Joli papa Prélude 1

BÊTA PUBLIQUE

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Quand mes nénés ont poussé, j'ai rêvé de fouet sur tout le corps, sur les seins bien sur mais le sexe aussi, et de viol.

J'étais toujours la victime et toi mon bourreau. J'ai compris que j'aimais le mari de ma mère, mon père ou presque, j'en avais honte, mais je jouissais encore plus. Mes rêves sont encore devenus plus violents quand j'ai eu craqué le code sécurité parentale que tu avais mis sur on ordi.

Ce n'était pas bien compliqué, on nous a expliqué à l'école qu'il ne faut pas utiliser les noms prénoms ou dates de naissance des proches, ni des trucs trop simple.

J'ai commencé par mon prénom, mais c'était celui de maman, trop facile. 2 essais seulement

A partir de là j'ai découvert les sites porno. Je me suis mise à imaginer que tu m'infligeais toutes les humiliations, toutes les tortures, tous les trucs violents ou crades, que j'avais pu voir sur le net. Toutes les horreurs, surtout les pires me faisaient jouir.

Mais jamais je ne me suis déflorée, je voulais te donner mes "pucelages", comme une offrande.

Mais tu ne me voyais pas, ou plutôt tu voyais toujours la petite fille, même quand j'essayais de t'allumer comme on dit. Je suis une vrai femme, jeune, mais j'ai eu mes règles et je peux avoir un bébé.

J'ai été malheureuse quand maman est morte, mais je me suis dit que maintenant tu t'intéresserais à moi. je me suis habillée comme elle, plus provoquant même, mais rien.

Je sais que maman des fois ne voulait pas faire ce dont tu avais envie. Je ne sais pas si elle avait peur, si elle était dégoûtée ou quoi, mais moi non. Je t'aurais tout offert, tout donné, mon corps, mes pensées, mon âme.

Tu pourrais faire ce que tu veux de moi mon corps t'appartiendrais. J'accepterais les pires mutilations, pour que tu t'intéresse à moi.

Il te suffirait de me dire à quoi tu pense pour que je fasses tout ce qu'il m'est possible pour le réaliser.

Je te jure aujourd'hui, sur maman, sur le salut de mon âme de ne jamais chercher à te nuire. Si je deviens un fardeau pour toi, dis le moi et je mourais pour toi.

Je ne peux pas faire plus, mais si tu vois quelque chose, dis le moi.

Le type que tu as vu cet après midi n'est pas mon petit copain, c'est le caïd de la bande du coin. Il est méchant, violent, il passe pour pervers et sadique, je sais que je n'avais rien de bon à attendre de lui. Si tu ne veux pas de moi, c'est que je ne te mérite pas, je retournerai vers lui et il pourra faire ce qu'il veut, je m'en fiche.

J'aurais bien plus à raconter, mais en gros je t'ai tout dit ce que je voulais que tu saches.

Une dernière petite chose, quand même, quand tu es arrivé plus tôt que prévu, j'ai eu peur.

Je n'ai pas eu peur que tu me fasse mal, ça ma rendue heureuse, ça m'a prouvé que j'avais tort et que tu t'intéressait quand même un peu à moi.

J'ai eu peur que tu te détourne et que tu m'ignore. Que tu m'abandonne et qu'il ne me reste pas d'autre option que de m'abandonner à l'autre.

J'ai eu peur quand j'ai vu le couteau, j'ai été heureuse que tu m'aie battue et que tu te battes pour moi et surtout que tu l'ai dérouillé pour de bon.

Enfin j'ai été terrorisée quand j'ai vu que tu étais blessé. S'il t'était arrivé quoi que ce soit je ne me le serais jamais pardonné.

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Encore une fois je dois préciser que dans ce cas de figure, la discussion est plus longue que la lecture. J'ai paraphrasé ce qu'elle m'a dit et plus ou moins bien mis en forme son propos. L'essentiel y est.

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Pendant cette confession, vous vous doutez bien qu'elle sanglotait, parfois elle pleurait à chaudes larmes. Elle s'agitait aussi ou se recroquevillait, enfin bref, elle gigotait.

Imaginez un peu la scène, cette bombasse quasi à poil assise sur mes genoux alors que je suis en pleine possession de ses moyens. Elle remue son petit cul, sa moule manifestement la démange et mouille abondamment, car elle s'excite toute seule. Ses tétons tous raides, qui prolongent ses deux grosses mamelles, se frottent contre ma poitrine pendant qu'elle s'ingénie à incruster dans mon esprit les images et pensées que j'ai vainement tenté d'éradiquer.

