La Demande En Mariage Chapitre 02

Informations sur Récit
Gautier passe le dimanche chez les parents d'Annie.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/09/2021
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Chapitre 2: Un dimanche en famille

Les yeux grands ouverts, Gautier regarde sa belle-mère revenir vers le lavabo, seulement habillée de sa lingerie du jour.

Finis les suppositions, le gendre a désormais la preuve que belle-maman portait bien un porte-jarretelles aujourd'hui sous sa robe.

Et ce genre de lingerie lui va divinement bien, on ne peut pas dire le contraire.

Aussi blanc que ses bas coutures, la couleur bleu ciel de sa culotte et son soutien-gorge ressortent joliment.

Quel bonheur de la voir encore habillée comme ça et le fait qu'elle a encore ses escarpins à talons noirs à ses pieds rajoute un côté encore plus sexy au tableau.

Gautier regarde de la tête aux pieds la mère de sa femme afin de ne rien manquer dans cette opportunité qui sera sans doute unique.

C'est de cette façon qu'il remarque que sa petite culotte à taille basse aux fines lanières qui entre légèrement dans sa chaire est totalement transparente, si bien que l'on peut voir clairement sa forêt pubienne qui semble fournie à travers le tissu diaphragme.

Il en est de même pour son soutien-gorge qui laisse entrevoir au travers, les aréoles larges de ses énormes mamelles de chairs et les tétons qui poussent contre chaque bonnet translucide. Gautier s'en lèche les lèvres, s'imaginant instinctivement en train de les caresser l'un après l'autre en se disant que Richard a bien de la chance d'avoir une femme qui possède une poitrine pareille.

— Oh merde... Cette femme est magnifique, ce qu'elle porte est magnifique, tout en elle est magnifique! S'existe-t-il, frottant maintenant l'avant de son caleçon déformé par son membre dur comme du bois.

Ne se rendant toujours pas compte de sa présence, elle parcourt la salle de bain en prenant tout son temps, comme si elle voulait que son gendre puisse en profiter au maximum et ce dernier se régale de la voir se pavaner comme ça devant ses yeux.

À chacun de ses mouvements, le soutien-gorge rebondit obscènement et son cul se cambre à merveille dans sa petite culotte sexy. Il n'y a pas à dire, cette maman de 46 ans est une superbe milf.

Comme envoûté par sa beauté, Gautier se branle en dévorant la mère de sa femme avec ses yeux, oubliant complètement le risque de se faire surprendre à tout moment, compromettant ses rêves de mariage avec Annie.

Mais comment ne pas succomber par le charme de cette maman qui porte qui plus est sur elle, la faiblesse du jeune homme qui fantasme sur ce genre de lingerie depuis tout jeune?

Mais d'un coup, Suzanne se retourne rapidement vers la porte et la ferme net, scotchant sur place son gendre qui n'a pas bougé d'un pouce par surprise.

« Merde... Elle aurait pu me surprendre... Ici, en train de la regarder comme un pervers, je suis fou ou quoi? Il faut vite que je revienne dans ma chambre et que j'arrête mes conneries! Se dit-il à nouveau en se précipitant, mais sans faire de bruit, à regagner la chambre d'Annie.

Gautier s'installe dans le lit, faisant rebondir le matelas. Annie ne se réveille pas, mais se tourne du côté opposé en lâchant un « mmmm » tout en pointant involontairement son joli petit cul rebondi, coupé en deux par son string noir en dentelle, contre lui.

N'ayant pas encore débandé, le jeune ambulancier repense à sa belle-mère pendant que les fesses chaudes de sa petite-amie le provoquent involontairement.

« Aaaah merde... Putain que cette femme est belle, pourquoi il a fallu qu'Annie ait une mère pareille... Je ne vais jamais arriver à garder la tête froide à chaque fois que je vais la voir, et dire que son fils l'espionne en se branlant... C'est dingue comme truc, mais je dois avouer que je le comprends! Réfléchit-il dans sa tête en remarquant au bout d'un certain temps, qu'il est en train de masturber en pensant à Suzanne.

N'en pouvant plus, le jeune homme en rut tente de calmer le feu qui l'habite en imaginant autre chose, mais rien n'y fait. C'est vers le petit cul de sa femme offert sur plateau qu'il va trouver la solution pour calmer ses ardeurs. Il se tourne doucement vers elle en sortant son pieu dur de son caleçon rouge.

