Joli papa Prélude 2 et fin.

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Dire que je voulais me reposer, vous ne vous imaginez pas...
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/16/2021
Créé 07/20/2014
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par BforbeMformyCforcunt

Chapitre 3 - Fin

Joli papa 3ème épisode Prélude II et fin.

By BforbeMformyCforcunt©

Bande de saligauds, vous pensez que je ne sais pas que vous crevez d'envie de savoir ce qui lui est arrivé à l'autre conne.

Accrochez vus, vos allez être servis.

***

Le lendemain

J'en ai écrasé comme un brute. je me suis réveillé, l'après midi était bien entamé.

Plusieurs pensées m'ont traversé l'esprit en un éclair. Il est tard, j'ai faim, je bande et j'ai envie de pisser, je n'ai pas la gueule de bois et c'est bizarre. Ce qui venait d'arriver ne m'est revenu en mémoire que quand j'ai mis les pieds hors du lit pour me lever. J'ai posé le pied sur un truc mou qui a gémi. J'ai pensé à un clebs, mais j'ai vu la forme blanche lovée sur le tapis et tout m'est revenu d'un coup.

J'ai poussé une série de jurons et j'ai bousculé gentiment la feignasse du talon. Elle ne s'est pas réveillée immédiatement, elle a roulé sur le dos d'abord.

Elle avait un visage radieux, malgré les pommettes enflées, les coquarts et et les lèvres fendues. Elle souriait dans son sommeil. C'est peut être difficile à concevoir et plus encore à imaginer, mais sa gueule passablement défigurée exprimait la plénitude et la sérénité.

Le reste de son corps n'était pas particulièrement joli à voir, mais j'ai aimé ce que j'ai vu et je l'ai trouvée plus belle que jamais. Elle suçait son pouce et son autre main était plongée entre ses cuisses serrées. Elle était marquée de partout, mais rien de bien méchant qui ne puisse s'estomper si je n'avais pas la main trop lourde. Elle arborait de jolis bleus sur les cuisses, les flans et les seins. J'entrevoyais seulement les jolies zébrures rouges, légèrement violacées, laissées par mon ceinturon sur sa peau pale. Son cul et son dos échappaient à mon regard, mais je n'ai pas eu la force morale de la savater, pour qu'elle roule sur elle même.

Elle était crade, maculée de trainées jaunâtres laissées par la saleté que la pisse, où elle s'était vautrée comme une truie, avait collé. Les rigoles de foutre sanguinolent qui avaient suinté de sa moule rose et enflée aux poils agglutinés en touffes, étaient sèches et formaient des croutes peu ragoutantes.

J'étais presque sans voix devant le spectacle obscène qu'elle offrait, mélange de candeur pure et de perversité malsaine

***

Elle a entrouvert un œil, le seul qui ait bien voulu. C'est d'une voix rendue rauque par l'émotion et non par la méchanceté, que je lui ai dit de dégager du tapis que je ne voulais pas saloper, pour que je puisse pisser un coup.

Surprise par ce rappel à son nouveau statut social, auquel un sommeil bien mérité et peut être quelque rêve agréable ne l'avait pas préparée, elle a laissé échapper une larme de son œil valide qui exprimait toute la tristesse du monde. Sans un mot, elle a changé de place, à quatre pattes, pour se mettre sur les genoux cuisses bien écartées, mains le long du corps, bouche craquelée grand ouverte et nuque en arrière.

Je vous ai déjà dit que je n'étais pas toujours très vif, mais j'ai pensé en la voyant si pathétique, qu'elle n'était peut être pas simplement la maso un peu givrée que j'avais imaginée. Malgré tout, quand on a une envie de pisser qui vous monte à la gorge, on ne se pose pas de questions. Je me suis vidé en plongeant ma queue raide dans la gueule béante. Elle a eu du mal a pas dégueuler, mais elle a presque tout gobé en faisant un bruit de canalisation bouchée.

Elle a viré du rouge au violet, car elle ne pouvait pas reprendre sa respiration. finalement, elle n'a pas tourné de l'oeil, mais elle s'est jetée à terre en toussant et crachant à fendre l'âme comme je terminais sur ses cheveux.

J'étais, malgré son échec lamentable, ému par tant de bonne volonté.

***

Malgré tout ce que j'ai pu dire plus tôt (il faut battre le fer quand il est chaud, ne pas montrer de faiblesse ou de compassion etc...), j'ai flanché un peu.

