Joli papa Prélude 1

Informations sur Récit
Le début d'une histoie d'amour et de violence.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/16/2021
Créé 07/20/2014
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Joli papa Prélude 1

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Salut.

Pour les "3 pelés 2 tondus" qui ont lu, joli papa, il y en a peut être un ou deux qui ont apprécié ce texte. Si j'ai vraiment du bol (c'est ma première fois), peut être même un ou deux lecteurs se seront demandés comment tout cela est arrivé.

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En bref, je ne suis pas tout à fait le parfait salopard que vous pouvez imaginer.

Tout ça, c'est un malheureux concours de circonstance.

Enfin, pas si malheureux que ça et parfait salopard, je le suis devenu.

Je crains qu'avec le temps cela n'empire.

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Tout est de la faute de cette petite pute.

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J'ai épousé sa mère qui était veuve, alors qu'elle n'avait pas 5 ans. C'était un vrai canon, petit gabarit. Le cul de JeLo, une taille de guêpe, des seins parfaits (du moins pour moi) bien gros bien fermes et un visage de madone aux lèvres pulpeuses. Ne vous faites pas de bile, je ne vais pas être trop long, mais le contexte, c'est important pour bien comprendre.

Je parle de la mère, elle avait entre 20 et 30 piges.A peine plus que l'autre pute aujourd'hui.

Pour la description, quand je parle de la mère vous pouvez imaginer la fille, une copie carbone en mieux. Elle a les yeux plus clairs, comme la chevelure, une peau plus pale du genre qui marque vite et bien et elle mesure un petit cm de moins soit 1,55m pour moins de 50kg, malgré son cul de négresse (c'est pas du racisme, c'est un hommage) et ses grosses loches du 105C-60-90 A peu près.

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Vous vous demandez aussi, peut être pourquoi je n'emploie jamais leurs prénoms.

C'est délibéré.

La mère par respect post mortem pour une femme que j'ai vraiment aimée jusqu'à la fin.

La petite morue, pour qu'elle n'oublie jamais qu'elle n'est qu'un vide couilles, un souffre douleur, placée plus bas dans l'échelle sociale qu'une feuille de papier cul usagée.

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Tout allait à merveille, j'avais rencontré la femme de ma vie, sa mère.

J'ai toujours été branché sado-maso, mais elle aimait bien ça. Elle aimait que je l'attache et que je lui fasse faire des trucs qu'autrement elle n'aurait jamais accepté.

Vous pouvez penser que je pipotte, mais quand elle rechignait pour de bon jamais, je ne l'ai forcée. Nos séances n'ont jamais dérapé et non seulement, jamais elle ne s'est plaint, mais elle ne cachait pas son bonheur. En fait nous étions complémentaires et je ne demandais rien d'autre.

J'adorais ma belle fille, je la considérais comme mienne, un parfait échantillon miniature de sa maman.

Ne vous fourvoyez pas, je ne suis pas un de ces tarés de pédophiles qui se touche en rêvant de se la faire (comme quoi). Elle était notre ange blond, notre princesse, elle me considérait comme son père.

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Le temps passant, elle a grandi quand nous avons su que parfois, (nous n'étions pas toujours très précautionneux), elle avait surpris nos ébats. Sa mère lui a expliqué, car elle était pratiquement en âge de comprendre, que c'était des "jeux d'alcôve entre adultes consentants".

Je fais court parce que je sais bien que tout ce que je raconte vous vous en fichez un peu, beaucoup. Encore un petit effort, j'y arrive, contexte oblige.

C'est là que tout a basculé ma femme est tombée malade, saloperie de crabe, et elle est morte en moins d'un an. J'ai continué à m'occuper de la petite, mais je me suis mis à picoler et on ne peu pas dire que j'étais bien assidu au boulot.

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Je n'ai pas remarqué que la gamine avait grandi. Elle avait été très affectée par le décès de sa mère, aussi je lui ai lâché la bride. Moins d'un an plus tard, elle s'est mise à porter des jupes ultra courtes, des vêtements moulants et sexy, mais là non plus je n'ai rien capté. Même quand elle se trémoussait à moitié à poil devant moi, je revoyais sa mère, je ne la captais pas. J'aurais du voir que mon indifférence la contrariait, mais la picole ne m'avait pas rendu plus futé.

