La Déchéance de Caroline - 07

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Retour en Europe - 4ème partie.
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Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
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Les humiliations dégradantes se poursuivent encore durant quelques semaines. Puis, d'un coup, tout change dans l'environnement professionnel de Caroline : Patrick Parmentier a été appelé à une autre fonction et s'en est allé à près de 300 kilomètres, emmenant avec lui son épouse Charlotte et son chauffeur Ernest. Albert, lui, a été admis à la pension. La Cheffe de Cabinet se retrouve bientôt à la tête d'un staff exclusivement féminin, sa nouvelle patronne, Lyse Duchamp, étant également une femme. Elle en profite pour retrouver des tenues plus classiques et plus strictes, adaptées à sa fonction, faire enlever ses brillants et retrouver sa couleur initiale de cheveux. Elle est à nouveau presque heureuse, même si elle reste marquée par tous les tourments subis et les relations non consenties.

Elle a par ailleurs coupé tout contact possible avec Ahmed et Mourad, qui n'ont d'ailleurs pas insisté, chacun des 2 ayant désormais une amoureuse de leur âge.

Alors qu'elle s'apprête à basculer à nouveau dans sa vie initiale, la Directrice a toutefois la mauvaise surprise, en rentrant un vendredi soir de son travail, de voir avec horreur la Comtesse sortir de sa maison, son mari l'accompagnant jusqu'au pas de la porte. Tandis qu'elle se croise dans l'allée, Caroline interpelle Charlotte :

- Que... que faites - vous ici?

Un petit rictus illumine le visage de Madame Parmentier :

- Je viens de remettre à Eric, ton chéri, quelques documents visuels très intéressants te concernant. On les a regardés ensemble, comme tes enfants sont partis une semaine chez tes parents. Tu ne croyais quand même pas t'en tirer comme cela, petite salope? Belle soirée...

Le week-end est épouvantable : accueillie par 2 gifles magistrales administrées par son mari, la Cheffe de Cabinet passe son temps en pleurs, entre 2 disputes extrêmement violentes. Son époux la menace de demander le divorce et la garde exclusive de leurs 3 enfants, tout en rendant publiques -du moins à la famille et aux proches- les nombreuses vidéos où Caroline est, malgré elle, en « action ». La jeune femme le supplie de réfléchir. Nous sommes le dimanche en fin de journée. Pour toute réponse, Eric lui tend un document :

- Signe cela, si tu veux que je reste! Désormais, ta vie va bien changer! Tu feras tout ce que je te dis!

A la lecture dudit contrat, elle blêmit et manque de s'évanouir. Il lui semble que son cœur va sortir de son corps et que sa tête va exploser, sous le choc de ce qu'elle vient de lire :

« Je suis une bonne épouse salope et soumise, car :

- Je prodigue toujours une pipe à mon mari, à la demande de celui-ci ;

- Mon mari choisira mes amants. Je coucherai avec qui il ordonne, où et quand il l'ordonne ;

- Il choisira également mes tenues vestimentaires, toutes devront être ultra sexy, sauf au travail ou en famille ;

- Lorsque je fais une turlute à un homme, je dois la faire à genoux, en regardant mon amant droit dans les yeux durant tout le temps où je lui dégorge le poireau. Avant d'avaler, je sors la langue pour lui montrer que j'ai bien tout pris dans ma bouche ;

- J'offre systématiquement mes trois trous à celui avec qui je vais baiser, car mes trous sont accessibles et publics ;

- Je suis d'une propreté impeccable. Ma chatte doit être lisse, constamment et intégralement épilée ;

- J'ai l'obligation de crier lorsque je couche avec un homme. Je dois d'abord le sucer longuement, pour que sa queue devienne bien dure, puis demander poliment à mon séducteur s'il accepte que j'enfourne sa bite dans mon vagin. Je ne peux forniquer que dans deux positions : à cheval sur mon partenaire ou en levrette. Celle du missionnaire m'est interdite. Une fois que j'ai joui, car je suis obligée de le faire, j'implore mon mâle de m'enculer et de se vider dans mes intestins ;

- J'accepte sans discuter une double ou une triple pénétration ;

- Durant la copulation, je dois m'exprimer avec des mots vulgaires, là encore pour renforcer mon image de chienne ;

- Je dois remercier systématiquement et crûment tout « amant » pour m'avoir permis de lui sucer la queue, puis de m'avoir baisée et enculée ;

- J'accepte les punitions de mon mari et Maître si je me conduis en mauvaise épouse soumise et salope ».

