jouir avant de se retirer enfin pour s'adosser contre la portière.

Habituée de cette situation, Karine écarta Jasmine pour plonger sa bouche en direction du pénis encore un peu tendu du client. Elle retira le préservatif qu'il portait en commença lécher le membre à moitié courbé. De la main, elle agrippa Jasmine par le col pour la contraindre à la rejoindre et, de concert, les deux femmes s'échinèrent avec leur langue à terminer en beauté ce coït des plus vulgaires.

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