La Belle et Les Clochards

BÊTA PUBLIQUE

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Il n'avait jamais du dormir à l'hôtel pour dire une telle chose.

Je restais sur le dos, sans bouger, espérant que les deux hommes s'endorment rapidement.

A un moment donné le lampadaire s'éteignit comme annoncé par René et on fut plongé dans un noir absolu.

Je commençais à me détendre et à me réchauffer, oubliant l'humidité qui imprégnait mon corps. J'allais m'endormir lorsque je sentis une main se glisser sous mon Sweat.

Je fus paniquée, ne sachant pas quoi faire. La main calleuse s'était posée sur mon ventre et ne bougeait plus.

Je me dis que si il se contentait de me toucher le ventre je pouvais essayer de faire semblant de dormir. Je me rendis compte que je ne savais même pas à qui appartenait cette main.

Les minutes passèrent, très longues et je commençais à me décontracter lorsque la main bougea légèrement. Je me crispais, ne sachant pas quoi faire.

Le clochard, me voyant sans réaction, dut s'enhardir, et très lentement, comme pour ne pas me réveiller, fit remonter ses doigts vers ma poitrine.

J'étais sur le dos, immobile et crispée et un clochard me caressait.

Lorsqu'il me toucha le sein, j'étais au bord de la panique et étrangement cette situation commençait à m'exciter. Après tout, on faisait rien de mal.

Je me dis que si il pensait que j'étais endormie, il n'irait pas trop loin.

Je me mordis la lèvre lorsque doucement, il se mit à me masser le sein. Jamais je n'aurais pensé que je prendrais du plaisir de cette façon.

Pourtant, la peau de sa paume était vraiment rugueuse et malgré ça je trouvais cette palpation vraiment agréable.

Je me rappelais les mains sales et les ongles noirs des deux clochards et étrangement cela ne me dégoûtait pas.

Vu que c'était mon sein gauche qui était malaxé, je supposais que c'était rené qui s'occupait de moi vu qu'il était de ce coté. Lorsqu'il cessa de palper ma poitrine et que je sentis sa main descendre lentement sur mon ventre, je crus qu'il en avait fini.

Mais je me trompais.

Je tressaillis lorsque ses doigts s'insinuèrent lentement sous l'élastique de mon survêtement.

Là, une voix me disait que je ne pouvais pas le laisser faire, que je devais repousser cette main. Pourtant, je ne bougeais pas, continuant à rester inerte.

Je trouvais de plus en plus excitant le fait de le laisser me toucher en lui faisant croire que je dormais. Ses doigts continuèrent leur course avec une lenteur exacerbant mais il ne voulait pas me réveiller.

Lentement, il glissa sur mon pubis que je maintenais complètement épilé pour des raisons d'hygiène.

J'étais de plus en plus excitée malgré l'horreur de la situation. Cet homme ne s'était sûrement pas lavé les mains depuis des jours ou des semaines et je le laissais me toucher.

Je faillis gémir lorsque ces doigts boudinés vinrent effleurer les lèvres de mon sexe. Je me rendis compte que j'avais les cuisses légèrement écartées, ne protégeant pas l'entrée de ma chatte.

Si je resserrais les jambes maintenant, il saura immédiatement que je suis éveillée et je ne voulais pas le lui montrer.

Ses doigts commencèrent à faire des petites caresses en longeant mon sillon, mais sans chercher à me pénétrer. Il devait se dire qu'en s'enfonçant dans ma chair, il risquait de me réveiller.

Étrangement, avec l'excitation montante, j'aurais adoré qu'il introduise ses doigts en moi mais je devais rester muette. Il ne le faisait pas et pourtant j'étais de plus en plus émoustillée.

J'avoue que ces petits effleurements faisaient monter le plaisir en moi.

Il caressa mes lèvres en appuyant de plus en plus fort jusqu'à ce que c'est doigts glissent finalement dans ma fente. Cette fois je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri, dévoilant du coup le fait que je n'étais pas endormie.

