Obéissante

Jason a proposé à Alyssa, sa jeune et jolie épouse, de baiser avec un mec équipé d'une grosse bite noire. Réticente au début, elle s'est finalement décidée, séduite par le fils des voisins. Cependant, c'est n'est pas le résultat auquel Jason s'attendait.

Alyssa, vingt-cinq ans, a laissé ouverte la porte du jardin pour Jawad, un gamin de dix-neuf ans, le fils des voisins. Il utilise régulièrement ce passage quand Jason, le mari, est au travail. C'est plus discret pour des allées et venues quotidiennes. Alyssa a un tempérament passionné, et Jawad a pour lui la fougue de sa jeunesse.

Alyssa a préparé le lit conjugal en ôtant le couvre-lit et les draps, et en couvrant le matelas avec une alèse et de vieux draps. Alyssa se méfie de la production très abondante de Jawad. Son premier passage avait été fâcheux pour le matelas et les draps. Elle attend son amant, cachée derrière la porte de la véranda, et le conduit directement dans la chambre conjugale.

Jawad suit Alyssa en contemplant ce petit cul qu'il va baiser. Jawad a du temps libre. BAC en poche, il n'a pas obtenu le passe pour entrer à l'université, et doit faire une année de prépa. La jeune et jolie voisine occupe son temps libre de manière agréable. Il n'a aucun remords, elle prétend que son mari est d'accord.

Debout à côté du lit, les bras le long du corps, Alyssa attend patiemment que Jawad se déshabille. Elle semble si minuscule à côté de ce grand gaillard. Alyssa mesure moins de 1,60 m. et pèse environ 47 kg. Jawad, tout en muscles, dépasse 1,90 m. pour une bonne centaine de kilos. Sa peau est aussi sombre que celle d'Alyssa est pâle.

Dès qu'il est nu, Jawad enlace Alyssa, l'embrasse et la caresse tout en la déshabillant. C'est leur rituel. Sans lui laisser reprendre son souffle, il la soulève et la dépose sur le lit. Aussitôt, il la pénètre et la baise brutalement. Il ne perd pas de temps en préliminaires. Jawad n'utilise pas de préservatifs, et elle n'ose pas demander. Depuis plusieurs semaines, chaque jour de semaine, quand le cocu est au travail, Jawad vient se vider les couilles dans la jeune coquine.

Tout cela a commencé à cause de Jason, et de son complexe. Accro aux pornos, ce gars d'une trentaine d'années est persuadé depuis son adolescence que sa bite est trop petite pour contenter sa jeune épouse. Inquiet de voir Alyssa se lasser et le quitter, son esprit tordu a concocté un plan débile pour contenter sa femme.

Alyssa est une jeune et jolie femme, même si ce n'est pas le couteau le plus affûté du tiroir. Le sexe de son mari, elle s'en contentait jusqu'à ce que celui-ci suscite ces idées bizarres dans son esprit. Apercevant Jason, son mari, en train de discuter avec Jawad, le fils des voisins, Alyssa s'est approchée pour se mêler à la conversation. À plusieurs reprises, en baisant Alyssa, emporté dans le feu de l'action, Jason a crié :

« Chérie, j'aimerais tellement que tu te fasses baiser par un homme noir, avec une grosse bite, une grosse bite noire, chérie, tu veux? »

« Je n'ai pas besoin d'une autre bite que la tienne. Ni plus grosse, ni plus noire. Ta bite est parfaite pour moi, et c'est tout ce dont j'ai besoin. »

« J'aimerais tellement te regarder baiser avec un macho, défoncée par sa grosse bite noire. »

Mais Jason a insisté. Cette conversation est revenue plusieurs fois sur le tapis, à l'initiative de Jason. Alyssa s'est agacée :

« Pour quoi voudrais-tu que moi, ta femme, j'aille te tromper avec un autre homme? »

« Si c'est moi qui te le demande, ce n'est pas tromper ! »

« Chéri, si je baise avec un autre homme, peut importe la couleur ou la grosseur, ne suis-je pas infidèle? »

« Non, bien sûr que non. Il y a des nuances dans la fidélité, comme dans toute chose. Accepter mon fantasme ferait de toi une femme obéissante. Même une femme amoureuse et fidèle peut accepter de faire plaisir à son mari ! »

Alyssa a mis un terme à cette discussion sans s'engager. Elle n'a pas précisé si elle réfléchirait à cette suggestion, ni si elle allait donner suite. L'occasion a fait le larron. En discutant avec Jawad, le fils des voisins, chacun de son côté de la clôture, une idée commence à germer. La glace étant rompue, ils ont commencé à flirter.