Ces images de sexe et de violence, d'une extrême perversité, qu'elle invoquait comme une vrai salope sur l'autel païen de mes fantasmes les plus inavoués ont eu l'effet attendu. Ma queue en était douloureuse, coincée à l'étroit dans mon 501 (je ne fais pas de pub, je n'en achète pas d'autre c'est tout).

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J'avais perdu le combat du bien contre le mal du moins d'après les moralistes, parce qu'en fait je m'apprêtais à faire du bien à une chatte en chaleur et à Popaul qui sinon aurait viré tout bleu.

Où est le mal à faire du bien?

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Une fois de plus j'ai empoigné une touffe de cheveux, je lui ai tiré brutalement la nuque en arrière et elle a fait un drôle de couac avec la bouche. J'ai plongé mon regard qui ne devait pas être très tendre dans ses yeux clairs et je lui ai dit:

"Ta gueule saloperie, tu parles trop, si tu n'apprends pas à la fermer quand je t'ai assez entendue, je te coupe moi-même les cordes vocales"

J'ai revu dans ces yeux la même étincelle de bonheur que j'ai évoqué plus haut, teintée d'une ombre de doute et je l'ai embrassée voracement. J'ai un peu tendance à lâcher la bride à mes pulsions parfois. Je me souviens l'avoir maintenue fermement alors que j'essayais de l'avaler, d'avoir violé sa bouche avec ma langue et de l'avoir mordue sur les lèvres et au visage. Elle couinait quand elle pouvait le faire, de plaisir ou de douleur, je ne sais pas, sans doute un peu des deux, mais à aucun moment elle n'a cherché à se dérober.

Toujours en la tenant, je lai allongée sur le tapis. J'étais au dessus d'elle, à genoux alors qu'elle s'offrait comme une vierge au sacrifice, image qui, une fois de plus colle bien à la situation. J'ai libéré ma bitte de son carcan de coton et avant de la prendre je l'ai regardée comme il faut, pour la première fois sans me sentir coupable.

Elle était belle comme une madone avec un je ne sais quoi de sexuel qu'on trouve rarement dans les images pieuse. Un visage d'ange blond, avec des lèvres un peu trop pulpeuses et une étincelle de lubricité dans le regard. J'ai pris tout mon temps pour l'admirer, alors que mes couilles étaient prêtes à exploser. Comme vous, sans doute, elle ne comprenais pas cette attente, alors je lui ai expliqué:

"Alors morue tu voudrais bien que mon gros salami te défonce. Tu en rêves, ne te fais pas de bile, tu vas l'avoir et tu va gueuler à en perdre la voix tellement tu vas en baver. Je te regardes, pour ne rien oublier. Tu es encore plus belle que ta mère et si j'en crois ce que tu as dit, beaucoup plus salope.

Demain tu seras une épave, tes beaux yeux qui brillent seront cernés de noir et de bleu.

Pas du maquillage.

Tu auras tellement enflé que si tu arrives à y voir un tout petit peu ce sera un miracle. Tu auras des bleus partout, le visage bien sur, mais aussi sur les seins que j'ai bien soignés tout à l'heure.

J'espère pour toi que je ne t'ai pas pété de côtes avec mes coups de lattes, sinon tu auras du mal à rigoler en te regardant. MDR (Mort de rire), toi tu ne vas pas rigoler, parce qu'en fait tu ne pourras pratiquement plus respirer.

Pareil pour ton gros cul, si tu peux encore t'asseoir dessus, malgré mes coups de ceinturon, je te promets de lui faire sa fête.

Quant à ta cramouille baveuse si impatiente de me recevoir, je te garanti qu'elle mettra quelques jours à s'en remettre. Mais même si tu ressemble à un zombie putride tu vas déguster. Sois bien certaine qu'à partir de maintenant tu m'appartiens, rien ne te sera épargné. Dieu m'est témoin que j'ai résisté mais Bord...de M.... je vais rattraper le temps perdu.

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Ecarte les cuisses grosse vache, je vais vérifier ton pucelage à la main".

J'ai plongé ma main libre dan son entrejambe, elle était pucelle.