- Henri, tu dors, demanda rené A voix haute

- Non, j'arrive pas

- La gamine non plus a priori

Je ne sus quoi répondre, surtout que René, sachant que j'étais réveillée, força un peu plus ma vulve en y enfonçant ses doigts plus profonds

Ça prenait une tournure inquiétante, car coincée entre ces deux sans-abri, je ne pouvais pas trop leur échapper.

Mais en avais je envie.?

A aucun moment je n'avais demandé a René d'arrêter car j'avoue que j'aimais ça.

Alors que rené me masturbait de sa grosse main, Henri qui avait compris ce qui se passait, avait carrément pris le bas de mon sweat pour me le relever le plus haut possible afin de dénuder ma poitrine.

Même si je ne voyais rien à cause de la nuit noire, je sentis Henri bouger et je sursautais lorsque sa bouche se posa carrément sur mon sein.

J'étais de plus en plus excitée alors que les deux hommes étaient de plus en plus audacieux avec mon corps.

Henri s'était mis a me téter, me faisant assez mal alors que René, me caressait de plus en plus fort.

Et moi, je me laissais faire, sur le dos, le corps complètement offert. Je commençais à ressentir un plaisir indéfinissable d'être ainsi tripotée et tétée.

Lorsque René arrêta de me masturber, il repoussa la couverture complètement et j'eus un peu froid mais resta silencieuse.

C'est Henri qui réagit en cessant de téter mon sein

- T'es con rené, fait pas chaud

- On va se réchauffer avec la gamine.

Et tout en disant ça, il tira sur mon survêtement, le faisant glisser le long de mes jambes pour ensuite le jeter un peu plus loin dans la cabane.

- je rêve? t'es en tain de la foutre a poil?

Même si on y voyait rien, Henri avait compris ce que venait de faire son copain et ça l'excitait vraiment. Il y avait tellement longtemps qu'ils n'avaient pas baisés une fille qu'ils arrivaient a peine à croire qu'elle se laissait faire.

Du coup Henri me retira mon haut en tirant le vêtement pas dessus la tête et je me retrouvais entièrement nue entre les deux clochards.

J'étais tellement excitée par ce qui arrivait que je ne ressentais même plus le froid.

C'est rené qui fut le premier à réagir en retirant son pantalon et son vieux caleçon long. Je ne voyais rien mais j'étais comme dans un autre monde tant ce qui se passait était incroyable.

Lorsque l'homme se coucha sur moi, faisant râler Henri qui dut s'écarter un peu, je ne fis même plus attention à l'odeur de l'homme tant j'étais impatiente.

Je fus surprise par la grosseur du sexe qui s'infiltra dans ma vulve.

L'homme était bien monté et je poussais un râle de bonheur lorsqu'il commença ses vas et vient

- Putain, se mit-il a dire, je suis en train de baiser la gamine!!!

Lui-même avait du mal à croire ce qu'il était en train de faire. Cela faisait des années que son seul plaisir se réduisait à sa main droite et là, il baisait un jeune corps de femme bien roulé en plus.

- Dépêches toi rené, je veux la prendre aussi

Le clochard ne répondit pas, trop concentré par ce qu'il faisait.

Moi, j'avais un peu perdue le contact avec la réalité. Sentir cette queue me labourer m'avait vite transportée dans un plaisir incroyable.

Ce n'était pas que le sexe mais aussi le contexte qui faisait que j'eus très vite un orgasme qui eut du mal a se calmer.

René, respirer de plus en plus fort alors qu'il me baisait tel un bûcheron. Son haleine forte ne me dérangeait même plus, j'étais ailleurs.

Il était assez résistant mais il finit tout de même par se déverser après de longues minutes de baise.

J'eus de nouveau un orgasme en sentant son sperme inonder ma grotte et je n'eus même pas le temps de me calmer qu'Henri s'enfonçait à son tour dans ma vulve détrempée.

Même si il avait un membre un peu plus petit que son ami, il me ravagea lui aussi, me redonnant énormément de plaisir.

Comme René, il se vida en moi avant d'abandonner mon corps frémissant.

René, remonta les couvertures sur nos corps car le froid devenait vivace.

- Merci gamine

C'est tout ce que me dit René mais je pris ces deux mots pour un vrai compliment.

- De rien, répondis-je en riant

Je ne pensais même pas à me revêtir pour le reste de la nuit et les deux clochards vinrent se lover contre mon corps, ce qui ne me déplut pas.