Alyssa pense à Jawad, qui habite juste à côté. C'est un grand et beau garçon. Charmeur et séduisant, il a tout ce qu'il faut pour faire rêver une jeune femme. Une jeune épouse désœuvrée à qui son mari a donné son autorisation.

C'est toujours innocent, juste un marivaudage, mais ils flirtent. Jawad est très beau, donc l'idée de baiser avec ce jeune étalon est sexuellement excitante. Alyssa s'est masturbée en pensant à Jawad. Depuis qu'ils discutent ensemble, Alyssa guette derrière ses rideaux l'apparition du mâle qui la trouble. Elle se précipite au jardin, dans des tenues de plus en plus révélatrices, pour entendre le jeune coq lui débiter des fadaises.

Alyssa sait qu'elle apprécierait une séance de sexe avec Jawad. De plus, ces derniers temps, elle est devenue plus critique à l'égard des performances sexuelles décevantes de Jason. Son mari travaille beaucoup, il rentre épuisé, et préfère se faire tailler une pipe plutôt que de baiser sa jeune femme. Les journées d'Alyssa sont enflammées par la présence du bel étalon noir, et ses soirées sont déçues par les déficiences de Jason.

« Par conséquent, puisque c'est Jason qui le demande, je peux baiser un autre homme, s'il me plaît ! »

Souvent, Alyssa a dû repousser les assiduités des hommes. Elle a donc toute confiance en son charme. Et le jeune Jawad semble être du même avis. Il ne manque plus que l'opportunité. Rapidement, la conversation entre les deux jeunes voisins est devenue plus intime, moins conventionnelle.

C'est pourquoi Alyssa n'a pas hésité à aborder le thème des mélanges multiraciaux, pour avoir l'opinion de Jawad sur les couples mixtes, par exemple un homme noir avec une femme blanche? Bien évidemment, le jeune homme, du moment que la conversation devient plus coquine, est tout à fait réceptif. Mise en confiance, Alyssa se lance :

« Jawad, as-tu déjà fait l'amour avec une femme blanche? »

« Oui, bien sûr, plus d'une fois. Et toi, as-tu déjà couché avec un black? »

« Je n'ai jamais eu l'occasion, même si je l'ai envisagé plusieurs fois. En fait, j'aimerais bien essayer, une fois »

« Tu accepterais d'essayer avec moi? »

Rêveuse, elle a pris son temps avant de répondre : « Pourquoi pas? Entrons dans la maison pour en parler »

À l'intérieur, Alyssa a mis une musique sirupeuse, et elle a invité Jawad à danser, plutôt que parler. Ses vêtements montrent beaucoup de peau, et Jawad a de grandes mains, propices aux contacts. Cela ne dérange pas Jawad qu'Alyssa soit mariée. En fait, cette idée de baiser la femme d'un petit blanc lui plaît. Tant de brimades, de vexations, quelle douce vengeance.

En plus, elle n'est pas mal foutue. Menue, mais pas maigrichonne. Elle ne lui plaît pas vraiment, mais pour se vider les couilles, ça va. Juste une question d'hygiène. En plus, elle est là, juste à côté, il n'y a qu'à se servir. Elle a dit que son mari est d'accord. Quel con ! Du coup, il n'a prêté aucune attention à l'alliance d'Alyssa.

Quand Jawad a embrassé Alyssa, elle a accepté son baiser. Tête renversée en arrière, bouche ouverte, elle a laissé la langue de Jawad fouiller sa bouche. Elle a même sucé la langue voluptueuse. Jawad a glissé ses mains sous son haut, et Alyssa a levé les bras pour permettre à Jawad de dénuder son torse. Elle ne porte pas de soutien-gorge.

Jawad a glissé ses mains sous la minijupe d'Alyssa pour fouiller dans sa culotte. Alyssa a pris la main de Jawad, et elle a entraîné le jeune homme jusque dans sa chambre. Dès qu'Alyssa s'est penchée sur le lit pour retirer le couvre-lit, Jawad a remis les mains sous la jupette pour lui ôter sa culotte. Alyssa s'est couchée en travers du lit, allongée sur le dos, jambes écartées, avec sa jupette roulée autour des reins.

La minute suivante, Jawad était nu, allongé entre les cuisses accueillantes, et il plantait sa bite dans la petite chatte écartelée. Entre le moment où ils sont entrés dans la maison, et celui où la bite de Jawad s'est retrouvée au fond de la chatte d'Alyssa, il ne s'est pas écoulé un quart d'heure.

Comparé à Jason, Jawad est énorme. Beaucoup plus gros et plus long, les premiers instants sont douloureux. Mais la nature est bien faite, et la petite chatte s'adapte, se laisse conquérir. Le contact de cette grosse bite est plus doux, plus satiné. Les émotions ressenties sont totalement différentes. Alyssa est submergée par le désir, c'est pourquoi elle a totalement oublié de retirer son alliance.