J'avais eu l'intension d'enchainer direct et de baiser sa bouche sans ménagement, pour me vider à nouveau les couilles en profitant de l'érection matinale.

Au lieu de ça, j'ai attendu qu'elle se remette et me suis assis sur un fauteuil proche et je lui ai demandé plutôt gentiment d'une voix redevenue normale :

-- Pourquoi?

Son œil a exprimé la surprise et l'incompréhension, alors j'ai continué :

-- Pourquoi tu as fais ça? Pourquoi tu te laisse faire en fait? Pourquoi tu te comporte comme en salope de bas étage? Tu es bien sûre que c'est ce que tu veux?

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. J'avais été ému et je crois que j'en pinçais pour cette gamine innocente et perverse. J'avais pensé qu'elle s'effondrerait dans mes bras en sanglotant comme la veille, quand elle s'était confiée dans un moment d'abandon. Mais la petite pute a fait preuve de plus de force de caractère que moi. Si elle avait flanché, je crois que j'aurais laissé tombé et que nous aurions repris une vie presque normale avec elle dans mon pieu à la place de sa mère.

***

Sa réaction n'a pas été ce à quoi je m'attendais. Elle a eu un instant de panique et s'est jetée à mes pieds. Elle a immédiatement pris la position que je lui avais inculquée la veillr, cul en l'air, cuisses écartées pour exposer ses trous. Cambrée, la gueule et les nichons raclant par terre. Sa respiration haletante provoquait des bulles dans la flaque de pisse sale où elle se vautrait. Sa voie était rauque, avec des sonorités humides, extrêmement érotique.

-- Pardon, pardon, je ne recommencerais plus, s'il te plait, je t'en supplie, garde moi. Je vais m'appliquer à tout prendre sans en laisser tomber. Je vais y arriver, promis. Je vais tout lécher, je suis une vrai salope, ta salope. je serais la meilleure, la pire, je t'en prie, je n'ai pas encore l'habitude, mais j'y arriverai. Traite moi comme tu faisais avec ta pute, quand tu n'étais pas content d'elle, punis moi à chaque fois que je le mérite et quand je le mérite pas juste parce que tu en as envie. Ne me rejette pas, dresse moi pour que je m'améliore. Apprends moi tout pour que je puisse te servir et te plaire mieux que n'importe qui ne le ferait. Pitié, bats moi pour me punir d'avoir mal fait, mais ne m'abandonne pas.

Elle a été servie.

Elle avait interprété mon moment de faiblesse, comme de la déception. Elle avait cru qu'elle m'avait déçu en ne pouvant tout avaler et qu'elle n'était pas à la hauteur de mes attentes. Je me suis ressaisi et j'ai laissé derrière moi sans un regret tout sentiment de miséricorde, devant tant de bonne volonté.

-- Arrête pouffiasse, tu cause, tu cause, mais j'attends autre chose. Je passe pour cette fois. Nettoie la merde que t'as foutue bordel. Même si tu n'est qu'une truie en chaleur, je ne veux pas vivre dans une porcherie. Quand tu auras fini rejoins moi vite fait à l'étable, il y a du boulot.

J'ai enfilé deux trois trucs vite fait. Avant de sortir, j'ai jeté un œil pour voir. Elle aspirait consciencieusement et bruyamment le liquide boueux et nauséabond. Depuis la mort de sa mère, je crois que je n'avais jamais vraiment fait, ni fait faire, le ménage dans la tôle. Je me suis dirigé vers les anciennes étables qui jouxtent la grange de l'autre côté de la cour. J'ai dit, je crois que la ferme, n'était plus exploitée depuis longtemps, mais toutes les installations sont restées fonctionnelles. Dans les étables et la grange, il y avait tout ce qui était nécessaire à mes projets immédiats.

***

Elle est arrivée en trottinant bizarrement et elle avait des difficultés à respirer. Elle devait salement avoir mal. J'étais convaincu de lui avoir fêlé une ou deux côtes. Cette petite pute ne l'avait pas volé. J'ai remarqué aussi, légèrement contrarié, que ses nibards bien fermes ne ballottaient même pas, il allait falloir que je m'en occupe sérieusement. j'avais pas mal de pain sur la planche, si je voulais lui faire le plaisir de la rendre encore plus désirable à mes yeux. J'avais plein d'idées qui se bousculaient dans ma tête. J'aurais voulu tout, tout de suite, mais je savais que j'allais devoir faire preuve de plus de rigueur et de sens de l'organisation. La vie pépère que j'avais menée ces dernières années avec mon épouse qui gérait les détails domestiques, m'avait salement ramolli.

