La déchéance de Juliette Ch. 06

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A ce moment-là, le directeur MASSEAU ouvrit un tiroir de son bureau et sortit un gros objet qui fit immédiatement peur à Juliette. C'était un énorme gode ceinture. Tout de suite, et après avoir traversé bien des épreuves, Juliette fut consciente de ce que ça signifiait. En regardant la garde imposante, elle réalisa qu'il serait mieux pour elle d'être de son côté plutôt que contre elle. L'acceptation de son sort apparut dans ses yeux et le directeur se leva pour passer le gode à Jeanne.

- Vous le mettez et je vais positionner mon fauteuil de façon que nous obtenions tous les deux ce que nous voulons.

Pendant que la gardienne musclée enfila le harnais réglable et le remonta sur ses jambes avant d'ajuster le tout, le vieux directeur fit rouler son fauteuil en cuir pour le mettre devant Juliette encore totalement immobile. Il sortit un cigare et l'alluma avant de s'installer sur son siège et descendre son pantalon et son caleçon. Une bite bien raide en sortit, une bite bien fringante pour son âge. Alors que Juliette braquait ses yeux sur le sexe bandé, elle fut grossièrement molestée et mise sur ses genoux. La gardienne aboya :

- Oublie la bite du directeur, salope ! Tu ferais mieux de te concentrer sur celle-ci et faire de ton mieux pour la lubrifier. J'aime donner à toutes mes prisonnières « spéciales » un bon entraînement anal afin de leur montrer qui est le patron ici !

Juliette fut effrayée alors qu'elle ajusta son regard sur la fausse bite en plastique noir. Elle était longue et épaisse. Elle commença à déprimer dans cette position particulière, si humiliante, sur le point de se faire baiser la bouche. Brièvement elle repensa au passé d'il y a quelque mois, à sa vie antérieure en tant que plus jeune commissaire de police, sur la voie de la gloire et du succès. Comment tout cela avait-il pu être détruit si rapidement ? Comment tant de gens avaient-ils pu la détester suffisamment pour la soumettre à toutes ces épreuves ? Et maintenant que son brillant avenir s'était envolé sans espoir de retour, quel choix avait-elle, à part faire ce que voulaient ces pervers et les rendre heureux ?

La grande gardienne s'avança et le bout du gode noir en plastique toucha les lèvres de Juliette qui s'ouvrirent immédiatement pour permettre l'accès.

- on dirait qu'elle sait exactement quoi faire, officier LOYALE. Cria le directeur derrière elle tout en caressant son sexe en préparation pour la suite.

En simple réponse, la garde posa ses mains derrière la tête rousse de la prisonnière et poussa son bassin vers l'avant. La première moitié du gode en plastique de trente centimètres remplit la bouche de Juliette. Celle-ci ne put s'empêcher de se demander combien d'autres prisonnières avaient eu cette chose dans leur bouche et leur cul. Mais elle dut penser à autre chose, elle savait qu'elle devait recouvrir la fausse queue d'autant de salive qu'elle pouvait avant que la gardienne décide qu'elle en a assez. Et à voir le sourire de la femme, elle comprit que ce ne serait pas long.

Après quelques minutes de poussée dans sa bouche, ce qui était sûrement conçu pour montrer à Juliette sa situation actuelle, Jeanne retira le gode avec un « plop » et d'un doigt ferme, montra à la rousse qu'elle devait se retourner pour faire face au directeur. Encore une fois, l'obéissance était la seule option possible.

Quand elle se retourna, elle vit que le directeur l'attendait avec sa bite debout, fière et droite, pointant sur elle. D'un signe il lui indiqua qu'elle devait ramper jusqu'à lui et prendre sa queue dans sa bouche. Il siffla un avertissement :

- Si je sens tes putains de dents, alors tu seras au pain sec et à l'eau tout ton putain de séjour ici. Compris ?

