La Déchéance de Caroline - 05

C'est ensuite au tour du Président, qui fourre sa pine entre les lèvres béantes et guide la tête de son employée, la tirant par les cheveux pour l'attirer vers lui. Sa femme, férocement, cravache toujours le derrière de la Cheffe de Cabinet. Le même scénario se reproduit avec Albert. Pleurant à chaudes larmes, elle est finalement libérée de la barre de contrainte et de l'écarteur. Charlotte termine cette séance « hard » en lui passant un baume apaisant sur son cul, non sans lui enfiler un doigt dans son œillet.

Le reste de la journée se passe sans encombre, chacun se remettant de ses émotions. Le soir, toujours selon les instructions de l'épouse de Parmentier, Caroline est forcée de s'empaler sur la bite de son patron, qui s'est allongé sur le tapis du salon, tandis qu'Albert s'enfonce dans sa bouche. Ernest, qui lui masse l'anus avec la vaseline, positionne son gland contre celui-ci avant de l'enculer.

Pour la deuxième fois de sa vie, elle connaît une triple pénétration, étant baisée simultanément dans tous ses orifices. Elle tremble de tous ses membres sous les puissants assauts de ses violeurs déterminés à ne pas l'épargner. Comme la veille dans la chambre, la femme du Président filme tout, le visage des 3 hommes étant masqué par un loup. Ils profitent pendant des heures de son corps, changeant de position à chaque reprise, de façon à ce que chacun puisse se vider dans chacun des trous de la soumise.

Ernest, dont elle partage la couche cette nuit-là, la laisse également tranquille...

Enfin, le lundi, avant de prendre le chemin du retour, elle est cravachée sur les fesses, les seins, les cuisses et même parfois sur la plante des pieds, avant d'être sauvagement baisée et enculée.

Ce soir-là, de retour à la maison familiale, près de ses 3 enfants chéris, elle n'ose pas se montrer dénudée devant son mari, de peur qu'il ne découvre les stries bleutées et roses marquant son corps et, prétextant une grande fatigue, en profite pour aller se mettre au lit dès après la fin du repas...