La Fête Devient Folle

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J’ai trompé mon mari.
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Rainett
Rainett
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La fois où j'ai trahi mon mari a probablement été l'expérience sexuelle la plus intense de ma vie.

Nous sommes un jeune couple de 23 et 25 ans, mariés depuis 8 mois. Nous nous sommes rencontrés par l'intermédiaire d'amis communs. Nous nous sommes fréquentés pendant presque 2 ans avant de nous marier. Je m'appelle Alexandra, jolie brune de 1,63 m. et Daniel, mon mari, est officier de marine. Beaucoup de gens dans notre entourage prétendent que nous sommes trop jeunes pour nous marier, mais je ne le regrette pas une seule seconde.

Nous avons emménagé dans une petite maison en location, tout près de sa base d'affectation, mais hors de la base. Nous vivons ici plutôt heureux depuis 8 mois. Je dis plutôt heureux parce que, presque plus que la moitié du temps, Daniel est en mission, en mer, en manœuvre, en formation, etc... Et je me retrouve seule. Je le savais avant, il m'avait prévenue, mais bon, ce n'est pas drôle pour moi. Je suis fière de lui, de ce qu'il fait, mais chaque fois qu'il part, je pleure à chaudes larmes.

Nous avons rapidement sympathisé avec nos plus proches voisins, Roland et Elaine. Plus âgés que nous, Roland à la quarantaine, c'est un supérieur hiérarchique de Daniel. Elaine est un peu plus jeune, nous sommes tout de suite devenues amies. Ils sont si accueillants, et ils nous ont aidés à nous installer.

Il y a un mois de ça, Elaine m'a expliquée le déroulement de la fête annuelle de la ville. Une fête carnavalesque qui dure 3 jours. Avec des défilés de chars, de groupes folkloriques, de majorettes. Tout le monde se déguise et l'ambiance est bon enfant. J'ai convaincu Daniel de participer à cet évènement, ce qui n'est pas une mince affaire car il n'aime pas se déguiser, danser ou faire le fou.

Pendant quelques jours, nous avons négocié au sujet des costumes, puis j'ai laissé Daniel avoir le dernier mot. Il voulait me voir dans un costume d'écolière très sexy, et je n'aime pas me dévoiler, sauf à la piscine ou à la salle de sport. J'ai négocié la possibilité d'avoir une cape, pour me couvrir le cas échéant. Pour lui, Daniel a choisi un costume de magicien. J'étais très excitée parce que je n'avais jamais pu traîner Daniel à une fête costumée.

Malheureusement, une semaine avant, Daniel a reçu son ordre de mission. Peut-être deux à trois semaines, m'a-t-il précisé. Chaque fois qu'il part, impossible de savoir où il va, et combien de temps il s'absente. J'ai été très déçue, comme chaque fois qu'il part, mais plus encore cette fois à cause de la fête. J'avais vraiment hâte d'y être. Alors Daniel m'a convaincue d'y aller avec Roland et Elaine, ​​et j'ai accepté à contrecœur.

La veille de la fête, j'ai enfilé ma tenue de sport et je suis allée faire mon jogging. Sur le chemin du retour, je suis passée devant la maison de Roland et d'Elaine. J'ai vu Roland arroser les plantes. J'ai trouvé cela étrange. D'ordinaire, c'est Elaine qui jardine. Je me suis arrêtée devant la clôture en piétinant sur place. En me voyant, Roland s'est approché et m'a saluée.

« Bonjour Roland. J'ai hâte d'être à ce soir » Lui dis-je.

« Elaine est partie ce matin pour un séminaire de vente. Elle ne pouvait pas refuser. Elle a dû oublier de te prévenir »

J'étais tellement déçue. J'ai regardé le visage de Roland, il ne semblait pas trop contrarié, plutôt songeur.

« C'est bon, on n'y peut rien. On ira l'année prochaine » Lui dis-je en fronçant les sourcils.

J'ai jeté à Roland un « à plus tard » et j'ai remonté en courant l'allée qui mène chez moi. Sur le pas de ma porte, je me suis retournée, et j'ai vu Roland planté au même endroit, qui me regardait pensivement. Je lui ai fait un petit signe de la main, et je suis rentrée chez moi.

