La Déchéance de Caroline - 04

Le vendredi suivant, changement de scénario : lorsqu'elle arrive à l'appartement des Parmentier, Caroline se retrouve cette fois seule avec Charlotte. Celle-ci l'attend dans la chambre où la Directrice se déshabille habituellement avant de commencer son ménage. Elle porte un loup rendant son visage non - identifiable. Une caméra du trépied est installée dans un coin. Déjà la maîtresse des lieux ordonne à la Directrice d'enlever ses vêtements et, nue, de s'installer sur le lit, face caméra. La femme du Président l'enclenche, tandis qu'elle se positionne derrière sa soumise, lui badigeonnant les lèvres, le clito et l'anus de l'habituel puissant gel chauffant.

Pendant plusieurs minutes, ses doigts agiles s'amusent à titiller les lèvres de la soubrette et à lui branler son bourgeon d'amour. Avec pareil traitement, le sexe de Caroline commence à s'humidifier. Le caméscope enregistre toute la scène, y compris les petits gémissements de la Cheffe de cabinet. S'équipant alors d'un gode-ceinture orné d'un sexe factice de couleur noire et aux dimensions moyennes, Charlotte entreprend d'introduire celui-ci dans la chatte de sa soumise. Elle la besogne méthodiquement, alternant coups de reins lents et rapides, jusqu'à ce que la Directrice ne puisse retenir un orgasme, lui aussi capturé par la caméra. Madame Parmentier change alors de trou et positionnant le gode contre l'anus de la bonne d'un jour, investit celui-ci sans ménagement. Commençant à mordiller l'oreille de sa soumise, elle ne manque pas de lui susurrer des mots inquiétants : - Tu aimes, petite salope, cette bite en plastique noire dans ton cul? Rassure - toi, je suis en train de t'en chercher une vraie, une grosse, rien que pour toi! Bientôt, tu revivras très souvent ce qui s'est passé au Gabon!

Pendant de longues minutes, elle est enculée à l'aide du sexe factice, tandis que Charlotte lui claque violemment les fesses avant de l'obliger à se branler jusqu'à ce qu'elle jouisse.

Elle finit par laisser échapper un long feulement, sous le sourire narquois de sa tourmenteuse.

Quelques instants plus tard, elle est renvoyée chez elle sans ménagement. La semaine suivante se passe sans accroc. La Directrice se retrouve seule avec son collègue, Albert, le vieux garçon. Elle apprend en effet que le chauffeur et homme à tout faire de Parmentier est parti à la retraite et que le Président recherche activement un remplaçant. Caroline a également été informée par téléphone par Charlotte qu'elle ne devait plus venir faire le ménage chez elle. La jeune femme se sent soulagée : peut-être est-ce enfin la fin de son calvaire? Le lundi qui suit, elle reçoit toutefois un appel de sa Maîtresse : - Préviens ton mari que tu ne seras pas là le week-end prochain. Je viendrai te chercher samedi matin et te ramènerai le lundi soir. On se fait une petite virée entre filles! Nous possédons avec mon mari une maison de campagne au bord d'un lac et je voudrais te faire découvrir l'endroit. Je veux juste que tu prennes notamment parmi tes vêtements les jolis débardeurs et les shorts courts achetés l'autre fois. Cela mettra tes formes en valeur. Et comme il fait encore bon, tu prendras aussi le petit bikini blanc que tu portais dans les thermes au Gabon. Mon époux m'a dit qu'il était magnifique.

Et qui sait, si on l'occasion de plonger dans le lac! Il ne te reste plus qu'à annoncer la nouvelle à ton cocu! S'il savait quel genre de salope il a épousé! Mais c'est notre secret, non?

-Oui, Maîtresse..., répond Caroline, décomposée. La jeune femme commence à s'attendre au pire.