Je devais tout prendre en main. La pouffiasse était peut être de bonne volonté pour tout ce qui touche au cul, mais je ne devais pas oublier que ce n'était qu'une putain de gosse gâtée pourrie dont la seule compétence était sa capacité à me servir de vide couille. Et encore, même en ce domaine, ses connaissances acquises n'étaient que virtuelles.

***

Elle attendait les bras ballants reprenant son souffle que je lui dise ce que j'attendais d'elle.

-- En position au dessus du caniveau, fissa! Je veux que tu vidange les canalisations sac à merde. Tu t'es peut être pissé dessus, je m'en fout, ce que je veux, c'est que te désengorger les boyaux. Aujourd'hui je m'occupe de ton cul. Tu as peut être de grandes compétences cachées pour devenir une mange merde, on verra ça plus tard, mais je n'ai pas envie que tu en mettes partout quand je t'éclaterai la rondelle.

-- Alors ça vient grosse tâche! T'as bon air le cul en l'air et la chatte béante qui mouille toute seule. Putain tu n'es vraiment qu'une grosse dégueulasse. Heureusement pour toi que tu m'as bien vidé les couilles hier, parce qu'aujourd'hui tu ne serais pas à la hauteur.

-- Qu'est ce qu'il y a pétasse, tu fais ta timide, t'es trop mijaurée pour pisser ou pour chier pendant que je regarde. Tu as honte de montrer tes trous pendant que tu pousses pour que ça sorte ou c'est peut être que tu pense que c'est indigne de toi de te vider dans un caniveau. Tu te prends pour quoi dis moi, une princesse? Tu pensais que tu avais droit à un peu d'intimité? Tu t'imaginais que comme je t'avais tronchée, c'était noël ma garce.

-- C'est fini tout ça, tu n'est pas ta mère petite, elle avait de la classe, elle. Toi tu n'est rien, tu as des trous à remplir et à vider quand je le dis, comme je le dis et où je le dis. C'est maintenant, comme ça et dans l'étable. Si les vieux avaient élevés des porcs, tu serais dans la soue à cochons alors magne toi!

***

Elle était vraiment pathétique, je voyais bien qu'elle essayait, mais j'en avais rajouté exprès, sachant que plus je l'humiliais et moins elle arriverait à se soulager. La garce avait faillit m'avoir, j'avais eu de la considération pour ça, heureusement pour moi qu'elle avait interprété de travers. Elle allait me le payer.

Ces pensées pas très logiques me motivaient et j'en avais besoin. Je savais que quelque part, au fin fond de moi j'éprouvais pour cette raclure quelque chose qui ressemblait à de l'amour, si ça n'en était pas. Comment ne pas être ému par une petite femelle prête à tout pour vous prouver qu'elle vous aime d'un amour inconditionnel et total. Si on comprend qu'il soit possible de s'attacher à un chien, ou même à une chose à laquelle on tient, on peut comprendre que je me sois attaché à elle, en fait.

Elle pleurait et son corps était agité de soubresauts dus aux sanglots. Elle a bégayé :

-- Je peux pas, j'essaie aussi fort que je peux mais j'y arrive pas, je me bloque je suis bonne à rien, je suis désolée, pardon.

Elle était accroupie au dessus du caniveau d'évacuation qui traverse l'étable. . C'est plus une rigole en V, peu profonde, en pente d'environ 50 à 60cm de large qu'un fossé. On s'en servait autrefois pour évacuer au jet la pisse de vache et les grosses bouses molles vers le tas de fumier et la fosse à purin. Quand je vous disais qu'il y avait tout ce qu'il fallait.

Imaginez la si vous pouvez, moi en y repensant je la revois et cela justifie qu'on s'y arrête. Elle avait les cuisses grand ouvertes, plus que les fois précédentes car ses genoux étaient posés de part et d'autre de la rigole. Son trou du cul plissé palpitait comme elle "esquichai"t pour couler un bronze. Sa chatte, était toute gonflée et béante. l'humiliation l'excitait, ça ce voyait à l'humidité qui la faisait briller doucement. La honte ou le dépit, je ne sais pas avait fait rétrécir son clito qui émergeait à peine. Elle avait positionné son buste et sa tête au fond, écrasant sa belle poitrine généreuse. Ses seins dépassaient de chaque côté, j'avais envie de marcher dessus, mais comme ils étaient déjà bien amochés je me suis contenté de la vue. Elle avait posé le menton sur le fonds de la rigole, je me souviens lui avoir dit en tournant autour d'elle, qu'il était dommage qu'il n'y ait plus d'animaux dans les étables, car elle n'aurait eu qu'à ouvrir son claque merde pour se remplir l'estomac.