Juliette comprit facilement qu'il ne plaisantait pas. Elle s'avança et se positionna afin de faire au mieux, mais juste au moment où elle fut bien installée et qu'elle mouilla ses lèvres pour préparer sa fellation, elle sentit qu'on lui claquait le cul et le bout du gode enduit de salive appuya sur son cul. Qu'elle ouvrit la bouche pour se plaindre ou pour autre chose n'était pas important, car le directeur en profita pour enfourner sa bite vieillissante, mais bien raide, dans sa bouche. Juliette leva les yeux pour rencontrer les siens. Pendant ce temps elle sentit le gode de la gardienne pousser contre son cul serré et se frayer un chemin. Et alors qu'elle faisait rouler sa langue le long de la bite dégoûtante et en sueur dans sa bouche, elle grogna et son corps se précipita en avant avec force quand le gode fut enfoncé dans son cul.

L'ironie était, qu'avant ce cauchemar, Juliette avait la vie sexuelle d'une religieuse. Son travail passait en premier, toujours. Les hommes, ou ses partenaires sexuels n'étaient rien comparé à son avancement ou sa promotion. Mais lors de cette descente dans des profondeurs inimaginables de dégradation, le sexe fut l'élément moteur et son corps qui jusque-là n'avait accueilli que quelques hommes auparavant fut soumis à toutes sortes de perversions de la part d'hommes ou de femmes qu'elle aurait considérés bien en dessous de sa classe sociale.

Peut-être était-ce le stress et la tension de la journée (mais elle ne le croyait pas vraiment), peut-être était-ce le pouvoir de la femme qui martelait le gros gode en plastique dans son trou du cul, mais il y avait quelque chose de différent dans le ressenti qu'a Juliette en restant à quatre pattes et en étant baisée au deux bouts. Au cours des derniers mois, elle a été baisée par toutes sortes de dégénérés, de toutes sortes de façon et dans différentes positions, mais ici et maintenant, elle est dépassée par la force de la personnalité de la gardienne, alors elle essaya de détendre son cul pour mieux accepter les poussées de Jeanne. Elle oublia presque la bite qui entrait et sortait entre ses lèvres. Cela ne passa pas inaperçu auprès du directeur. Il sortit son membre de la bouche inattentive et il commença à la gifler sur les joues et sur le nez pour attirer son attention.

- Ne m'oublie pas, grosse pute rousse !

Obéissante, Juliette baissa la tête en avant pour reprendre sa bite baveuse et essaya une nouvelle fois de s'appliquer du mieux qu'elle le peut avec sa langue et ses lèvres. Cependant, ce n'était pas facile. A chaque seconde la gardienne lui baisait le cul si violemment que son corps tremblait en avant. Elle était traitée comme un simple morceau de viande. Jeanne l'enculait sans relâche avec une volée d'invectives et d'insultes vulgaires s'échappant de sa bouche. La gardienne aimait baiser la première fois avec une nouvelle afin de lui montrer où se trouvait maintenant sa place dans les rangs de la prison.

Son sadisme pris le dessus et elle adora se défouler sur une chienne coincée comme Juliette. Elle saisit ses cheveux roux dans une main et la tire en arrière pour enfoncer la grosse queue en plastique encore plus loin, atteignant une profondeur du cul de Juliette jamais sondé auparavant.

- Voilà salope ce que tu es maintenant ! Notre putain de jouet personnel ! Et tu ferais mieux de t'en souvenir ! Tu viens quand je te dis, tu chies quand je te dis, tu rampes quand je te dis, et tu suces quand je te dis ! Tu comprends, salope ?

C'était juste une question rhétorique, car avec sa bouche qui luttait pour contenir la queue du directeur alors que celui-ci étirait ses joues et la prise serrée de la gardienne sur sa tête, elle ne pouvait répondre même si elle le voulait. De toute façon ça n'eut aucune conséquence, car la seconde suivante, le directeur grogna comme un porc et la bouche de Juliette commença à se remplir du goût aigre et collant de son sperme. La belle ex-commissaire recula son visage et la bite glissa hors de ses lèvres, éclaboussant de haut en bas son visage.