Au petit matin alors qu'Henri dormait profondément et que le soleil commençait juste à se montrer, René me grimpa à nouveau dessus pour me posséder.

Ce fut plus rapide mais cela ne m'empêcha pas d'avoir un orgasme

Le vrai problème, c'est que, ne pouvant pas me laver, j'allais rester avec le sperme des deux hommes en moi toute la journée

Chapitre 3 : trahie

Toute la nuit ils l'ont cherchée du coté de la gare mais en vain. Pourtant Marlène lui avait bien indiqué cet endroit pour dormir et ils auraient dû la trouver là bas

Lorsqu'ils étaient venus interroger les gens de l'association, ils avaient appris que la fille avait mangé avec deux vieux clochards mais personne ne savait vraiment ou ils squattaient

Le problème c'est que la fille ne restera pas dans la rue éternellement ...

Est-ce pour cela ou parce qu'il était insomniaque, l'homme était arrivé à son bureau de très bonne heure.

Antoine de Redimbourg était celui qui l'empêchait de dormir car il pesait de tout son poids pour s'opposer à l'extension de son entreprise.

Depuis qu'il s'était lancé en politique et pour gagner l'opinion publique, il mettait un véto à son permis sous prétexte que la zone était protégée.

Qui pouvait se soucier de ces insectes en voie de disparition. Il y avait suffisamment de petites bêtes sur la surface de la terre pour en regretter une qui disparaîtrait.

Il fallait à tout prix retrouver sa fille si il voulait avoir un moyen de pression.

L'homme sourit en se disant qu'un scandale qui éclabousserait ce bourgeois lui serait fatal.

Il s'imaginait les titres des journaux :

« Un homme fortuné laisse sa fille unique ayant perdu son emploi dans la rue avec tous les risques que cela engendre.... »

Mais ce n'était pas gagné, il fallait maintenant qu'ils retrouvent cette petite idiote et qu'ils s'en occupent. Il n'avait pas donné tout cet argent au rédacteur en cher du journal pour rien.

L'homme avait pas mal de travail et il se plongea dans ses autres dossiers. Il n'arriva pas à se concentrer car ce Redimbourg l'énervait au plus haut point.

A quelques kilomètres de là, René Partit à la supérette, comme tous les matins.

Il laissait Henri et la gamine dans la baraque pour aller faire quelques courses.

C'est vrai qu'ils n'avaient pas trop à se plaindre. Entre le R.S.A. de son pote et le sien plus quelques dons des associations, ils arrivaient à survivre même si parfois l'hiver, c'était difficile.

Mais, pour la première fois depuis longtemps, il était heureux. Depuis dix ans qu'il était dans la rue avec son pote, il avait déjà croisé des femmes sans-abri, mais toutes étaient abîmées pas les rudesses de la rue.

La gamine, c'était différent car elle sentait bon et son corps était d'une douceur incroyable. D'ailleurs il se rendit compte qu'il ne savait même pas comment elle s'appelait.

A la supérette, il dit bonjour à tout le monde. Avec Henri, ils ne se ravitaillaient qu'ici et le patron leur faisait parfois cadeau d'une bouteille de vin.

Alors que René était en train de payer ses maigres achats, le patron lui dit

- Il y a des gens qui sont passés à l'ouverture. Ils ont posé des questions sur toi et ton pote.

- Qu'est ce qu'ils voulaient?

- Je sais pas mais j'ai dis que je ne vous connaissais pas.

- Ils ressemblaient à quoi.

- Ils n'avaient pas l'air très sympa.

René pris congé de l'homme et rentra pensif. Qui pouvait bien s'intéresser à eux?

En arrivant à la cabane il ne fut pas surpris de découvrir la gamine toujours entièrement nue alors qu'Henri, le pantalon baissé jusqu'aux chevilles, était placé entre ses cuisses en train de la baiser.

Il fut heureux de voir que la fille s'offrait à tous les deux, car cela lui aurait fait de la peine si elle n'avait fait la chose qu'avec un des deux.

Lorsque Henri en eut finit avec la gamine, comme il aimait l'appeler, il remit son pantalon, la laissant nue sur le matelas.

