La Belle et Les Clochards

BÊTA PUBLIQUE

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Voyant que ses spectateurs étaient attentifs, elle continua à se dénuder et remonta cette fois ci son vêtement suffisamment haut pour dévoiler son adorable poitrine.

- Génial Gamine, hurla Henri, vas-y, continues, c'est trop bon.

Voyant l'effet que cela faisait, Amandine fit passer le Sweat pas dessus sa tête, se mettant topless pour les deux hommes qui applaudirent.

Même René semblait avoir oublié ce qui le tracassait, trop captivé par le spectacle de la fille.

Tout en ondulant du corps, la jeune femme commença à se caresser doucement les seins, un sourire coquin au bord des lèvres.

Lorsque ses doigts vinrent titiller ses tétons, les deux hommes étaient aux anges. La petite coquine se débrouillait bien et ils avaient tous les deux une érection incroyable.

Amandine continua son striptease en arrêtant de se caresser les seins pour faire glisser lentement ses mains sur son ventre.

Lorsqu'elle se saisit du haut de son survêtement et que tout en ondulant, elle fit glisser le vêtement le long de ses cuisses, René et Henri se mirent a applaudir.

C'est vrai qu'elle avait un corps fantastique la gamine, et elle se mettait nue rien que pour eux.

Lorsque le pantalon fut à même le sol et qu'Amandine fut entièrement nue, elle continua sa danse lascive, se caressant les seins et le sexe.

Au bout d'un moment, René se leva et la prit par la main pour la conduire sur le matelas. Tout le monde avait oublié la fraîcheur de la soirée tant il étaient émoustillés par la prestation de la jeune femme.

Elle ne résista pas lorsque l'homme l'allongea au dessus des couvertures.

Elle était tellement excitée qu'elle écarta d'elle-même ses cuisses pour recevoir le clochard qui avait réussi à quitter son pantalon en quelques secondes.

René, en la pénétrant, constata qu'elle était déjà bien mouillée mais cela ne le surprit pas outre mesure. La gamine s'était avérée être une belle petite cochonne et s'était tant mieux.

Il la prit quelques minutes puis se retira se qui surprit Amandine qui n'avait pas commencé a jouir vraiment.

- J'ai envie d'essayer quelque chose, lui dit --il

- Quoi

- Te prendre en même temps avec Henri

Amandine ouvrit de grands yeux, ne comprenant pas ce que voulait l'homme.

- C'est impossible

- Si, Henri se met sur le dos, tu viens ensuite te mettre dessus et moi je te prends par le petit trou.

La jeune femme comprit enfin ce que le clochard voulait et dit horrifiée.

- hors de question, je n'ai jamais été prise comme ça et ça doit faire trop mal.

Henri qui avait entendu la conversation parut intéressé. Prendre la gamine de cette façon c'était un fantasme, aussi, pour la convaincre, il lui dit.

- On peut toujours essayer et si ça te fait trop mal on arrête.

- Mais, je ne veux pas me faire sodomiser

- Juste une fois, je ne savais pas que tu étais une peureuse.

La jeune femme regarda tout à tour les deux hommes puis finit pas dire.

- Ok mais si je dis d'arrêter, on arrête

- Pas de problème, répondit René. Mais je serais déçu car je croyais notre gamine plus courageuse.

Henri, en entendant la réponse de la jeune femme, se mit à se déshabiller complètement, chose qu'il n'avait pas fait depuis que Amandine les avait rencontré.

La jeune femme fut étonnée par le nombre de vêtements qu'il avait enfilé avant d'apparaître enfin torse nu.

Finalement, à part l'odeur qui gâchait un peu tout, il était plutôt bien bâti pour son âge.

Il s'allongea sur le lit, le sexe bien en érection. Lorsque la jeune femme vint le chevaucher, s'empalant sur le membre tendu, René en profita pour quitter les derniers vêtements qu'il avait gardé.