Après m'être désaltérée, je suis allée dans ma chambre pour me changer. Je réfléchissais devant ma penderie pour décider de ma tenue, lorsque mon regard a été attiré par mon reflet dans le miroir. Ma nouvelle tenue de jogging moulait mes fesses si étroitement, on aurait dit une seconde peau. Mes formes, et surtout la raie de mon cul, étaient dessinées de manière particulièrement précise.

« Est-ce que c'est cela que Roland regardait de manière si grivoise? » Toute rougissante, je me suis aperçue que le devant était encore pire. Ma chatte était clairement dessinée, presque mieux que si j'étais nue. Roland ne pouvait pas me regarder comme cela? Je veux dire, je suis mariée, il est marié. J'ai 23 ans, il est dans la quarantaine bien entamée. En plus, c'est un des chefs de mon mari. J'étais troublée et inquiète. Qu'allait-il penser de moi? J'ai pris ma douche, préoccupée par ce qui venait de se passer. Est-ce qu'il m'envisageait? Je ne pouvais pas l'admettre, mais je ne pouvais pas chasser cette éventualité de mon esprit. C'est en fin d'après midi que j'ai reçu un appel téléphonique de Roland.

« Alexandra, c'est Roland. Ecoute, je n'ai vraiment pas envie de rester seul à la maison ce soir. Elaine m'avait convaincu d'aller à cette fête de toute façon. Est-ce que tu accepterais de m'accompagner? »

Une lampe rouge s'est allumée dans mon cerveau, signal de danger. Mais c'est un gradé haut placé, un chef de mon mari. Comment l'envoyer balader? De plus, c'est un voisin, et je suis amie avec sa femme. Je ne devrais pas aller m'amuser avec un autre homme, hors de la présence de mon mari, ni de sa femme, mais en public, que peut-il tenter?

« Ah, oui, bien sûr. C'est gentil d'avoir pensé à moi. C'est plus sympa qu'une soirée télé ! »

« Super, je passe te prendre à 19 heures. Tiens-toi prête ! »

Je vais aller au carnaval, déguisée en écolière sexy, seule avec un homme qui n'est pas mon mari, et il me précise : "je passe te prendre, tiens-toi prête". Juste comme ça, la lampe rouge illumine mon cerveau !

A 19 heures précises, la sonnette de l'entrée a tinté et, en ouvrant la porte, j'ai eu un coup au cœur. Roland se tient debout là, devant moi, et il est magnifique dans son costume de flic américain. Je suis prise au dépourvu. Jusqu'à présent, je n'avais jamais remarqué sa prestance, à quel point il est bel homme. Très grand, bien bâti, le costume parfaitement ajusté le met en valeur. Il est sexy, et je suis toute émue.

Il m'a divertie avec un sourire : « Bonsoir, madame. Je suis un flic. Vous êtes en état d'arrestation » M'a-t-il dit en me faisant rire. Mais son regard scrute mon corps de haut en bas, et je me sens très exposée. Ma jupette en tartan couvre à peine le haut de mes cuisses, et mon ventre est visible à cause de mon top à bretelles qui laisse beaucoup trop de décolleté, tout en moulant parfaitement mes seins.

« Désolée, Roland. L'idée de cette tenue d'écolière sexy, c'était le souhait de Daniel. Je n'ai rien prévu d'autre »

« T'inquiète pas, Alexandra. D'après les photos que j'ai vu des années précédentes, tu es trop habillée. D'ailleurs, Elaine avait prévu un truc encore plus osé. C'est le carnaval, les filles se lâchent ! »

Cela ne m'a pas vraiment soulagée, mais je suis partie au bras de mon voisin, conduite dans un endroit de la ville prévu pour une soirée de divertissement, et pour me défouler.

La fête s'est déroulée exactement comme je l'avais imaginée, une nuit de beuveries et d'abandon sauvage, avec des costumes si révélateurs que je me suis demandé pourquoi certaines femmes n'étaient pas nues. Les premiers embarras dissipés, je me suis vite jetée dans la mêlée grâce à un excès d'alcool et beaucoup de danse. De nombreux gars me draguaient, essayant de me peloter ou de m'entraîner dans un coin sombre. Et Roland jouait à la perfection son rôle de flic, chassant les importuns, heureusement sinon je serais passée à la trappe.

Au milieu de la nuit, je dansais une sorte de bachata endiablée avec une fille déguisée en prostituée qui m'enlaçait en se frottant contre moi. Nos jambes écartées nous permettaient des mouvements lascifs, et chacune de nous frottait joyeusement sa chatte sur la cuisse de l'autre. Je savais que j'étais ivre, parce que je ne me serais jamais livrée à un tel spectacle à jeun. Des gars faisaient cercle autour de nous, en tapant dans leurs mains, et en nous criant des encouragements.

