La Demande En Mariage Chapitre 04

Informations sur Récit
Justine rentre en scène...
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/09/2021
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Chapitre 4 : La stratégie de Justine.

Intriguée, la jeune blonde ouvre la porte qui mène au sous-sol et s'avance à grands pas vers la cuisine. Un autre hurlement de sa mère lui fait enfin comprendre qu'elle est en train de gémir sexuellement :

— Merde, elle baise avec papa dans la cuisine... Oh putain! Devine-t-elle en trouvant ceci plutôt drôle et à la fois surprenant que son père, d'habitude si carré, puisse se lâcher de cette manière une fois seule à la maison avec sa femme.

De les surprendre à faire cela dans la cuisine semble être la seule et unique occasion, la poussant à jeter un rapide coup d'œil. Mais quel choc de tomber sur sa mère qui chevauche Gautier, bondissant sur sa verge complètement dure!

Ses seins, sortis des balconnets de son soutien-gorge-noirs en tulles, suivent le mouvement en sautillant dans les airs écartant encore plus son chandail blanc grossièrement déboutonné dans le feu de l'action.

Ses jambes couvertes de ses bas gris à coutures maintenues par son porte-jarretelles noir sont grandes ouvertes. Laissant à sa fille un magnifique panorama de son intimité poilu visité par la pine complètement dur du gendre infidèle qui prend un plaisir fou de sauter la mère de sa femme.

La bouche grande ouverte et le corps figé devant la scène qui se déroule devant ses yeux, Justine les regarde baiser tout en écoutant les échanges de mots obscènes et surréalistes qu'ils s'envoient à tour de rôle :

— Ouiiii... Oui salaud, baise-moi avec ta grosse queue, puisque c'est ce que tu veux oooooooh!!! Lâche sa mère les yeux fermés.

— Aaaah ouiii c'est booon!!!

— Oui oui oui... Prends-moi, tue-moi... Ta queue est tellement grosse, tellement bonne, mmmmm, elle est magnifique, va au fond. Baise-moi, baise-moiiiii!!!! Gémit Suzanne qui bondit violemment sur lui comme une véritable nymphomane en chaleur.

Complètement chamboulée, Justine se plaque contre le mur blanc du couloir, les yeux grands ouverts, regardant le tableau peint accroché au mur juste en face d'elle.

— Non... Attends, je dois être en train de rêver là... Maman et Gautier... J'hallucine!!!

N'en croyant toujours pas à ses yeux, Justine les regarde de nouveau. Sa surprise est toujours aussi grande tant que de les voir tous les deux faire l'amour ensemble est surprenant, mais cette fois-ci, elle prend tout de même le temps d'étudier la belle pine de son beau-frère s'enfoncer bien profondément dans le vagin mûr de sa mère.

— Bon sang... Mais il est super bien gaulé!!! S'écrie-t-elle en se mordant les lèvres inférieures.

Bizarrement, elle ne compatit ni pour son père, ni pour sa sœur de se retrouver à être cocu pendant leurs absences. Non, son attention et plus occupée à regarder le long et dur pénis de Gautier et se sent même envieuse que sa mère puisse profiter de ce bel outil.

Mais ses pensées se stoppent lorsque son beau-frère annonce que le moment de se vider les couilles et sur le point de venir :

— Aaaah Suzanne, je vais jouir... Je vais jouiiiir!!! Crie-t-il tandis que la blonde mature aux yeux bleus d'océan lève ses fesses pour permettre à son gland barbouillé de sa mouille, de sortir de sa chatte.

Comprenant qu'elle ne veut pas qu'il jouisse à l'intérieur, il prend sa verge et le branle énergiquement en la plaçant entre les grosses fesses serrées de Suzanne qui recommence de légers bonds comme pour l'encourager de se lâcher à cet endroit-là.

Dans un râle bruyant, Gautier décharge son foutre qui vient s'écraser jusqu'au milieu du dos de sa belle-mère tandis qu'elle remue du bassin en signe de reconnaissance de l'avoir baisée bien comme il faut.

— Oh oui mon Dieu... Jouis, jouis pour moi, jouis pour ta maman mmmmmm!!!! Demande Suzanne, empruntant encore avec tendresse le mot « maman » avant d'embrasser fougueusement le petit-ami de sa propre fille.

Justine les regarde se prendre dans les bras comme de vrai amoureux. Encore toute troublée par cette découverte, elle se retire en descendant au sous-sol et prenant garde à ne faire aucun bruit.

