La Fête Devient Folle

BÊTA PUBLIQUE

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Roland a simplement hoché la tête pendant qu'il se rajuste. Il ne semble pas préoccupé par mon attaque. Il va falloir que je sois plus féroce. Mais à ce moment-là, je suis interrompue par l'arrivée de deux poivrots. Je comprends rapidement qu'ils ont assistés à toute la scène, et ils demandent tout simplement à Roland de leur prêter la pute, c'est-à-dire moi, pour me baiser, parce que j'ai l'air drôlement bonne ! Heureusement, Roland les a chassés. Manquerait plus que çà, qu'il me prête à d'autres ! Faites passer, les mecs, que je tire mon coup !

« Nous devrions probablement rentrer à la maison maintenant, hein? » Il me demande, et c'est à mon tour d'acquiescer, rouge de honte. Je suis restée planquée à l'arrière pendant qu'il s'installe au volant. J'ai la trouille de sortir de la voiture avec ces mecs qui rôdent dans le coin.

« Nous serons bientôt à la maison » Il dit cela pour me rassurer, mais je tremble de peur rétrospective. Nous sommes restés silencieux pendant presque tout le trajet. Finalement, j'ai dû cracher le morceau.

« Roland, je ne prends plus la pilule depuis une semaine »

Il jette un coup d'œil dans le rétro, mais ne répond rien. Je le vois se tasser sur son siège.

« Demain matin, ce serait gentil de m'emmener dans une pharmacie, acheter la pilule du lendemain. Il faut juste aller un peu plus loin, un endroit où je ne suis pas connue »

Comme il ne répond rien, après un long silence, j'ajoute : « Nous n'aurions jamais dû faire cela »

« Ouais, je sais. Désolé, Alexandra. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je t'emmènerai demain »

J'étouffe un rire nerveux, c'est le soulagement. Ce n'est pas un salaud, il ne me laissera pas tomber.

« Nous n'aurons plus jamais besoin d'en discuter, d'accord? Ce qui est fait, est fait. Mais maintenant, c'est juste un souvenir. Plus jamais ça, d'accord? Nous redeviendrons amis comme avant, c'est tout ! OK? »

J'ai vu Roland hocher la tête : « Ouais, c'est mieux pour nous deux »

Le reste du trajet s'est effectué en silence. Il s'est garé dans son allée et nous sommes restés assis là un moment.

« Je le veux vraiment, Roland. Cela n'est jamais arrivé, d'accord? Demain, tu m'emmènes, je prends la pilule, et c'est tout. On n'en reparle plus jamais »

« Je te le promets. Je serai muet comme une tombe » m'a-t-il dit avec un petit sourire.

« Merci, Roland. Elaine n'en saura jamais rien, Daniel non plus »

Sur ce, j'ai ouvert la portière, et je suis sortie de la voiture. J'ai fait trois pas, et je me suis arrêtée, en regardant l'allée sombre qui mène à ma maison. C'est idiot, mais j'ai peur de l'obscurité. Je me suis tournée vers Roland, debout à côté de sa voiture. Il me regarde et me demande :

« Quelque chose ne va pas? »

« Pourrais-tu m'accompagner jusqu'à ma porte? Je déteste aller seule dans un recoin sombre »

Roland me sourit et s'approche de moi : « Juste à la porte, pas un pas de plus » a-t-il ajouté.

« N'y pense même pas ! » Et nous avons remonté l'allée sombre, bras dessus, bras dessous. Dans l'ombre de la porte d'entrée, j'ai farfouillé pour trouver mes clés, mettre la bonne clé dans la serrure, et ouvrir la porte. Roland a attendu patiemment. Je me suis tournée vers Roland pour le remercier. Même dans la pénombre, je peux distinguer ses traits. Il est toujours aussi séduisant.

« Merci. J'ai passé un merveilleux moment »

Je lui ai tendu mes lèvres pour l'embrasser, un baiser amical sur la joue, pour le remercier et lui souhaiter une bonne nuit, mais j'ai senti ses mains se refermer sur ma taille. Nous sommes restés là, figés, à nous dévisager attentivement. Puis, sans comprendre ce qui se passait, nous nous sommes embrassés passionnément. Les mains de Roland glissent de mes hanches jusqu'à mon dos, puis vers le bas. J'ai senti ses mains pétrir mes fesses, descendre, puis remonter ma jupette, écartant mes fesses.

Nos langues sont restées verrouillées, mes bras levées, mes mains sur sa nuque. Ivre de passion, je lui suce la langue qu'il enfonce dans ma bouche. Il m'a soulevée, sans effort. Je suis assez petite et légère, c'est un exercice facile pour lui. J'ai enroulé mes jambes autour de sa taille pour me faire légère. Il me tient avec ses mains sous mes fesses. Il pousse la porte, entre, et claque la porte derrière lui avec son talon. Dans le salon, Roland me dépose sur le canapé. En tendant le bras, j'ai atteint la petite lampe d'ambiance, je l'ai allumée, et rapidement, je me suis déshabillée, pendant que Roland ôte ses vêtements.

