La déchéance de Juliette Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Je vais te baiser le visage ! Je m'en fous si tu va apprécier ou non. En vérité j'espère que non. Mais une chose est sûre, si tu veux gagner encore un mois en moins de prison, tu ferais bien de ne pas te plaindre ou de refuser ou de faire n'importe quoi qui va me mettre en colère. Compris ?

Juliette essaie de hocher la tête, mais c'est difficile avec la main qui serre ses cheveux. Elle soupira et ouvrit la bouche pour montrer son acceptation. Il y eut un murmure audible de la foule qui regardait alors que le chef SIMPLON sortait enfin sa bite. Pour un homme de plus de cinquante ans et presque obèse, il était monté comme un cheval. Sa bite était raide d'excitation et luisante de liquide pré-éjaculatoire. Il ne perdit pas de temps et la plongea profondément dans la bouche de Juliette. Même si elle s'était préparée, elle ne put s'empêcher d'étouffer tandis que la queue gluante s'enfonçait au plus profond de sa bouche et de sa gorge. Mais alors qu'elle ne pouvait pas respirer, le chef tenait sa tête fortement en place et poussait son bassin pour mieux s'enfoncer en elle.

Alors que Juliette craignait que l'homme ne retire pas son sexe et qu'elle s'évanouisse ou vomisse, il le sortit et lui laissa un millième de seconde pour reprendre son souffle. Puis il enfourna de nouveau sa queue. Après une série similaire à celle-ci, elle ne put retenir son réflexe nauséeux et quand le chef retira sa bite après l'avoir enfoncée vraiment profondément, elle cracha un mélange de bile et de salive. Mais ça ne lui apporta aucun répit alors qu'il lui redressa le visage en tirant sur ses cheveux et recommença à baiser sa bouche. Puis il en eut marre de cette gorge profonde et il trouva une nouvelle humiliation.

- Garde ma bite dans ta bouche de pute, et tu ferais bien de ne pas la lâcher. Ordonne-t-il.

Il fit lentement glisser sa bite dressée hors de la bouche jusqu'à ce que seulement le gland et trois centimètres restent dedans. Il la regarda et commença à gifler moqueusement chacune des joues de Juliette, pas trop fort, mais assez pour faire rebondir la bite entre les deux joues. Il continua pendant environ une minute Jusqu'à ce que la bouche ne soit plus en mesure de garder la queue à l'intérieur et qu'elle sorte. Mais ça n'avait pas vraiment d'importance, car l'homme était sur le point de jouir. Et alors que sa bite sortit de la bouche, un arc de sperme blanc gicla et plâtra le visage de Juliette. Il fut suivi de trois autres jets recouvrant de lignes blanches la face de la commissaire.

Le chef eut un sourire narquois et secoua sa bite sur les seins de la femme avant de reculer.

- Juste comme j'ai toujours voulu te voir ! C'est vraiment ta meilleure position.

Alors que le chef de police remontait sa braguette, le juge Daniel MACKIE, le premier juge de couleur de la ville s'approcha. Il était juge depuis de nombreuses années déjà et il était un membre extrêmement respecté de la communauté juridique.

A travers ses yeux couverts de sperme, Juliette le regarda approcher, et son esprit s'enfonça encore plus profondément. Tous les deux s'étaient souvent affrontés au tribunal, presque depuis sa première affaire. Le juge s'était rapidement rendu compte qu'elle semblait mener ses enquêtes contre des personnes d'autres races avec une vigueur excessive. Il avait immédiatement reconnu l'aversion qu'elle avait pour lui dans ses yeux et ils avaient entretenu une relation professionnelle très tendu quand ils se rencontraient au tribunal. Ils savaient tous les deux que chaque fois qu'ils se heurtaient, il s'agissait de marquer des points l'un sur l'autre, et surtout pour Juliette qui était sournoise.

Et la voilà maintenant ! Quelle image pathétique ! Elle était nue, à genoux et prête à faire tout ce qu'il fallait pour limiter sa peine de prison. Le juge sourit en s'approchant d'elle.

Ce fut tout à fait inhabituel pour le juge de se tenir devant elle et de voir la défaite et l'obéissance dans ses yeux plutôt que le dédain habituel et le racisme mal dissimulé. Juliette leva la main pour essuyer un fil épais de sperme du chef de son œil droit. Mais le juge lui ordonna avec son autorité naturelle :

- Ne fais pas ça ! Ne touche pas à ça salope ! J'aime te voir comme ça. Ça me donne des frissons de te voir réduite à une chienne à bites. Ce n'est que justice après toutes les choses que tu as faites et toutes tes manigances pour t'assurer d'obtenir une bonne condamnation n pour les personnes que tu arrêtais. Maintenant la question est de savoir quel genre de « justice » je vais rendre.