Elle patiente un quart d'heure en tournant en rond dans le garage avant de remonter en faisant un maximum de bruit pour alerter à sa mère et son beau-frère de l'arrivée de quelqu'un dans la maison.

— Maman... C'est moi, je suis de retour!!! Déclare-t-elle bien fort.

— Ju... Justine, c'est toi, mais qu'est-ce que tu fais là? Demande Suzanne très embarrassée de la voir ici, se recoiffant nerveusement devant la petite glace du salon afin de cacher le plus de preuves possible de ce qu'il vient de se passer avec son gendre alors que ce dernier se faufile au salon tel une anguille pour regarder la télé.

Justine remarque tout de suite leurs réactions et cela l'amuse presque de les voir comme ça. Alors au lieu d'avoir pitié d'eux et d'en rester là, elle va continuer, avec un plaisir malsain, à installer un malaise pesant dans la pièce...

— OK... Je vois que tu n'es pas très contente de me voir, ça fait plaiz!!! Dit-elle en faisant semblant de prendre la mouche.

— Non non, je suis contente de te voir ma puce, mais je pensai que tu revenais seulement ce week-end, c'est tout!!! Essaye de se rattraper Suzanne qui ne veut surtout pas que sa fille suspecte de quelque chose d'étrange.

— Tu voulais surtout être seule avec lui un max de temps pour bien pouvoir t'envoyer en l'air, espèce de menteuse!!! En déduit Justine en le gardant pour elle. Puis la jeune femme décide de répondre à sa mère.

— Ben en fait, on s'est planté dans la location des chambres d'hôtel, on a loué pour deux jours au lieu d'une semaine!!!

— Ah... C'est dommage!!!

— Oui... Mais maman, tu sembles toute bizarre, tu donnes l'impression d'être fatigué et stressé, ça ne va pas? Demande Justine, qui rigole intérieurement de la voir devenir nerveuse après avoir posé cette question.

— Non non ça va très bien chérie, je dois juste être un peu fatiguée, je pense ahahahah. Ment Suzanne avant de se forcer à rigoler.

Mais sa peur que Justine devine quelque chose de suspect entre eux est palpable, sa fille décide d'en remettre une couche.

— Papa n'est pas ici? Et toi Gautier qu'est-ce que tu fais là, avec les mains bandées en plus?

— Heu... Ben, c'est-à-dire en fait que...

— ... Ton père est parti pour un mois au Japon et Gautier est resté ici, car il s'est blessé les poignets en tombant dans les escaliers de la terrasse. Annie ne pouvant pas s'occuper de lui chez eux à cause de son travail, elle a préféré qu'il reste ici à la maison!!! Coupe-t-elle la parole à son gendre avec la crainte qu'il lâche une connerie qui mettrait un doute à sa fille.

Justine s'assied au côté du petit-ami de sa sœur en regardant les bandages élastiques qui maintiennent ses poignets.

— Oh le pauvre, mais tu as dû avoir très mal!!!

— Oui... Oui, mais ça va mieux, ta maman s'occupe bien de moi!!! Balance-t-il, naïvement, faisant sursauter Suzanne qui tente d'avoir l'air occupée à ranger le salon pourtant propre, sans doute la nervosité qui la pousse à faire ça sur le moment.

— Ah oui... Mais ça veut dire que vous êtes restés juste tous les deux dans la maison la nuit dernière?

En entendant cette question, les regards angoissés des deux complices se croisent. Le jeune homme ne sait pas quoi répondre tandis que sa belle-mère, prise en panique, décide de mettre fin à cette conversation avant que ça dérape et qu'elle devine quelque chose :

— Bon tu n'as pas mieux à faire que de demander des questions aussi stupides que gênantes?

— Aaaaah ça va, pas la peine de te mettre dans un état pareil... Je vais ranger mes affaires et prendre une douche bien chaude, comme ça, je vous foutrais la paix!!!

La jeune blonde aux yeux bleus quitte la pièce, satisfaite de son entrée en scène. Une fois seul, Gautier qui remarque la contrariété de Suzanne tente de lui parler en venant auprès d'elle dans la cuisine :

— Heu... Suzanne, ça va?

— « Non... Non ça ne va pas!!! »

— Écoute... Il ne faut pas t'en faire comme ça et...