Caroline, interloquée, articule péniblement :

- Mais... ce n'est pas possible... Eric, s'il te plaît...

Ce dernier répond sèchement : - Tu indiques « lu et approuvé », tu dates et tu signes... ou c'est la porte et le divorce!

Tremblante, elle s'exécute. Le reste de la journée s'écoule lentement, dans un silence pesant. La nuit est toute aussi longue : son mari, sans mot dire, lui tourne le dos dans le lit conjugal.

Le lundi, la Directrice passe une mauvaise journée au travail, et masque tant bien que mal ses soucis personnels. A son retour à la maison, vers 18h, son époux l'attend dans le salon :

- J'ai fait les courses. Va à la salle de bain. Il y a une tenue qui t'attend pour ce soir et respecte bien les consignes qui sont notées sur le papier posé à côté de tes vêtements. Tu as 20 minutes...

Avant que le délai ne se soit écoulé, Caroline, le feu aux joues, revient dans le salon. Elle est habillée d'un chemisier blanc dont les 3 premiers boutons sont ouverts, d'une mini-jupe à carreaux verts et noirs extrêmement courte (s'arrêtant juste en - dessous de ses fesses) et de sous-vêtements (soutien-gorge et string) de couleur noir.

La tenue est terminée par une paire de chaussettes noires, s'arrêtant en - dessous des genoux et d'une paire de socquettes noires. Un rouge à lèvres très rouge lui sert de maquillage et met particulièrement en avant ses lèvres pulpeuses. Vêtue de la sorte, elle a tout d'une écolière perverse. Railleur, son mari ne manque pas de la complimenter :

- Ma chérie, tu es ravissante. Mes collègues vont être charmés!

- Tes collègues? bredouille sa femme.

- Oui, j'ai invité 2 collègues de travail à faire une partie de cartes. Comme tu es là, on pourra jouer, car on sera 4. Tu connais le strip -- poker?

Déjà la sonnette retentit. Eric invite la Directrice à aller ouvrir et à faire entrer ses amis. Elle s'exécute et bizarrement, lorsqu'elle leur serre la main, elle se demande si elle ne les a pas déjà vus quelque part. Chacun des 2 hommes -proches eux aussi de la quarantaine- jette un regard admiratif à la jeune femme. Fièrement, Eric fait rapidement les présentations, avec un léger fond d'ironie :

- Vous vous souvenez de mon épouse? Vous l'avez rencontrée l'année dernière au cocktail de la société! Chérie, tu souviens de Pol et d'Antoine? Bon, il est temps de passer à l'apéro!

Et ce faisant, pendant près d'une heure, tous bavardent dans le salon, l'ambiance ne manquant pas de mettre Caroline de plus en plus mal à l'aise. D'autant que son époux ne manque pas de servir, entre les zakouskis, plusieurs coupes de champagne à celle-ci, la rendant finalement quelque peu pompette. Jugeant le moment opportun, l'hôte invite tout monde à s'installer à la table du salon pour commencer la partie.

Après avoir expliqué brièvement les règles à Caroline, qui n'y a jamais joué, il lance la première donne. Les parties s'enchaînent : Eric perd sa veste, ses chaussures et ses chaussettes, Pol uniquement sa veste et Antoine tout sauf son pantalon. Et bien évidemment, c'est la Cheffe de Cabinet qui, après avoir dû enlever ses chaussures, son chemisier et sa mini-jupe, se retrouve désormais vêtue de ses seuls sous-vêtements et de ses chaussettes montantes. Elle est gênée d'être dans une telle tenue devant les collègues de son mari et aimerait rentrer sous terre.

Après un nouvel apéro, la partie reprend. Caroline perd à nouveau et est contrainte, cette fois, d'ôter son soutien-gorge, Eric lui ayant interdit d'enlever ses chaussettes. Désormais débarrassée de toute protection, la splendide poitrine de la femme s'étale devant les 3 mâles. Les seins sont magnifiques, ronds et fermes. Après 3 nouvelles donnes, Antoine ne porte plus qu'un caleçon tandis que la Directrice doit abandonner son string, dévoilant à ses partenaires de jeu sa chatte récemment épilée, sur base du récent « contrat » signé à la demande de son mari.