- Putain de merde ! Espèce de stupide salope : Tu es censé tout avaler ! Grosse pute idiote !

Le directeur était furieux et il a presque giflé Juliette, mais il se retint suffisamment pour cracher sur elle et l'engueuler à nouveau.

- Tant pis, tu peux le laisser sur ta figure de grosse salope ! Oui c'est bien, laisse-le ! Mais si tu le touches alors tu le regretteras.

En sympathie avec son patron, Jeanne donna une violente dernière poussée et sortit le gode du cul de Juliette avec un gros bruit de succion. Puis, elle marcha pour se placer à côté du directeur et présenté la fausse bite souillée aux lèvres de la prisonnière.

- Laissez-moi la punir, directeur ! Bien, pour avoir mis en colère mon patron, tu peux nettoyer cette chose. Après tout tu n'es qu'une salope idiote.

Juliette ne voulait pas le faire, c'était la plus grosse de toutes les dégradations et humiliations qu'elle avait subi jusque-là, mais ces deux-là l'effrayait vraiment. La situation, le lieu et l'incertitude de son avenir la poussèrent à ouvrir docilement la bouche. Avec le sperme de l'homme coulant lentement sur ses deux joues, elle laissa l'objet ignoble entrer et elle se mit à le sucer et à le lécher, en essayant de faire abstractions de son dégoût et d'apaiser ses nouveaux tourmenteurs.

Enfin, quand sa tache dégoûtante fut enfin terminée, La garde LOYALE sortit un collier de chien en cuir marron ayant déjà bien servi, et sans rien dire, elle le glissa autour du joli cou de Juliette. Elle le serra grossièrement et ajusta la boucle en argent.

Ce n'était pas la première fois que la commissaire était obligée de porter un collier au cours de son cauchemar. Elle se rappela de son expérience au bordel et au gros proxénète qui lui en avait mis un pour la sortir comme un chien. Mais là c'était différent. Pour Juliette ça lui sembla en quelque sorte permanent, comme si on ne lui enlèverait jamais celui-ci. C'était un vrai symbole de sa déchéance. Jeanne tira sur ses cheveux roux pour qu'elle lève le visage avec le sperme séchant dessus. La gardienne avait un regard dur :

- Pour ta punition, tu porteras ça jusqu'à ce que nous en décidions autrement. Mais tu devrais être heureuse, c'est une marque dans la prison qui indique aux autres détenues que tu es ma chienne. Ça te gardera à l'abri de toute attaque. Bien sûr, si tu veux l'enlever, tu peux le faire, mais alors tu seras seule. Compris ?

Juliette hocha la tête tristement et baissa les yeux tandis que la gardienne tirait sur le collier et le resserrait jusqu'au trou suivant dans le cuir.

- Maintenant, je vais l'enlever de votre vue, directeur. Je vais la conduire dans sa cellule et la présenter à ses nouveaux compagnons de détention. Son « parrain » est-il toujours là ?

Il y avait une contrariété mal déguisée derrière cette dernière question.

- Je crois que oui. Il n'est certainement pas reparti. Ça m'irrite vous savez. C'est ma prison et je déteste que quelqu'un ait son mot à dire sur ce qui se passe, mais...

Il s'arrêta net de parler quand il vit que Juliette s'intéressait à ses mots.

- Mais ne gâchons pas la surprise, hein ! Allez officier Loyale, enlevez ça de ma vue ! Et salope, souviens-toi la prochaine fois que tu pourras me sucer, que tu ferais bien d'avaler tout mon foutre.

Sans tarder, la grande gardienne sortit une chaîne terne et rouillée de la poche de sa veste et l'attacha au collier. Elle expliqua à l'ancienne commissaire exactement comment elles allaient se rendre dans sa cellule.

