La Ferme

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Lucie découvre un lieu de perversité.
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- Madame, Madame. Votre ticket?

- Ah, oui, le voici.

- Merci, Bon voyage

Je suis dans le train qui me ramène à Nantes, je suis épuisée. Deux semaines... J'aurais dû revenir avec Pierre il y a deux semaines de notre semaine de vacances.

c'est un lieu comme jamais j'en avais vu et comme je ne pensais pas qu'il en existe en france. Un lieu de perversité.

Pierre avait raison, Eric n'était pas de son niveau. C'est tout autre chose.

Là- bas, tu n'es plus toi. Pas de téléphone, pas d'affaires personnelles. Tu laisses tout à l'entrée. Ils te donnent ce dont tu auras besoin. Deux semaines c'est court.

Le lieu est dans ce centre de la France qui glisse vers le sud dans ses contreforts montagneux, ou la désertification rurale à fait ses effets et les néo-ruraux s'installent pour la vue autant que pour le calme.

Un jupe, genou, avec des boutons pressions qui lui donne la possibilité de s'ouvrir sur les côtés, comme cela, Eric me le montre. et aussi tu vois si on te le demande tu peux relever l'arrière complètement et utiliser ceux-ci. Pour le reste un short et deux t shirt. Voilà ce dont une bénévole aura besoin. Oui bénévole, je suis là pour aider Eric dans son projet. Pas de salaire.

Son projet, c'est une ferme en permaculture. Vous devez avoir entendu parler du concept, on fait travailler les espèces en harmonie, peu de surface pour un rendement important. Et n'oublions pas une grande part de travail manuel. La permaculture cherche à concevoir des installations humaines harmonieuses, durables, résilientes, économes en travail comme en énergie, à l'instar des écosystèmes naturels. Et voilà, Eric à besoin de petites mains.

Eric me montre les lieux, les chambres sont à l'étage. Six chambres simples. J'occuperai la quatrième. Les toilettes sont au bout de l'étage. à l'étage supérieur quelques chambres des permanents du domaine. Tous des hommes.

Ma chambre n'a qu'un rideau, pas de porte. Les autres sont comme cela aussi. C'est très organisé. Les femmes travaillent, les hommes dirigent.

Les journées sont organisées, les eactivités de chacunes sur un tableau noir dans la cuisine.

Le silence est requis aussi. Les permanents ordonnent et c'est tout. Eric me le repete plusieurs fois. Pas de répartie, pas de bavardages, rien.

Il me lit rapidement une liste de conséquences si jamais je me décidais à ne pas suivre les règles des lieux. Je reste sans voix.

Je vais me coucher. Demain, je me lève tôt.

On se lève à 06h00, 30 minutes pour se préparer, en silence bien sûr. Nous sommes quatres femmes. Une brune plus âgée que moi, les deux autres sont du même âge que moi. Je tente d'initier une conversation, les regards m'indiquent que ce n'est pas une bonne idée.

Petit déjeuner, à prendre pour nous, à préparer pour eux. Ensuite selon nos tâches on travaille sur les différentes parcelles.

Certaines reviennent avant midi pour la préparation du repas, on le prend puis eux que l'on sert. Je fais mon premier service aujourd' hui. Un des permanent s'assure que je sais me servir de ma jupe et j'expose mes fesses.

Comme il fait chaud, on a droit à un repos. Il ne faut pas travailler la terre sous le soleil. Je monte m'assoupir, la plus âgée reste avec les permanents.

Une partie de l'après midi, est réservé à la mise en caisse, paquet et autres afin de livrer en produits frais et bio les clients du lieux.

Cela à lieu dans un bâtiment annexe, le travail est intense. les ordres fusent. La tenue est le short pour ce lieu. Pas de raison particulière si ce n'est le choix d'Eric de noter ses ouvrières dans l'action. Plus il y a d'erreurs, de retard, plus le short doit descendre. Cela oblige à se contorsionner pour le garder à mi cuisse par exemple. Passer, le genou, le short tombe à terre.

Fin de la mise en caisse, je suis épuisée, mon short n'est descendu que d'un cran. Pour celle en face de moi, il est à terre. Elle reste avec eux dans le hanger. Nous allons nous doucher, préparer le repas et pour celles qui ne seront pas invitées à rester un peu plus longtemps au salon, c'est l'heure du repos.

Mon premier soir, je suis fatiguée, je suis demandée au salon. On me demande mon nom. Je réponds : Lucie.

L'homme qui m'a posé la question se met à rire. Se lève et me dit ouvrez bien grand. Un autre homme me place un bâillon et sert efficacement.

- Tu vois, le silence c'est permanent. Tout s'apprend.

- Tu exagères quand même Paul, je pensais profiter un peu de sa bouche!!

- Elle apprend. Tu resteras une heure comme cela.

J'ai regardé. Je me déshabille pour eux. caresser, doigté. Avant, l'heure à laquelle, on retire mon bâillon et je retourne me coucher.

Ainsi de suite. Les jours sont longs. Les fautes sont corrigées, souvent sur le lieu de la faute avec quelques coups de cravache. Le soir, si jamais il y a besoin, le cuir est mis en action. Je l'ai reçu le troisième jour. Mon short avait touché terre dans l'après-midi.

On finit ce jour-là la mise en caisse. Je fais quelques erreurs ce qui me vaut un short à mi-cuisse. La jeune brune en face moi, prends du retard, fait tomber un fruit. Nos regards se croisent. Son short descend en conséquence.