J'ai regardé autour de moi et j'ai vu Roland assis seul sur un banc en train de nous lorgner. J'ai haussé les épaules en souriant, et il m'a rendu mon sourire. Quand la musique s'est arrêtée, la fille m'a roulé un patin, avant de m'abandonner au milieu de la piste en me disant qu'elle avait soif. Je suis retournée me réfugier vers Roland pour échapper aux chacals qui m'encerclaient, et je me suis affalée tout contre lui.

« Je suis pompette ! » Lui dis-je en bredouillant un peu et en riant de mes difficultés d'élocution. Le bras de Roland était posé sur le dossier du banc derrière moi, alors j'ai posé ma tête sur son épaule, comme une petite fille qui demande pardon pour son comportement, et obtenir un peu d'indulgence.

« Ouais, je m'en suis aperçu. Je ne t'aurais jamais cru capable d'agir de manière aussi, heu, osée? »

J'ai levé mon visage vers lui, ma tête toujours posée sur son épaule, et je lui ai tiré la langue. J'ai soudain réalisé à quel point nos visages étaient proches. Roland restait immobile, en me regardant les yeux dans les yeux. Le monde autour de moi s'est mis à tourner au ralenti. Le visage de Roland s'est abaissé vers le mien, j'ai léché mes lèvres du bout de ma langue, et j'ai fermé mes paupières. J'ai senti son souffle sur mes lèvres humides, le temps s'est arrêté, il ne bougeait plus, alors j'ai tendu mes lèvres pour qu'elles rencontrent les siennes. Nos lèvres se sont effleurées avec douceur au début, puis notre baiser est devenu sauvage. J'ai ouvert ma bouche pour accueillir sa langue, et je l'ai combattue avec la mienne. La tête penchée pour embrasser pleinement sa bouche, ma main s'est posée sur sa nuque, le tenant pressé contre moi, pour lui donner le signe clair que j'étais pleinement consentante, et que j'appréciais son baiser.

Notre baiser passionné qui se prolonge, la quantité d'alcool ingurgité, plus la danse, la moitié de la nuit passée à secouer mes fesses en me faisant tripoter, m'ont mise dans un sale état. J'ai une furieuse envie de baiser. Ma langue et ma bouche étant fiévreusement tourmentées, je ne pouvais pas objecter quand, avec son bras autour de mon épaule, je sentis la main gauche de Roland glisser subrepticement vers mon sein. Une fois à l'intérieur de mon haut, sa main chaude s'est emparée de mon mamelon pour le palper. Impossible pour moi d'arrêter de gémir dans sa bouche tellement j'apprécie sa caresse. Profitant de ma faiblesse, sa main droite s'est bassement déplacée sur ma cuisse nue, et j'ai réagi en écartant légèrement mes jambes pour lui faciliter l'accès.

Je crois l'avoir entendu gémir doucement, alors je soulève ma jambe droite pour la poser sur sa jambe gauche, en écartant largement mes cuisses. Sa main à l'intérieur de mon haut serre mon mamelon, et ses doigts pincent mon téton. Je sais que je dois m'arrêter, que je ne peux pas prolonger cette folie, mais je ne peux pas. Je sais que c'est malsain de flirter ainsi avec un homme beaucoup plus âgé que moi, le mari de ma meilleure amie, et le chef de mon mari, mais j'en ai besoin. Ma main sur sa nuque maintient nos bouches dans un baiser furieux, et mon trouble m'aide à oublier cette main qui rampe vers ma culotte.

Lorsque ses doigts déterminés palpent enfin le monticule humide sous ma culotte trempée, et explorent ma chatte complaisante, mon ventre est secoué par un bref orgasme. Je n'avais jamais connu un tel phénomène. Au premier contact, presque sans caresse, je ne savais pas cela possible. Roland a compris ce qui m'arrive, impossible de lui cacher mon émoi, alors il rompt le baiser pour me dire simplement :

« Viens ! »

Il repousse ma jambe, se lève, attrape ma main et me soulève. Il m'enlace, se dirige vers la sortie, me tirant derrière lui. Mes jambes ne me portent plus. Il me traîne comme une ivrogne. Je le suis comme je peux. Nous traversons le parking jusqu'à la voiture de Roland. Il me pousse contre la portière de sa voiture, me retourne pour que je sois le dos contre la carrosserie, presse son corps sur le mien. Il insère une jambe entre les miennes, peut être pour me soutenir, me tient par les hanches. Ses doigts vigoureux palpent mes chairs tendres, je lève mon visage vers lui, et je lis un désir bestial dans ses yeux. Malheureusement, je suis sûre que mes yeux reflètent le même désir bestial.