- Tu vas ramper comme la chienne que tu es jusqu'à ta cellule. Et si tu essaies de nettoyer ton visage, tu le regretteras. Allez, bouge maintenant !

Les derniers mots furent suivis d'une brusque tension de la laisse qui tira Juliette à quatre pattes. La gardienne marcha sur un rythme effréné qui força la prisonnière à se faufiler derrière elle aussi rapidement qu'elle pouvait le faire. Elles passèrent la porte en bois du directeur et la réception. Juliette rampa humblement devant les bureaux des secrétaires. Elle les laissa se moquer d'elle alors qu'elle passait. Puis elle suivit Jeanne le long du couloir gris, devant un certain nombre de gardes en uniforme qui ricanèrent, mais qui se retinrent de dire quoi que ce soit en voyant le regard féroce sur le visage de l'officier LOYALE (quelques-uns avaient eu le malheur de payer physiquement quelques commentaires sur elle). Ils se contentèrent de déverrouiller différentes porte pour les laisser pénétrer dans la zone principale de la prison.

Les cris et les sifflets recommencèrent alors qu'elles émergeaient dans cette zone. Ils s'éteignirent peu à peu en voyant qui promenait la « chienne ». Jeanne inspirait la peur et le respect à tout le monde dans la prison. La plupart des détenues ayant croisé son chemin auparavant n'étaient plus pressées de le faire à nouveau.

La gardienne ne ralentit pas le rythme brutal et Juliette peinait maintenant, surtout quand elles atteignirent les escaliers raides en métal et que Jeanne tira plus fort sur la laisse.

- Allez salope, avance ! Je ne vais pas m'arrêter. Je vais traîner ta misérable carcasse jusqu'à ta cellule. Et c'est au troisième étage !

Le voyage sembla ne jamais s'arrêter. Il continua le long des passerelles en mailles de fer et en haut des escaliers froids. Il ne fallut pas longtemps avant que les paumes et les genoux de Juliette lui fassent mal. Elle put sentir le maillage métallique s'imprimer dans sa peau à chaque centimètre qu'elle avançait. Bien sûr, le collier la démangeait et irritait son cou à chaque pas que la gardienne faisait sans laisser aucun répit à sa prisonnière.

Finalement, elles s'arrêtèrent et firent face à une cellule de gauche dont la porte glissa pour inviter à y entrer. La cellule était exiguë et brillamment éclairée. Il y avait deux lits de chaque côté. Quand Juliette leva la tête, haletante et transpirante sous les efforts physiques, elle vit trois visages à l'intérieur. Deux sur chacun des lits et un autre tout au fond, appuyé nonchalamment contre le mur du fond. Elles arrêtèrent de parler quand elles virent les deux personnes à l'extérieur de la cellule.

L'homme au fond de la cellule s'avança alors pour les saluer. Juliette essaya de rassembler autant de haine qu'elle le pouvait dans le regard noir qu'elle jeta sur le sergent Joseph DUPRE, le meneur de tous les hommes qui lui avaient causé sa déchéance. Il lui parut suffisant et hautain, mais elle distingua une trace de méfiance à l'encontre de la gardienne massive qui affichait un mépris mal dissimulé.

Toutefois, même si Jeanne connaissait le genre d'individus qu'il représentait, elle savait qu'il ne valait mieux pas le contrarier. Elle lui remit la laisse et elle lui dit qu'elle serait au bout du couloir, prête à verrouiller la cellule quand il en aurait terminé.