Son gland vient frotter contre ses fesses rebondies pour ensuite se placer entre elles. Il donne ensuite le mouvement d'aller et retour, faisant glisser sa queue le long de sa raie fessière dont ce gland vient glisser contre le trou du cul d'Annie seulement protégé par une fine et inutile ficelle noire.

— Oh mmmm! lâche-t-il doucement en la prenant par les hanches.

Excité davantage, Gautier se recule et attrape la ficelle du string pour la mettre sur le côté, il se remet contre elle, mais cette fois-ci en plaçant son membre entre ses cuisses encore habillées de ses bas noirs dim-up. Il sent tout de suite le vagin de sa femme contre la peau de sa verge, il en profite pour lui soulever la jambe pour l'aider à diriger son gland à l'entrée de ses lèvres d'amour qui s'ouvrent afin d'accueillir chaleureusement sa queue qui souffre (en grande partie à cause de sa mère) d'une crampe d'enfer.

— Mmmmm chéri mais... Mais qu'est-ce qu'il te prend? Demande Annie qui s'est réveillée après avoir ressenti cette intrusion nocturne peu banale.

— Désolé ma puce, mais je suis hyper-excité, ne m'en veux pas s'il te plaît! S'excuse-t-il en continuant pourtant de la pénétrer tendrement tout en maintenant sa jambe en l'air.

— Mmmmm je ne t'en veux pas mon cœur... C'est juste que aaaah... Je ne te savais pas aussi excité, sinon je t'aurai sucé tout à l'heure avant de faire dodo! Réplique-t-elle en recevant sans se plaindre, les assauts de son copain.

— Ooooooh Annie aaaaah! Grogne-t-il en tapant plus fort son ventre contre ses petites fesses rebondies, fermant les yeux pour ressentir encore plus de sensation.

Le lit de jeune fille d'Annie grince un peu sous les coups de boutoir que lui donne le jeune ambulancier, mais ce qu'elle va lui demander par la suite va le surprendre et l'exciter davantage :

— C'est le fait que je me suis promené en petite tenue tout à l'heure dans le couloir avec le risque que l'on me surprenne comme ça, qui t'a excité mon amour?

Surpris par une telle question, Gautier accélère ses allers et retours, mais n'ose pas répondre à sa question. De l'avoir entendue dire ça, son imagination se met en marche et il voit maintenant son père tomber sur Annie, habillée comme elle est en ce moment même. Il l'imagine surpris sur le coup, mais très vite embarrassé et excité de voir sa fille aînée se pavaner comme ça dans les couloirs de la maison.

Devant l'absence de réponse, Annie tourne la tête vers lui pour le regarder avec ses yeux bleus remplis de désir :

— Mmmmm... Chéri pourquoi tu ne me réponds pas, tu peux me le dire, tu sais, je ne le prendrais pas mal!

— Oui... Oui, c'est vrai aaaah... C'est vrai, ça m'a excité d'imaginer ton père te voir comme ça ma puce. Je sais que ça peut parâtre bizarre, mais ça m'a excité! Avoue-t-il à moitié en gardant pour lui d'avoir vu aussi sa mère en petite tenue dans la salle de bain, il y a dix minutes de cela.

— Ooooh ça t'a excité alors, tu aimerais que je le refasse, dis-moi? Tu veux que je me promène encore en petite tenue demain soir pour t'exciter à nouveau mon cœur? Tu sais, j'ai emporté dans mon sac la nuisette blanche totalement transparente que tu m'as achetée, je la mettrai si tu veux? Demande la jeune infirmière qui rend encore plus fou Gautier qui sent qu'il est à deux doigts de venir.

— Oooooh ouais chérie... mmmmm aaaaaaaah.

— Mmmmm, mon père pourra voir mes seins en dessous, il pourra tout voir mon cœur, peut-être même qu'il va se mettre à bander en me voyant comme ça aaaah! Continue-t-elle sur sa lancée, sachant très bien qu'elle le conduit vers l'orgasme tandis qu'elle en profite pour baisser les bretelles de sa nuisette pour libérer ses magnifiques seins aux tétons tendus.

Elle passe son bras derrière sa tête pour caresser la joue de son bien-aimé tandis que l'autre caresse ses seins libres qui ne demandaient que ça.