— ... Oh, tu ne connais pas Justine, ça se voit. S'il y a bien quelqu'un dans cette maison qui peut deviner ce qu'il s'est passé, c'est bien elle!!!

— Ah!!!

— Et puis bon sang, qu'est-ce qu'il t'a pris de lui dire « ta maman s'occupe bien de moi? Au pire, dis-lui directement ce que nous avons fait ensemble, ça sera plus simple? S'énerve Suzanne.

— Mais... Tu voulais que je lui dise quoi?

— Je n'en sais rien moi... Mais fais attention à ce que tu dis la prochaine fois (soupir)!!!

— Je suis désolé, je ne voulais pas te mettre dans l'embarras!!! S'excuse-t-il en se permettant de mettre une main sur sa hanche.

Mais la quadragénaire se retire tout en le repoussant d'une main contre son torse.

— Arrête ça, va-t'en!!!

— Mais...

— ... Il n'y a pas de, mais, je suis ta belle-mère et toi mon gendre et nous devons nous en tenir à cela, compris? Alors arrête de me tourner autour, veux tu? Lâche-t-elle en colère.

— C'est facile de dire ça maintenant que tu te sens en danger, je te signale qu'hier soir, c'est toi qui es venue dans ma chambre pour m'aguicher en trouvant l'excuse de ta peur de l'orage!!! Et maintenant, tu voudrais que j'oublie ce qu'il s'est passé, je trouve que tu n'assumes pas tes actes!!!

— Oh... Comment oses-tu? Réplique-t-elle en lui donnant une gifle qui vient claquer contre sa joue.

Le prenant très mal, Gautier la regarde froidement en se frottant la joue puis quitte la pièce, laissant dans le regret sa belle-mère qui tente de le retenir :

— Gautier... Attends!!!

Ne l'écoutant plus, il quitte la pièce et monte dans la chambre d'Annie sans se rendre compte que dans un coin sombre du couloir, Justine est là et a entendu leur dispute. Elle sourit malicieusement, satisfaite d'avoir mis de l'orage entre sa mère et son beau-frère.

Pendant les jours qui suivent, Gautier a repris sa place de gendre en faisant comme si rien ne s'était passé entre eux. Cette attitude perturbe Suzanne qui s'en veut de s'être emportée comme ça avec lui.

Oui, elle l'a aguiché, car elle savait qu'il avait le béguin pour elle... Oui, elle a follement aimé de s'être totalement lâchée en baisant avec lui.

Mais elle est mariée et mère de trois enfants et le risque de tout perdre pour une liaison amoureuse avec son propre gendre est énorme. Gautier devrait aussi prendre compte de cela.

Elle va tenter à plusieurs reprises de lui parler, mais Justine va à chaque fois la prendre de vitesse en étant un maximum de temps présente auprès de lui.

Les journées vont défiler ainsi jusqu'au dernier jour de la semaine... Justine s'est faite silencieuse jusqu'à présent, mais sachant que sa sœur revient demain pour venir voir comment va son amoureux, elle décide de passer enfin à l'action :

— Gautier... Ça te dit de venir avec moi à une soirée? Demande-t-elle en venant voir son beau-frère qui lit un bouquin dans le salon.

— Heu... Une soirée, mais quel genre de soirée?

— C'est Angela, une copine... Elle fête ses 21 ans chez elle pendant l'absence de ses parents partis au Canada, ça te dit de m'accompagner?

— Ben heu, je...

L'ayant entendu faire cette demande, Suzanne voit cette soirée comme une opportunité inespérée d'être seule avec lui pendant l'absence de Justine afin de pouvoir lui parler, avant qu'Annie revienne le chercher.

— Non Justine, c'est une très mauvaise idée... Gautier est blessé aux bras, il vaut mieux qu'il reste ici pour se reposer, surtout qu'Annie revient demain matin, le mieux c'est que tu y ailles toute seule!!! S'interpose la mère de famille.

— Tu voudrais surtout te le garder pour toi pour la soirée avant que ma sœur revienne... Attends, j'ai pas dit mon dernier mot maman!! Se dit Justine, loin d'être bête.

Croyant avoir remporté la partie, Suzanne commence déjà à languir que sa fille foute le camp de la maison, mais elle a mal jugé sa malice et d'ailleurs cette dernière décide de passer à un cran supérieur.