J'ai malaxé sa chatte comme pour attendrir du mastic. j'ai écrasé ses grades lèvres avec mes doigts brutaux. La salope mouillait comme une fontaine.

Son clitoris excité bandait ferme hors du capuchon comme une petite queue. Je ne l'ai pas mesuré, c'est sur, mais il faisait plus d'un centimètre. Un centimètre de chair à vif, bourré de connexions nerveuses liées à la luxure.

Je l'ai pris entre le pouce et l'index et je l'ai étiré comme s'il avait été en caoutchouc J'ai bien du l'étendre jusqu'à ce qu'il fasse 3cm avant qu'il ne me glisse entre les doigts.

A cet instant la petite pouf a commencé à jouir, ses couinements ont pris une autre tonalité, sa respiration s'est accéléré. Je n'allais pas me contenter de ça, j'ai repiqué son bouton entre mes doigts, presque douloureux tant je serrais fort.

Je me suis demandé pendant un très bref instant ce qu'elle pouvait bien ressentir de son côté.

Que du bon m'a t-il semblé car elle n'a cessé de se pâmer pendant que je tordais, pinçait, étirait en le secouant en tous sens, son gros bouton d'amour,

J'ai alors lâché ma prise dans ses cheveux et sans arrêter de lui triturer le bonbon je me suis extrait tant bien que mal de mon fute et je me suis positionné à l'entrée de sa grotte.

J'ai déjà évoqué le fait que je suis bien monté, environ 25cm de longueur et 5 de diamètre en tant normal, lorsque je suis dans de bonnes dispositions. Je suis un peu imbu de moi même parfois, mais comme on disait au moyen-age, si je cambre le col, c'est l'orgueil d'un haut présage.

Pour en revenir à nos moutons ou plutôt à l'entrée dans la chatte, j'ai constaté que j'étais dans des dispositions exceptionnelles. Il faut bien dire que je n'avais pas tiré un coup depuis que la maladie de sa mère avait rendu la chose impossible.

Elle m'avait excité au delà du raisonnable. J'ai eu l'impression que mon chibre avait doublé de volume.

Elle n'était pas mouillée la chienne, elle dégoulinait littéralement. C'est la première fois qu'elle m'a fait penser à une limace.

Bref j'ai commencé à ouvrir le passage tout en continuant à tirer sur sa mini bitte. Elle était étroite la garce. Malgré tout le lubrifiant qu'elle sécrétait elle avait du mal à s'ouvrir, alors j'ai forcé

Je ne voulais pas être trop brutal pour sa première fois, elle avait déjà bien dégusté la petite. Mais bon, pour pouvoir m'enfoncer plus je devais y aller franco.

J'ai pris un léger recul, j'ai fais quelque va et viens pour habituer le canal déjà exploré et pour prendre mes marques et j'ai donné un grand coup de reins pour m'enfoncer d'avantage.

Jusque là elle ne s'était pas rendu compte de grand chose. elle se pâmait gentiment en haletant, en poussant des petits cris entrecoupés de oui-oui, et de c'est bon alors que je lui massacrais le clitoris et qu'elle s'écrabouillait, se pinçait et se griffait les seins en alternance.

J'aurais voulu pouvoir filmer ça, pour garder un souvenir.

J'ai du progresser en une fois de 10 bons centimètres, une légère résistance lorsque l'hymen s'est déchiré puis une bonne glissade.

Elle a hurlé, mais vraiment hurlé comme un cochon qu'on égorge. Pas le même son, pour ceux qui connaissent mais le même niveau sonore. Un truc a vriller les tympans.

Je me suis dit: "et puis merde quand faut y aller faut y aller" et j'ai commencé à pistonner.

Elle continuait à gueuler, mais j'ai fini par m'y faire, tous les 10 coups environ je poussais un peu plus fort histoire de gagner un centimètre. 9 coups, avant arrière, pour graisser et dilater le conduit déjà conquis et un coup, en avant toute, pour progresser. J'avais bien du rentrer 15 cm du boudin dur comme un bout de bois lorsque j'ai eu 'impression de buter au fond.

Je me suis demandé si c'était bien ça, comme c'était ma première pucelle, puis je me suis dit " la nature est bien faite et les couvercles sont adaptés aux marmites " (souvenir de ma grand mère).