Il admira le petit cul de la jeune fille et avec son doigt lui caressa l'anus. Pour l'instant ni Henri, ni Amandine ne bougeaient, restant immobile en attendant que l'homme la sodomise.

René cracha dans sa main et en humecta son gland et le petit trou.

Lorsqu'il vint placer son membre contre l'œillet de la jeune femme, cette dernière se raidit.

Elle avait peur et pourtant, pour faire plaisir aux hommes elle avait accepté de se faire enculer.

René commença à pousser et la jeune femme ne put s'empêcher de pousser un petit cri de douleur

- Tu veux qu'on arrête demanda René qui avait un bon fond tout de même

- Non, continues, mais vas-y doucement

Pendant ce temps là, Henri dont le sexe était toujours enfoncé dans la chatte de la jeune femme, regardait le joli visage de la fille qui ne pouvait s'empêcher de grimacer.

Même comme ça elle était belle.

René, lui, continua à pousser lentement, ouvrant le petit trou millimètre par millimètre.

Pour amandine, la douleur était insoutenable et pourtant elle ne voulait pas arrêter. Elle voulait offrir ce cadeau à ces deux hommes qui l'avaient accueillie comme une amie

Petit à petit le membre s'enfonça dans les entrailles de la jeune femme qui se mordait la lèvre pour ne pas crier.

A un moment donné, il y eut un peu plus de résistance et René du forcer un peu plus.

La jeune femme poussa un cri lorsque son cul céda et que le membre s'enfonça d'un coup jusqu'au fond.

La douleur était atroce pour la jeune femme mais cela fut compensé par la joie des deux sans-abri

- Putain, elle est serrée mais je l'ai eu, s'écria René.

Du coup, les deux hommes commencèrent à bouger dans le corps d'amandine même si pour Henri, c'était plus compliqué vu sa position qui restreignait ses mouvements.

René avait saisi les hanches de la jeune femme et s'était mis à faire des vas et vient de plus en plus ample dans le petit cul de cette dernière.

Amandine, malgré la douleur, commença à en retirer un peu de plaisir. Elle avait les deux trous remplis et le membre dans son cul la labourer de plus en plus fort.

Au bout de quelques minutes le plaisir laissa place à de la jouissance et elle eut même un orgasme lorsque rené inonda son fondement de foutre.

Jamais elle n'aurait cru que c'était aussi incroyable que de subir une double pénétration.

Lorsque rené se retira, Henri qui n'avait toujours pas éjaculé car un peu bloqué fit rouler leur deux corps afin de se retrouver au dessus. Amandine, n'ayant pas repris ses esprits, se laissa faire telle une marionnette.

L'homme était tellement excité par ce qui s'était passé, qu'il prit la jeune femme de façon féroce et ne mit pas longtemps à se déverser en elle. Elle avait vraiment un corps fait pour l'amour.

Amandine était sur un petit nuage. Elle avait adoré cette expérience et avait trop envie de remettre ça.

Mais le froid devenait de plus en plus agressif et ils décidèrent tous les trois d'aller se glisser sous les couvertures. Qui sait, la nuit ne faisait que commencer et il avait tout le temps pour remettre ça avant le levé du jour.

A deux cent mètres de là ; les deux hommes n'en revenaient pas. Non seulement ils avaient adoré la plastique de la jeune femme qui était vraiment exceptionnelle, mais en plus le spectacle offert par le trio avait été incroyable.

Les deux hommes avaient bandés dès le striptease et même maintenant, ils n'avaient pas retrouvés leur taille initiale

- Maintenant on a du travail pour le restant de la nuit Il faut que demain matin, le montage soit effectué et que le film soit présentable

- On n'est pas couché, répondit l'autre en riant. Que j'aimerais être à la place des deux clodos et me faire cette petite pute

- Qui sait? peut-être un jour

Épilogue

Dans son bureau, l'homme ne se lassait pas de se passer la vidéo. Une fois cette dernière sur Internet, la carrière de Monsieur de Redimbourg serait foutue. Le problème est qu'il ne fallait pas que sa fille puisse se disculper.