C'est en voyant sa main s'accrocher à l'épaule de son amant qu'elle a vu son erreur. Bizarrement, ce sentiment d'être une salope a augmenté sa sensualité. Elle s'est abandonnée aux multiples sensations procurées par cette grosse bite noire qui l'étire et qui la fouille. Alyssa adore être prise comme une catin.

Chaque sensation est différente parce que sa chatte est plus réceptive. Tout l'excite. Tromper son mari, avec un jeune homme beau comme un dieu, s'offrir ainsi, comme une pute, et toute cette viande noire qui coulisse en elle. Alyssa perd toute retenue, elle crie des horreurs, les pieds recroquevillés, les yeux révulsés, elle jouit sans discontinuer tout le temps que Jawad la fore avec son manche de pioche.

Sa chatte est très mouillée, l'énorme piston de Jawad qui coulisse en elle ôte toute raison à Alyssa qui s'offre sans retenue, sans aucun contrôle. Jawad vide ses couilles au plus profond de la petite chatte fertile. Jason, lui, se retire à temps. Mais Alyssa est comme assommée par un orgasme foudroyant, et elle n'éprouve aucun regret. La beauté de ce jeune homme sexy la plonge dans le ravissement, et elle câline son amant qui lui donne tant de bonheur.

Jawad ne s'est pas retiré, cette première fois. De toute façon, elle ne l'aurait pas laissé partir. Il est resté en elle, recommençant à coulisser lentement, en attendant que sa bite durcisse, avant d'accélérer. Deux fois de plus, ce matin-là, Jawad a baisé Alyssa, lui donnant de multiples orgasmes, qu'elle n'avait connus avec personne. Faire l'amour avec Jawad a retourné le cerveau un peu faible d'Alyssa, et elle est amoureuse de son bel amant.

Jawad est plutôt content. Cette petite bonne femme est un bon coup. Pas assez pulpeuse, comme il les aime, mais pour se vider les couilles, elle est pas mal. Baiser la femme du voisin, cette idée lui donne envie de rigoler. Quel con ce mec ! Et quelle pute il a épousée, ce con ! Même si elle gueule beaucoup en jouissant, ça ne le dérange pas.

Alyssa n'a pas dit à Jason qu'elle voyait Jawad. Elle a juste pensé que ce n'était pas urgent de lui dire. Elle le lui dira si le besoin s'en fait sentir. Leur aventure n'a pas duré longtemps. Quelques semaines, même pas un mois. Jawad va faire sa prépa à l'autre bout du pays. Il y a une place pour lui dans cette école. Un vague cousin de sa mère doit l'héberger. Ce mec a deux filles. Bien sûr, Jawad a promis de ne pas toucher aux filles. Bien sûr.

Aujourd'hui, le médecin a confirmé à Alyssa qu'elle est enceinte. Depuis quelques jours, sa libido est devenue folle. Sa grossesse ne fait que l'exciter davantage. En attendant le départ de Jawad, ils baisent comme des fous. Du coup, Jason s'est étonné que sa petite chatte soit devenue si large. Quand elle lui a avoué qu'elle est enceinte, il est ravi.

Alyssa est convaincue que c'est Jawad le père biologique de son enfant. Mais elle n'a rien dit à Jawad. Il va partir, tant pis pour lui. Elle trouvera toujours une solution. La ville ne manque pas d'hommes. Cet après-midi, Jawad est parti. Définitivement? Ce soir, dans le lit, Alyssa se blottit contre Jason. Elle est ardente, et elle a besoin de sexe. Mais Jason est fatigué. Alors, pour l'émoustiller, elle lui parle de Jawad.

« Tu m'avais dit que je devrais baiser avec un noir équipé d'une grosse bite. Hé, bien, je l'ai fait ! Depuis 3 semaines, quand tu pars travailler, Jawad, le fils des voisins, vient me baiser. Tous les jours, plusieurs fois par jour, on baise ici, dans ce lit. Je peux te dire que sa grosse bite noire me fait un bien fou, et comme elle est énorme, c'est elle qui a agrandie ma petite chatte »

« J'ai dit ça sans réfléchir, pendant la passion de la baise. C'était juste un fantasme. Je ne voulais pas que tu laisses un autre homme te baiser, et surtout pas un homme noir »

« Maintenant, tu dis que tu ne voulais pas. Mais tu m'as mis ces idées en tête. Il faudrait savoir ce que tu veux et t'expliquer clairement. Maintenant, c'est trop tard, c'est fait, et j'ai pris beaucoup de plaisir à le faire ! »

