Jung-Hyun & John 05 - L'étudiante

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Elle s'avança encore, appuyant et glissant son étroite fente juteuse le long de son membre. Sous le voile de sa jupe bleue, il sentit son gland frotter contre le nuage pileux de l'étudiante, embrasser la naissance de sa vulve, déplacer les plis de son clitoris. Cette petite coréenne bien sage qui se dépravait sur lui affolait tout à coup son système nerveux. Sentant qu'il ne tiendrait pas longtemps s'il laissait son corps s'emballer, il combattit tant qu'il put la vision envoutante de Jung-Hyun qui le montait comme un étalon.

—Vous êtes mon élève favorite, dit-il en tentant de garder son calme, je mettrais toujours toute mon énergie pour mieux vous former.

La pointe de son sexe coula entre les grandes lèvres chaudes qu'elle déplaçait autour de sa tige, et atteignit enfin l'orifice serrée et étirable à la base de sa vulve.

Assise à genoux autour de ses hanches, l'étudiante en uniforme détendit la mâchoire. Elle ouvrit la bouche à demi, préparant son corps tremblant à s'empaler sur sa tige grosse et rigide. Déjà la pression tiède de son antre maternel enlaçait la boule gonflée de son gland.

—Ou pour mieux me déformer, fit-elle dans un murmure.

A ces mots, elle relâcha les muscles de ses cuisses, poussant son corps brûlant autour de lui. Tout le poids de la fluette asiatique était à peine suffisant pour forcer ses chairs à englober sa buche tendue.

Elle se perforait lentement sur lui, descendant son cul oriental, enfournant entre ses cuisses le membre du professeur. Sa chatte d'étudiante le comprimait, elle semblait cette nuit plus petite que jamais. Était-ce d'avoir déjà joui deux fois? se demanda-t-il.

Malgré la tension immesurable qui s'exerçait en son ventre, Jung-Hyun laissait son corps descendre par gravité, l'avalant avec une peine qui se lisait sur l'expression de son visage angélique.

Elle serrait les yeux, crispait ses mains posées sur le torse du canadien. Elle écartelait sa petite chatte autour de lui, déplaçant ses parois vaginales. Et dans une ultime complainte d'effort et d'extase, elle s'emplit tout entière de lui, de la base de ses lèvres étranglées par le tronc poilu jusqu'à l'embouchure de son utérus.

Elle s'immobilisa. Ses petites dents blanches brillaient dans l'obscurité jaune de la chambre. L'effort délicieux qu'elle fournissait pour son plaisir avait fait naître une perle de sueur sur son front.

Il la comblait tout à fait. Elle s'était étirée pour l'accueillir, plus un pli de chair ne restait au contact parfait de l'intérieur de son ventre et de la grosse queue de John.

—T'aimes ça, professeur? articula-t-elle péniblement. T'aimes ma p'tite chatte d'étudiante? Fuck, qu'est-ce que t'es gros...

Elle parlait d'une voie faible, vibrante comme une feuille.

—Ta chatte est aussi belle et bridée que tes jolis yeux, fit-il alors que le plaisir sauvage emportait peu à peu son organe.

Elle leva le visage au plafond, respirant lourdement. Jung-Hyun, restée immobile, corsetait sa tige de son tube élastique et bouillant depuis une bonne trentaine d'interminables secondes. Il la sentait se faire à sa taille, ses tissus se détendre peu à peu tandis que sa bête comprimée devenait de plus en plus impatiente.

La chevalerie voulait qu'il attende que son corps de femme s'accommode à son érection trop large pour elle ; mais un instinct sourd grondait dans les profondeurs sombres de son corps d'homme. Il fallait à présent qu'il la baise. Qu'il l'attrape par les épaules, qu'il la soulève de ses puissantes hanches, tire sa queue enfouie entre ses cuisses et l'enfonce à nouveau tout aussi profondément. Il fallait qu'il l'engrosse, violemment, sauvagement, qu'il l'entende gémir, hurler, jusqu'à sentir ses deux couilles débordantes enfin lâcher leur torrent. Il l'injecterait de son sperme brûlant, épais et fertile, emplirait son ventre de femme de sa semence grasse et féconde.