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Vous comprendrez peut être mieux pourquoi quand je suis rentré passablement éméché, de bonne heure, après m'être fait virer comme un traîne savate et que j'ai vu la femme que j'aimais (j'ai fait ce qu'on appelle un transfert, je crois), avec un gandin en train de se bouffer les amygdales dans la cour, j'ai pété les plombs.

Ca va faire un peu cliché, mais mon sang n'a fait qu'un tour, je suis tombé sur eux comme un enragé. J'ai attrapé le gazier par le col et je l'ai éjecté plusieurs mètres plus loin les 4 fers en l'air. J'ai allongé une grande baffe à la gamine qui a quasiment fait un tour complet sur elle même avant de s'écraser par terre comme une m... Je ne veux pas trop être vulgaire, mais la gosse, je l'ai traité de tout, en la battant comme plâtre, à coups de poings, de pieds et de ceinture, Je me suis vraiment défoulé sur elle pendant quelques minutes d'une rare violence, jusqu'à ce que j'entende du bruit derrière moi.

C'était le petit salopard. Quand je dis petit, il faut relativiser je ne suis pas très grand moi-même, 1.76m pour 70 à 80kg mais sans un gramme de gras. Le petit con comme je l'appelle, était un gaillard qui devait passer le mètre 90 et le quintal, entre 20 et 25 ans, une sorte d'armoire à glace avec une sale gueule de voyou balafré et tout le toutim. Il était allé chercher un couteau dans sa caisse. Il s'approchait de moi comme un danseur de tango un cran d'arrêt ouvert à la main. Il avait l'air de savoir se servir de son canif. J'ai récolté une bonne estafilade en bloquant son attaque et je lui ai mis la raclée de sa vie.

Après l'avoir jeté dans sa petite bagnole de sport, je lui ai dit "si je revois ta sale gueule je te crève". De fait il n'a jamais re-pointé le bout du nez.

La bagarre et peut être aussi la saignée, m'avaient fait retrouver mes esprit. J'ai voulu m'occuper de la gosse qui se redressait lentement. Elle était à genoux en pleurs et elle m'a imploré des yeux tout en me demandant pardon et en me disant qu'elle n'était pas une traînée mais une bonne fille et qu'elle ne ferait plus jamais quoi que ce soit de mal. Là encore je traduis car ces mots entrecoupés de sanglots et de reniflement étaient peu intelligibles.

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Elle était couvertes d'hématomes.

Ses vêtements sans être en lambeaux avaient dégusté autant qu'elle, sinon d'avantage.

Son haut complètement déchiré exposait son sous-tiff dont les bretelles avaient craqué.

Un de ses nichons était complètement à l'air, alors que l'autre qui portait des marques suite au coups reçus, était à moitié sorti.

Son jean n'était pas un levis (ça c'est du solide), c'était juste un truc collant couleur jean, un machin taille basse dont les coutures avaient cédé de bas en haut. On aurait dit une de ces robes chinoises sexy fendues délibérément pour exposer au regard ses parties intimes.

Son string lui rentrait dans la chatte exposant les lèvres un peu trop brillantes de sa moule.

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Je me suis fait en un millième de seconde plusieurs réflexions pas très paternelles et particulièrement salaces.

"ouahou! elle n'a pas beaucoup de poils sur sa fouffoune",

"N.. d. D.. je ne l'ai pas loupée"

"les coups la crasse et les larmes lui vont bien",

"putain qu'est ce qu'elle est bandante".

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Mais j'ai une fois encore repris mes esprits. Je me suis contrôlé en me disant "t'es peut être un salaud, mais t'es pas un monstre".

Je lui ai tendu la main en lui disant:

"Prends ma main, lève toi, on va rentrer à la maison. c'est bon, c'est fini, je me suis calmé, viens, on va parler". (enfin c'est ce dont je me souviens grosso modo.

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Elle a pris ma main et a vu la blessure que j'avais au coté. Faut dire que ça pissait le sang. En fait c'était plus impressionnant que grave, mais la petite avait été élevée dans la ouate.

Je ne sais si c'est la dérouillée que je lui avais donnée ou le sang qui coulait qui ont eu cet effet, mais comme elle était presque redressée, elle s'est jetée à terre, à mes pieds dans une attitude de total "repentir ou soumission" en implorant encore une fois mon pardon entremêlant dans ses pleurs les mots sang, blessé, papa, grave, pitié, bats moi c'est ce que je mérite... et j'en passe

Je me répète mais c'est ce qui s'est passé.