« Est-ce qu'il a mis un préservatif? »

« Quand tu m'as dit de baiser avec un autre homme, tu as spécifié qu'il devait avoir une grosse bite noire. Tu ne m'as pas dit s'il devait porter un préservatif. Jawad n'a jamais porté de préservatif, et je n'ai rien demandé. Chaque fois qu'il me baise, il jouit dans ma chatte. Et sa grosse bite est plus agréable sans préservatif. Avec, il me donne de nombreux orgasmes. »

« Chérie, puisqu'il te baise sans préservatif, il t'a peut-être mise enceinte, et je ne veux pas que tu aies un bébé métis. »

« Quand je t'ai dit que j'étais enceinte, tu étais si heureux ! »

« C'est parce que je ne savais pas que Jawad te baisait, et que ça pourrait être son bébé »

« Jawad me baise tous les jours quand tu vas travailler, et même plusieurs fois par jour. Sa production est tellement abondante que ça déborde de tous les côtés. Nous deux, nous ne faisons l'amour que deux fois par semaine, et la plupart du temps tu préfères une fellation. Par conséquent, Jawad est probablement le père biologique »

Soudain, Jason s'emporte : « Putain, chérie, comment peux-tu me faire ça? Je ne veux pas que tu portes le bébé d'un autre, encore moins celui d'un noir ! »

Alyssa, fine mouche, comprends que la situation devient dangereuse. Pour amadouer son mari, elle s'empare de sa bite et commence à le caresser. En même temps, elle pleure à chaudes larmes. L'effet est immédiat, la bite de Jason se redresse. Aussitôt, elle l'enjambe, le chevauche, et s'empale sur la bite dressée.

« Chéri! Même si c'est le bébé de Jawad, tu seras toujours son papa »

« Et la famille, les amis, que penseront tous ces gens? »

« Ils pourront penser que tu es cocu mais ils ne diront probablement rien, du moins pas à moi, et s'ils osent, je leur dirai que tu m'as demandé de baiser avec un black »

« C'est tout simplement génial ! Maintenant, c'est entièrement de ma faute si tu as le bâtard de Jawad ! »

« Eh bien, si tu ne voulais pas d'un bébé métis, tu n'aurais pas dû me demander de baiser avec un black »

« Bon sang, Alyssa, tu as toujours tout un tas d'arguments. Quelle mauvaise foi ! »

« Chéri, ne te fâche pas. Tu devrais être heureux d'avoir une petite femme amoureuse. »

Sentant qu'elle est en train de gagner la partie, la coquine accélère le mouvement de ses hanches. Le pauvre cocu n'a plus la force de répliquer. Elle halète, bouche contre bouche, et lui assène sa victoire.

« Je suis ta petite femme obéissante. Tu m'as demandé de baiser un noir, je t'ai obéi, par conséquent je n'ai pas triché. Si je suis enceinte d'un black, c'est uniquement de ta faute »

« Tu n'aurais dû le baiser qu'une seule fois »

« Maintenant, tu dis que je n'aurais pas dû le baiser plus d'une seule fois. Mais tu ne l'avais pas précisé. Je voulais que Jawad me baise encore et encore, et lui aussi »

« Maintenant chérie! Ne t'arrêtes plus, je sens que ça vient »

« Dis-moi que tu m'aimes et tu seras un papa formidable »

Neuf mois plus tard, Alyssa a donné naissance à une magnifique poupée métissée. C'est un adorable bébé à la peau claire, pas plus foncée qu'une fille de type méditerranéen. De plus, la façon dont elle tenait le doigt de Jason l'a fait craquer. Sa fille a rapidement conquis le cœur de Jason.

Six mois ont passé. Alyssa a commandé un lit-cage pour sa fille qui devient trop grande pour son couffin. Les livreurs ont livrés le colis en pièces détachées, mais le lit semble compliqué à assembler seule. En l'absence de Jason, qui est au travail, elle va sonner à la porte voisine.

Depuis quelques jours, le voisin, le père de Jawad, est à la retraite. Sa femme est encore en activité, alors il est seul chez lui, et il s'ennuie. Il accepte d'aider Alyssa avec plaisir. Pour lui, c'est un jeu d'enfant d'assembler le meuble. Le père s'avère aussi séduisant que le fils. Les démangeaisons dans sa chatte, lorsque le vieil homme l'entreprend, empêchent Alyssa de lui refuser un câlin.

Bientôt, les cris d'extase de la bruyante Alyssa réveillent sa fille qui commence à pleurer. Alyssa retient le vieil homme qui voudrait aller réconforter le bébé.

« Non, papa, reste et baise-moi. Baise-moi fort, papa, ta grosse bite noire me fait tellement de bien ! »