Ses pensées involontaires se déversaient en lui, inarrêtables et bestiales. La puissance de son souffle s'accentuait. Son cœur se mit à cogner avec la force d'une machine vrombissante sous les doigts délicats et frêles de Jung-Hyun.

Et puis enfin, dans une grimace exquise et déchirante, la petite étudiante avança le bassin vers le nombril de l'homme, expulsant hors d'elle la longueur de l'énorme tube de viande chaud et maculé de ses jus.

Dans une nouvelle complainte, franche et profonde, elle recula à nouveau le cul, forçant encore ses lèvres de petite vierge à ingurgiter la barre inflexible de son professeur.

Elle poursuivi, l'engloutissant et le vomissant de plus en plus vite, déchaînant parmi ses intestins une furie qui bousculait ses organes.

John la sentait se défouler sur lui. Elle le chevauchait, ondulant son ventre, projetant son bassin d'avant en arrière, s'enfilant son érection de pierre sur toute la profondeur de sa chatte.

Soudain ses petites mains s'emparèrent de son col. Elle souriait, bouche grande ouverte, inspirant et expirant de grandes bouffées d'air tiède.

Jung-Hyun écarta le nœud de sa cravate et déboutonna telle un sauvageonne chaque bouton de sa chemise. Brusquement, elle en écarta les pans, libérant son large torse aux fins poils châtains.

Alors que sa vulve lui dévorait la queue sous sa jupe, John vit naître l'appétit étincelant au fond de ses pupilles d'onyx. Il sentit les deux mains de son amante parcourir ses abdominaux, empoigner ses pectoraux. Tout son corps paraissait colossal sous les paumes de la menue coréenne.

Le plaisir féroce bourdonnait dans son bas-ventre. Cette chatte fuselée comme une vierge lui aspirait la bite avec la fougue d'une tigresse en chasse. Ce n'était pas lui cette fois-ci qui viderait ses couilles en elle. C'est cette petite en uniforme qui le baisait, et elle le baisait avec suffisamment de force pour sucer la sève d'un arbre jusqu'en aspirer l'âme même.

Il grognait. L'urgence finissait par le gagner. Mais il contracta son pelvis. Arriverait-il à la faire jouir avant de céder?

Elle poursuivait avec tout autant d'énergie. Ses petits doigts s'arrêtèrent autour des auréoles de ses tétons. Elle attrapa les délicats rebonds de peau tendre entre ses deux pouces et ses indexes, pinça de toutes ses forces et tourna brutalement ses poignets. Il cria entre deux grondements. La douleur gagna son esprit, résonnante dans le raffut extatique.

Il vit ses deux yeux noirs briller dans l'ombre sous ses paupières effilées. Elle souriait d'un sourire sadique, se mordant la lèvre inférieure de ses petites dents de porcelaine alors qu'elle lui tordait les sensibles auréoles.

Il ne l'arrêta pas. Ses deux puissants bras ne se défirent que pour se poser contre les cuisses de l'asiatique. La douleur qu'elle lui infligeait épissait le plaisir suave et lourd de leur coït.

Alors qu'elle le bouffait toujours aussi cavalièrement sous sa jupe, elle pinça plus dur encore. Et plus elle extirpait de grognements de douleur de son immense colosse, plus elle riait de plaisir.

—Ça fait mal, professeur? lança-t-elle entre deux allers-venus.

Il ne répondit que par une complainte rauque.

—Réponds!

Elle tourna les poignets avec une force insensée.

—Oui...! fit-t-il le souffle court.

—Moi aussi tu m'as fait mal, professeur, avec ta grosse queue, mais c'est bon, non?

—Oui...

Elle lâcha enfin ses tétons qui reprirent péniblement leur forme dans une trace rouge vif. Puis elle défit les derniers boutons de son chemisier blanc d'uniforme, libérant ses seins comprimés par le tissu. Elle se dépoitrailla face à son professeur dont elle enfournait l'extrémité grasse et chaude à un rythme effréné.

La modestie de sa poitrine lui donnait une allure jeune et fraiche. Les deux délicats pâtons, suffisamment fermes pour se maintenir fièrement accrochée sur son buste, contenaient malgré tout une masse graisseuse juste assez lourde pour sautiller joyeusement à chaque chevauchade.

