La Coloc

Après quelques minutes de récupération, je basculais sur le côté encore haletante : "C'est bien, t'as bien travaillé. Tu peux partir maintenant." Nathan sortit de la chambre le visage, les cheveux et le T-shirt complètement trempés. Bon sang ce que cela avait été bon. Je me couchais pleinement satisfaite, des étoiles plein la tête.

De son côté, Nathan de couchais après une bonne douche (encore une autre je veux dire), la tête aussi certainement pleine d'étoiles mais aussi avec une véritable boule de feu à la place des boules.

Le marché

Le matin levé, je sifflais Nathan qui était déjà affairé à la cuisine pour préparer mon petit déjeuner. "Alors, bien dormi?" lui demandai-je.

- "Non pas vraiment, j'ai littéralement cru mourir avec cette cage toute la nuit."

- "Oh nos petites coquineries d'hier soir t'auraient donc plu?"

- "Je... oui énormément, c'était la première fois, mais vraiment j'ai adoré. Merci de m'avoir donné cette chance."

- "Tu veux que je sois honnête avec toi? Tu t'es aussi très bien débrouillé. Vraiment. Avec un tel talent et un peu d'entraînement supplémentaire, je ne suis pas prête de te libérer ahah. M'enfin si tu continues comme ça, je crois que je pourrais te laisser jouir plutôt que prévu. Enfin si tu es d'accord."

- "Oui, je suis d'accord."

- "Bien, et si tu venais prendre ton petit déjeuner alors?"

Je prenais les cheveux de Nathan pour lui tirer la tête entre mes cuisses. C'est à peine si j'étais redescendue de mes orgasmes de la veille, que j'en voulais encore. Il se débrouillait bien. Là encore j'explosais de plaisir. C'était vraiment bon.

Après avoir repris mon souffle, je lui proposais quelque chose qui allait le pousser hors limites. J'étais curieuse de voir sa réaction.

- "Nathan, tu sais que maintenant c'est Nico qui a tes clés n'est-ce pas?"

- "Oui je m'en rappelle bien."

- "Du coup, tu peux me lécher autant que tu le voudras, ce n'est au final pas moi qui prendra la décision finale de te libérer."

- "Enfin si tu lui demandes, il voudra bien non?"

- "Nico est du genre à négocier, tu vois. Mais tu as de la chance, je crois que tu possèdes quelque chose qui peut l'intéresser."

- "M'enfin qu'est-ce que je peux avoir qui l'intéresse?"

- "Je t'en parle maintenant pour que tu puisses y réfléchir. Nico aime beaucoup les femmes, mais il aime aussi les hommes..."

- "J'ai un peu peur de comprendre."

- "Laisse-moi finir. Je sais qu'il aimerait énormément déflorer un garçon encore vierge. Je peux négocier cela avec lui si tu veux. J'ai mes cours qui reprennent lundi, j'ai deux mois de cours, et Nico est censé revenir à l'appart aux prochaines vacances. Tu as donc 2 mois complets pour réfléchir à ma proposition. Je suis certaine qu'il te laissera jouir -- sous surveillance bien-sûr -- avec un tel argument."

- "Je ne sais pas. C'est clairement pas quelque chose que j'envisageais. Les hommes, moi... enfin c'est vraiment pas mon..."

- "Ok je comprends. Je te laisse y réfléchir. Et puis après deux mois passés sans jouir, avec ta petite queue coincée dans sa cage et à me lécher matin et soir, cela te motivera peut-être, qui sait?"

Mon nouveau plan était diabolique. Dans deux mois, je mettais ma main à couper qu'il réclamerait lui-même de d'avaler mon homme et qu'il l'accueillerait lui-même avec ses petites fesses bien écartées. Mon rôle pendant ces deux mois serait de le gonfler à bloc, de le frustrer jusqu'à la mort et que ses boules pitoyables soient tellement chargées qu'il irait jusqu'à se prendre une queue dans le derrière et aller à l'encontre de ce qu'il croit aimer ou pas pour simplement avoir le droit d'éjaculer. A ce moment seulement, je jugerais ma vengeance accomplie.

Soumission totale

Deux mois ont passé. Nathan était décidément extrêmement doué avec sa bouche. Je ne comptais plus les orgasmes multiples et les éjaculations à répétition que j'ai pu avoir pendant cette période. Il finissait tellement désespéré de me lécher que j'avais fini par le laisser me lécher l'anus. Il adorait vraiment ça, et moi aussi. Mes pieds n'avaient pas été oubliés dans cette histoire bien évidemment. Sa langue était devenue une véritable serpillière. Nathan était aussi devenu tellement désespéré d'avoir une quelconque interaction avec sa misérable bite qu'un jour, il est venu à genoux devant moi en me suppliant de lui latter les couilles à coups de pieds. Cette fois, c'était super défouloir. Après ça, c'est moi qui lui demandait d'écarter les cuisses pour que je puisse lui éclater les joyeuses. Très bonne distraction en soi. Le voir ensuite se tortiller au sol de douleur. Exquis spectacle.

