La Déchéance de Caroline - 06

Mais leur jeunesse rend vigoureux les 2 Arabes, aussi passent - ils toute la nuit à baiser la pauvre Caroline, ayant une préférence pour explorer longuement le vagin de la Cheffe de Cabinet. Pour la Directrice, chaque heure se ressemble. Elle n'est plus qu'une simple « Barbie » dotée de 3 orifices. Durant le jour suivant, le matin, à intervalles réguliers, elle est longuement cravachée sur les fesses, les seins, les cuisses et même parfois sur la plante des pieds.

Puis, en début d'après-midi, elle est invitée par Charlotte à l'accompagner dans le jardin, dans le plus simple appareil. En quelques instants, terrorisée, Caroline, nue, un bandeau noir sur les yeux, se retrouve au pied d'un arbre. Elle est menottée, une corde passant entre ses mains. La ficelle est lancée de part et d'autre d'une branche située à 2m50.

La femme du Président tire ensuite sur le cordage jusqu'à ce que la Cheffe de Cabinet se retrouve les bras en l'air et contrainte de se tenir sur la plante des pieds. Sa Maîtresse en profite pour allumer la caméra sur trépied. Un fouet commence à claquer, plusieurs fois, sans pour autant toucher le corps nu et tendu de la Directrice qui, pourtant, bondit. Mais les mains menottées au-dessus de sa tête ne lui permettent pas de fuir ou de refuser quoi que ce soit.

Elle gémit : - S'il vous plaît, Madame la Comtesse... pas cela... s'il vous plaît!

Le fouet s'enroule autour de son buste pour venir finir sa course dans son dos, laissant à chaque fois une marque rouge sur son épiderme peu habitué. Le passage de la lanière sur sa poitrine génère en elle des sensations désagréables, mais c'est dans son dos que la morsure de la lanière est nettement plus dure. Sa poitrine, déjà bien « échauffée » par la première série de coups de fouet, voit apparaître de nombreuses marques et, l'écume aux lèvres, la jeune femme supplie de plus belle l'épouse du Président d'arrêter.

Rien n'y fait. Charlotte continue à la fouetter, sur les seins, les fesses, les cuisses et même sa chatte. Pour Caroline, qui n'est pas habituée à un tel traitement, la souffrance devient bientôt intolérable :

- S'il vous plaît, arrêtez! Je ferai tout ce que vous voudrez! Absolument tout! Mais arrêtez!

Les coups s'arrêtent et, pendant plusieurs heures, lui semble-t-il, elle est laissée attachée, debout près de l'arbre. A un moment, détachée et tombant lourdement à genoux, la Directrice sent un sexe appuyer contre ses lèvres. Vaincue, la fille ouvre la bouche et commence à appliquer des coups de langue sur le gland et la hampe du sexe fièrement dressé. Charlotte lui donne de nouveaux ordres :

- Plus salope, ta pipe! Fais du bruit en suçant!

Suite à un tel traitement, elle est devenue totalement soumise. Un claquement de doigts ou un simple sifflement suffisent désormais à la faire obéir séance tenante : elle lèche le scrotum des 2 jeunes arabes, suce leurs doigts de pieds en mimant des fellations obscènes, mange à 4 pattes dans le salon dans une écuelle tandis qu'elle est sodomisée.

Le lendemain, vers midi, avant l'heure de départ de la villa, elle est contrainte de commander une pizza et de séduire, à son arrivée, le livreur. Ce qu'elle fait, en l'accueillant dans le plus simple appareil, le suppliant de pouvoir le sucer avant, sur le carrelage du hall d'entrée, d'être prise en levrette.