Les yeux fermés, tout tourbillonne dans la tête du jeune homme qui imagine dorénavant Suzanne qui le suce tandis qu'Annie se fait prendre en levrette par son propre père. Bref des images folles et obscènes qui le mettent sur orbite.

Ses coups de reins s'accélèrent d'un coup, tapant le plus fort possible dans le vagin d'Annie qui gémit de plaisir.

— Aaaaaah je jouiiiiiis! Arrive-t-il à dire avant de décharger son foutre en elle.

— Oooooooh mmmmmmm... Oui, c'est bon mon cœur, donne-moi tout... Mmmm ouiiii donne-moi touuuut!

Essoufflés tous les deux, Gautier s'écarte tandis qu'elle se rajuste en tirant le drap sur son corps. L'un et l'autre s'endorment, épuisés par la route, mais aussi par leurs ébats amoureux.

Le lendemain matin, Annie, déjà habillée pour rejoindre sa famille pour le petit-déjeuner, réveille doucement Gautier.

— Réveille-toi mon chéri, on va descendre déjeuner! Lui dit-elle en parsemant son ventre de tendres baisers.

— Mmm j'ai trop bien dormi ma chérie! S'écrie-t-il en s'étirant sur le matelas tandis qu'elle regarde la grosse bosse sur l'avant de son caleçon rouge.

— Par contre... Calme ça avant de descendre, car sinon ma mère ou ma sœur risque d'avoir une attaque! Se moque-t-elle avant de se mettre debout pour se brosser les cheveux.

Le fait d'avoir parlé de sa mère, Gautier se rappelle tout de suite de Suzanne dans la salle de bain.

« Bon sang, elle aurait pu ouvrir la porte et me surprendre! Pense-t-il, regardant au passage le legging noir de sa petite-amie qui épouse parfaitement son petit cul bombé comme une deuxième peau. Son imagination perverse lui fait penser que son beau-père et son beau-frère vont pouvoir se régaler de la voir comme ça.

— « Ah merde, qu'est-ce qu'il me prend, depuis hier soir, je n'arrête pas d'imaginer ce genre de connerie, je suis devenu cinglé ou quoi? S'interroge-t-il en hochant la tête dans tous les sens comme pour chasser ces maudites pensées qui lui bouffent l'esprit.

D'ailleurs en parlant de maudites pensées, il se met à se rappeler de quoi ils ont parlé hier soir en faisant l'amour, Annie et lui.

— Au fait Annie tu... Enfin pour hier, soir, j'espère que je ne t'ai pas choquée de t'avoir dit cela? »

— Quoi, par rapport à ma tenue devant mon père? Non... Pas du tout, t'inquiète pas, ça met juste un peu de piment dans nos ébats amoureux, c'est tout! Lui répond-elle avec le sourire, brossant ses cheveux à l'aide de sa brosse tandis qu'il reste bouche bée par la simplicité de sa réponse à une question qu'il croyait délicate.

Dix minutes plus tard, les voilà qui arrivent dans la cuisine où se trouve seulement Suzanne qui s'affaire à faire le café pour les amoureux et Thomas, qui mange ses tartines. Après s'être dit bonjour, tous les deux s'installent à table.

Entre temps, Gautier lorgne discrètement le corps généreux de Suzanne, habillée aujourd'hui d'une jupe grise et du pull rouge déformé par son opulente poitrine. Il remarque (avec beaucoup d'excitation) qu'aujourd'hui encore, elle porte des bas, noirs cette fois-ci, toujours accompagnée par des coutures qui démarrent de ses escarpins noirs à talons pour disparaître sous sa jupe.

Bref, le vicieux petit gendre comprend dorénavant que de porter des bas et porte-jarretelles est une coutume chez elle et non juste prévu pour les grandes occasions... Encore un détail chez elle qui ne va pas l'aider à se calmer en sa présence.

— Papa et Justine ne sont pas là, maman? Demande Annie qui sort Gautier de ses pensées érotiques.

— Ton père et parti à la chasse comme tous les dimanches matin et ta sœur a déjà déjeuné, car elle s'en va pour son court de tennis. Quant à moi, je vais partir à la messe dans une heure! Prévient Suzanne en leur servant le café chaud.

— Alors Tom... Ta compétition? Interroge encore Annie, mais à son frère.

— J'ai fini deuxième!

Restant muet, Gautier le regarde en repensant à hier dans la nuit, quand il la surprit en train de se masturber en espionnant sa propre mère en petite tenue.