J'ai continué à la bourrer, je ne peux pas vraiment trouver mieux, pour décrire. Ces cris variaient au Diapason de mes coups de boutoir. Une vrai harpe, elle gueulait toujours mais c'était plus rauque et les intonations variaient au rythme de mes coups de queue.

J'avais abandonné son bonbon qui ne s'était pas complètement rétracté. Il était obscène et étrangement érotique à voir. Il était presque animé d'une vie propre. il gonflait dégonflait lui aussi, au rythme de mes poussées. C'est con à dire, mais j'ai testé, quand je poussais fort il gonflait beaucoup, doucement, il gonflait moins et quand je prenais un rythme régulier stable et plus doux on aurait dit qu'il palpitait.

La fille au bout de cette excroissance violacée, avait abandonné ses nichons que ses griffures avaient rendus sanguinolents. Elle était cramponnée à la toile de jute rugueuse qui devait lui labourer les fesses et le dos, rapport à mes genoux brûlant, comme si sa vie en dépendait. Elle avait les yeux vagues comme une droguée et alternait les halètements aux cris rauques.

J'ignore totalement pendant combien de temps ça a pu durer, mais ma petite pause d'observation de l'environnement m'a fait du bien, car j'ai repris avec une vigueur nouvelle. Il restait encore près de 10 cm à enfourner, pour ête bien au chaud.

Je me suis mis à pousser fort longtemps et profond. Plus lentement, mais sans répit. La gaine cédait, je l'ai un peu déchirée, mais on n'a rien sans rien.

Mon chibre progressait régulièrement, peu à peu. Je me suis demandé si je ne m'enfonçait pas dans l'utérus. Mes notion vague de l'anatomie féminines étant vraiment insuffisante, j'ai trouvé l'idée cool, et somme toute je m'en fichais.

La petite pute ne disait rien, elle ne criait plus , elle haletait en douceur comme si elle avait trouvé un second souffle. Elle avait les yeux révulsés, mais son visage marqué et barbouillé par la crasse et le maquillage qui dégoulinait avec la sueur était paisible et respirait la plénitude. Difficile de mieux expliquer.

Comme tout allait bien j'ai continué sur le même rythme jusqu'à ce que mes couilles m'interdisent d'aller plus profond.

J'ai fait de petits va et viens en forçant dans toutes les directions. haut bas gauche droite etc. Je prenais possession de l'espace intérieur. La petite dinde était bien farcie. Elle jouissait de manière ininterrompue et en douceur. Elle était ailleurs, pourquoi pas le 7ème ciel. En fait on s'en fout, il fallait quand même que je me vide les burnes, sinon je risquais de tomber du mal de macaque...

J'ai doucement changé de position, soulagé mon bras droit qui s'ankylosait pour avoir l'usage de la main. J'ai effleuré son clito et ce fut comme une décharge électrique. Elle s'est arc-boutée , comme pour faire un pont arrière.

J'ai suivi le mouvement et j'ai repris des va et viens vigoureux, objectif faire dégorger le poireau.

La dinde a repris contact avec la réalité et s'est mise à gémir en prononçant des mots sans suite du style c'est bon vas-y oui encore je t'aime je suis à toi je ferais ce que tu voudras toujours ... etc. en fait des phrases vaines car la plupart du temps, je peux vous dire d'expérience que 9 fois sur 10, le lendemain les garces ont tout oublié. Au cas particulier, j'espérais que ce ne serait pas le cas.

J'aurais sans doute pu tenir encore un bon moment. J'étais prêt à cracher la sauce mais je me contrôlais bien.

Alors, elle a prononcé quelques mots hachés et rapide particulièrement expressifs "veux bébé de toi fertile pas pilule". De surprise, j'ai lâché la purée gorgée de petits têtards avide de trouver dans cet environnement favorable une petite niche où féconder des œufs. Une dose de plusieurs mois d'attente copieuse et riche qui s'est déversée en de longs jets. J'ai tendance à ne pas manifester grand chose quand je me soulage, mais là j'ai poussé un long cri de plaisir qui a fait écho au sien.

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Je suis resté en elle plusieurs minutes avant de dégonfler. Je me suis rendu compte que je malaxait son sein, déjà bien mal en point, de la main droite, tandis que de l'autre je lui avais mis un doigt au cul. Son anus se contractait sur mes phalanges, en phase avec les battements de son cœur.

