La Demande En Mariage Chapitre 03

— Vous l'avez fait exprès... Mais pourquoi? Demande Gautier qui se tourne vers elle.

— Je voulais voir ta réaction, je voulais être sûr que je ne me tromperai pas et vu comme tu as flashé sur mes cuisses, j'ai compris que j'avais raison! Lui répond Suzanne, assez amusée.

— Je ne sais pas quoi dire Suzanne, je n'ai jamais trompé Annie, je l'aime énormément

— Je le sais Gautier, je ne remets pas en doute ta fidélité, mais...

Ne finissant pas sa phrase, Suzanne vient l'embrasser sur la bouche sans lui en demander l'autorisation. Gautier la regarde dans les yeux, figé et étonné.

— Mais que... Que faites-vous... Je ne comprends pas?

— Ooooh Gautier, pourquoi continuer à se mentir, une belle-mère et son gendre qui sont attirés envers l'un et l'autre... Il y en a eu tellement dans d'autres familles!!! Certains n'osent pas l'avouer et finissent par regretter de n'avoir jamais franchi le pas... D'autres le font et gardent ce moment intime comme étant le moment le plus risqué, mais le plus intense de leurs vies! S'explique-t-elle en lui caressant son torse nu. Puis rajoute avec un regard sensuel : « Et toi Gautier, que choisis-tu? Le risque ou la fuite? De se retrouver ici, toi et moi seuls dans la maison, n'est-ce pas un signe du destin? »

Devant toutes ses questions, Gautier ne sait pas quoi dire, il remarque quand même que la main de Suzanne qui caressait son torse est descendue sous le drap pour venir prendre son membre bandé à travers son caleçon.

— Suzanne, vous... Vous êtes sûr de ce que vous faites?

— Sûr? Non, je ne suis sûr de rien trésors, et cela depuis hier soir où l'on s'est rencontrés, où j'ai remarqué tes regards appuyés sur moi. Il faut que tu saches que quand je t'ai surpris en train de m'observer en petite tenue dans la salle de bain, ça m'a terriblement troublée et excitée à la fois... Je suis arrivé à me contenir tout à l'heure dans les toilettes en tenant ton jeune et monstrueux pénis. Mais je dois avouer que mes nefs sont en train de lâcher et avoir raison de moi!

D'un coup, elle se met à genoux devant lui, la chemise de nuit recroquevillée autour de sa taille, laissant voir ses superbes seins qui dandinent obscènement devant ses yeux. Malgré la situation et son degré d'excitation, le jeune homme, qui ne s'attendait pas à ça de sa part, ne fait pas le fanfaron en ce moment même.

— Mais, mais, mais... Suzanne je... Je!

— Aaaaah Gautier... Je t'en supplie ne me repousse pas... Hier soir, j'avais l'impression que tu allais me sauter dessus et me violer dans la salle de bain et je crois que j'aurais rien fait pour t'en empêcher! Lui avoue-t-elle en caressant ses généreux seins qui se tordent sous ses mains puis rajoute d'une voix excitée : « Laisse maman s'occuper de toi!

Puis elle se penche sans attendre vers son entrejambe et tire son boxer bleu vers le bas, faisant jaillir son pieu veineux et bandé qui pointe vers le plafond. Elle l'attrape sans attendre et le porte immédiatement à sa bouche, pompant le dard comme une véritable affamée.

— Aaaaaaaaaaaaaaah Suzannne je... Mmmmmm ooooh merde... Ohlala!!!! Gémit immédiatement Gautier qui se tord de plaisir sous l'effet que lui procure sa belle-mère avec ses lèvres pulpeuses.

— Mmmmm mmmmm mmmmmm mmmmm!!! Répète-t-elle avec sa bouche complètement remplie par sa verge qui sursaute de plaisir.

Prenant entièrement les commandes, la femme mature recrache le pénis pour se débarrasser de sa nuisette transparente qui vole à travers la chambre de sa fille et reprend immédiatement sa fellation tout en lui massant les couilles comme une pro.

En même temps, elle se place au-dessus de lui afin que son entrejambe encore couvert par sa culotte vienne se coller à son visage comme un 69. Abasourdi par de telles initiatives, son gendre renifle tout de même l'odeur de sa culotte d'où il a un gros plan de ses lèvres intimes à travers le tissu diaphragme.