- En voilà un bel abricot, s'esclaffe Antoine.

Caroline, désormais quasi nue, signale que n'ayant plus que ses chaussettes, elle doit quitter la table.

Son époux lui intime fermement de rester :

- Le jeu n'est pas fini tant que le dernier joueur en liste, c'est-à-dire celui qui terminera avec au moins un vêtement, n'est pas déclaré vainqueur. En attendant, celle ou ceux qui sont nus poursuivent la partie et, à chaque fois qu'ils perdent, devront s'acquitter d'un gage décidé par le gagnant de la manche concernée. Pol gagne la donne suivante et Antoine la perd. Pol décide toutefois que c'est Caroline qui devra enlever le caleçon d'Antoine. Elle n'a aucune illusion sur ce qui va se passer en fin de soirée. Elle s'exécute et tandis qu'Antoine se lève, elle se met sur les genoux et, avec ses 2 mains, tire d'un coup sec le boxer qui fait jaillir d'un coup le sexe de l'homme à quelques centimètres de sa bouche. La partie s'enchaîne, comme les verres.

Cette fois, c'est Eric qui gagne la mise et son épouse qui la perd. Il lui ordonne alors de s'occuper de la queue d'Antoine. La Cheffe de Cabinet, sachant qu'elle y est obligée, se penche sur celle-ci et approche son visage de ce sexe qui semble soudain prendre de l'ampleur. Elle ouvre les lèvres, sort la langue et commence à lécher le gland, sous les regards à la fois excités et inquisiteurs des autres joueurs.

Antoine commence à montrer de sérieux signes d'agitation. Il caresse les cheveux de Caroline, en grognant, gémissant et en râlant de plus en plus belle. La Directrice continue sa fellation, honteuse d'être obligée de s'avilir. Dans un spasme plus puissant que les autres, l'homme finit par exploser et projette des jets chauds de sperme dans la bouche de la malheureuse. Celle-ci est alors invitée, après avoir ouvert la bouche et sorti la langue pour montrer le sperme recueilli, l'avale avant d'être aidée à se redresser. Chaque joueur reprend sa place autour de la partie de strip-poker.

Une nouvelle donne commence. Eric la gagne à nouveau tandis qu'une fois encore, sa femme la perd :

- Cette fois, tu vas devoir donner ton cul à Pol! Allez, mets - toi en levrette sur le canapé et écarte bien tes fesses! Je vais te préparer car mon ami à une très grosse bite!

Tout en parlant, Eric s'applique du lubrifiant sur ses doigts et continue ses explications à l'attention de tous :

- Même si mon épouse, comme vous avez pu le constater, est une chienne en rut, il est néanmoins important de bien lui graisser la raie.

Bientôt, un doigt, puis 2 et enfin un 3eme s'agitent dans le cul de Caroline, qui n'a jamais été aussi humiliée par son mari :

- Tu pourrais au moins me remercier de t'élargir, chaudasse!

Et la Directrice, machinalement, de répondre :

- Merci de m'assouplir, mon chéri!

Et son époux de poursuivre : - Voilà qui est mieux!

Puis s'adressant à Pol : - Mon ami, ce très joli cul est à toi! Il est temps de t'en occuper!

L'homme, devant une telle aubaine, ne se fait pas prier et, posant son gros gland contre l'œillet de la femme, commence à s'introduire. Il s'arc-boute, empoigne les cheveux de Caroline et tire sa tête vers l'arrière, tandis qu'il progresse inexorablement.

Elle gémit de douleur et les assauts, laissant échapper un râle rauque à chaque coup de reins. L'accouplement ignoble dure encore de longues minutes avant que Pol, en criant, ne lance :

- Putain! Je jouis en te cassant le cul! Je te balance ma purée!

Quelques instants plus tard, une bite molle sort de l'anus de la Cheffe de Cabinet, qui s'effondre dans le canapé. Eric lui tapote les fesses :

- Allez, chérie, la soirée n'est pas finie! On termine la partie! A table!

Nouvelle donne. Cette fois encore, c'est Eric qui gagne et Caroline qui perd. Elle se retrouve à nouveau dans le canapé, faisant face aux joueurs. Elle est obligée de se caresser devant eux avant d'accueillir le sexe de son mari dans sa chatte : - Je la connais déjà, crâne Eric, mais je vais retourner dedans volontiers, car elle est chaude comme la braise!