René ne put s'empêcher de l'admirer tant la jeune femme était belle. Même sur les catalogues, elles avaient des corps moins bien foutus.

Amandine, sentant le froid l'engourdir, se décida à se revêtir, même si l'absence d'hygiène était pour elle le plus difficile a vivre.

René expliqua à son copain qu'il fallait rester discret. Des types les recherchaient et il ne savait pas pourquoi.

- Si on devait des sous à quelqu'un on le saurait, dit Henri que cela n'affolait pas plus que ça

- Ils ont pas l'air sympa m'a dit le patron

- Qu'est ce que tu veux qu'ils nous fassent, on à rien à voler.

Amandine les écoutait, se demandant de quoi ils parlaient. Lorsque René lui expliqua qu'il y avait des gars qui les cherchaient mais qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Ils allaient rester dans la cabane toute la journée et ils improviseraient demain.

- Si vous avez besoin de quelque chose, moi je peux aller le chercher, personne ne me connait.

- René a été ce matin faire des courses, on a besoin de rien mais merci.

C'est alors que René, réfléchissant à haute voix dit :

- Si quelqu'un nous en veut, il ne faudrait pas que la gamine se trouve avec nous, elle y est pour rien.

- Mais on ne sait même pas ce qu'ils veulent

- Oui justement. Faut que la petite parte ailleurs.

- Ou? elle ne sait pas où aller et j'aime bien sa présence.

René finit par dire

- Sinon, vous rester tous les deux ici, moi je vais les trouver et demander ce qu'ils veulent.

- Ça craint

- Pas plus que de rester cacher toute notre vie.

Il n'attendit pas la réponse de ses amis et se dirigea de nouveau vers la supérette. En faisant le même chemin qu'eux, il les trouverait forcément.

Une fois que René fut parti, Henri, un petit sourire au coin des lèvres demanda.

- Et si nous nous mettions au chaud sous la couverture en attendant René. Surtout qu'il peut mettre longtemps....

- Pourquoi pas, répondit la jeune fille avec une voix coquine.

Maintenant elle n'avait plus aucune appréhension d'offrir son corps et pour ce qui était des odeurs, elle avait fini par s'y habituer.

Vers midi, René n'était toujours pas revenu et ils commençaient à s'inquiéter. Ils attendirent un peu avant de manger puis finalement grignotèrent du pâté avec le pain que René avait acheté le matin. Pour pas que ce soit trop sec, Henri avait ouvert une bouteille de rouge qu'ils ne finirent même pas à cause de l'anxiété.

Dans l'après midi, les heures passèrent lentement, et Henri avait fini par proposer d'aller chercher René si, à la nuit tombée il n'était pas revenu.

Ce fut juste avant que l'obscurité n'envahisse la cabane que René réapparut, l'air songeur. La vie n'était pas facile tous les jours mais René avait une force qui lui permettait d'être toujours de bonne humeur. Mais là il était contrarié, et cela surprit son ami qui le connaissait bien.

- Et bin, t'en a mis du temps, lui dit son copain. Tu les as trouvé?

- Oui, en fait c'était une erreur, c'était pas nous qu'ils cherchaient...

- Et bin, ça s'arrose

Et Henri tendit à son copain la bouteille qu'ils n'avaient pas fini à midi. Même si il voyait que René était soucieux, il préféra ne pas poser de question.

A quelques kilomètres de là, dans son beau bureau, l'homme parut heureux en entendant les nouvelles par téléphone. Ça y est, ils l'avaient retrouvée et le plan allait pouvoir reprendre.

Finalement les deux clochards lui avaient rendu service.

Chapitre 4 : le spectacle

Amandine était trop heureuse de retrouver René. C'est vrai qu'elle n'avait pas voulu le montrer à Henri, mais elle s'était inquiétée de le savoir avec ces hommes même si elle n'y comprenait pas grand chose.

C'est qu'elle s'était attachée à ses deux sans-abri.

Ce soir, on allait pouvoir manger tranquillement dans la cabane avec les courses que René avait acheté le matin..