Puis vint le jour où Nico devait passer les vacances à l'appart. S'il n'avait pas oublié, normalement, il devait avoir les clés de la cage de Nathan avec lui. Nous n'avions pas rediscuté de notre marché avec Nathan finalement. Le séjour de Nico allait être intéressant.

Pendant toute la journée, Nathan fut irréprochable, il était aux petits soins pour nous deux : repas amené à table, massage et léchage de pieds pour moi et en prime nettoyage de voiture pour Nico. Histoire de rire un peu, j'avais interdit Nathan de s'habiller dès lors qu'il était en notre compagnie. À ce propos, Nico s'étonna : "Ah mais il porte toujours ce truc là?"

- "Bah oui ma nouille, c'est même toi qui a les clés tu te rappelles?"

Nathan commençait à se décomposer en réalisant que Nico avait très certainement perdu les clés.

- "Ahah mais oui je plaisante, je m'en rappelle bien, je les ai même apporté avec moi. Je me suis dis que ça pourrait servir..."

- "... Ou pas!" interrompis-je.

Visiblement Nathan n'aimait pas trop notre humour. Ce qui rendait les moqueries encore plus délicieuses.

Je repris la discussion : "Et bien, j'ai pensé que ce soir on pourrait le laisser libre un peu pour qu'il puisse se branler la nouille devant nous et qu'on puisse s'amuser un peu?" Je commençais à embrasser langoureusement Nico, tout en lui chauffant l'entrejambe avec ma main. Nathan lui, était toujours à genoux devant nous.

- "mmm oui si tu veux..."

- "En plus, je t'ai préparé une petite surprise, enfin Nathan t'a préparé une petite surprise... N'est-ce pas Nathan?"

Je sentais qu'il était extrêmement mal à l'aise et avait beaucoup de mal à sortir ne serait-ce qu'un mot.

Je proposais mon aide à Nathan : "Attends, je vais t'aider à formuler : Nico... Me laisseriez vous... "

- "Nico, me laisseriez vous... "

- "Vous sucer... "

- "...Vous sucer"

- "Et aussi me prendre par les fesses..."

- "... Et aussi me prendre par les fesses".

- "C'est Bieeeeen Nathan. Très beau travail." je glissais dans l'oreille de mon cher et tendre que notre petit Nathan était vierge. Je sentais l'érection déjà fort bien engagée à travers le jean de Nico, je retirais donc la boucle de la ceinture puis la braguette. Nico finit par baisser son pantalon et son caleçon.

- "Ok, avec plaisir, viens par ici, je te laisse me montrer à quel point tu veux les clés de ta cage."

Nathan s'approcha timidement, il n'osait pas toucher le sexe en érection qui se présentait devant son visage, mais débuta quand même par faire quelques baisers sur le gland de mon amant. Cette scène remplit de novicitude et de timidité commençait à me faire effet. Je prenais beaucoup de plaisir à regarder le spectacle. J'en profitais aussi pour garder quelques souvenirs photographiques avec mon téléphone. On ne sait jamais.

Nathan commençait à prendre les choses en main et suçait désormais Nico comme j'aurais pu le faire moi-même.

- "Ouh! il est doué. Tu es sûr de faire ça pour la première fois?" Nico appréciait vraiment ma petite surprise. Je commençais à me toucher délicatement. La température montait.

Nico fermait les yeux, il était aux anges puis s'arrêta une seconde : "Oulah, je crois que je vais finir. Tu préfères continuer comme ça ou bien je te sodomise tout de suite?"

Nathan qui était désormais très consciencieux dans sa fellation répondit : "Non, c'est bon, vous pouvez finir. Merci".

- "Oh putain ouais! En plus il me remercie, c'est trop bon!"

Nathan repris le phallus dans son entièreté en bouche. Après quelques va-et-vient, Nico se mis à jouir. Pour éviter que notre larbin relève la tête, il la lui maintient en place. Je reconnaissais les soubresauts symptomatiques d'une bonne grosse éjaculation. Nico semblait vidé, Nathan avait tout pris dans le fond de la gorge sans se plaindre.

En regardant sa cage de plus près, son pitoyable engin était rouge de compression et ses boules quasiment bleues.

- "Eh beh, on dirait que ça te plaît bien, regarde, tu coules même un peu de ta cage." C'était vrai, on voyait du liquide pré-séminal s'écouler de l'extrémité.

Avec toutes ces émotions, j'étais en feu et je comptais bien sur la langue de mon larbin pour me venir en aide : "Aller Nathan, viens par là aussi, j'ai du travail pour toi!"

Nico qui végétait sur le canapé regardait à son tour Nathan prendre soin d'une reine comme il se devait. J'étais tellement chaude qu'il ne m'a pas fallu 5 minutes pour asperger le visage de mon larbin. "Aller va te laver souillon."