La Directrice a envie de se débattre, de pleurer et de crier à l'aide. Mais elle ne peut rien faire, si ce n'est subir pour ne pas avoir la honte de voir ses vidéos diffusées à ses proches. Son mari commence à lui lécher la poitrine, mordillant et étirant les tétons.

Puis, s'agrippant à ses hanches, il enfonce violemment sa queue dans la chatte sans défense et entreprend de la labourer vigoureusement, s'enfonçant à chaque fois un peu plus profondément dans son tunnel d'amour, avant de vomir son sperme au fin fond de son utérus. Il s'écroule sur sa poitrine afin de se relever et de la laisser inerte sur le canapé. Pendant près d'une heure, les 4 joueurs se remettent de leurs émotions. Tous sont nus, Eric ayant interdit à Caroline de se rhabiller.

Elle doit également assurer le service des coupes de champagne. Les hommes en profitent pour la peloter honteusement, malaxant ses seins, palpant ses fesses, introduisant un doigt dans son anus ou s'amusant parfois à branler son clitoris. Deux nouvelles bouteilles sont ainsi à nouveau vidées. La Directrice a désormais la tête qui lui tourne. Eric reprend alors la parole :

- Il est temps de terminer la soirée en apothéose! Tu vas leur montrer à quel point tu es une sacrée suceuse de bites.

Se faisant, les 3 hommes l'entourent, tandis qu'à genoux, elle s'escrime d'une queue à l'autre. Lorsque les 3 sexes sont à nouveau dressés et pleins de vigueur, Eric invite Antoine à s'allonger à même le sol, sur le tapis du salon et force sa femme à s'empaler sur le chibre. Quelques instants plus tard, Pol, lui, s'enfonce dans sa bouche. Son époux, après lui avoir à nouveau masser l'anus avec du lubrifiant, positionne enfin son gland contre celui-ci. Et pour une nouvelle fois dans sa vie, Caroline connaît une triple pénétration, étant baisée simultanément dans tous ses orifices. Ses baiseurs d'un soir sont déterminés à ne pas l'épargner. Ils profitent de longues minutes de son corps, chacun se vidant une dernière fois dans le trou occupé.

En partant, les 2 invités ne manquent pas d'adresser des remarques blessantes à la jeune femme :

- Tu es super, Caro! Je me suis bien vidé les couilles en toi...

Ou encore : - Je n'en reviens pas! Je ne savais pas à quel point tu étais une boîte à queues!

Pleurant chaudement, Caroline s'affale dans le lit conjugal, avant de sombrer, annihilée par l'alcool ingurgité, dans un sommeil semi - comateux. Le lendemain, au matin, elle est réveillée par son époux, qui lui inflige une violente claque sur ses fesses :

- A 4 pattes, salope! C'est l'heure de ta bite au cul! hurle-t-il.

Prenant la position indiquée, malgré le mal de tête qui l'accable, la Cheffe de Cabinet sent un doigt poser du lubrifiant sur son anus. Dans la foulée, elle est violemment enculée par Eric, qui la lime en cadence, se cramponne à ses hanches, lui pelote ses seins qui se balancent. La verge de son mari, toute entière, est entrée dans son rectum :

- Tiens, prends - la bien dans ton trou de balle, espèce de four à bites! Tu aimes ça, hein... te faire défoncer par l'arrière. Espèce d'enculée!

Emoustillé comme jamais, il éjacule puissamment dans le fondement de sa femme :

- C'était bon! Je t'ai bien rempli les boyaux! Va te laver, maintenant! Il est temps d'aller à ton boulot!

Dès qu'elle sort de la salle de bains, Eric lui donne de nouveaux ordres :

- Tu iras ce soir chez notre voisin, Nicolas Gillet, celui qui habite à l'entrée de la rue et que tu n'aimes pas. Débrouille - toi comme tu veux, mais je veux que l'invites à prendre l'apéro chez nous demain soir!

Les larmes aux yeux, Caroline implore son mari : - Chéri, s'il te plaît, pas cela!

Son époux lui rétorque froidement : - Tais -- toi, putain! Fais ce que je te dis! Demain, on prendra l'apéro avec lui! S'il ne vient pas, inutile pour toi de revenir! C'est clair, salope?