Elle se traînait par terre, la traînée. Elle se griffait le visage et les parties accessibles de son corps qui n'avait pas besoin de ça. Elle se comportait comme une furie, totalement " déjantée ", pour se punir.

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Rappelez vous qu'elle était déjà presque à poil et que ce type de vision et de sollicitation, chatouillaient méchamment le côté obscur de mon âme. Elle était à deux doigts de me faire une crise d'hystérie aussi comme je n'ai pas la prétention d'être un grand psychologue, j'ai fait la seule chose qui me soit venue à l'esprit.

J'ai agrippé une grosse mèche de cheveux blonds de la main gauche, je l'ai soulevée du sol où elle se vautrait. D'une main (je crois vous avoir dit que ce n'est pas un gros gabarit dans les 50kg comme on dit tout mouillé) et quand elle a été à bonne hauteur je lui ai distribué des tartes maison, jusqu'à ce qu'elle se calme. Dire que je n'avais jamais levé la main sur elle depuis que je la connaissait...

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Je l'ai traînée jusqu'à la maison et quand on est arrivé au salon, je l'ai jetée plus que déposée sur le tapis de jute rêche sur lequel elle est restée prostrée.

J'ai filé à la salle de bains panser ma blessure, me débarrasser de mes vêtements souillés et me passer la tête sous le robinet d'eau froide pour reprendre le contrôle de moi-même, ce qui s'est avéré plus difficile que prévu.

Impossible de chasser les visions de ce petit corps, de femme parfaitement formé, à moitié nu. Impossible de ne pas revoir dans ma caboche, ces seins gonflés ni cette chatte humide. Impossible de ne pas entendre en boucle ces mots qui raisonnaient "frappe moi, fais moi mal, pitié, c'est ce que je mérite, pardonne moi..."

Je bandais comme un âne, mais j'ai résisté, j'ai pris une douche glacée, refait le bandage qui n'avait pas résisté à l'eau, j'ai enfilé un jean propre sans prendre la peine de passer un slip (c'est une des raisons qui font que mes futs sont à boutons), j'ai mis une paire de baskets et je suis revenu au salon.

Les explications sont longues, mais je n'ai pas mis 15mn pour faire tout ça.

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Elle ressemblait à une poupée abandonnée sur laquelle quelqu'un se serait défoulé avant de la jeter aux ordures puis qui aurait finalement été ramassée et été mise là sans très bien savoir ce qu'on allait bien pouvoir en faire. Cette image s'est immédiatement imposée à moi et j'ai pensé en un éclair que ce n'était pas une image, mais la douloureuse réalité.

Réalité douloureuse, surtout pour elle, au sens propre (bien qu'elle ait été particulièrement sale) comme au figuré.

Moi au cas ou vous voudriez savoir j'étais en pleine forme. Les événements et la douche froide m'avaient dessaoulé mieux qu'un café salé et j'avais réussi à chasser mes démons. La blessure peu profonde tiraillait un peu, mais elle n'était pas vraiment douloureuse.

Elle gisait où je l'avais laissée, prostrée en position presque fœtale, des sanglots rauques sortaient de sa gorge par intermittence. Je l'ai regardée de haut en bas en évitant soigneusement de m'attarder sur ses formes exhibées. Par chance sa position recroquevillée m'y aidait. Seule, la vue du globe opulent d'un sein blanc veiné de bleu, qui arborerait sans doute un bel hématome le lendemain, dont je me détournai rapidement, aurait pu me perturber.

Malgré tout je n'ai pu m'empêcher de penser à l'image que nous donnions (Un barbare et son esclave captive après la victoire).

Une fois de plus je dus chasser ces pensées qui ne pouvaient que me conduire au viol d'une gamine que j'aimais quand même comme un père, même si elle avait cassé quelque chose de précieux qui existait entre nous.

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Quand mes pensées ont eu pris cette direction, cela m'a été plus facile. Je me suis assis dans mon fauteuil (et oui même si je suis chez moi, il y a les fauteuils et mon fauteuil personnellement à moi).