Peu importe s'il est en train de tromper Annie avec sa propre mère, il y a des occasions à ne pas rater dans la vie et Suzanne le lui a bien comprendre juste avant.

Il plonge sa bouche contre la culotte rose transparente en léchant le vagin à travers le fragile tissu.

— Aaaaaaaaah... Oh oui, vas-y continue... Lèche ta maman chérie continue ouiiiii! Gémit-elle, prenant un plaisir obscène à emprunter le mot « maman » pour rajouter un ton immoral à cette scène qui l'est déjà pas mal.

Comme envoûtée, elle lui pompe le nœud à une vitesse folle, le faisant gémir à plusieurs reprises. Il lèche autant qu'il peut sa culotte devenue toute mouillée de cyprine et de bave, ne servant plus à rien désormais.

D'ailleurs l'ayant bien compris, Gautier tire sa culotte sur le côté et écarte avec ses doigts les lèvres gonflées de plaisir qui s'ouvrent devant ses yeux excités.

— Ooooooooh belle-maman, j'ai tellement envie de toiiiii aaaaaah! S'écrie-t-il en léchant ensuite sa chatte mouillée.

Des longs « Mmmmmmmmmmmmmm» de gémissements se font entendre dans la chambre, Suzanne donne de grands coups de bassin contre son visage pour accentuer ses coups de langue qui la rend folle et le jeune homme en fait de même contre le visage de sa belle-mère dont ses couilles viennent frapper le nez de la blonde mature.

Sentant l'orgasme venir d'un coup, Gautier arrête soudainement son activité pour lui avertir l'explosion qui va suivre :

— Aaaaaaah Suzanne, je vais jouir, je vais jouiiiiir aaaaaah!!!!!! Hurle-t-il alors qu'elle accélère encore plus ses allers et retours sur sa verge qui explose d'un coup tout son foutre dans la bouche.

— Mmmmmmmmm... Mmmmmmmmm!!!! Gémit sa belle-mère sans pourtant relâcher le pénis, avalant le sperme qui jaillit du gland de son gendre.

— Oooooh belle-maman... Belle-maman!!! S'écrit'il en relâchant la pression, respirant fortement tandis qu'elle se relève pour s'asseoir à ses côtés.

Un moment de silence se passe ensuite, où chacun se remet de cette folle scène qui vient de se passer. Étonnamment, Suzanne se lève d'un coup en panique récupérant en même temps sa robe de chambre.

— Mon Dieu, je ne sais pas ce qu'il m'a pris... Je suis désolé, Gautier!!! Lance-t-elle à la surprise générale.

— Vous n'êtes pas seul à l'avoir voulu, Suzanne je... Tente-t-il en vain de la rassurer.

— ... Non... Non, cela n'aurait jamais dû arriver si je n'étais pas venue ici!!!

Elle sort de la chambre les seins à l'air, oubliant de reprendre sa chemise de nuit, laissant son gendre seul, ne sachant plus comment analyser la situation.

Le lendemain matin au petit-déjeuner dans la cuisine, la belle ambiance du jour d'avant a foutu le camp. Le regret de s'être lâchée se lit pleinement dans les yeux de Suzanne que son gendre observe en buvant son café.

Aucun ne parle, ils déjeunent dans un silence pesant. Au bout d'un moment, Gautier tente une approche :

— Suzanne je...

— ... Ne dis rien, Gautier, je t'en supplie! Le coupe-t-elle sans le regarder.

Le téléphone portable de Suzanne sonne, elle se lève pour y répondre.

— Oui allô? Ah Richard, c'est toi? Alors comment se passe ton voyage au Japon? Demande la mère de famille, croisant le regard de son gendre derrière elle, augmentant le regret de s'être laissé aller hier soir avec lui et d'avoir fait de son mari, un homme cocu bien que l'on entende dire souvent : « Sucer n'est pas tromper »

Mais Gautier ne le voit pas du même œil, il reluque le corps de Suzanne dans sa jupe bleue et son chandail blanc. Il fixe ses mollets habillés de bas gris à coutures. Son attirance pour elle refait surface et son instinct de mâle se remet en marche.

La scène d'hier soir déroule dans sa tête et le rappel de la douce sensation de ses lèvres sur sa verge l'excite de nouveau.

Tandis qu'elle parle avec Richard, il s'approche en se plaçant derrière elle et sans le prévenir, pose une main sur son cul rebondi.