— «Merde... Pense à autre chose putain! » Se répète-t-il en sentant son entrejambe s'éveiller à nouveau.

Très mal à l'aise, il se lève en s'excusant d'aller aux toilettes, pensant que se libérer la vessie serait une solution à son problème.

Lorsqu'il revient un peu plus tard, il tombe nez à nez sur Justine dans le hall d'entrée, qui semble chercher quelque chose dans son sac de sport. Elle ne s'est pas rendu compte de sa présence derrière elle.

Penchée en avant, les jambes légèrement écartées, sa minijupe de tennis blanche remonte très haut sur ses fesses, ne couvrant quasiment pas son superbe cul séparé en deux par un string noir transparent.

Le souffle coupé, Gautier regarde ses accueillantes lèvres intimes à travers le tissu diaphragme, la ficelle du string est si étroit que le contour de son trou du cul n'est pas complètement couvert.

Hier soir, la mère maintenant la sœur, il n'y a pas à dire... Toute la famille a décidé de l'exciter pendant tout le week-end.

Et bien sûr, ces choses réussies, car notre jeune ami se met immédiatement à bander de nouveau... Mais malgré tout, Gautier s'interroge sur sa tenue :

— Elle fait du tennis comme ça, mais tout le monde doit voir ce qu'elle porte en dessous quand elle doit courir pour renvoyer chaque balle?

Sa gorge est sèche, il serait seul sur terre avec Justine, il se jetterait aussitôt sur elle pour lui bouffer le cul à cette belle-sœur qui ne semble pas avoir froid aux yeux. Mais d'un coup, elle se lève et file dans la cuisine en parlant à sa mère, ne se rendant toujours pas compte qu'il était là derrière elle, en train de fixer son cul offert à ses yeux... Et d'un côté, tant mieux pour lui.

— Maman, je ne trouve plus ma gourde, tu ne l'aurais pas vue s'il te plaît?

— Si bien sûr ma chérie, elle est sur l'évier.

Bandant comme un cerf, Gautier profite que leurs attentions sont sur la jeune blonde pour entrer dans la cuisine et s'asseoir rapidement, observant au passage que Thomas fixe les jambes sensuelles et presque entièrement dénudées de sa sœur, non comme un frère, mais plutôt comme un homme attiré par les courbes d'une femme.

Dès lors, une déduction vient tout de suite lui frapper l'esprit :

— Mais s'il regarde comme ça sa mère et sa sœur... Ca voudrait dire qu'il ne doit pas se gêner avec Annie? Se dit-il sans pourtant lui en vouloir. De vivre dans une maison avec trois superbes femmes qui font indirectement tout pour vous rendre fou, ça ne doit pas être tous les jours faciles. Curieusement, Gautier plaint plus son beau-frère, qu'il ne le condamne.

— Tiens... Salut, Gautier, bien dormi? Demande Justine qui lui sourit après avoir remarqué sa présence, remplissant en même temps sa gourde d'eau fraîche.

— Oui oui, merci! » Répond-il en se forçant à ne pas regarder ses magnifiques jambes dont ses pieds sont vêtus de petites chaussettes blanches et de baskets de la même couleur.

— Justine, tu ne vas pas avoir froid comme ça? Ronchonne contre sa mère en pointant du doigt sa petite jupe.

— Aaaah maman, c'est bon... J'ai d'autres affaires dans mon sac, je les mettrai après le court.

Elle sort de la cuisine en souriant au passage à Gautier qui essaye de paraître calme bien que son membre lui fait un mal de chien sous la table.

Plus tard dans la matinée, Annie décide de montrer son village d'enfance à Gautier, habillés de manteaux chaud, ils sortent dans la cour où est garée leur voiture depuis hier soir, dont les pare-brise sont encore gelés. Ils sont passés par le sous-sol, car les escaliers d'extérieur peuvent être encore glissants avec le gel du matin.

— Mince... J'ai oublié mon portable... Attends-moi ici mon cœur, je reviens! S'écrie-t-elle qui retourne dans la maison en croisant sa mère qui sort à son tour du garage.

Les bruits de talons contre les pavés éveillent Gautier qui sait que sa belle-mère arrive près de lui, habillée d'un chaud manteau noir et des gants blancs pour affronter le vent frais du matin.

— Brrrr... Il fait froid ce matin! Ça va, Gautier? Demande-t-elle avec toujours ce sourire qui fait son charme.

