Joli papa Prélude 1

Elle a eu beaucoup de mal à se redresser pour préparer mon repas. Un steak bien saignant avec des patates sautées qui fondaient dans la bouche. Elle avait eu un mal de chien ou plutôt de chienne pour de tenir debout. Aussi pendant le repas, je l'ai autorisée à rester à 4 pattes, cul en l'air, à coté de la table là où je pouvais bien la regarder tandis que je mangeais.

En maître magnanime je lui ai jeté quelques bouts de gras et de couenne dont elle a pu se régaler lorsque je l'y ai autorisée.

Anecdote amusante et non prévue au programme, les éclaboussures d'huile bouillante du repas en tain de cuire l'ont méchamment brûlée, mais elle est restée stoïque. je me suis demandé si la prochaine fois elle referait de la friture.

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Après que j'ai eu mangé et qu'elle ait sans les mains réussi à ramasser et avaler les restes que je lui avais jeté, elle m'a apporté dans la gueule une bière au salon.

Elle s'est relevée, a tout rangé et fait la vaisselle puis est venue prendre position à mes pieds tandis que je sirotais ma bibine en regardant une connerie à la télé. Je me souviens qu'il était plus de 5 heures du mat quand je suis allé me coucher. Elle m'a regardé m'éloigner de quelques pas avec un regard de chienne abandonné. J'ai claqué des doigts, tapoté ma jambe et en bon animal bien dressé elle m'a suivie quelques pas en arrière.

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Je lui ai montré la descente de lit en lui disant que comme j'étais contant elle ne dormirait pas à la cave. J'ai caressé sa tête quelques secondes sans rien dire en la regardant.

Elle m'a regardé à son tour, elle avait de grands yeux humides et reconnaissant dont les pourtours enflaient déjà en prenant une vilaine teint jaunâtre, caca d'oie, en disant tout bas:

"Merci Papa"

Je me suis couché a poil de tout mon long dans le grand lit en pensant qu'elle ne serait pas belle à voir demain, mais que putain, la vie n'était pas si moche que ça pour les salauds.

30 secondes plus tard je dormais du sommeil du juste.

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Je savais bien, que secrètement, elle aurait voulu que je la prenne dans mes bras, que je la berce, après ce qu'elle avait subit. Elle aurait sans doute fait une bonne compagne, une gentille esclave dévouée, légèrement plus ouverte à mes perversités que ne l'avait été sa mère. Mais je ne voulais pas d'un clone.

Je voulais qu'elle aille jusqu'au bout de ses promesses, jusqu'au tréfonds de mes pires passions et j'étais décidé à l'y conduire.

BMC

Le petit texte que vous avez lu précédemment, joli papa, prend place quelques mois après celui ci, alors que la formation de la gamine était déjà bien avancée, même si elle n'était pas terminée.

J'avais prévu son ouverture sur le monde extérieur, d'élargir le cercle de ses relations et de lui offrir un bon gang bang pour fêter son 3eme mois de grossesse...

Si je persiste, si vous avez aimé, ou si vous désirez prendre de ses nouvelles, faites le moi savoir.

Autrement, je connais mes lacunes (style grammaire orthographe ponctuation...)

Je n'ai rien contre une relecture et correction des textes futurs, si l'un ou l'une d'entre vous me le propose.

Pas pressé, ils ne sont pas prêts, juste un méli-mélo dans ma tête de ce qu'a été le lendemain "Joli Papa prélude 2".

Vous vous demandez peut être pourquoi je ne consulte pas la grosse vache étalée en face de moi, sur le tapis de jute que j'ai conservé en souvenir.

Elle est en train de se défoncer le cul avec une canette de bière vide (pas le truc de PD de 25cl) et elle se branle la chatte à la main.

C'est tout simple, elle ne comprendrais pas.