Tous deux nus, Roland se penche pour reprendre ma bouche, m'attrape par les hanches, et d'un mouvement souple, il s'assoit et m'installe à califourchon sur ses genoux. Je reste fascinée et troublée par la facilité avec laquelle il me manipule. Sa bite déjà raide heurte mon ventre, en appui sur mes genoux je me soulève, attrape le pieu dressé, et le guide vers l'entrée de ma chatte. Les yeux dans les yeux, je commence à glisser dessus, en appréciant les sensations du gland épais entrant en moi en m'écartant les chairs. Mes mains autour de son cou, j'ai repris sa bouche pour l'embrasser passionnément. Ses mains empoignent mes fesses pour me donner le tempo. Je le baise, mais c'est lui qui me guide, et me faisant monter et descendre au rythme qui lui convient.

De nouveau, je suce la langue qu'il pousse dans ma bouche. Je le baise en oscillant des hanches, sans effort. Je l'utilise pour mon plaisir, jusqu'à ce que j'en veuille plus. Je romps le baiser et je me penche en arrière, en posant mes mains sur ses genoux. Mes seins s'agitent fièrement sur ma poitrine pendant que je chevauche sa queue comme une cavalière émérite. Roland pétrit mon nichon d'une main, tandis que l'autre tourmente mon clitoris, ce qui me rend hystérique. Mon ventre, mes hanches ne m'appartiennent plus. Je danse sur sa bite en me tordant en tous sens, et je lui crie des horreurs.

Je n'avais jamais eu un tel comportement avant Roland. Je jouis sur sa bite en perdant tout contrôle. Je ne suis plus qu'une femelle en chaleur qui assouvit sa passion dévorante. C'est Roland qui m'a arrêtée. Il veut me baiser dans le lit conjugal, l'endroit privé qui n'est autorisé qu'à mon mari. Il se lève avec moi toujours empalée sur sa bite. Il me demande où est ma chambre. Incapable de parler, je lui montre la direction avec mon doigt. Il marche jusqu'au lit, me soulève, et me jette sur mon lit. Je crie de fureur, mais il m'attrape par les chevilles, me retourne et me claque les fesses. A quatre pattes, sur mes mains et sur mes genoux, je pointe mes fesses vers lui en agitant mes hanches.

« Approche, petite pute infidèle » M'insulte-t-il en saisissant mes chevilles. Il me tire en arrière jusqu'au bord du lit. Sa main posée sur mes reins, il guide sa queue vers ma chatte. Il me pénètre durement en me traitant de salope et me claque sévèrement le cul. Le son de la gifle, la douleur cuisante, m'exacerbe et intensifie mon désir. Je me déchaine en agitant mes hanches à toute vitesse. C'est moi qui le baise, avec l'énergie du désespoir. J'agite mes fesses d'avant en arrière aussi fort et vite que je le peux jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Roland est devenu sauvage à son tour, agrippé à mes hanches, percutant ma chatte comme un marteau-piqueur. Il fore ma matrice plus profondément, comme s'il voulait me redimensionner pour sa longue queue.

« Ça vient, je vais jouir dans ta chatte fertile, Alexandra, et tu vas être en cloque. Dis-moi si tu veux que je me retire »

« Non Roland, ne te retire pas ! Jouis en moi » Je le supplie.

C'est tout ce que j'ai pu répondre, et il a de nouveau éjaculé en moi, de longs jets féconds, avec autant de force, tapissant de sperme le fond de ma vulve. J'ai enfoncé mon visage dans un coussin pour étouffer mes cris et ma honte. Il a caressé mes fesses meurtries en se retirant, puis s'est allongé sur le dos à côté de moi. Je me suis blottie tout contre lui, et nous nous sommes endormis, repus, ivres de fatigue et d'alcool.

Nous nous sommes réveillés tard le lendemain. Un rayon de soleil à travers les persiennes éclaire son sceptre matinal. Amoureuse comme une gamine, je me penche sur lui pour lui offrir une fellation. J'ai oublié la pilule du lendemain, et nous avons continué de faire l'amour. Plusieurs fois, tout au long de la journée. Puis la nuit suivante. Nous avons baisé comme des bêtes. Et nous avons remis ça le lendemain matin. Je suis folle de lui.

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Anonymous
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4 Commentaires
ANDRERP95ANDRERP95il y a 3 mois

Super récit. On demanderait presque une suite....

mikdo28mikdo28il y a 3 mois

Delicieusement pervers comme j aime

Assas78Assas78il y a 3 mois

oui récit très excitant, je suis d'accord. Et très bien écrit

luc1234_luc1234_il y a 3 mois

Récit très excitant !

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