Suzanne sursaute de peur alors que son gendre, qui se colle à son dos, vient lui embrasser dans le cou.

— Oooooh nooooon Gautier!!!! Je t'en supplie, arrête, c'est Richard au téléphone!!!! Gémit à voix basse, sa belle-mère qui essaye de le repousser sans vraiment être ferme.

— Suzanne... Ça va? Demande Richard qui la entendu gémir.

— Heu... Oui chéri... J'ai juste fait tomber mes légumes, c'est tout!!! Ment-elle en regardant son gendre s'agenouiller derrière elle pour ouvrir la fermeture-éclaire de sa jupe qui tombe à ses pieds chaussés de ses escarpins noirs à talons aiguilles.

Gautier regarde ses superbes jambes habillées de ses bas gris à coutures maintenues par un porte-jarretelles noir et sa petite culotte noire en soie enfilée par-dessus.

Comme possédé, il plonge son visage contre son cul en léchant la chair de ses fesses et le haut de ses cuisses nues forçant Suzanne à mettre sa main devant sa bouche pour ne pas que son époux l'entende gémir une nouvelle fois.

Mais le petit-ami de sa fille n'en reste pas là, car maintenant guidé par ses ardeurs, il baisse sa culotte à mi-cuisse et baisse aussi son pantalon, faisant jaillir son membre.

Sans lui empêcher quoi que ce soit, Suzanne le regarde l'approcher de ses fesses et sursaute en sentant son gland chaud venir caresser ses lèvres vaginales. Elle pose une main sur le micro du téléphone afin que son mari ne l'entende pas lui parler :

— Gautier, non, je t'en supplie arrête ça, je suis une femme mariée!!!

— Ce ne sont pas le mot que tu m'as dit hier!!!

— Je sais et je m'en veux terriblement, je me sentais si seul et tu étais là... Sous le même toit que moi!!!

— Alors tu t'es servi de moi... Sachant que je suis en couple avec ta fille??? Lui rappelle Gautier.

— S'il te plaît, pardonne-moi... J'ai fait une terrible erreur, il faut oublier ce qu'il s'est passé!!!

— Nooon, tu as tout fait pour m'exciter, tu t'es pavané devant moi dans la salle de bain alors que tu savais que j'étais là, tu m'as montré ta culotte et tu t'es jeté sur moi hier soir dans le lit de ta fille... Tu en as encore plus envie que moi, tu es une femme frustrée qui demande que ça!!!! Se rebiffe-t-il en enfonçant d'un coup sa verge dans la vulve de sa belle-mère qui s'adapte parfaitement à la taille de son engin pleine de vigueurs.

— Oooooh oooooooh Gautier mon Dieu nooooon!!!! Gémit-elle en raccrochant d'un coup sa communication avec son mari.

— Aaaaah Suzanne, tu es si désirable... J'aime tellement ce que tu portes sous tes vêtements, tu m'exciiites aaaah!!!!!

Gémit-il à son tour en la baisant comme un animal en rut.

— Ooooh Gautier..... Mon Dieu que faisons-nous... Que faisons-nous??? Hurle sa belle-mère faisant raisonner sa voie dans toute la maison tout en se maintenant contre la table de travail de la cuisine face aux coups de queue de son jeune amant.

Au même moment, dehors devant la maison, une Peugeot bleue se gare devant le portail de la propriété. C'est Justine, chaudement habillée d'une écharpe et d'un bonnet rouge qui retient ses cheveux blonds comme sa mère, qui sort du véhicule avec un sac de voyage à roulette bien chargé.

— Bon, c'est dommage les filles, mais la prochaine fois, on fera attention à bien commander l'hôtel pour une semaine entière OK? Rigole-t-elle en leur disant au revoir avec la main lorsque la voiture reprend la route.

Elle ouvre le portail et regarde la grande maison de ses parents en souriant.

— Bon ben du coup, je crois que je vais passer les vacances à la maison avec ma petite maman et mon petit papa, moi!

Elle monte les escaliers du garage, sachant très bien que ceux de dehors sont dangereux en cette période de l'année. Mais arrivé à mi-chemin dans les escaliers, elle entend des gémissements et reconnaît tout de suite, la voix de sa mère.

— Quoi, mais... qu'est-ce qu'il se passe ici???

Fin du chapitre...