La Décoratrice Ch. 01

Informations sur Récit
Un jeune homme reçoit une décoratrice d'intérieur.
888 mots
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Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/08/2021
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Je venais d'avoir 21 ans et j'étais toujours puceau. Ce n'est pas que je sois moche ou mal foutu, Je mesure 1m79, brun aux yeux bleus et certaines filles avaient déjà essayé de me mettre le grappin dessus. Je me laissais entraîner dans ce petit jeu de séduction mais dès que ça devenait plus sérieux, je rompais les ponts.

En fait, je n'étais pas très attiré par les filles de mon âge et trouvais plus de charme à une belle quinquagénaire qu'à ses filles en jean/basket.

Mon célibat ne me pesait pas beaucoup mais ça commençait à inquiéter mes parents de ne jamais me voir avec une fille. Ma mère était même un jour entrée dans ma chambre en me disant que si je préférais les garçons, ça ne leur poserait pas de problème. Je lui assurais que j'étais 100% hétérosexuel et que, même si je n'avais rien contre les homosexuels, je ne me sentais pas du tout attiré par les hommes.

Ma vie suivait son petit bonhomme de chemin, partagée entre ma recherche d'emploi et ma vie à la maison.

Un matin au début des vacances de Pâques, mon père entra dans ma chambre.

« Pascal, nous avons un service à te demander. Nous partons quelques jours dans le Sud avec ta mère. La décoratrice d'intérieur doit venir jeudi pour poser les nouveaux rideaux dans la salle à manger. Tu peux la recevoir pour nous? »

« Bien sûr Papa, il n'y a pas de problème »

Ça ne m'arrangeait pas vraiment parce que je comptais partir quelques jours chez des amis, mais je ne pouvais pas dire non.

Le jeudi suivant, elle sonna à la porte vers 19 h. J'allais ouvrir à une grande femme d'une cinquantaine d'années, blonde aux yeux noisette.Elle avait un visage ovale, avec juste quelques rides mutines autour des yeux. Son chemisier cachait mal une poitrine généreuse et elle portait un pantalon étroit qui s'arrêtait sur ses bottines.

Je vis tout ça en une seconde, restant un peu scotché par cette apparition.

« Bonjour, je suis Madame Leroy, la décoratrice d'intérieur »

Elle me tendait la main en souriant, je la serrais volontiers, un peu gêné par l'admiration dont j'avais fait preuve involontairement.

« Bonjour Madame, entrez »

Elle installa ses affaires dans l'appartement et je lui apportais l'escabeau qu'elle m'avait demandé. C'était un vieil escabeau en bois un peu branlant.

Elle en surveilla la stabilité, connaissant visiblement ses défauts.

« Ça ne vous dérange pas de le tenir pendant que je mets les rideaux? »

« Non, bien sûr »

Elle retira ses chaussures et monta sur la plus haute marche.

Je tenais fermement l'échelle et j'avais ses pieds, gainés de bas , à quelques centimètres de la figure. Leur odeur fauve, un peu aigre, m'envahissait. ce n'était pas à proprement parlé une odeur agréable, mais elle eut sur moi un effet imprévu et sitôt que je la respirais, je sentis mon sexe gonfler. Je levais la tête pour voir si elle se rendait compte de quelque chose mais elle était absorbé par la pose des rideaux et ne s'occupait pas de plus de ce qui se passait plus bas.

J'avais toujours remarqué les femmes bien chaussées et j'observais avec intérêt leurs chaussures, mais jamais il ne me serait venu à l'esprit que l'odeur de leurs pieds puisse déclencher chez moi une telle réaction. Pourtant j'étais obligé de reconnaître son effet terriblement aphrodisiaque.

Mon érection tendait mon pantalon et je sentais avec horreur que je n'étais pas loin d'atteindre spontanément l'orgasme.

Je n'osais imaginer jouir ainsi dans mon pantalon et je me concentrais sur cette idée, essayant de bouger le moins possible pour éviter la friction qui m'amènerait à l'éjaculation. .

Cette scène dura un temps indéfini. J'inhalais cette odeur à chaque respiration et, à chaque fois, ça augmentais encore mon excitation.

J'étais comme dans un rêve, arc-bouté à cet escabeau qui me soutenait autant que je le soutenais.

Enfin, elle redescendit et contempla son ouvrage.

« Je crois que c'est pas mal »

Puis son regard tomba sur moi, rouge comme une pivoine et arborant une énorme érection sans doute évidente dans mon pantalon de toile.

Elle ne dit rien, et s'assit dans la banquette pour remettre ses chaussures.

Je la regardais faire, n'osant bouger, luttant désespérément contre l'envie d'éjaculer.

Ses bottines remisent, elle se releva et me tendit la main.

« Bon, je reviens la semaine prochaine, j'ai encore deux ou trois choses à voir »

Je lui serrais la main sans réfléchir

« À jeudi »

Sitôt que la porte fut fermée, je sortis mon sexe raide et éjaculait immédiatement quand j'y portais la main, sans presque m'être touché.

À peine revenu de cet orgasme express, la sonnette d'entrée retentit à nouveau.

En panique, je remis mon sexe dans mon pantalon, et me précipitais pour nettoyer les traces de ma jouissance sur le sol, la sonnette insistait.

J'ouvris à la décoratrice.

« J'ai oublié mon mètre »

« Euh..oui, entrez »

Elle fouilla un instant avant de retrouver son mètre en bois.

Pendant qu'elle faisait ça, je m'aperçus avec horreur que j'avais mal nettoyé le parquet et que des traces de ma jouissance étaient encore visibles. Si elle s'en aperçut, elle ne dit rien et c'est avec une honte sans bornes que je la reconduisis à la porte.

omrouge
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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

J'aime beaucoup ce début... Très excitant ! Des moments... d'émotion qu'on a sans doute tous connus

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