Si vous vous rappelez qu'elle était crasseuse avec quelque lambeaux de vêtement qui pendouillaient encore, qu'elle avait des hématomes et des zébrures un peu partout, si vous visualisez que ses larmes faisaient de nouvelles rigoles sales sur ses joues bouffies et enflées et que la morve lui sortait du nez, vous comprendrez que je n'aie pas oublié. Je n'ai jamais vu, dans aucun porno, une image ou une séquence aussi édifiante, même chez les "niakoués" et pourtant leurs salopes, elles sont bonnes dans le hard-crad.

Je me suis penché sur elle et je lui ais empoigné le minou à pleine main, je l'ai malaxé comme du bon pain. J'ai poussé quelques doigts à l'intérieur, que j'ai fait aller et venir avec des bruits mouillés.

-- C'est ça que tu veux en fait, c'est que je m'occupe de ta moule, je le vois bien.

C'était humide et c'est devenu gluant.

-C'est pas croyable, je te demande un truc tout simple, tu pisses, tu chies et c'est fini et toi la seule chose à quoi t'est bonne c'est d'écarter les cuisses ma salope. Mais te réjouis pas trop vite, je n'ai pas l'intension de te faire jouir, je veux juste te ramollir un peu.

-- Je me branlerais bien, mais tu n'en vaux pas le coup, tu ne fais pas ce que je te demande et tu est vraiment trop crade. En plus tu pue comme un chiotte public, une morue pas fraiche.

J'ai arrêté quand elle a commencé à haleter rapidement. La salope a faillit jouir juste en se faisant tripoter comme comme un bout de viande à attendrir.

***

Je me suis occupé de la suite, je ne voulais pas non plus y passer la journée. Tout en allant chercher le jet qui servait à nettoyer l'étable, je lui ai expliqué avec la délicatesse qui me caractérise, mes intensions.

-- Putain de salope, tu allais jouir alors que je t'avais prévenue que je ne voulais pas. T'est bouchée ou quoi! t'est vraiment bonne à rien! même pas foutue de te retenir! et quand je te demande un truc de rien du tout que n'importe quelle bête peut faire, toi tu te bloques! Attends je vais t'aider! Un bon petit décrassage au jet pour commencer, oui je sais il y a beaucoup de pression, comme une lance de pompier, mais il faut ça pour décoller la merde sur le ciment, et pour décoller ta crasse, c'est pas trop, dommage qu'on ai pas eu un karcher.

-- Bouge pas ou tu vas en prendre plein la gueule. Déjà que t'es pas chouette à voir, manquerais plus que la pression t'esquinte l'oeil qui te reste. Je ne veux pas d'un boulet à trainer. Voila comme ça c'est mieux, t'as vu le jus que tu rends, après je te passerai au savon noir et à l'étrille, il y a tout ce qui faut dans la grange...

-- Ah! quand même tu te décide à pisser, c'est pas trop tôt, mais ne vas pas t'imaginer que tu auras droit à une douche chaque fois que tu vas devoir pisser en public. Fini les chichis et la pudeur déplacée. Maintenant, comme je suis trop bon, je vais t'aider à chier, bouge pas que le jet rentre bien dans ton cul, t'as la bonne position. Pas de mouron si ça te rempli aussi la chatte, ça va la faire dégorger et comme ça on aura pas besoin de l'écouvillon. Il est à la cave et je n'ai pas que ça à foutre.

-- Ah! wep ça rentre, je vois des trucs jaunes qui sortent, on va faire la totale. Et ne bouge pas j'ai dit! tu vas tout prendre, je veux que t'ai les boyaux nickel chrome, si tu bouge, je t'enfonce l'embout dans le cul, et j'attends que ça ressorte par la bouche. En tout cas y a pas à chier, ça t'ouvre bien la rondelle, ça facilitera le passage tout à l'heure.

-- Pétasse t'es pas croyable, laisse tes mains où elles sont, t'es pas là pour te branler, si tu jouis par le cul comme ça, je suis prêt à parier que tu jouirais rien qu'à te faire tabasser.