Fin de la journée.

On revient vers la maison avec nos shorts mi-cuisse et t-shirt plein de sueur. Eric nous attend.

- Ah voilà mes travailleuses.

Arrivés à sa hauteur, il y un mouvement de recul. Il n'est pas seul. Deux couples, la quarantaine, sont assis sur la terrasse. Eric s'exclame.

- Voilà les deux jeunes bénévoles dont je vous avais parlé.

Un des hommes se lève et s'approche de moi.

- Elle est aussi jolie qu'en photo. Et puis tu les as bien fait travailler. On voit la sueur.

- Elles sont là pour cela; Eric rajoute. En tant qu'investisseur, tu sais bien que je demande un retour maximum sur l'investissement. Et puis comme vous étiez dans la région c'est l'occasion de vous faire goûter des fruits de saison.

- Ah Henri, tu es revenu. j'allais commencer les présentations.

- Mesdames, déshabillez vous.

Qui sont ces personnes. Le cinquième, Henri qui vient d'arriver semble être le fils d'un des couples. il doit avoir mon âge ou un peu moins.

- Où en étais-je, de ce côté- ci vous avez un petit fruit de Bretagne, encore un peu acide mais avec du travail cela tend vers le sucré. Frais, première saison, première semaine je dois dire. Sélectionné par un ami breton qui a un goût pour les bonnes choses.

- De l'autre côté, c'est une réussite de l'établissement. Deuxième génération. La première se repose dans les étages en ce moment. Deuxième année de STAPS, elle connaît son rang et elle est à point ce soir. On a fait attention de les frustrer un peu ces dernières 24 heures. Comme vous pouvez le voir, les abricots sont de sortie.

- Léa tu veux me faire l'honneur de vérifier si c'est du juteux?

Une des femmes se lève, jupe ample, bien en chair. Elle me caresse, puis l'autre. Elle revient vers moi. Ouvre bien grand. Elle y glisse son doigt avant de le glisser dans mon intimité.

- Elles ont envie. Eric, bon travail.

elle continue à me doigter. je regarde le sol mais je commence à relever les yeux. Je la regarde. Ces yeux marrons, pleins de gourmandises. Elle continue.

- Tu disais qu'elle est bretonne, elle?

- Oui, Pourquoi?

- Elle manque de respect en ne gardant pas les yeux baissés. Cela ne commence pas bien Eric. Tu vas faire quelque chose?

Je crois que j'ai dû devenir pivoine.

Son mari répond, bien sûr, Léa. C'est comme une jument encore un peu sauvage. Il faut que le dressage ait lieu.

Nous nous sommes rapidement poussés vers le salon elle, moi, nous. En quelques instants, je suis à 4 pattes poignets et chevilles au sol. Chevilles très écartées. Demande du mari. Qui demande à Eric à deux fois de revoir l'écartement.

L'homme est à côté de moi. il me relève la tête.

- Regarde moi bien esclave. On va te dresser. Vas y Henri enfiles la.

C'est une succession de râles, de cris, rien de mélodieux, plutôt animal. L'un l'autres, un sexe un doigt une langue. Je suce, on me présente un sexe féminin. Je marque une pause. Le coup de cuir sur mon dos m'indique que la pause n'était pas la bienvenue. Je donne toute ma lanque. Je lape assidûment.

On me libère pour un bref passage au toilettes.

On me ramène. Docile, je prends ma position à 4 pattes, non. Sur le dos. Ma partenaire de travail est placée sur moi en 69.

- Allez, bouttez. On va se faire un petit apéro. On voudrait pas que vous perdiez le rythme.

Ils discutent, mangent, boivent. On ralentit. Cela finit par se voir.

Eric, Paul, les fous de sexe reviennent. Le cuir est sorti. Pour le grand plaisir de l'autre couple. Madame demande le fouet. Deux cordes, deux poulies et nous voilà deux jolis corps presque suspendus.

- C'est superbe, Eric. Cette jeunesse travailleuse et perverse.

- Vas y punis les comme tu veux.

C'est dur, c'est la séance de punition la plus dure. Elle sait ou aller ralentir et accélérer.

Au dernier coup, les maris sont là pour profiter de la position, Eric ajuste la corde et devant moi, elle est prise. Mon tour vient immédiatement.

- Eric, ils peuvent les remplir?

- C'était pas prévu mais si c'est demander?

- Oui?

- Oui, d'accord

Ils se retirent. Retirent leurs capotes. et recommence. C'est l'orgie. Je crie je suis bâillonnée. Henri ce jeune pervers ordonne une pause après la performance des ces deux mâles. La situation nous ayant amenée à serrer les cuisses, elles sont ouvertes, bracelets et cordes font très bien leur office. J'ai un pied tendu a une étagère l'autre à la table basse. Une fois, suffisamment accessible pour nos gourmands. Il est demandé à Eric de rougir le bas du dos pour avoir serré les cuisses.

C'est épuisée que je prends une douche et retrouve mon lit. Demain, réveille à 06h00.

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2 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a plus de 2 ans

Il y a un phrasé parfois difficile à suivre, mais sinon bon scénario.

trouchardtrouchardil y a plus de 2 ans

J'aime bien cette idée de ferme où travaillent de jeunes filles avec punition pour mauvais travail. J'aurais aimé que Lucie développe plus ses sensations, son humiliation, que l'histoire soit plus détaillée. Merci, vivement la suite

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