Des seins de jeune étudiante, pensa John entre deux souffles, qui allaient parfaitement avec leur uniforme. La coréenne soufflait, souriait, suait à petites gouttes qui coulaient le long de l'arête plate de son nez asiatique. Ses tétons qui se dessinaient parmi les ombres de la nuit profonde étaient droits et érigés au bout de ses mamelons.

—Ils sont beaux, professeurs? Les petits seins de ton élève?

Les deux boules dansaient sous ses yeux tandis qu'elle retirait les manches de sa chemise. Son étudiante n'était plus vêtue que de sa jupe, étroitement attachée à sa taille par sa large ceinture de cuir.

—T'es un vrai pervers comme professeur, hein? Lèche-moi les seins!

Il se redressa, passa ses bras dans le dos nu de l'amazone et, alors qu'elle lui faisait l'amour par la force de ses belles cuisses blanches, il élança ses lèvres le long des délicats ballots mammaires.

Jung-Hyun fit tomber sa tête en arrière, comme elle le faisait quand le plaisir inondait son corps. John passa une langue intrépide contre ses tétons érigés, la savourant comme une sucrerie.

Mais il soufflait de plus en plus fort. Jung-Hyun, par la puissance de ses hanches et l'étroitesse de son vagin, allait enfin lui arracher le fluide qui poussait à la base de sa tige. Cela ne devenait plus possible, sentit-il.

—Tu vas te lâcher? Tu vas me remplir de foutre, professeur?

—Attends... t'as pas encore...

—Je m'en fous, souffla-t-elle.

—Ralentis...

Elle fit l'inverse, accélérant, changeant de position dans un angle qu'il sentit plus étroit encore. Elle plaqua ses deux mains autour du visage de l'occidental plongé dans les miches pâles de ses les seins.

Enfin, sans plus pouvoir retenir la violence de ses pulsions, sa queue se tendit d'un coup dans l'antre de la femme. La sève torride flua en dehors de lui. Le jet lui inonda l'utérus créateur, remplissant le sexe serré de la fille de son volume semence ardente.

Il gronda d'extase. Sa grosse voix rauque résonna dans la pièce alors qu'elle poursuivait ses chevauchées.

—Oui! lança-t-elle d'une voie chahutée, vide-toi bien dans ma petite chatte... Grogne plus fort pour moi!

Ses gémissements redoublèrent. Il n'avait pas pour habitude de tant s'exprimer mais pour elle il dévoilerait le témoignage retentissant de son orgasme.

Ses étroites lèvres de vierge lui suçaient le contenu des couilles jusqu'à la dernière goutte. Les deux cuisses avançant et reculant autour des hanches de l'homme, son sexe s'abreuvait de ses fluides. Jung-Hyun avec l'enivrement d'une forcenée recueillait dans les profondeurs de son ventre fécond l'éruption animale de son destrier.

Tout cet infernal festin se déroulait sous le voile pudique et sévère de sa jupe. Le tissu bleu renfermait sous ses plis l'obscénité de leurs actes dans les vapeurs humides et effluentes de leurs ébats.

Ses rugissements diminuèrent, et autant en fit le rythme des cuisses de la Coréenne.

Ils soufflèrent, exténués. Jung-Hyun resta un moment assise sur lui, caressant ses cheveux et retenant son visage contre sa poitrine.

John releva la tête.

—T'as pas joui?

Elle rit doucement, rabattant ses mèches noires derrière son visage en sueurs.

—Et alors? Ça t'a plu, non?

—T'es une vraie tigresse, mademoiselle Jung-Hyun.

—Le professeur est-il satisfait?

Il rit à son tour.

—Vous aurez un « A », félicitation.

Elle arrêta son regard dans le sien avec un air pas tout à fait convaincu.

—Pas un « A plus »? C'que vous êtes difficile.

Elle repositionna ses jambes fatiguées autour de lui.

—Heureusement que j'ai bien révisé, reprit-elle, je sais ce qui me vaudra votre point bonus.

Elle souleva sa jupe, libérant leurs sexes enlacés de leur étuve. La lourdeur du fumet charnel de dissipa dans la fraicheur de la chambre. John sentit son membre assoupli glissant peu à peu hors de l'étreinte toujours si serrée du ventre de sa belle.

Ses yeux faits à l'obscurité distinguaient entre les douces cuisses de l'asiatique les lèvres tendues qui donnaient lentement naissance à sa bite. Elle recula, évacuant son volume de chair mâle d'elle-même.