Il ne voulait pas sa mort mais elle devait disparaître de la circulation. Après tout, elle avait préféré la rue à sa famille, avec tous les risques que cela engendrait.

Il se saisit du téléphone et donna deux ordres

Le premier était de diffuser depuis un serveur indétectable la vidéo sur Internet en précisant le nom de famille de la fille.

Le deuxième, c'était de faire une autre vidéo avec la fille et ensuite de la faire disparaître.

Lorsqu'il raccrocha, il était heureux. Il allait enfin avoir le champ libre pour l'extension de son entreprise. Il n'avait juste qu'à attendre un peu.

A quelques kilomètres de là, la journée s'annonçait bien pour les habitants de la baraque de chantier. Comme tous les matins, René était parti à la supérette laissant son pote et la gamine.

Henri et Amandine étaient restés sous le tas de couverture, toujours nus de la veille. Les premiers rayons de soleil ne les avaient même pas motivés pour sortir de leur lit. Ils étaient bien et ne firent même pas attention aux deux gros 4x4 qui vinrent se garer le long du grillage.

Lorsque les quatre hommes surgirent sans bruit dans la baraque, une cagoule sur la tête, Henri ne comprit pas ce qui lui arrivait.

L'un des hommes tira à bout portant une fléchette anesthésiante, envoyant le clochard dans un monde peuplé de rêves.

Amandine eut le temps de crier avant de recevoir à son tour la petite fléchette. Elle sombra presque instantanément ne se rendant pas compte que le cauchemar allait vraiment commencer pour elle.

Lorsque les deux hommes emportèrent le corps de la fille vers le tout-terrain, l'un d'eux fit la grimace.

- Elle a un corps splendide mais qu'est-ce qu'elle pue

- Faudra la nettoyer au jet d'eau.

La jeune femme n'eut pas le loisir de dire aux revoir aux deux clochards et ne sut jamais que son malheur était causé en parti par celui qu'elle croyait son ami.

La deuxième vidéo allait pouvoir être tournée, mais cette fois, ce ne serait pas avec l'accord de la jeune femme.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle toujours nue et était allongée sur un lit. Elle avait du mal à émerger car la drogue faisait encore effet.

Il y avait ce bourdonnement qui était insupportable et elle mit du temps à comprendre que ce bruit provenait des murmures autour d'elle.

En fait, elle était dans un sous sol et des hommes attendaient excités que la belle se réveille.

C'était tous des travailleurs clandestins qui n'avaient pas tous les jours l'occasion de s'amuser.

Deux caméramans finissaient de préparer leurs matériels. C'était eux qui allaient donner le feu vert.

Les trente hommes qui attendaient dans ce sous sol avaient carte blanche avec ce jeune corps. Ils n'avaient pas payés très cher mais ils savaient que tout serait filmé et que leurs visages seraient floutés.

Lorsque l'homme à la caméra leur donna le signal, les hommes encadrèrent le lit et pour Amandine, la journée la plus longue et la plus douloureuse de sa vie commença.

Antoine de Redimbourg, après le scandale de la vidéo, renonça à la politique. Il chercha en vain pendant des années à retrouver sa fille.

D'après les rumeurs, Amandine serait toujours vivante dans un pays lointain. Mais ce ne sont peut--être que des rumeurs.

Fin

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  • COMMENTAIRES
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11 Commentaires
unbeauculunbeauculil y a environ 2 mois

excitant avec les clochards

TitidemontaTitidemontail y a 4 mois

Un peu plus de détails sur la fin pour imaginer ce que les trente mecs lui ont fait aurait été bien mais la récit m'a fait bander bravo.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Beau récit, bien écrit, juste ce qu'il faut de suspense. A continuer, merci

dicordobadicordobail y a plus d’un anAuteur

Je reconnais que j'aurais pu développer un peu plus la fin . Je ferais mieux la prochaine fois.

IrinastoriesIrinastoriesil y a plus d’un an

Très bonne première partie alors pourquoi cette fin expéditive..... Dommage

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