Lorsque la jeune femme émit l'idée aux deux hommes, René refusa d'un ton sec, disant qu'on serait mieux à la soupe populaire. Il fallait économiser les vivres et profiter de ce qui était offert.

Henri le regarda avec des grands yeux. Il connaissait bien son ami depuis le temps qu'il vivait avec lui. Jamais René ne s'était comporté aussi bizarrement.

Même si ils n'avaient pas beaucoup d'argent, ils avaient tout de même de quoi manger dans la baraque.

Il préféra ne rien dire ne comprenant toujours pas ce qui ne tournait pas rond chez son copain.

Ils partirent tout de même à l'association, un repas chaud ne se refusait pas.

Ils passèrent à coté d'une camionnette noire garée un peu plus loin sur le trottoir sans y faire attention.

Pourtant, dès qu'ils furent hors de portée, la porte latérale du fourgon s'ouvrit et deux hommes en sortirent. L'un d'eux portait une petite mallette et c'est d'un pas décidé qu'ils prirent le chemin de la cabane des deux clochards

Même si le seul éclairage était celui du lampadaire, il virent suffisamment pour installer leur matériel. Il cherchèrent pendant un certain temps les meilleurs endroits pour placer leurs caméras. Il fallait que celles-ci soient le plus efficaces possible tout en étant indétectables.

Il faut dire qu'elles n'étaient pas plus grosses qu'un petit ongle mais en contrepartie avaient une autonomie qui ne dépassait pas 48 heures.

C'était largement suffisant pour ce qu'ils avaient à faire. Le seul point faible était qu'il fallait rester dans un rayon de trois cent mètres pour capter et enregistrer les vidéos.

Une fois l'installation terminée, le chef du binôme se dit que ce plan était préférable a celui qui avait était prévu initialement. Si le vieux clochard faisait ce qui lui avait été demandé, le résultat devrait être pas mal.

Ils retournèrent tranquillement au fourgon dans lequel se trouvaient les écrans et systèmes d'enregistrement. Ces petites caméras permettaient même de filmer en pleine nuit, on n'arrêtait pas le progrès.

Une petite heure après, Amandine et ses deux amis repassèrent à coté du fourgon. René essaya de regarder discrètement à travers le pare-brise mais ne remarqua rien d'anormal

Arrivé à la baraque, vu qu'elle était encore légèrement éclairé pour encore au moins deux heures, René alla chercher une bouteille de rouge et ils s'assirent comme la veille sur le bord du matelas.

En allant chercher le vin, l'homme regarda autour de lui mais ne remarqua rien d'anormal. Il savait qu'ils étaient passés pendant qu'ils étaient à l'association mais de ne rien remarquer ne le rassura pas pour autant.

Il faisait un peu moins froid que la veille et c'était plutôt agréable. Henri et Amandine parlaient à voix haute, riant de temps en temps alors que René, lui, restait sur la réserve.

La bouteille tournait depuis dix minutes lorsque René surpris tout le monde

- Et si tu nous faisais un striptease, Gamine

Henri le regarda avec des grands yeux

- Tu vas bien René

- Oui, j'aimerai juste avoir un petit striptease

Amandine se mit a rire, trouvant l'idée complètement folle Mais en voyant l'air sérieux de René, elle finit pas dire

- Vu que vous m'avez déjà vu toute nue, je veux bien essayer même s'il n'y a pas de musique. Mais si j'attrape la grippe, je porte plainte

- Avec le rouge qu'on a bu, on a des anticorps, dit René en souriant, se décrispant un peu

La jeune fille se releva et faisant face aux deux hommes, elle commença son effeuillage.

Il faut dire qu'avec juste un Sweat et un bas de survêtement, le striptease risquait d'être de courte durée

C'est pour ça, que lentement, elle retira ses baskets ce qui fit rire Henri.

- T'as les orteils canons, dit --il

- Et je n'ai pas que ça à montrer, dit la jeune femme une fois les pieds nus.

Elle se mit alors à onduler du corps de façon vraiment érotique et tout en dansant devant les deux vieux, elle se saisit du bas de son Sweat.

Lentement, tout en continuant sa danse lascive, elle remonta son vêtement, dévoilant en premier son ventre plat qui ne laissa pas insensible les deux hommes.