Puis lorsque son gland apparu enfin, suspendu à son érection mourante et recouvert du mélange de leurs sécrétions, la coréenne s'assis, fesses posées entre ses jambes d'homme.

Ses belles cuisses elles-mêmes grandes ouvertes, la fente élargie par le passage de son phallus, elle fixa les yeux de John avec un sourire à la fois concupiscant et généreux.

Du fond de son vagin ravagé redescendait peu à peu le reflux de sperme qu'il avait injecté en elle. Tout cet épais volume de liquide séminal parcourait la longueur de son tube maternel, malaxé dans ses profondeurs féminines par les contractions naturelles de son organe.

A l'embouchure écartelée à la base de sa vulve naquit une bulle blanche et pâteuse au milieu de ses belles petites lèvres roses d'étudiante. Ce volume de liqueur grasse qui souillait son corps d'ange coula lentement hors de sa fente ouverte et, par grosses gouttes chaudes et visqueuses, dévala le pli de chair marquant le commencement inférieur de son sillon.

Au rythme des pulsions de son périnée qui reprenait progressivement sa forme, la petite coréenne générait ce flot lourd et bouillant. Il dégoulina par gravité vers son anus palpitant en contre-bas, mouillant chaque froissure de la rondelle interdite jusqu'à son trou fermé, puis poursuivit sa lente course entre ses deux belles fesses.

Jung-Hyun laissa le fruit de ses couilles se défaire de son antre maternel, glisser par à-coups hors de son ventre et salir sa jupe bleue de jeune fille tandis que ses fins yeux bridés observaient son occidental avec un sourire licencieux.

Il avança la main, plongea l'index dans la flaque de sperme qu'elle créait sur sa jupe. Puis il parcouru la raie de son cul de la pointe de son doigt, traçant toute la longueur de sa tendre vallée depuis l'os terminant sa colonne vertébrale jusqu'à la limite sombre de son anus maculé de sa semence.

Il vit l'hésitation traverser le visage de la coréenne alors qu'il touchait le point le plus intime de son petit corps ; mais elle ne l'arrêta pas. Il poursuivi entre les deux jambes écartées, sentant glisser sous la pulpe de son index la rondelle huileuse qui tressaillait d'elle-même.

L'asiatique redevenant prude ouvrit la bouche mais n'en laissa échapper aucun son. Il caressa délicatement le sensible trou de la femme, appréciant la forme tendue de sa rondelle close.

Il appuya légèrement, sentant les ridules se dilater après une minute de massage. Puis de son autre main, il caressa doucement la vulve défaite de la femme.

L'anneau de chaire rigide se dénouait sous ses délicieux attouchements, ride après ride, battement après battement.

Jung-Hyun ferma les yeux.

Alors qu'il réchauffait les nerfs de sa chatte souillée de son autre main, il sentait sa porte trembler sous son doigt, tel un verrou cliquetant sous l'effet de sa clé de chair.

Le regard dans les pupilles noires de l'asiatique s'éclaira de surprise.

***

Elle se sentait céder. Ses cuisses étaient anéanties, son corps se laissait faire.

Jung-Hyun se soumettait silencieusement à pression du doigt de John. Lubrifié de sa propre semence que son ventre régurgitait telle une noyée, il titillait les nerfs de son anus vibrant d'anticipation.

Habile à faire fondre la contraction de son sphincter, il narguait sa fente dévastée de son autre main. Ce massage langoureux, d'une telle douceur comparé à la chevauchée qu'elle venait d'infliger à sa chatte, détendait malgré elle ses muscles et ses tendons fourbus.

Elle sentit soudain sa rondelle lâcher prise. La phalange de son amant coula vers son trou, guidé en elle par son rectum en éclosion.

Elle lâcha une faible exclamation. Cette sensation lui était tout à fait inédite. La pulpe de cette phalange caressait la gaine de son anus en l'emplissant, et elle sentait son anneau mordiller ce corps qui entrait en elle avec une rage fatiguée.

