La Fille À La Robe À Fleurs

BÊTA PUBLIQUE

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MSloane
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J'hésitais à conserver la culotte en souvenir. Quelle vision ce serait de la voir découvrir la disparition de son sous-vêtement! Immédiatement, elle pourrait sentir le sperme chaud commencer à couler de son sexe le long de sa jambe. Que ferait-elle pour cacher sa surprise et sa honte? Se mettrait-elle à courir? Ou préférerait-elle serrer les jambes et s'éloigner discrètement en rasant les murs? Ou peut-être qu'elle resterait impassible, trop surprise pour avoir honte et rentrerait chez elle insouciante des regard outrés sur ses cuisses visqueuses de mon foutre.

Non, il était trop tard pour ces taquineries. L'envie m'avait passé.

Je rendis à la fille sa culotte, m'appuyais près de l'entrée et claquais des doigts.

Après tant de silence, le bruit était assourdissant. Autour de moi, le monde entier de remettait en mouvement. Les jeunes se lançaient des insultes en riant, le vent soufflait dans les arbres et les moteurs des voitures se remirent à vrombir. Au loin, l'écho d'une sirène. La porte de l'église, que j'avais envoyé rebondir contre le mur, finit son mouvement en grinçant.

La fille à la robe à fleur poussa un cri. Elle n'avait eu le temps que de faire un pas avant de s'effondrer. Prise d'un tremblement, sa jambe s'était dérobée sous elle.

Elle porta immédiatement la main à son entrejambe et lança un regard paniqué autour d'elle. Mes yeux se fixèrent dans les siens. Je restais impassible et c'était comme si le temps s'était arrêté une dernière fois. Elle était complètement perdue, comme paralysée, incapable de comprendre la situation et ignorante du rôle glorieux que je lui avais donné.

Je regrettais un peu mon manque de retenue. Baiser la fille jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus marcher, quel cliché! Et maintenant au lieu du souvenir de son élégance, j'aurais maintenant pour toujours en tête le souvenir de cette pauvresse assise par terre devant moi, comme une poule devant un couteau. Je me consolais en savourant par avance la suite des événement.

Sa stupéfaction ne dura que quelques secondes mais sembla lui paraître une éternité. Lorsqu'elle reprit conscience, le rouge lui monta aux joues immédiatement. Elle bredouilla quelques excuses et se releva sans grâce, lissant les plis de sa robe devant elle là où elle l'avait empoignée. Une tâche humide s'y était déposée. Elle tenta de la camoufler comme elle pouvait, sans trop de succès. Je ne crois pas qu'elle en avait réellement compris la nature.

Elle gardait les yeux baissés, tantôt fixés vers le sol et tantôt dans ma direction mais sans jamais tourner vraiment la tête vers moi.

J'étais toujours adossé au chambranle de la grande porte et il était clair que ma présence la mettait infiniment mal à l'aise. Je restais pourtant impassible et continuais de lui imposer mon regard.

M'en veux-tu pour mon manque de tact? Regarder, est-ce un crime? Et si tu me condamnes, qui appliquera la sentence?

Secrètement, j'avais envie qu'elle sache qui je suis. Qu'elle comprenne que je pouvais faire d'elle ce que bon me semble. Elle était bien chanceuse, la garce, de ne souffrir que de mon regard et d'un peu de semence au fond de son sous-vêtement! D'autres n'ont pas eu tant de respect.

Les mains plaquées en bas de son ventre pour en cacher la souillure, elle tenta de retrouver un peu de dignité tout en scannant anxieusement la nef et les allées du bâtiment. Manifestement, l'idée de passer le portail pour sortir au grand jour la répugnait. Mais les grands murs de pierre ne lui laissaient aucune alternative.

Rassemblant son courage, elle s'élança en titubant sur les quelques mètres qui nous séparaient. Près du but, elle pressa le pas pour passer devant moi.

Lorsqu'elle s'engouffra dans la lumière, je la laissais partir sans la suivre.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
Excellent !

Un des meilleurs texte publiés sur ce site.

Scénario sublime bien écrit.

On rêve d’une suite.

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