« Roland... nous ne pouvons pas... » Je tente de le raisonner, sans succès. Sa bouche me bâillonne. Ma bouche s'ouvre pour accepter son baiser. Mes bras se lèvent, mes mains s'agrippent à ses épaules, mes hanches oscillent avec passion pour frotter ma chatte contre sa cuisse. Coincée entre Roland et sa voiture, ivre de désir, je ne suis qu'une poupée docile face à son emprise. Il tend le bras et j'entends la portière arrière de la voiture s'ouvrir. Roland m'empoigne, me traîne devant la portière ouverte. Il se recule et me scrute hardiment, tandis que ses mains glissent de mes hanches vers mon haut. Il l'attrape, le soulève et dénude ma poitrine.

Je n'ai rien tenté pour l'arrêter pendant qu'il me met torse nu. Un bref instant, j'ai eu conscience de ma nudité, sur un parking, la nuit, exposée à la vue de tous. Mais il me repousse à l'intérieur de l'auto. Je traîne mes fesses sur la banquette arrière pour me caler confortablement au fond du véhicule. Mes jambes ouvertes, ma culotte mouillée invitent visiblement Roland à venir me rejoindre. Je n'ai pas à attendre longtemps avant qu'il vienne ramper sur la banquette arrière pour se blottir contre moi, entre mes cuisses ouvertes.

« Oh mon Dieu, chéri, viens ! » ai-je ronronné en le sentant écraser sa bite dure contre mon ventre.

J'ai mis mes bras autour de son cou, et j'ai pressé mes mains de chaque côté de sa tête pour ramener ses lèvres sur les miennes. Je l'ai embrassé profondément tout le temps qu'il a fouillé dans son pantalon. Sa bite dehors, j'ai sentis ses doigts écarter l'entrejambe de ma culotte.

« Non, chéri, attends... préservatif ! » J'ai essayé d'articuler avec sa bouche sur la mienne.

Sa bite commence déjà à s'insérer entre mes lèvres, ma chatte s'ouvre pour l'accueillir, mais il a la force d'arrêter sa poussée pour me regarder. J'ai lu son désir bestial dans ses yeux, et il me dit :

« J'en ai pas. Et toi? »

En même temps, il se retire un peu et frotte sa bite contre mon clitoris, puis tout le long de ma fente. Le remède est pire que le mal. J'ai failli défaillir de bonheur.

« Merde, moi non plus, vas-y, j'en ai trop envie ! » Je le supplie, perdue dans mes sensations.

Sans attendre que je change encore d'avis, il s'enfonce en moi. Juste le gland, mais il est énorme. Il est si épais qu'il m'étire, me distend. C'est douloureux et jouissif à la fois. Puis, peu à peu, il me pénètre plus loin, et je me sens beaucoup mieux. Plus il s'enfouit dans mon ventre, meilleur c'est. Il est fort, gros, épais et long. Très long. J'ai une brève pensée malsaine. Beaucoup plus fort que mon mari. Il me remplit toute. Plus il me pénètre, moins je peux penser à autre chose que : putain, que c'est bon ! Ma seule pensée c'est à quel point cette bite me fait du bien, et à quel point elle me remplit. Je n'avais jamais eu ce fantasme de plus c'est long, plus c'est bon, mais cette grosse bite me fait un bien fou.

Roland, en appui sur ses mains, la portière de la voiture grande ouverte, les pieds dehors, me baise résolument. J'ai ma jambe gauche enroulée autour de lui, mon pied droit posé sur le sol. Mes mains sont agrippées à ses biceps musclés, et je le regarde bouger ses hanches pour me marteler vigoureusement, faisant claquer cette bite épaisse et nue jusqu'au fond de ma vulve. Il me baise passionnément, profondément. C'est lorsqu'il est enterré totalement en moi que j'ai compris qu'il est beaucoup plus long.