Involontairement elle frissonna et le juge rit :

- Oh ne t'inquiète pas jolie commissaire, je ne voudrais même pas te toucher avec un bâton. Je ne collerai pas ma bite n'importe où, je ne sais pas ce que tu as fait. Mais ne te réjouis pas, j'ai une idée de ce que tu peux faire pour obtenir ma réduction d'un mois.

Il se tourna vers les personnes à l'extérieur de la cellule et cliqua des doigts. A ce signal un long objet fut glissé entre les barreaux jusqu'à sa grande main noire. Juliette grimaça en voyant ce que c'était. Elle le regarda frapper dédaigneusement la paume de sa main avec la batte de baseball. Après l'avoir fait plusieurs fois il la laissa tomber bruyamment sur le sol en pierre devant Juliette.

-Tu veux un mois de prison en moins ? Et bien tu vas devoir t'occuper de ça. Je veux voir autant de batte à l'intérieur de ta chatte que tu peux en mettre, et même plus. Allez salope, c'est à toi de décider, tu veux gagner un mois ou non. Allez !

Bien qu'elle eut essayé de masquer son horreur face à ce qu'il lui demandait (non, ordonnait) de faire, ses yeux la trahirent. Elle ne fut que vaguement consciente de quelques rires étouffés alors qu'elle tendait la main pour saisir la batte et la soulever.

- Allez la sportive, montre-nous comment l'utiliser ! Cria une voix moqueuse dans l'ombre.

Juliette tourna la batte dans tous les sens. La taille de l'extrémité de l'objet la plus grosse était sûrement trop importante pour elle. Ses mains tenaient la batte comme si c'était une bombe et elle ne pouvait en détacher ses yeux effrayés. Mais elle fut consciente que le juge se tenait devant elle et commençait à s'impatienter.

Malgré ses réticences à faire ça, elle sut qu'elle allait le faire. C'était incroyable comme une femme carriériste, puissante, volontaire et résolue avait été réduite à une salope presque irréfléchie, obéissante et soumise en si peu de temps. Elle ramassa la batte, la prit dans ses deux mains et sans réfléchir, cracha sur le gros bout pour essayer de le mouiller le plus possible. Bien sûr, un peu du sperme éclaboussé sur son visage se mélangea à sa salive sur le bâton qui fut bientôt recouvert d'un mélange poisseux.

- Colle-la dans ta chatte salope ! Je veux te voir l'enterrer en toi ! Exigea le juge.

Elle écarta ses cuisses sexy permettant ainsi à tout le monde d'avoir une vue directe de sa chatte. Pour se préparer, elle se doigta, essayant désespérément d'atteindre un certain degré d'humidité. Elle ferma les yeux et se concentra en poussant le gros bout de la batte contre ses petites lèvres. Elle la frotta avec le mélange qu'elle avait mis dessus. Dans ses pensées c'était horrible d'enfoncer cette extrémité là, un vrai viol. Néanmoins elle continua à frotter l'engin de haut en bas jusqu'à ce qu'il commence à s'enfoncer en elle.

Immédiatement la batte poussa les parois de sa chatte serrée. Elle savait qu'elle devait bouger pour rendre cette intromission plus confortable. Mais cela allait la forcer à se repositionner et à s'asseoir sur son cul sur le sol en pierre et bien ouvrir ses jambes, permettant à tous ces salauds une vue encore plus dégagée sur son sexe. Alors elle bougea et un murmure d'approbation inonda la cellule. Elle cligna des yeux pour essayer d'éliminer le sperme de ses cils, puis elle reprit sa tâche, poussant la batte un peu plus jusqu'à ce que les cinq premiers centimètres soient en elle.

- Je vais t'aider salope ! Déclara le juge.

Il s'avança pour prendre la poignée de la batte dans sa main et la poussa plus profondément tout en la tordant. Juliette sentit le bâton s'enfoncer en elle et elle grogna alors que sa chatte était remplie comme jamais auparavant dans sa vie. L'homme vissa la batte plus loin puis lui dit de placer ses mains dessus et de la faire elle-même. Malgré sa volonté elle le fit et elle put sentir son corps s'éveiller à cette intrusion alors que des parties de son anatomie étaient touchées pour la première fois. Elle ferma les yeux et s'imagina ailleurs, n'importe où alors que la batte glissait un peu plus en elle, jusqu'au moment où elle sut que si elle se levait, le gourdin resterait en place à l'intérieur de sa chatte.