-- Bien tu commence à gonfler c'est marrant. J'arrêterais quand t'auras l'air d'être prête à mettre bas une portée de quintuplés. Je veux que tu reste comme ça le plus longtemps possible, ça va te dilater les boyaux et ça va faire tout sortir. Je n'ai jamais été fan des lavements, mais comme ça et avec toi, c'est presque grandiose.

-- J'arrête, ne bouge toujours pas et serre les fesses, t'es magnifique, on dirait vraiment que t'es enceinte jusqu'aux yeux, t'as le bidon qui va jusqu'au fond de la rigole. Si on refait ça, je te remplirais par en haut en même temps pour voir jusqu'où on peut te dilater. Comme tu es toute jeunette, on a pas trop à craindre pour les vergetures, on s'occupera de ça plus tard.

-- C'est bon vas-y lâche la purée pendant que je te rince. Bon D...! mais elle jouit la vache, j'en reviens pas, tu es vraiment incroyable. Non t'en fait pas c'est pas grave, je ne suis pas fâché, tu l'as mérité cette fois.

J'ai fini le boulot au savon noir et avec un torchon. Je n'étais pas prêt à l'écorcher vive non plus! Je n'ai pas utilisé l'étrille, ni la brosse à chiendent, tout en me demandant quand même si ça ne l'aurait pas fait jouir aussi.

***

Elle était déjà bien plus fraiche, moi aussi, car j'en avais profité pour me décrasser. L'eau était froide, mais il faisait beau et je ne suis pas frileux.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle était presque redevenue mignonne. Elle avait un œil au beurre noir et de jolis cernes, mais elle avait désenflé comme par miracle. Elle me regardait de son grand œil bleu, paisible, l'autre était déjà entre ouvert.

Elle était propre et sentait bon la chair fraiche. Elle avait bien quelques bleus plus ou moins accentués et de jolies zébrures entrecroisées, mais cela rehaussait sa beauté délicate et le contraste avec sa peau de porcrlaine était du plus bel effet.

J'ai brièvement songé que si elle récupérait aussi bien et aussi vite, je pourrais y aller plus fort.

Comme je la trouvais belle, je le lui ais dit en précisant que j'aimais qu'elle porte mes marques. Je l'ai embrassée, de manière possessive si vous voyez ce que je veux dire en l'empoignant par ses cheveux humides et en l'obligeant à se courber en arrière. Je voulais aussi qu'elle porte ma marque comme les génisses et les veaux dans les westerns, une bonne grosse marque incrustée dans la chair au fer rouge

Tout était paisible, presque normal à quelques détails prêts.

Nous étions debout, face à face, elle a baissé les yeux sans que je l'y oblige et a pris une attitude soumise de bon aloi. Elle était à poil, j'avais jeté ses hardes inutilisables et j'étais habillé. J'étais tendu du côté de mon chibre, qui voulait absolument que je m'occupe de lui, mais je voulais décharger dans son cul et ce n'était pas le bon moment.

Je suis un peu chien fou, parfois, j'ai éprouvé le besoin de préciser les choses et de définir nos nouveaux rapports et nos obligations respectives. En d'autres termes, il fallait que je planifie son esclavage et sa descente aux enfers.

***

L'esclavage :

-- A partir d'aujourd'hui, tu te démerderas toute seule, sauf quand tu seras enfermée à la cave ou attachée pour toute sorte de raisons.

-- Tu te réveilleras avant moi, quelle que soit l'heure où je me réveillerais. Tu filera à l'écurie pour tes besoins et tu nettoiera ta merde. Tu te laveras à la pompe de l'abreuvoir dans la cour. En hiver on verra, je pense aménager l'ancienne soute à charbon pour t'en faire une cellule 3 étoiles. Tu reviendras pour t'habiller pour être prête à mon réveil. Tu apprendras à adapter ta tenue à mon humeur. De toute façon je ne vais pas foutre le pognon par les fenêtres pour couvrir ton cul, fais gaffe à tes fringues ou gare à tes miches. Tu nettoiera la taule, enfin la partie principale. Salon salle à manger, cuisine, salle de bains, chiottes et les chambres y compris la mienne, mais ne t'avise pas de me réveiller ou de déranger les potes que j'aurais invité. Tu rangeras tout bien comme il faut et tu prépareras le petit-déj'. Quand je me réveillerais je veux que tu rapplique illico.

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