La jeune femme ne peut pas le nier : elle déteste Nicolas. Agé d'environ une soixantaine d'années, retraité de l'enseignement, célibataire, il s'est installé il y a environ 3 ans dans la localité. Dégarni, avec une tête peu avenante, il est doté un long nez surmonté d'une épaisse paire de lunettes. On dirait des loupes! Ses joues sont ostensiblement rosies par l'alcool. La Cheffe de Cabinet s'est toujours méfiée de cet homme.

Cela doit être un sacré drôle de type, se dit-elle toujours en le croisant. Un gars véritablement malsain!

Le soir venu, après sa journée de travail, stoppant devant la maison de Gillet, la Directrice fait tinter plusieurs fois la cloche qui sert de sonnette. Le vieil homme passe la tête par la fenêtre :

- Qui est-ce? Et que voulez-vous?

La Cheffe de Cabinet se force à avoir l'air sympathique :

- Bonjour! C'est votre voisine. Je suis venue vous inviter à boire l'apéro chez nous. Ce sera l'occasion pour vous, mon mari et moi de mieux nous connaître et de briser la glace. Autant s'entendre en toute amitié, non? Les relations de bon voisinage, c'est essentiel!

Le retraité, d'abord surpris, contemple les courbes, largement cachées mais que l'on devine néanmoins sous les vêtements de Caroline :

- Demandé aussi gentiment et par une dame splendide, ce sera bien volontiers! A demain, alors!

- Merci beaucoup pour ce charmant compliment! A demain, 20h! conclut - elle, dans un large sourire forcé.

Le lendemain soir arrive. Dès qu'elle franchit le pas de la porte, son mari lui ordonne d'aller à la salle de bain et de respecter les consignes qui sont indiquées à côté de la pile de vêtements qui l'attend. Les consignes, écrites de la main de son mari, sont claires :

- Tu seras habillée entièrement en vêtements de couleur noire et de la manière suivante : un chemisier finement transparent et une minijupe. Pour les sous-vêtements : un soutien-gorge en dentelle, un porte-jarretelle auquel seront accrochés des bas. Ta tenue sera complétée par un string ficelle assorti au soutif...

A 20h, la sonnette retentit et la Directrice, vêtue comme demandé par son époux, va ouvrir la porte et invite son voisin a pénétré dans la demeure, non sans lui donner 3 bises sur les joues.

Surpris de cette entrée en matière, Gillet, l'air content, complimente la jeune femme :

- Vous êtes très en beauté ce soir! Classe, sexy, dans des vêtements qui vous mettent en valeur sans être, comment dirais - je, inappropriés. Vous avez un goût des plus sûrs!

Se forçant à faire comme si elle était heureuse de cette flatterie, elle lui répond en minaudant :

- Merci! Vous allez me faire rougir! Vous pouvez me tutoyer, vous savez et m'appeler Caroline! Installez - vous dans le canapé du salon, près de mon époux. Je m'éclipse dans la cuisine et revient dans quelques instants avec les boissons...

S'installant dans le sofa à côté du mari, le vieil homme ne peut que manifester sa surprise :

- Eric, je me suis trompé sur votre épouse. Finalement, elle est très gentille!

Ironique, l'époux se contente de lui répondre d'un air mystérieux : - Et encore, vous n'avez rien vu!

Revenant de la cuisine en portant un plateau en argent, la Cheffe de Cabinet débouche une bouteille de champagne, remplit 2 flûtes qu'elle tend aux hommes et place le restant dans un seau à glace. Elle prend une chaise, située non loin, allume la stéréo, qui diffuse une musique sensuelle et, faisant face aux 2 mâles, prend la parole :

- Nicolas, je n'ai pas été très gentille avec vous. Je vous snobe depuis votre arrivée il y a 3 ans. Aussi, j'ai proposé à Eric, mon mari, qui a accepté, de vous offrir un petit spectacle pour m'excuser!

La jeune femme a pensé, jusqu'au dernier moment, qu'elle ne parviendrait pas à terminer ce laïus qui lui a été imposé par son époux. Malgré son état psychologique, elle réussit. Guidée par le son lancinant de la chanson, elle déboutonne lentement, un par un, chacun des boutons de son chemisier aérien et vaporeux. De temps à autre, entre 2 pressions ouvertes, elle se retourne, abaisse le vêtement sur la moitié d'une épaule, dévoilant celle-ci avant de la masquer à nouveau. Pour la plus grande excitation des 2 hommes.

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