Elle était vraiment mouillée maintenant, même si elle ne voulait pas l'être. Elle l'était sans aucun doute et elle se sentait de plus en plus excitée. Elle haleta, gémit et grogna sur l'objet dans son sexe.

Sa tête bascula en avant. Elle ouvrit les yeux, consciente que le sperme séchait sur son visage. Elle respira difficilement. Puis elle leva les yeux sur le regard souriant du juge qui reprit le contrôle :

- Sors la batte chienne et lèche-la. Nettoie ce gâchis que tu viens de faire. Et ça sera tout pour moi.

Juliette sortit la batte de sa chatte humide et la présenta à sa bouche. Elle lèche timidement son jus sur la surface au son des gloussements et rires autour d'elle.

Voilà trois de fait, il en restait encore onze. Ce fut littéralement la nuit la plus longue pour Juliette. Elle dut prendre les hommes les plus importants de la ville dans tous ses orifices. Ils firent ce qu'ils avaient prévu de faire, elle n'était plus qu'un jouet de baise pour leur satisfaction. Sa vie antérieure et son autorité n'étaient plus qu'un souvenir qui s'effaçait rapidement.

Quand ils ont tous fini de s'amuser avec elle, elle est agenouillée, épuisé sur le sole en pierre, une flaque épaisse de sperme à quelques centimètres de ses genoux. Joseph DUPRE savait ce qu'il voulait voir. Il provoqua le rire de ses camarades comploteurs en ordonnant à Juliette de ramper et de lécher la flaque de foutre.

Quelle humiliation pour la commissaire de police, prisonnière dans les cellules de son commissariat, rampant sur le sol froid, épuisée par ces derniers jours où elle n'a été qu'un jouet sexuel. Elle se pencha docilement pour lécher le mélange aigre sur le sol. Les hommes ne la laissent pas tranquille tant qu'elle n'a pas léché toute la flaque. Puis ils la quittent et la laissent passer sa première nuit seule derrière les barreaux.

A partir de ce moment tout est allé très vite. Son sort était décidé. Juliette se rendit compte de la futilité de combattre pour sa cause. Elle accepta donc de plaider coupable aux accusations portées contre elle en échange d'un seul mois de prison. Elle n'avait pas le choix, elle n'avait pas d'amis pour l'aider et elle ne pouvait être sûre de toute personne qui travaillerait pour l'aider. Dans sa tête, elle se disait qu'elle allait faire un mois de prison, puis elle quitterait cet endroit et déciderait ensuite si elle se vengerait de tous ces hommes qui l'avaient réduite à rien. C'était toujours mieux que l'année de prison dont ils l'avaient menacée.

C'est ainsi que deux mois après son arrestation, Juliette, enchaînée et en combinaison, se tenait sur le banc des accusés devant l'honorable juge MACKIE (oui, celui qui avait tant apprécié sa compagnie dans la cellule) pour recevoir sa condamnation.

- Commissaire PORTIER, j'ai beaucoup de peine de voir qu'une carrière aussi prometteuse que la votre ait été jetée aux orties comme vous l'avez fait. Vous avez utilisé votre position pour entreprendre les mêmes activités que vous aviez prétendu vouloir proscrire. Ce faisant, vous avez indubitablement nui à la réputation des forces de police que vous auriez dû défendre. Par conséquent, il m'incombe de faire en sorte que votre peine reflète ces manquements. Donc je n'ai pas d'autres choix que de vous condamner à cinq ans de prison dans un centre de haute sécurité. Emmenez la détenue !

Juliette était complètement hébétée alors que deux policiers en uniforme tentent de l'emmener. Cinq ans ? Comment est-ce possible ? On lui avait dit que si elle obéissait elle ne ferait qu'un mois. Si elle plaidait coupable, ce ne serait qu'un mois ! Elle vit le visage souriant de Joseph DUPRE sur la première rangée de siège de la salle d'audience et elle se rendit compte à quel point elle a été dupée à nouveau. Lorsqu'elle fut emmenée dans les entrailles de l'immeuble, elle pensa qu'elle ne pouvait tomber plus bas, sa déchéance étant totale. Mais elle avait tort, car elle devait découvrir ce qui, ou plutôt qui, l'attendait à la prison.

A suivre...

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1 Commentaires
charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a presque 3 ans

Quel plaisir de retrouver Juliette, je souhaite qu'en prison, elle ne doive sa survie qu'a sa chatte ou son cul

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