— Heu... Oui... Oui, merci bien!

Elle entre dans la BMW bleu marine tandis qu'il se tourne vers la maison pour attendre sa petite amie qui devrait arriver d'une minute à l'autre quand d'un coup, sa belle-mère l'appelle :

— Mince... Gautier!

— Heu... Oui?

— Viens voir s'il te plaît, il faut que je te donne les clefs de la maison, si vous voulez y entrer avant que je revienne de la messe!

— Ah... Oui, j'arrive.

Il s'approche du véhicule tandis que sa belle-mère fait sortir les anneaux des clefs de la maison de ceux de sa voiture. Lorsqu'il arrive tout près de la porte, il remarque qu'elle a remis un pied à l'extérieur de la voiture, laissant grandes ouvertes ses cuisses dont sa jupe grise est remontée très haut sur ses cuisses, même au-delà du convenable.

Comme tout à l'heure avec sa belle-sœur, l'ambulancier en prend plein la vue sans rien demander. Il fixe les sangles noires de son porte-jarretelles qui viennent pincer les lisières de ses bas noirs et surtout la petite culotte blanche dont la transparence laisse peu de place à l'imagination. Son vagin aux grosses lèvres et sa forêt pubienne, écrasés par la culotte, sont si visibles, qui pourrait presque dire que la culotte ne sert pas à grand-chose si ce n'est qu'exciter celui qui tombe nez à nez dessus... Comme le pauvre Gautier.

La bouche ouverte, le corps tremblant (et pas à cause du froid), le gendre fixe l'intimité de belle-maman sans vergogne. Possédé par cette vue obscène, il en oublie la discrétion et malheureusement pour lui, il va se faire prendre la main dans le sac.

— Ah voilà! S'écrie-t-elle en lui tendant ensuite les clefs et bien sûr le surprendre en train de regarder directement entre ses cuisses.

Aussitôt, le jeune tourne la tête en rougissant d'embarras alors que Suzanne baisse son regard sur elle pour se rendre compte de sa négligence et de la vue qu'elle lui offrait sans le savoir.

— oups désolée, je t'ai montré ma culotte! S'excuse-t-elle sans être choquée en baissant sa jupe avec un calme déconcertant.

— Oh ce ... Ce n'est pas grave! Lui répond-il en baissant son regard au sol, les joues rouges d'embarras.

— Tiens, voilà les clefs!

Reprend-elle en lui tendant à nouveau le trousseau puis rentre à nouveau sa jambe tout en lui disant avec un sourire complice : « Bon à tout à l'heure! »

— Heu... Hum!!! Oui... Oui hum... À tout à l'heure! S'empresse-t-il de dire les joues rouges d'embarras le cœur tapant fort dans la poitrine.

Le BMW quitte les lieux, laissant le jeune homme dans un état second.

— Merde... Elle m'a surpris, quelle honte! Bon d'un côté, ça n'avait pas l'air de la choquer... Putain sa culotte!!! Je voyais tout à travers, j'ai vu ses poils et même sa chatte... Oh putain! Dit-il à haute voix sans se rendre compte qu'Annie arrive derrière lui, heureusement sans avoir compris un traître mot qui sortait de sa bouche.

— Qu'est-ce que tu marmonnes mon cœur?

— « hein... Ah heu... Non non rien, je repensais à un truc, c'est tout! Ment-il.

— Mmm tu es tout rouge aux joues, tu es sûr que ça va? S'inquiète-t-elle.

— Oui... Oui, le froid, je pense! Ment-il avant de se rappeler des clefs que lui a données Suzanne. « Ah, au fait, ta mère m'a donné les clefs de la maison pour que l'on puisse rentrer tout à l'heure!

Elle prend les clefs en faisant une drôle de tête, Gautier s'en aperçoit :

— Il y a un problème, tu préfères que l'on soit enfermé dehors par ce froid? Ironise-t-il.

— Non... C'est juste que je trouve ça inutile de me les donner. Thomas reste ici, donc la maison ne sera pas fermée et puis j'ai les clefs moi aussi, je te rappelle que j'ai habité ici!

— Ah mais alors pourquoi a-t-elle voulu me donner les clefs?

— J'en sais rien... Bon ce n'est pas bien grave, elle n'a pas dû y penser à mon avis... Tu viens? Reprend Annie qui se met à marcher vers le village, suivie de son petit-ami qui met son bras autour de sa taille.

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