— Oh s'il te plaît, Gautier, ne me laisse pas aller toute seule là-bas!!! Supplie-t-elle en se jetant d'un seul coup sur ses genoux, mettant ses bras autour de sa nuque. Tel un enfant qui fait un caprice à ses parents.

Au passage, elle a fait exprès de remonter le pend de sa robe en jeans qui dévoile entièrement ses magnifiques cuisses galbées, et même son string noir en dentelle aux regards du jeune homme qui n'en perd pas une miette.

— Beeen, je ne sais pas trop Justine... Comme a dit ta mère, Annie revient demain alors... Lâche-t-il sans vraiment de conviction, ne quittant pas des yeux de son entrejambe qui le nargue avec plaisir.

Ni une ni deux, son membre se met à durcir et la jeune femme le ressent tout de suite sous ses jolies fesses. Connaissant les hommes malgré son jeune âge, elle sait que le fruit est presque mûr et qu'il ne faut pas grand-chose pour le cueillir.

— Oh, mais nous rentrerons pas trop tard promis!!! Insiste-t-elle en remuant ses hanches contre la barre de chair qui pointe contre son petit cul.

De là où elle est, Suzanne regarde faire sa fille, une jalousie profonde l'envahit, elle serre le balai qu'elle a entre ses mains. C'est trop pour elle et décide d'intervenir :

— Justine, enlève-toi de ses genoux, qu'est-ce que ça veut dire???

— pourquoi? C'est mon beau-frère, je ne vois pas où il y a du mal à ça?

— Mais ce n'est pas une façon de se tenir, voyons!!!

— C'est marrant ta façon de réagir maman, tu donnes presque l'impression d'être jalouse!!! Lance-t-elle en lui lançant un sourire provocateur.

Suzanne sursaute de surprise et tourne le visage ailleurs pour cacher son trouble. Mais il y a des réactions qui ne mentent pas.

— Tu dis vraiment n'importe quoi... Et puisque tu y tiens tant que ça, alors allez-y ensemble, ça m'est égal!!! Lâche-t-elle en faisant style de s'en moquer.

Justine jubile devant la capitulation de sa mère tandis que son beau-frère se sent trahi par sa réaction, compromettant la chance de la revoir un jour dans ses bras.

— Bon, on y va pour 19 heures, ça te va?

— Oui... Oui très bien!!!

Le soir même, peu avant de partir, Gautier est dans la chambre de sa petite amie en train de boutonner sa chemise. Ses poignets lui font beaucoup moins mal qu'en début de semaine, ce qui l'encourage à se dire, que ce week-end, il pourra rentrer chez lui. Néanmoins, il appréhende de retrouver Annie après ce qu'il s'est passé avec sa mère.

Il se regarde dans le miroir en se posant des tonnes de questions, il réalise maintenant que sa liaison avec Suzanne fut une terrible erreur et du coup, il ne sait pas comment il doit réagir lorsqu'il retrouvera sa fiancée demain matin.

Il s'assoit sur le lit en se frottant le crâne, essayant de trouver la bonne réaction lorsqu'il la retrouvera demain matin.

— Merde... Je suis vraiment trop con!!! Comment ai-je pu me laisser emporter comme ça aussi facilement? Elle m'aime plus que tout, m'appelle tous les soirs pour savoir si je vais mieux et moi... Moi je couche avec sa mère, je suis une ordure!!!

Mais tout à coup, Justine débarque dans la chambre sans prendre le soin de frapper à la porte. Surpris, Gautier se lève du lit en la regardant venir vers lui dans sa magnifique robe de soirée mauve qui épouse remarquablement son corps mince aux formes rebondies et ses jambes habillées de bas chair.

— Oh, mais tu es tout mignon comme ça mon beauf!!! S'exclame-t-elle en prenant l'initiative de finir de boutonner sa chemise.

— Toi aussi, tu es très bien comme ça!!! Complimente-t-il à son tour en s'apercevant qu'elle a gagné quelques centimètres grâce aux talons de ses escarpins noirs à brides qui font le tour de ses fines chevilles.

— C'est vrai, tu me trouves très belle? Demande-t-elle en faisant un tour sur elle devant ses yeux, pour se montrer comme un mannequin le ferait sur scène.

— Oui... Ta robe te va à ravir!!!

— Oh merci, tu es trop choux!!! S'exclame-t-elle en se jetant sur lui pour lui donner un baiser sur la joue.