Je lui ai caressé gentiment la tête, effleurant ses cheveux d'or soyeux et tout bas, car je ne voulais pas générer une crise, je lui ai dit "Ma petite Princesse aux boucles d'or (c'est ainsi que je l'appelais lorsqu'elle était encore très jeune et que je la réconfortais lorsqu'elle avait fait un cauchemar), regarde moi, c'est fini, tout va bien maintenant".

Elle a relevé lentement la tête, m'a regardé les yeux embués et m'a dit ou plutôt demandé: "tu a été blessé par ma faute, mon papa d'amour, tu aurais pu mourir, je ne me le pardonnerai jamais, je m'en veux si tu savais, j'ai été stupide, je ne te mérite pas, pardonne moi s'il te plaît" et elle a abaissé les yeux et la tête comme si elle s'était couverte de honte.

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A mes yeux, ce n'était pas faux, mais même si je peux être un vrai sale type, j'ai aussi un bon côté. Je me suis penché sur elle, j'ai glissé mes mains sous ses aisselles prenant bien garde de ne pas effleurer ses gros seins pour ne pas réveiller la douleur due aux coups que je lui avais infligé, mais aussi et surtout pour ne pas me remettre à bander, car je savais bien que je ne pourrais pas contrôler mes envies une fois de plus.

Je l'ai soulevée comme une plume, malgré la douleur fulgurante provoquée par la réouverture de la blessure (ce qui accessoirement m'a bien aidé à ne pas penser au petit corps nu tout en courbes, en creux et en bosses harmonieusement disposés, que je tenais entre mes mains).

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Délicatement, précautionneusement, comme pour un objet précieux et fragile, je l'ai déposée assise, en travers, sur mes genoux, sa tête contre mon épaule, comme je le faisais lorsqu'elle était enfant et qu'elle voulait un câlin.

Pas tout à fait quand même, ce n'était pas une petite fille en pyjamas qui était sur mes genoux, mais une petite bombe sexuelle qui avait failli exploser il n'y a pas si longtemps. Je l'ai câlinée, bercée, réconfortée. Je lui ai un peu menti en disant que je n'avais qu'une égratignure sans la moindre gravité (en fait si ce connard avait mieux ajusté son coup, il m'aurait planté bien comme il faut, j'ai perdu la main, va falloir que je m'entraîne un peu).

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Un instant, quand elle a pris conscience que je n'étais pas gravement touché, ses yeux ont pétillé de bonheur, je connais ce regard, car je le lui ai vu souvent par le passé. Celà, m'a fait plaisir, même si c'est étrange de voir que, malgré ce que je venais de lui infliger, elle tenait toujours autant à moi.

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Je crois vous avoir déjà dit que des fois, je suis un peu dur de la comprenette, surtout pour ce qui se rapporte aux sentiments, vous allez comprendre. Quoi que, vous êtes peut être un peu moins aveugles ou bornés que moi sur ce point.

Nous sommes resté ainsi des heures, l'après-midi entier et une bonne partie de la nuit. Nous avons parlé longtemps, surtout elle d'une petite voix tristounette et rauque.

Nous avons parlé de tout, c'était décousu, mais ça a donné ce qui suit.

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(Si j'emploie parfois des contractions, ça pour cela par exemple, si j'omets certains articles, ou si vous trouvez mon style "à chier" et que ça vous contrarie, sachez que j'men tamponne. Dans la vrai vie, on dit on et pas nous, on n'utilise pas un langage soutenu. Je pourrais p'tet y arriver mais c'est pas sur, alors, comme c'est plus compliqué et plus long...).

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Je lui ai raconté la partie de ma vie qu'elle ne connaissait pas, et vous allez y avoir droit.

"Mes parents sont morts dans un accident de voiture le jour de mes 18 ans. J'ai hérité de la ferme familiale où nous vivons, et des terres en friche, prés et bois qui l'entourent. Elle n'est plus exploitées depuis 2 générations

J'ai mis la clef sous la porte et je suis parti peu après. Monté à la capitale, seul, paumé, mais la rage en moi.

Très vite j'ai mal tourné, j'ai levé une jeune poulette naïve, que j'ai mise au tapin. D'abord comme hôtesse dans un "bar américain" , puis pour des soirées spéciales pour gens de la haute et enfin sur le trottoir".