Après un petit quart d'heure pendant lequel nous avions continué à nous embrasser et à se chauffer avec Nico, Nathan revenait de la douche. C'est désormais une belle érection toute neuve qui attendait les petites fesses vierges de notre jouet. Nico annonçait ainsi : "Oh Nate, vient me mettre une capote là dessus et viens par là, j'ai envie de toi."

Nathan se remettait à genoux devant son maître et enfilait délicatement un préservatif sur tout le long de la verge bandée.

- "Bon, pour que ça se passe bien, c'est toi qui vas t'asseoir sur moi. Tu y vas doucement, ne te fais pas mal. C'est ta première fois, ce serait dommage de te casser dès le début."

Nathan tourna le dos à Nico qui était toujours avachi dans le canapé puis commençait à approcher ses fesses.

- "Voilà, surtout, respire bien, il faut que tu t'assois doucement jusqu'à ce que ton anus m'accepte en toi. Ensuite tu pourras descendre à ton rythme. Pas de pression, c'est toi qui gère."

Comme pour la fellation, Nico ne brusquait pas mon soumi. Même si parfois il se donnait des airs avec une phrase tout droit sorti d'une scène X, il restait très doux.

À la réaction du visage et de la cage de Nathan, je pouvais voir quand le gland était déjà rentré. Il descendait très doucement sur la verge de mon amant, 1 cm, peut-être 2 puis remontait. Il recommençait et s'enfonçait toujours plus. Puis vint le moment où Nathan pu s'assoir complètement sur les cuisses de Nico. Il avait fait disparaître la totalité de la queue de mon Nico dans son derrière. Impressionnant. À ce moment, le semblant de pénis bleui de Nathan faisait sursauter la cage. Son visage devint rouge et grimaçait. Je me réjouissais du spectacle : "Oh oh oh, je crois qu'il est en train de jouir!!!"

Nathan gémissait, et de sa cage coulait désormais sa semance par intermittence. Une quantité impressionnante de sperme jonchait le sol. En même temps, deux mois d'abstinence complète et de frustration sexuelle... n

Nico qui n'avait pas terminé du tout dit : "Ok, je peux y aller maintenant, tu es prêt?" Tout en restant profondément enfoncé dans le cul de Nathan, il le bascula pour le mettre à quatre pattes au sol pour pouvoir enfin s'exprimer. Nico débuta ses va-et-vient à un rythme que même la cage qui pendait entre les jambes de Nathan n'arrivait pas à suivre. Après quelques minutes intenses, Nathan se remis à jouir sur le sol. Il avait visiblement encore un peu de réserve. La contraction anale de Nathan finit par avoir raison de l'endurance de Nico qui à son tour finit en essayant de se mettre au plus profond dans son partenaire de sodomie. Ce fût un duo de jouissance et de gémissements. Nico se retira puis retira la capote pour la laisser par terre.

J'humiliais une dernière fois mon larbin, étalant la semance qui était au sol avec mon pieds puis en demandant à ce dernier de lécher le tout. Je me sentais comblée.

CDI

Une fois que tout était nettoyé et tout le monde (sauf Nathan) rhabillé, je faisais tomber le couperet sur la tête de Nathan : "Bon, il va être temps Nathan..." Son visage s'illuminait. "... de te donner notre décision quant à ta libération. Pour ce qui est de ta petite séance de branlette pour ce soir, les termes exacts de notre accord étaient que tu aurais le droit d'éjaculer. Il me semble qu'avec ce que tu as dû nettoyer par-terre, tu es d'accord pour dire que cet aspect là est particulièrement rempli. Pour ce qui est de ta libération j'ai réfléchi... Je te propose deux options : 1. à la fin des vacances, je compte habiter avec Nico, nous ne nous reverrons donc plus. Je te libère et l'histoire se termine là. 2. Je vais quand même habiter à la fin des vacances chez Nico, mais nous conservons les clés définitivement, tu viendras régulièrement chez Nico pour faire le ménage, la vaisselle et toutes ces conneries là, tu seras bien-sûr là pour nous satisfaire sexuellement comme tu as pu le faire ce soir et ton unique façon de jouir sera en te faisant enculer par Nico. Je te laisse choisir."

- "Je ne peux pas..."

- "Tu ne peux pas quoi?"

- "Je crois que je ne peux plus me passer de vous deux. Je préfère que vous me gardiez sous cage, mais s'il vous plaît, ne me laissez pas."

- "C'est donc ton choix. Parfait!"

Pour le moment c'est ainsi que notre trio continue de fonctionner en harmonie. Nathan continue de se faire remplir comme il le mérite, et c'est désormais lui qui vient chauffer Nico: un vrai coquin. Pour ma part, je profite quotidiennement de ses "talents linguistiques" et mes pieds n'ont jamais été aussi bien traités. Avoir chopé Nathan en train de se branler dans mes chaussettes sales aura finalement été une excellente chose pour nous tous. Le plus drôle dans toute cette histoire, c'est qu'au final, je crois bien avoir perdu les clés de sa cage. Tant qu'il ne demande pas à être libéré, nous n'avons pas vraiment besoin de nous en soucier, n'est-ce pas?