Maintenant que son visage est proche du sien, le jeune homme reste ébahi par la beauté naturelle de cette jeune femme qui ressemble à deux gouttes d'eau à sa mère, peut-être même est-elle encore plus belle qu'elle. Toutefois, les images sexuelles entre Suzanne et lui reviennent aux galops.

— Il faut que j'arrête de penser à ça... Elle a raison, je suis son gendre, c'est tout!!!

Quelques minutes plus tard, ils descendent tous les deux en croisant Suzanne au salon qui bouquine un livre sans vraiment le lire, essayant plutôt de faire style d'être occupé et de se moquer de les voir partir ensemble.

— Bon maman on y va... Bisous et bonne soirée!!!

— Mmmm, oui, allez-y, bonne soirée!!! Lui répond-elle sans même les regarder.

Étant le dernier à sortir, Gautier se retourne vers elle et la regarde rapidement en espérant une réaction chez elle, mais elle reste passive, jusqu'au bout.

Mais une fois seule, elle reste un moment assise, elle entend la mini-cooper de sa fille démarrer et quitter la propriété.

Ses lèvres tremblent, sa colère monte... Et d'un coup, Suzanne se lève et jette le livre avec rage contre le meuble en face d'elle en hurlant :

— Et merde... Oui merde merde merde!!!!

Dans la voiture, Justine jubile, elle a son beau-frère pour toute la soirée et profite tout de suite de cette victoire en essayant de l'aguicher en usant de ses charmes.

Discrètement, elle relève le bord de sa robe qui vient se retrousser très haut sur ses cuisses, lui laissant le loisir de découvrir qu'elle ne porte pas de collant, mais des bas autofixant chair comme Annie a la coutume de mettre sous ses jupes et qui l'excite tout naturellement.

Le regard bloqué sur ses superbes cuisses, son souffle se stoppe lorsqu'il voit par la suite son string blanc en dentelle apparaître devant son regard médusé.

Justine le sait et d'ailleurs, elle écarte les cuisses plus que ce qu'il faut pour conduire, le laissant bien le temps de profiter du spectacle.

Une demi-heure après, la voiture se gare dans la propriété de sa copine. Lorsqu'il sort de la voiture, Gautier est ébahi par la beauté, mais surtout par la taille de la maison faite de bois et de pierre, ressemblant beaucoup aux maisons de montagnes dans les Alpes suisses.

— Ben merde... C'est immense!!!

— C'était autrefois une auberge avant que mes parents ne l'achètent!!! Intervient une jeune brune qui s'est approchée de la voiture lorsqu'elle les a vus arriver dans la cour.

— Je te présente Angela, c'est une super copine à moi!!! Déclare Justine en venant vers eux. Mais ce qu'elle va ajouter va scotcher son beau-frère : « Angela, je te présente mon nouveau chéri, il s'appelle Marc!!! »

Gautier la regarde sans vraiment comprendre pourquoi elle vient de laisser un bobard pareil.

— Salut Marc, enchantée... Dis-moi, pourquoi es-tu bandé aux poignets, tu as eu un accident?

— Marc fait de la box-thaï, il s'est brisé les poignets lors d'une compétition aux États-Unis!!!

— Wouah... En gros, il ne faut pas t'embrouiller quoi!!! Mmmm, je trouve même ça hyper-sexy!!! Ajoute Angela en le regardant d'un air charmé. Et lui caressant le bras avec une main.

— Eh... On se calme la Friend, c'est le mien!!! Reprend Justine qui se colle à son beau-frère, feignant d'être en couple avec lui.

— Ahahahah... Oui je plaisantais, allez-y, montez dans le chalet, il y a de quoi boire et manger, on ira danser tout à l'heure ensemble, OK? Finit Angela qui se retire pour venir voir d'autres invités qui viennent d'arriver.

Une fois seule, Justine lui prend la main et se dirige vers la fête, mais Gautier qui souhaite avoir des réponses la retient vers lui.

— Justine, c'est quoi ces conneries, pourquoi as-tu menti sur mon compte???

— Oui pardon, il faut que je t'explique... Nous devons être en couple pour pouvoir venir à cette soirée, alors j'ai menti en te faisant passer pour mon mec en mitonnant sur ton prénom, etc. Rien de grave!!!

— Rien de grave? Mais tu es gonflée, tu aurais pu me prévenir bordel... Et si Annie apprend que je suis venu à une soirée comme ça avec toi, elle va être dingue!!!

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