J'ai été honnête avec elle, comme elle avait du mal à comprendre comment la fille avait pu accepter, je lui ai expliquer que j'avais du la persuader, avec ma ceinture, l'aide de la came et de quelques stages de motivation, à l'abattage dans un claque clandestin pour immigrés (je n'ai pas que des bons cotés, mes efforts avec la petite chienne n'en ont été que pus méritoires, même s'ils ne furent qu'une perte de temps inutile).

Après quelques démêlés avec d'autres macs, pour des questions de territoire et 2 macchabées, je me suis reconverti dans la dope. Deal, trafic, pas assez con tout de même pour y toucher, etc., mais j'avais toujours ma gagneuse pour assurer mes arrières.

Je commençait à me faire un nom dans le milieu quand ma mine d'or a attrapé une saleté de MST, elle en est morte en quelques semaines. Ça ne me dérange pas trop de descendre un autre salopard, c'est la règle de ce jeu, mais être responsable de la mort de cette pute qui sans moi aurait sans doute eu une vie pépère, ça m'a fichu un coup. J'étais encore très jeune, à peine plus de 21 piges et j'avais déjà un lourd passé.

Une fois encore j'ai tout plaqué et je me suis engagé. J'ai choisi les commandos parachutistes. J'étais casse-cou, intrépide, relativement malin. J'aurais pu faire carrière et intégrer une école d'officier. J'aimais bien la vie militaire, elle vide bien la tête quand on a tendance à trop gamberger.

Je ne me suis pas réengagé. J'avais effectué 16 missions pendant mes 5 ans, c'est beaucoup, même pour un corps d'élite. Ca ma calmé, je suis revenu à la ferme et j'ai retapé la maison.

Je m'étais fait un petit pactole, pendant mes frasques, que la vie spartiate des commandos ne m'avait pas permis de dépenser. J'allais tout droit me remettre à faire d'autres conneries quand j'ai rencontré ta mère.

J'ai eu le "coup de foudre", comme on dit. Pour la garder et vivre avec elle une vie normale, j'ai trouvé un job dur mais relativement bien payé, pour un ouvrier, dans l'usine à coté. J'aurais pu trouver mieux, moins dur, mieux payé, mais je voulais être clean pour elle. On s'est marié et tu connais la suite.

Mais toi, ma puce, je ne comprends pas ce que tu faisais avec ce sale type qui devait bien avoir 10 ans de plus que toi, qui allait te sauter pour s'amuser et aller tout raconter en rigolant avec ses potes si tu avais eu du bol, ou qui autrement t'aurais mise vite fait au tapin, ce que je crois".

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Après ma tirade elle a été honnête elle aussi, et j'en suis resté sur le cul.

"Je vous ai vu toi et maman, faire l'amour, quand j'étais petite. Elle était attachée, tu la battais avec ta ceinture en plongeant ton sexe en elle. Je n'ai pas eu peur, j'ai su que c'était bon car elle n'arrêtait pas de le dire et de demander que tu frappes plus fort. Pourtant elle était bien marquée.

J'ai compris.

J'ai eu mes premières règles très jeune et mes seins se sont mis a pousser. Maman m'a tout expliquer sur le sexe.

Vous ne vous êtes pas rendu compte que je vous épiais depuis longtemps. Qund maman a voulu m'expliquer, mais ce n'était pas la peine. Presque tous les soirs, je guettais, et quand j'entendais des bruits bizarres que j'avais appris à reconnaître, je vous regardais, en me cachant dans le cagibi. Il y a des fentes dans le bois et je voyais bien la chambre.

Je sais aussi qu'il y a des trucs dans la grange dans l'atelier et à la cave, mais je ne vous y ai jamais vu.

Je n'ai pas compris pourquoi tu ne m'as jamais donné de claques ou de fessées, à la main ou au martinet, quand je faisais des bêtises, Comme certaines de mes copines me racontaient que ça ce passait chez elles. J'aurais bien voulu, ça m'aurait rapproché de toi. Je me masturbais en y pensant. Au début, je rêvais de fessées, puis de fessées cul nu, et mes fantasmes ont grandi. J'étais fessée cul nul, au martinet, arrachée et vous invitiez les voisins ou mes instituteurs ou les autres filles de la classe qui étaient jalouses de moi et qui en profitaient.