Je regarde cet homme qui a l'âge d'être mon père, cet homme qui est le chef de mon mari, et le mari de ma meilleure amie, et je me sens si salope, mais ce sentiment aiguise encore plus ma fringale de sexe. Je deviens grossière, et je l'excite en termes crus, je l'exhorte à me baiser plus vigoureusement, en poussant mon ventre vers lui pour faire claquer nos chairs. Mais mes divagations ne l'émeuvent pas plus que ça, il continue sur le même rythme, imperturbable, maître de ses émotions.

« Ouais, tu es bonne, une bonne petite salope qui aime se faire baiser sur le siège arrière d'une bagnole ! »

En l'entendant prononcer ces mots orduriers, mes yeux se sont écarquillés de surprise, et il a souri en sentant ma chatte se contracter sur sa bite.

« Et en plus, ça t'excite quand je t'insulte? Dire que j'avais des scrupules à baiser ma jeune voisine ! C'est ton joli petit cul qui m'a poussé à te baiser ! Une bonne petite femme infidèle, voilà ce que tu es ! »

J'ai perdu la tête en l'entendant m'insulter ainsi. Tout ce que j'ai pu faire, c'est gémir pendant que mon corps frissonne de plaisir, et que la vague gigantesque de l'orgasme me submerge. Mon corps tout entier vibre, mes ongles s'enfoncent dans ses biceps, je mords mes lèvres en geignant. Je voudrais que cela dure éternellement, mais Roland reprend le contrôle de la situation.

« Tu as aimé ça? Attends de voir ce que je te réserve ! »

Roland déplace ses bras sous mes jambes pour les soulever, en repoussant mes genoux contre ma poitrine, mes pieds vers le plafond de la voiture. Il enfouit son visage dans mon cou, il s'arque-boute, et me baise en prenant de la vitesse.

« Tu aimes ça quand je te traite comme une salope, n'est-ce pas, Alexandra? » Me demande-t-il à l'oreille en me baisant à un rythme effréné. Sa bite me frappe avec une telle violence que je ne peux pas répondre, parce qu'il me coupe le souffle. Les bruits humides de ma chatte martyrisée par sa grosse bite remplissent l'habitacle. Je deviens folle, je crie pour rythmer chacun de ses coups, je suis en transes, je suis possédée par un démon intérieur qui me pousse à crier de horreurs. Je pousse un cri perçant lorsqu'il éjacule au fond de moi de longs jets brûlants, un cri qui se finit dans un râle de jouissance. Jamais aucun homme ne m'avait baisée ainsi, ni mon mari, ni aucun de mes flirts d'avant Daniel.

Je flotte dans une rémanence apaisante, mais Roland ne veut pas me laisser tranquille :

« Tu aimes que je te traites de salope? Pourquoi Alexandra? Est-ce parce que tu es une femme infidèle? Est-ce que ça t'excites de tromper ton mari? Dis-le, Alexandra, dis-le à voix haute que tu es pute infidèle, une petite salope qui se fait baiser sur la banquette arrière ! »

Le souffle chaud de Roland dans mon oreille me tourmente.

« Je suis une salope, Roland, je suis une petite pute infidèle ! » Je gémis, c'est à peine audible mais mes orteils se tétanisent, je frissonne, ma chatte se crispe sur sa bite, et je jouis sans qu'il me baise. Je pleure de honte et je ris de bonheur. Cet homme fait de moi tout ce qu'il veut. Et c'est à ce moment-là que je me suis souvenue que nous parlions, Daniel et moi, de fonder une famille. J'ai arrêté la pilule en début de semaine, pour être féconde à son retour à la maison.

Etendue sur la banquette arrière, Roland, toujours vautré sur moi, m'embrasse avec passion, et je me pose la question existentielle : suis-je déjà féconde? Nous sommes là, haletants, à nous lécher la pomme, jouant l'insouciance, alors que chacun cogite à ses propres préoccupations. A quoi pense Roland, j'en sais rien, mais moi je combine. Je calcule les jours, j'estime, je suppute. Demain matin, j'irai à la pharmacie prendre la pilule du lendemain. Pas à celle du village, où je suis connue. Mais je n'ai pas de voiture pour aller ailleurs. Roland acceptera-t-il de me conduire? Il faut que je le culpabilise.

Roland se redresse pour reprendre son souffle, et j'en profite pour remettre de l'ordre à ma tenue.

« C'était vraiment très bien, mais cela n'aurait jamais dû arriver. Je suis mariée, et toi aussi. »

Rainett
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