Quand ma bitte est revenue à son état naturel, un gros asticot d'une bonne dizaine de centimètres, je me suis désengagé. J'étais bien collé, elle a crié quand je suis sorti d'elle un peu rudement.

Un mélange de foutre et de sang a dégouliné le long de ses cuisses pales.

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J'étais devenu le prédateur qu'au fond de moi j'ai toujours connu.

J'ai commencé son éducation, de suite. Je ne voulais pas que le lendemain elle ait oublié ses promesses.

Un conseil en passant au lecteur, si tu veux vraiment quelque chose, sache qu'il faut battre le fer quand il est chaud.

Je me suis sorti le doigt du cul au propre comme au figuré. Même si mon doigt était brun et merdeux, et si ce n'était pas en moi que je l'avais enfoncé.

Je me suis adossé au canapé, l'ait attirée vers moi où elle s'est blottie satisfaite et je crois comblée.

C'est là qu'il faut pas se louper et qu'il faut faire preuve de caractère. Pas d'attendrissement, pas de compassion ou de mots gentils. Je lui ai mis mon majeur puant sous le nez ce lui a provoqué un léger mouvement de recul et un haut le cœur que j'avais anticipés et que j'ai bloqué fermement.

"Ouvre grand ta bouche et nettoie bien, je ne veux plus une trace ni d'odeur, fais du bon boulot.

Tu crie quand je sorts de toi, mais ce n'est rien, quand je te ferais monter par un clebs tu comprendras mieux ce que c'est de rester collée. Qu'est-ce que tu crois morue, que tu vas ronronner comme ça et t'endormir gentiment.

Quand tu auras bien sucé et avalé ta merde, tu iras me chercher une bière au frigo, à 4 pattes sur les genoux et les coudes. Cul en l'air et je veux voir ta moule gluante suinter. Nez au ras du sol, nichons qui râpent par terre. Tu seras autorisée à te mettre à genoux pour prendre ma bibine que tu m'apporteras dans ta gueule pour le retour, comme une bonne chienne bien dressée.

Rien pour toi, si t'as soif t'attendras que j'ai envie de pisser et tu diras merci, si t'as pas soif, ça change rien, tu es mon nouvel urinoir ce soir.

Mais qu'est-ce que tu t'imagine limace, que t'es en vacances. Quand j'aurais fini tu nettoiera par terre avec ta langue ce que t'auras pas eu le temps d'avaler.

Quand ce sera nickel, tu retourneras à la cuisine toujours pareil en léchant la traînée de foutre que t'auras laissée. Y a du sperme et du sang c'est nourrissant. Pour moi, tu vas faire à bouffer, n'importe quoi j'm'en branle, mais t'as intérêt à ce que ce soit bon, sinon gare à tes miches. T'as encore rien vu ma salope, mais tu vas voir.

Bouge ton cul grosse vache, qu'est ce que t'attends va me chercher une mousse et magne toi,

Pétasse!

Garde tes oripeaux, grosse vache, n'essaie même pas de les arranger ou je les fixes sur toi avec des épingles à nourrice plantées dans la viande. C'est tout ce que tu vas porter dans les jours qui viennent. Je veux les voir tomber en lambeaux et disparaître petit à petit comme le peu de dignité qu'il te reste.

Rappelle toi bien, n'oublie pas et grave dans ton crâne de piaf que t'es rien, une moins que rien! T'es qu'un bout de viande coriace qu'on doit attendrir en tapant dessus, sale carne! T'es qu'un sac à foutre, un vide couilles, un chiotte, espèce de mange merde!

C'est bien ce que tu voulais, n'est il pas? devenir ma chose. Sois contente, ça a commencé. N'essaie même pas de répondre, il n'y a pas de marche arrière. Ou tu fais ce que tu as juré de ton plein gré de faire, ou je te transforme en monstre si peu ragoûtant, que même les pires tordus seront écœurés et je te largues pour que tu crève comme un chien galeux.

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Je dois avouer qu'elle s'est bien tenue.

Elle est allé chercher ma bière tout comme je le lui avait demandé.

Elle a attendu bouche ouverte que j'ai envie de pisser pour avaler un maximum sans renverser. Elle n'y est pas parvenue, mais elle a tout nettoyé sans la moindre hésitation et sans haut le cœur.

Elle a consciencieusement léché le sol dégouttant du salon à la cuisine pour effacer toute trace de son premier passage.