Il la pénétrait là où rien d'autre ne l'avait pénétré avant. Elle ne put repousser l'image de Naila, son ancienne amie qui préférait l'exploration anale plutôt que de perdre sa virginité. Etait-ce donc ce qu'elle ressentait lorsqu'elle faisait l'amour avant le mariage? Il lui semblait que ses nerfs lui communiquaient cette sensation étrange qu'elle parvenait encore mal à interpréter. A cet instant elle n'aurait su dire s'il s'agissait d'une pression agréable ou non.

Mais la deuxième main poursuivait son aimante masturbation, et son corps qui n'avait pas joui de la pénétration du mâle demandait compensation. Oui, pensa-t-elle, ce doigt qui écartait légèrement son anus devenait jouissif. Son rectum se mis à battre contre l'intrus qui l'envahissait, et John poussait tranquillement en elle.

—Pas plus, souffla-t-elle.

Il la regarda quelques instants, seins à l'air, jambes et fesses grandes ouverte. Il semblait profiter de la vue qu'elle donnait, toute dégoulinante de sperme, le trou du cul mâchonnant son doigt tel un bonbon trop gros pour sa petite bouche.

—D'accord, murmura-il sans aller plus loin.

Il parlait d'une voie calme et rassurante, malaxant son clitoris sous son capuchon gonflé.

Elle sentit soudain une bulle remonter son conduit vaginal. Elle se raidit, tentant vainement de retenir cette poche d'air qui chatouillait ses douces muqueuses sur son passage, mais cela n'eut que pour effet de resserrer l'emprise de son rectum sur le doigt de John. Par effet de conséquence elle augmentait sa propre excitation. Son vagin se décontracta tout seul, laissant échapper la bulle qui fit vibrer ses lèvres enduites de sperme collant.

Le bruit honteux que sa vulve offrait à son homme la rendit soudain gênée.

—Euh... Désolée... dit-elle d'une toute petite voie.

Il l'arrêta d'une voie à la fois conciliante et impérieuse :

—Chhhhh.

Elle rougit, prenant tout à coup conscience de cette position humiliante. Il observait tous ses secrets, il maintenait son doigt dans son cul et il la masturbait.

Prrrrt. Un deuxième filet d'air sortit de son tube mou et dégoulinant de semence.

—Ah, non... gémit-elle, impuissante.

Mais il poursuivi plus rapidement autour de son clitoris, augmentant adroitement la sensation chaude et délicieuse qui animait son organe. Prrrrrrt. Son anus se serra autour de l'incompressible phalange de John. Elle rougit. Prrt. Le galop qu'elle venait de faire avait rempli sa grotte d'une quantité d'air remarquable.

—Chhhhhh, répéta-t-il.

Le son indigne qu'elle produisait dans le silence total la chambre la remplissait de honte, et John semblait s'en délecter. Il la caressait d'une manière qu'elle devina faite pour forcer en dehors d'elle l'air et le volume séminal que son ventre contenait, jusqu'à la vider entièrement par la force de l'extase qui montait dans ses entrailles depuis son trou du cul.

Prrrt. Il l'écoutait attentivement. Elle n'en pouvait plus. Les bulles d'air elles-mêmes contribuaient à la montée de son plaisir. Son anus désespéré enserra le doigt de John, son clitoris en furie relâcha son orgasme.

—Ahhh! s'écria-t-elle.

Il la battait en omelette. Le tube de son rectum suçait le doigt profanateur. Prrt. De son fondement jaillissait la pointe ardente de son orgasme tandis que sa vulve lascivement malaxée rendait le contenu de son tube génital. Le flux de sperme chargé de bulles coulait le long du doigt qui dépassait de son anus. Son trou tentait vainement d'avaler cette phalange par pulsations frénétiques. Prrt. Le plaisir se déversait dans son corps abattu de fatigue.

Elle atteint enfin sa satisfaction honteuse dans une ultime expiration vaginale, charriant hors d'elle une dernière goutte épaisse de sperme et de cyprine. Ses petites lèvres roses se turent enfin, la bouche entre ses petites cuisses blanches était rassasiée.

L'homme tira doucement son doigt hors d'elle, qu'il essuya dans un mouchoir.

Le couple s'effondra à nouveau, souillé et à demi nu sur le lit de jeune fille. Ils s'endormirent.

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3 Commentaires
keutchkeutchil y a 5 mois

Vite la suite...

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

tres bien écrit, une pépite!! merci

AurailiensAurailiensil y a 9 mois

Un délice ! Merci

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