Une fois qu'elle se fut éloignée à contrecœur de la cellule, DUPRE tira sur la laisse pour faire pénétrer Juliette à l'intérieur. Celle-ci ne mit pas longtemps à reconnaître les deux autres détenues sur les couchettes. Il s'agissait de Yasmine « Jazz » TOURE et de sa sœur Carla, deux prostituées noires contre lesquelles elle avait mené une vendetta vicieuse quand elle était jeune policière. Son racisme flagrant l'avait conduite à obtenir autant d'accusations et de condamnations contre ces deux sœurs et leurs amis ou collègues de trottoir. Elle avait eu un énorme succès dans cette croisade, s'assurant qu'elles savent toutes qu'elle le faisait plus parce qu'elle les méprisait que parce qu'elle faisait son travail. En les voyant, Juliette frissonna. Joseph DUPRE tendit la main vers son menton et la força à le regarder.

- Eh bien commissaire, regarde-toi ! Je peux voir que tu t'adaptes bien à la vie en prison. C'est quoi ces saletés sur ton visage ? Du sperme ? J'aurais dû parier une grosse somme que tu ne perdrais pas de temps avant de te mettre au travail et sucer une bite. Imagine donc ce que les autres détenues pensent de toi, une ancienne commissaire, la « Dame de fer », réduite à ramper dans cet endroit comme une chienne, complètement nue, avec du sperme sur la figure. Mais j'ai encore de bonnes nouvelles pour toi. Tu ne seras pas seule en prison. Je peux voir d'après ton regard que tu te souviens de Yasmine et Carla. Mes amis ont réussi à les faire transférer ici pour la dernière année de leur peine. Je crois qu'elles ont été extrêmement ravies d'apprendre que tu seras leur troisième compagne de cellule. N'est-ce pas les filles ?

Juliette ne vit que deux têtes se balancer de haut en bas avec de larges sourires éclatants.

- Maintenant je connais un peu cette gardienne. Je pense qu'elle va te protéger des détenues. Mais dans les cellules, les gardes n'ont pas vraiment leur mot à dire. Tu peux essayer de te battre et de réclamer, mais je ne suis pas sûr qu'ils t'écouteront. Maintenant mesdames, je dois vous laisser. Profitez et amusez-vous !

Avec un grand sourire radieux, il sortit de la cellule et indiqua à la gardienne LOYALE de venir fermer la porte et de s'assurer qu'elle est bien verrouillée. Il ne loupa pas le regard méchant de Jeanne pendant qu'elle obéit. Il sentit la colère monter en elle alors que les deux femmes noires descendaient de leur couchette dans la cellule pour se diriger vers Juliette toujours genouillée. Mais Joseph DUPRE s'en fichait.

Jeanne réfléchit et se dit que ce n'est pas une histoire qu'elle laissera continuer indéfiniment. Pour l'instant, étant donné qu'elle n'a pas le choix, elle tourna le dos à contrecœur et escorta le policier hors de la prison.

Dans la cellule, Yasmine sortit un seau métallique de dessous le lit sur lequel elle était allongée. Il était rempli presque à ras bord d'un liquide jaunâtre à l'odeur incomparable.

- Je pense que nous ferions mieux de nettoyer ton visage de salope. Ce sera vraiment mieux si nous enlevons tout ce sperme.

Carla se positionna derrière Juliette et attrapa sa tête. Elle la poussa vers le seau. L'ancienne commissaire ouvrit la bouche pour protester juste au moment où sa figure rencontra la surface du liquide, lui faisant ainsi avaler du liquide dégoûtant. Tout en tenant la tête de sa victime dans le seau, Carla regarda sa sœur et sourit.

- Je crois qu'on va bien s'amuser, ma sœur !

A suivre...

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Anonymous
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2 Commentaires
charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a presque 3 ans

Quoi de mieux que cette situation ?, j'espère qu'elles vont tellement jouer avec ses orifices, la faire jouir continuellement, jusqu'a son cerveau grille, elle qu'elle ne pense plus qu'à être une chatte sur patte qui ouvre les cuisses sur un claquement de doigts

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

De mieux en mieux ! Cette histoire est vraiment excellente et dans la durée grand merci de nous l'offrir Trouchard - Aurailiens

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